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Saint-BĂ©at-Lez

Saint-BĂ©at-Lez (prononcĂ© [sɛ̃ bea lɛz] ; en gascon Sent Biat Les) est, depuis le , une commune nouvelle situĂ©e dans le dĂ©partement de la Haute-Garonne en rĂ©gion Occitanie, issue de la fusion des communes de Lez et de Saint-BĂ©at[1].

Saint-BĂ©at-Lez
Saint-BĂ©at-Lez
La Garonne et le centre du village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Haute-Garonne
Arrondissement Saint-Gaudens
Intercommunalité Communauté de communes Pyrénées Haut Garonnaises
Maire
Mandat
Anna Changeux
2022-2026
Code postal 31440
Code commune 31471
DĂ©mographie
Gentilé Saint-Béatais-Léziens
Population
municipale
383 hab. (2020)
DensitĂ© 38 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 42° 54â€Č 52″ nord, 0° 41â€Č 33″ est
Altitude Min. 476 m
Max. 1 763 m
Superficie 9,97 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de BagnĂšres-de-Luchon
LĂ©gislatives HuitiĂšme circonscription
Localisation
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Saint-BĂ©at-Lez
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Saint-BĂ©at-Lez
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Saint-BĂ©at-Lez

    Ses habitants sont appelés les Saint-Béatais-Léziens.

    Saint-BĂ©at-Lez est une commune rurale qui compte 383 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Ses habitants sont appelĂ©s les Saint-BĂ©atais ou Saint-BĂ©ataises.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    Commune situĂ©e dans le Comminges et Petit-Comminges au pied du pic du Gar, dans les PyrĂ©nĂ©es, dans le sud du dĂ©partement de la Haute-Garonne, sur la Garonne Ă  33 km au sud-est de Saint-Gaudens.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Eup, Boutx, Argut-Dessous, Arlos, Marignac et Chaum.

    Saint-BĂ©at-Lez est limitrophe de six autres communes :

    Communes limitrophes de Saint-BĂ©at-Lez[2]
    Chaum Eup
    Marignac Saint-BĂ©at-Lez Boutx
    Arlos Argut-Dessous

    GĂ©ologie et relief

    La superficie de la commune est de 996 hectares ; son altitude varie de 476 Ă  1 763 mĂštres[3].

    La commune est située au pied du pic du Gar.

    La Garonne traversant Saint-BĂ©at.

    Saint-BĂ©at

    La commune est arrosée par la Garonne située au centre de la commune.

    Lez

    Le ruisseau de Lez traverse la commune.

    Transports

    Le tunnel de Saint-BĂ©at-Lez

    Commencés en 2013, les travaux de construction du tunnel se sont terminés en 2018.

    Le tunnel de Saint-BĂ©at-Lez placĂ© sur la N 125 a pour longueur 1 066 mĂštres, il est entrĂ© en service le 3 mai 2018[4].

    Il a été inauguré le 30 avril 2018 en présence de Pascal Mailhos (préfet de la région Occitanie), Carole Delga (présidente de la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée), et Georges Méric (président du Conseil départemental de la Haute-Garonne)[5].

    • L'entrĂ©e du tunnel en venant de Eup.
      L'entrée du tunnel en venant de Eup.
    • L'entrĂ©e du tunnel en venant de Saint-BĂ©at-Lez.
      L'entrée du tunnel en venant de Saint-Béat-Lez.

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Saint-BĂ©at-Lez.

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Garonne, un bras de la Garonne et le ruisseau Rieu Sec, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[7] - [8].

    La Garonne est un fleuve principalement français prenant sa source en Espagne et qui coule sur 529 km avant de se jeter dans l’ocĂ©an Atlantique[9].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroßt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[11].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 6,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 117 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[13] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[14] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « MaulĂ©on-Barousse », sur la commune de MaulĂ©on-Barousse, mise en service en 1995[15] et qui se trouve Ă  11 km Ă  vol d'oiseau[16] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 121,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[17]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, dans le dĂ©partement de l'AriĂšge, mise en service en 1949 et Ă  36 km[18], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[19], Ă  12,3 °C pour 1981-2010[20], puis Ă  12,7 °C pour 1991-2020[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Béat-Lez est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [22] - [23] - [24]. La commune est en outre hors attraction des villes[25] - [26].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-BĂ©at-Lez est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage, et Ă  un risque particulier : le risque de radon[27]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[28].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Garonne. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999, 2009, 2013 et 2022[29] - [27].

    Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies a Ă©tĂ© approuvĂ© par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 25 septembre 2006. Saint-BĂ©at-Lez est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt du fait de la prĂ©sence sur son territoire des massifs des piĂ©monts des PyrĂ©nĂ©es et des PyrĂ©nĂ©es. Il est ainsi dĂ©fendu aux propriĂ©taires de la commune et Ă  leurs ayants droit de porter ou d’allumer du feu dans l'intĂ©rieur et Ă  une distance de 200 mĂštres des bois, forĂȘts, plantations, reboisements ainsi que des landes. L’écobuage est Ă©galement interdit, ainsi que les feux de type mĂ©chouis et barbecues, Ă  l’exception de ceux prĂ©vus dans des installations fixes (non situĂ©es sous couvert d'arbres) constituant une dĂ©pendance d'habitation[30] - [31]

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Béat-Lez.

    La commune est vulnĂ©rable au risque de mouvements de terrains constituĂ© principalement du retrait-gonflement des sols argileux[32]. Cet alĂ©a est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 43,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (88,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 421 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 383 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 91 %, Ă  comparer aux 98 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[33] - [Carte 1].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[34].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et et par des éboulements et/ou chutes de blocs en 1996[27].

    Risques technologiques

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de Naguilhes sur le Gnoles (affluent de l'AriĂšge, dĂ©partement de l'AriĂšge). À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[35].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-BĂ©at-Lez est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[36].

    Toponymie

    La ville se trouvant sur un rétrécissement de la Garonne, le lieu fut nommé par les Romains le « Pas du Loup » : Passus Lupi.

    Saint-BĂ©at serait, outre une tautologie (beatus : bienheureux ou saint), le nom d'un saint trĂšs local. Ce saint est aussi connu comme l'Ă©vangĂ©lisateur de la Beauce oĂč il aurait tuĂ© un dragon.

    Lez est un hydronyme apparenté au basque leize « torrent ».

    Histoire

    La commune nouvelle regroupe les communes des Lez et de Saint-Béat, qui deviennent des communes déléguées, le [37]. Son chef-lieu se situe à Saint-Béat.

    Vue de Saint BĂ©at par EugĂšne de Malbos, vers 1840.

    Dans l'antiquité, le site de Saint-Béat est connu comme un « Passus Lupi » (passage du loup), car le resserrement de cette partie du val d'Aran n'aurait alors permis qu'à des loups efflanqués de passer sans se mouiller les pattes dans la Garonne.

    Cette ancienne place forte commandait la vallée de la Garonne. Son importance l'avait fait surnommer la « clé de la France ».

    Depuis, Saint-Béat-Lez est surtout connu pour ses carriÚres de marbre blanc, découvertes sans doute en cherchant à élargir l'étroit passage et exploitées depuis l'époque gallo-romaine. La légende locale n'hésitait pas à dire que son marbre avait permis d'édifier la colonne Trajane à Rome, ainsi que tout ce qui était en pierre blanche dans la région. C'est naturellement faux. C'est en revanche en partie avéré pour les colonnettes du couvent de Saint-Bertrand-de-Comminges tout proche, ainsi que plusieurs sculptures de la villa romaine de Chiragan, à Martres-Tolosane. Il a servi pour les autels tauroboliques de Lectoure (176, 239 et 241 ap. JC). Le marbre de Saint-Béat fut le matériau utilisé pour les bassins et plusieurs statues du parc de Versailles.

    Les armoiries de Saint-Béat, « clef de France », s'expliquent par l'édification d'une citadelle qui contrÎle le passage de la vallée de la Garonne.

    Pendant longtemps, outre ses carriĂšres, la ville Ă©tait le site d'une foire oĂč s'Ă©changeaient les Ăąnes et mulets destinĂ©s Ă  l'Espagne, contre du bois venant des forĂȘts aranaises et charriĂ© par la Garonne. Cette foire avait traditionnellement lieu Ă  la Saint-Martin.

    Une particularitĂ© : jusqu'Ă  la RĂ©volution, Saint-BĂ©at (du moins sa partie est, sĂ©parĂ©e de la partie ouest par la Garonne) formait, avec Melles et Argut-Dessus, une des enclaves languedociennes du diocĂšse appelĂ© « diocĂšse civil du Petit-Comminges » (l'un des 24 diocĂšses civils des États du Languedoc). Sa partie ouest, avec Arlos, faisait partie de la jugerie dite de « RiviĂšre-Verdun » (formĂ©e d'innombrables enclaves allant de Verdun-sur-Garonne, entre Toulouse et Montauban, jusqu'Ă  la frontiĂšre espagnole). Cette jugerie dĂ©pendait, elle, de la Gascogne comme le Couserans et le Comminges[38].

    Vue du Pont de Saint-Béat par EugÚne Trutat, fonds EugÚne Trutat - Muséum de Toulouse.

    Dans leur cahier de doléances, les habitants décrivent le site de la ville, comme un endroit particuliÚrement déshérité, soumis aux débordements de la Garonne, comme aux chutes de pierres depuis les falaises qui surplombent la ville.

    La gare de Saint-BĂ©at Lagerle.

    De 1914 Ă  1953, le tramway Ă©lectrique de Marignac au Pont-du-Roy va desservir Saint-BĂ©at et ses carriĂšres[39].

    L'ouverture de la station de ski du Mourtis a donné un nouvel élan touristique à la ville, comme plus récemment son festival de sculpture de marbre, qui permet à de jeunes sculpteurs de s'exprimer par leur art.

    C'est depuis le une commune nouvelle issue de la fusion des communes de Lez et de Saint-BĂ©at[1].

    Politique et administration

    Liste des communes historiques
    Nom Code
    Insee
    Code postal Superficie
    (km2)
    Population
    (derniÚre pop. légale)
    Densité
    (hab./km2)
    Modifier
    Saint-BĂ©at
    (siĂšge)
    31471 31440 7,37 345 (2016) 47 modifier les donnĂ©es modifier les donnĂ©es
    Lez 31298 31440 2,60 59 (2016) 23 modifier les donnĂ©es modifier les donnĂ©es

    Administration municipale

    Jusqu'à son prochain renouvellement, en 2020, le conseil municipal de la commune nouvelle est composé de l'ensemble des membres en exercice des conseils municipaux des anciennes communes. La mairie est celle de Saint-Béat.

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Commune faisant partie de la huitiÚme circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes des Pyrénées Haut-Garonnaises et du canton de BagnÚres-de-Luchon.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Janvier 2019 mai 2020 Luce Lagacherie
    mai 2020 2021 Thierry Haein DĂ©mission fin 2021
    2021 En cours Anna Changeux Maire par intérim[40].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

    En 2020, la commune comptait 383 habitants[Note 5].

    Évolution de la population [ modifier ]
    2015 2020
    426383
    (Sources : Insee Ă  partir de 2015[41].)

    Économie

    La commune de Lez est classée en zone montagne et possÚde une seule exploitation agricole[42], en 2012.

    La société Omya y exploite du marbre dit de Saint-Béat[43].

    • La sociĂ©tĂ© Omya et le tunnel de Saint-BĂ©at.
      La société Omya et le tunnel de Saint-Béat.

    Enseignement

    Saint-Béat-Lez fait partie de l'académie de Toulouse.

    L'éducation est assurée sur la commune par une école maternelle, une école élémentaire et le collÚge François Cazes. Pour le lycée, il faut aller au lycée Edmond Rostand, à BagnÚres-de-Luchon[44].

    Activités sportives

    Piscine, chasse, randonnée pédestre.

    Culture locale et patrimoine

    Saint-BĂ©at

    • Le chĂąteau de Saint-BĂ©at vers 1840, par EugĂšne de Malbos.
      Le chĂąteau de Saint-BĂ©at vers 1840, par EugĂšne de Malbos.
    • Le chĂąteau fort et sa chapelle.
      Le chĂąteau fort et sa chapelle.
    • L'Ă©glise Saint-BĂ©at-Saint-Privat.
      L'Ă©glise Saint-BĂ©at-Saint-Privat.
    • La chapelle Saint-Roch.
      La chapelle Saint-Roch.
    • Linteau de porte surmontĂ© d'un chrisme de la chapelle de Ladivert.
      Linteau de porte surmonté d'un chrisme de la chapelle de Ladivert.

    Lez

    • Monument aux morts.
    • Un manoir.
    • Fontaine et abreuvoir.
    • Lavoir.
    • Sculpture en marbre blanc d'une montagne oĂč un cours d'eau descend et arrose le village (les mains).
    • La brĂšche romaine.
      La brĂšche romaine.
    • La tour Ă  signaux.
      La tour Ă  signaux.
    • L'Ă©glise de l'Assomption
      L'Ă©glise de l'Assomption
    • Un manoir
      Un manoir

    À proximitĂ© :

    Personnalités liées à la commune

    La statue du maréchal Gallieni à Saint-Béat.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[12].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Notes de type "Carte "

    Références

    1. « ArrĂȘtĂ© du 30 avril 2018 portant crĂ©ation de la commune nouvelle de Saint-BĂ©at-Lez », sur haute-garonne.gouv.fr, (consultĂ© le ).
    2. Carte IGN sous GĂ©oportail
    3. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestiÚre, [lire en ligne].
    4. Vanessa Marguet, « Le tunnel de Saint-BĂ©at ouvre enfin, mais la dĂ©viation est loin d'ĂȘtre terminĂ©e », sur francebleu.fr, (consultĂ© le ).
    5. http://www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr/le-tunnel-de-st-beat-inaugure-a23997.html
    6. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    7. « Fiche communale de Saint-Béat-Lez », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    8. « Carte hydrographique de Saint-Béat-Lez » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
    9. Sandre, « la Garonne »
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    12. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    13. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    15. « Station Météo-France Mauléon-Barousse - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    16. « Orthodromie entre Saint-Béat-Lez et Mauléon-Barousse », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station Météo-France Mauléon-Barousse - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    18. « Orthodromie entre Saint-Béat-Lez et Lorp-Sentaraille », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    27. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Saint-Béat-Lez », sur Géorisques (consulté le )
    28. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    29. « Dossier départemental des risques majeurs dans la Haute-Garonne », sur www.haute-garonne.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    30. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs dans la Haute-Garonne », sur www.haute-garonne.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Risque feux de forĂȘts.
    31. « PrĂ©vention des incendies de forĂȘt en Haute-Garonne », sur www.haute-garonne.gouv.fr (consultĂ© le )
    32. « Dossier départemental des risques majeurs dans la Haute-Garonne », sur www.haute-garonne.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
    33. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    34. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Béat-Lez », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
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