Saint-BĂ©at-Lez
Saint-BĂ©at-Lez (prononcĂ© [sÉÌ bea lÉz] ; en gascon Sent Biat Les) est, depuis le , une commune nouvelle situĂ©e dans le dĂ©partement de la Haute-Garonne en rĂ©gion Occitanie, issue de la fusion des communes de Lez et de Saint-BĂ©at[1].
Saint-BĂ©at-Lez | |||||
La Garonne et le centre du village. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Occitanie | ||||
DĂ©partement | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Saint-Gaudens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Pyrénées Haut Garonnaises | ||||
Maire Mandat |
Anna Changeux 2022-2026 |
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Code postal | 31440 | ||||
Code commune | 31471 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Saint-Béatais-Léziens | ||||
Population municipale |
383 hab. (2020) | ||||
Densité | 38 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 42° 54âČ 52âł nord, 0° 41âČ 33âł est | ||||
Altitude | Min. 476 m Max. 1 763 m |
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Superficie | 9,97 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de BagnĂšres-de-Luchon | ||||
LĂ©gislatives | HuitiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Haute-Garonne
GĂ©olocalisation sur la carte : Occitanie
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Ses habitants sont appelés les Saint-Béatais-Léziens.
Saint-Béat-Lez est une commune rurale qui compte 383 habitants en 2020, aprÚs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Ses habitants sont appelés les Saint-Béatais ou Saint-Béataises.
GĂ©ographie
Localisation
- Carte dynamique
- Carte Openstreetmap
- Carte topographique
- Carte avec les communes environnantes
Commune située dans le Comminges et Petit-Comminges au pied du pic du Gar, dans les Pyrénées, dans le sud du département de la Haute-Garonne, sur la Garonne à 33 km au sud-est de Saint-Gaudens.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Eup, Boutx, Argut-Dessous, Arlos, Marignac et Chaum.
Saint-BĂ©at-Lez est limitrophe de six autres communes :
GĂ©ologie et relief
La superficie de la commune est de 996 hectares ; son altitude varie de 476 Ă 1 763 mĂštres[3].
La commune est située au pied du pic du Gar.
Saint-BĂ©at
La commune est arrosée par la Garonne située au centre de la commune.
Lez
Le ruisseau de Lez traverse la commune.
Transports
- Par la route : route nationale 125 ou la D 44.
- Par le train : la ligne Montréjeau - Luchon : gare de Marignac - Saint-Béat, (circulations sont suspendues depuis le 18 novembre 2014).
- Par l'autobus : ligne réguliÚre de transport interurbain réseau Arc-en-ciel (anciennement SEMVAT)
- Par l'avion : aéroport Toulouse-Blagnac
Le tunnel de Saint-BĂ©at-Lez
Commencés en 2013, les travaux de construction du tunnel se sont terminés en 2018.
Le tunnel de Saint-BĂ©at-Lez placĂ© sur la NâŻ125 a pour longueur 1 066 mĂštres, il est entrĂ© en service le 3 mai 2018[4].
Il a été inauguré le 30 avril 2018 en présence de Pascal Mailhos (préfet de la région Occitanie), Carole Delga (présidente de la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée), et Georges Méric (président du Conseil départemental de la Haute-Garonne)[5].
- L'entrée du tunnel en venant de Eup.
- L'entrée du tunnel en venant de Saint-Béat-Lez.
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Garonne, un bras de la Garonne et le ruisseau Rieu Sec, constituant un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[7] - [8].
La Garonne est un fleuve principalement français prenant sa source en Espagne et qui coule sur 529 km avant de se jeter dans lâocĂ©an Atlantique[9].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroßt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[11].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[13] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[14] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « MaulĂ©on-Barousse », sur la commune de MaulĂ©on-Barousse, mise en service en 1995[15] et qui se trouve Ă 11 km Ă vol d'oiseau[16] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 121,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[17]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, dans le dĂ©partement de l'AriĂšge, mise en service en 1949 et Ă 36 km[18], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[19], Ă 12,3 °C pour 1981-2010[20], puis Ă 12,7 °C pour 1991-2020[21].
Urbanisme
Typologie
Saint-Béat-Lez est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [22] - [23] - [24]. La commune est en outre hors attraction des villes[25] - [26].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-BĂ©at-Lez est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, la rupture d'un barrage, et Ă un risque particulier : le risque de radon[27]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[28].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Garonne. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999, 2009, 2013 et 2022[29] - [27].
Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies a Ă©tĂ© approuvĂ© par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 25 septembre 2006. Saint-BĂ©at-Lez est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt du fait de la prĂ©sence sur son territoire des massifs des piĂ©monts des PyrĂ©nĂ©es et des PyrĂ©nĂ©es. Il est ainsi dĂ©fendu aux propriĂ©taires de la commune et Ă leurs ayants droit de porter ou dâallumer du feu dans l'intĂ©rieur et Ă une distance de 200 mĂštres des bois, forĂȘts, plantations, reboisements ainsi que des landes. LâĂ©cobuage est Ă©galement interdit, ainsi que les feux de type mĂ©chouis et barbecues, Ă lâexception de ceux prĂ©vus dans des installations fixes (non situĂ©es sous couvert d'arbres) constituant une dĂ©pendance d'habitation[30] - [31]
La commune est vulnĂ©rable au risque de mouvements de terrains constituĂ© principalement du retrait-gonflement des sols argileux[32]. Cet alĂ©a est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 43,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (88,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 421 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 383 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 91 %, Ă comparer aux 98 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[33] - [Carte 1].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[34].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et et par des éboulements et/ou chutes de blocs en 1996[27].
Risques technologiques
La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de Naguilhes sur le Gnoles (affluent de l'AriĂšge, dĂ©partement de l'AriĂšge). Ă ce titre elle est susceptible dâĂȘtre touchĂ©e par lâonde de submersion consĂ©cutive Ă la rupture de cet ouvrage[35].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative dâexposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-BĂ©at-Lez est classĂ©e en zone 3, Ă savoir zone Ă potentiel radon significatif[36].
Toponymie
La ville se trouvant sur un rétrécissement de la Garonne, le lieu fut nommé par les Romains le « Pas du Loup » : Passus Lupi.
Saint-BĂ©at serait, outre une tautologie (beatus : bienheureux ou saint), le nom d'un saint trĂšs local. Ce saint est aussi connu comme l'Ă©vangĂ©lisateur de la Beauce oĂč il aurait tuĂ© un dragon.
Lez est un hydronyme apparenté au basque leize « torrent ».
Histoire
La commune nouvelle regroupe les communes des Lez et de Saint-Béat, qui deviennent des communes déléguées, le [37]. Son chef-lieu se situe à Saint-Béat.
Dans l'antiquité, le site de Saint-Béat est connu comme un « Passus Lupi » (passage du loup), car le resserrement de cette partie du val d'Aran n'aurait alors permis qu'à des loups efflanqués de passer sans se mouiller les pattes dans la Garonne.
Cette ancienne place forte commandait la vallée de la Garonne. Son importance l'avait fait surnommer la « clé de la France ».
Depuis, Saint-Béat-Lez est surtout connu pour ses carriÚres de marbre blanc, découvertes sans doute en cherchant à élargir l'étroit passage et exploitées depuis l'époque gallo-romaine. La légende locale n'hésitait pas à dire que son marbre avait permis d'édifier la colonne Trajane à Rome, ainsi que tout ce qui était en pierre blanche dans la région. C'est naturellement faux. C'est en revanche en partie avéré pour les colonnettes du couvent de Saint-Bertrand-de-Comminges tout proche, ainsi que plusieurs sculptures de la villa romaine de Chiragan, à Martres-Tolosane. Il a servi pour les autels tauroboliques de Lectoure (176, 239 et 241 ap. JC). Le marbre de Saint-Béat fut le matériau utilisé pour les bassins et plusieurs statues du parc de Versailles.
Les armoiries de Saint-Béat, « clef de France », s'expliquent par l'édification d'une citadelle qui contrÎle le passage de la vallée de la Garonne.
Pendant longtemps, outre ses carriĂšres, la ville Ă©tait le site d'une foire oĂč s'Ă©changeaient les Ăąnes et mulets destinĂ©s Ă l'Espagne, contre du bois venant des forĂȘts aranaises et charriĂ© par la Garonne. Cette foire avait traditionnellement lieu Ă la Saint-Martin.
Une particularitĂ© : jusqu'Ă la RĂ©volution, Saint-BĂ©at (du moins sa partie est, sĂ©parĂ©e de la partie ouest par la Garonne) formait, avec Melles et Argut-Dessus, une des enclaves languedociennes du diocĂšse appelĂ© « diocĂšse civil du Petit-Comminges » (l'un des 24 diocĂšses civils des Ătats du Languedoc). Sa partie ouest, avec Arlos, faisait partie de la jugerie dite de « RiviĂšre-Verdun » (formĂ©e d'innombrables enclaves allant de Verdun-sur-Garonne, entre Toulouse et Montauban, jusqu'Ă la frontiĂšre espagnole). Cette jugerie dĂ©pendait, elle, de la Gascogne comme le Couserans et le Comminges[38].
Dans leur cahier de doléances, les habitants décrivent le site de la ville, comme un endroit particuliÚrement déshérité, soumis aux débordements de la Garonne, comme aux chutes de pierres depuis les falaises qui surplombent la ville.
De 1914 Ă 1953, le tramway Ă©lectrique de Marignac au Pont-du-Roy va desservir Saint-BĂ©at et ses carriĂšres[39].
L'ouverture de la station de ski du Mourtis a donné un nouvel élan touristique à la ville, comme plus récemment son festival de sculpture de marbre, qui permet à de jeunes sculpteurs de s'exprimer par leur art.
C'est depuis le une commune nouvelle issue de la fusion des communes de Lez et de Saint-BĂ©at[1].
Politique et administration
Nom | Code Insee |
Code postal | Superficie (km2) |
Population (derniÚre pop. légale) |
Densité (hab./km2) |
Modifier |
---|---|---|---|---|---|---|
Saint-BĂ©at (siĂšge) |
31471 | 31440 | 7,37 | 345 (2016) | 47 | â |
Lez | 31298 | 31440 | 2,60 | 59 (2016) | 23 | â |
Administration municipale
Jusqu'à son prochain renouvellement, en 2020, le conseil municipal de la commune nouvelle est composé de l'ensemble des membres en exercice des conseils municipaux des anciennes communes. La mairie est celle de Saint-Béat.
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
Commune faisant partie de la huitiÚme circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes des Pyrénées Haut-Garonnaises et du canton de BagnÚres-de-Luchon.
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.
En 2020, la commune comptait 383 habitants[Note 5].
Ăconomie
La commune de Lez est classée en zone montagne et possÚde une seule exploitation agricole[42], en 2012.
La société Omya y exploite du marbre dit de Saint-Béat[43].
- La société Omya et le tunnel de Saint-Béat.
Enseignement
Saint-Béat-Lez fait partie de l'académie de Toulouse.
L'éducation est assurée sur la commune par une école maternelle, une école élémentaire et le collÚge François Cazes. Pour le lycée, il faut aller au lycée Edmond Rostand, à BagnÚres-de-Luchon[44].
Activités sportives
Culture locale et patrimoine
Saint-BĂ©at
- Les vestiges préhistoriques ;
- La carriÚre de marbre de Saint-Béat appelée brÚche romaine : carriÚres de marbre blanc exploitées depuis l'époque romaine et de marbre bleu turquin ;
- Le chĂąteau fort du XIIe siĂšcle et sa chapelle ;
- L'église Saint-Béat-Saint-Privat[45], romane du XIIe siÚcle, inscrite au titre des monuments historiques en 1926, puis classée en 1994[46]. Un tombeau y abrite les reliques de saint Béat et de saint Privat ;
- Le musée du Trésor de l'église ;
- La chapelle de GĂ©ry ;
- La chapelle de Ladivert ;
- La chapelle troglodytique Saint-Roch ;
- La maison natale du maréchal Joseph Gallieni ;
- L'écomusée le Moulin des Arts[47].
- Le chĂąteau de Saint-BĂ©at vers 1840, par EugĂšne de Malbos.
Le chùteau fort et sa chapelle. L'église Saint-Béat-Saint-Privat. La chapelle Saint-Roch. - Linteau de porte surmonté d'un chrisme de la chapelle de Ladivert.
Lez
- L'Ă©glise de l'Assomption de Lez ;
- La brÚche romaine, ancienne carriÚre de marbre, est partagée entre Lez et la commune voisine de Saint-Béat.
- Tour Ă signaux au nord du village.
- Monument aux morts.
- Un manoir.
- Fontaine et abreuvoir.
- Lavoir.
- Sculpture en marbre blanc d'une montagne oĂč un cours d'eau descend et arrose le village (les mains).
La brĂšche romaine. La tour Ă signaux. - L'Ă©glise de l'Assomption
- Un manoir
à proximité :
- La station de ski le Mourtis ;
- Le col de Menté.
Personnalités liées à la commune
- Joseph Magdelaine Martin (1753-1815), né à Saint-Béat, général des armées de la République, préfet des Pyrénées-Orientales de 1801 à 1813.
- Jean Léonard Barrié (1762-1848), militaire français des XVIIIe et XIXe siÚcles, est né à Saint-Béat.
- Romain Cazes (1810-1881), peintre, élÚve d'Ingres, né à Saint-Béat. Il a réalisé quelques tableaux et de nombreuses fresques allégoriques et religieuses à BagnÚres-de-Luchon, Saint-Mamet, Albi, Oloron-Sainte-Marie, Bordeaux et Paris. Il existe un fonds Cazes au musée Ingres de Montauban.
- Gérard Marchant (1813-1881), psychiatre, est né à Saint-Béat.
- Joseph Gallieni (1849-1916), fait maréchal de France à titre posthume en 1921, est né à Saint-Béat.
- Edmond Rostand s'est inspiré d'un des balcons de la ville pour une scÚne de Cyrano de Bergerac.
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Notes de type "Carte "
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « ArrĂȘtĂ© du 30 avril 2018 portant crĂ©ation de la commune nouvelle de Saint-BĂ©at-Lez », sur haute-garonne.gouv.fr, (consultĂ© le ).
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestiÚre, [lire en ligne].
- Vanessa Marguet, « Le tunnel de Saint-BĂ©at ouvre enfin, mais la dĂ©viation est loin d'ĂȘtre terminĂ©e », sur francebleu.fr, (consultĂ© le ).
- http://www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr/le-tunnel-de-st-beat-inaugure-a23997.html
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Saint-Béat-Lez », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- « Carte hydrographique de Saint-Béat-Lez » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
- Sandre, « la Garonne »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
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- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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- « Dossier départemental des risques majeurs dans la Haute-Garonne », sur www.haute-garonne.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
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- Voir cartes de Cassini, cartes de Gascogne et de RiviĂšre-Verdun.
- Site FACS, Les chemins de fer secondaires de France : 31 - département de Haute-Garonne lire (consulté le 19 novembre 2011)
- https://www.petiterepublique.com/2021/12/15/saint-beat-un-conseil-municipal-reduit-a-10-des-elections-a-organiser/
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- http://carto.observatoire-des-territoires.gouv.fr/GC_preport.php?lang=fr&s=144&view=map1&id_rep=r01&selId0=12158&nivgeo=com
- « Historique et Activités - Omya », sur Omya (consulté le ).
- http://www.st-beat.fr/scolarite/
- « Ăglise Saint-BenoĂźt-et-Saint-Privat de Saint-BĂ©at | MusĂ©e du Patrimoine de France », sur museedupatrimoine.fr (consultĂ© le ).
- Notice no PA00094446, base Mérimée, ministÚre français de la Culture. Consultée le 28 juin 2010.
- Le Moulin des Arts sur le site de la mairie de Saint-Béat, consulté le 23 avril 2013.