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Puylaroque

Puylaroque est une commune française située dans le nord-est du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Quercy Blanc, correspondant à la partie méridionale du Quercy, devant son nom à ses calcaires lacustres du Tertiaire.

Puylaroque
Puylaroque
Mairie.
Blason de Puylaroque
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Tarn-et-Garonne
Arrondissement Montauban
Intercommunalité Communauté de communes du Quercy caussadais
Maire
Mandat
Gilles Valette
2020-2026
Code postal 82240
Code commune 82148
DĂ©mographie
Gentilé Puylaroquain
Population
municipale
689 hab. (2020 en augmentation de 1,77 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 19 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 15â€Č 06″ nord, 1° 36â€Č 41″ est
Altitude 230 m
Min. 149 m
Max. 320 m
Superficie 35,87 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montauban
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Quercy-Rouergue
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Puylaroque
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Puylaroque
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Puylaroque
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Puylaroque
Liens
Site web http://www.puylaroque.com/

    ExposĂ©e Ă  un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par la LĂšre, le CandĂ©, le ruisseau de Sietges, le ruisseau de Tourtourel et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (le « causse de Gaussou et sites proches »), un espace protĂ©gĂ© (« gĂ©oparc des causses du Quercy ») et cinq zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Puylaroque est une commune rurale qui compte 689 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu un pic de population de 2 433 habitants en 1846. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montauban. Ses habitants sont appelĂ©s les Puylaroquains ou Puylaroquaines.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Puylaroque est un village situé dans le Quercy, en limite du Lot sur la LÚre.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Belfort-du-Quercy, Belmont-Sainte-Foi, Vaylats, Caylus, Cayriech, Labastide-de-Penne, Lapenche, Lavaurette, Mouillac et Saint-Georges.

    GĂ©ologie

    Le territoire de Puylaroque est à cheval sur deux formations géologiques distinctes : le Quercy Blanc, caractérisé par des calcaires meubles d'origine tertiaire, et le causse, caractérisé par des calcaires beaucoup plus anciens d'origine jurassique (Úre secondaire). De par cette différence de sous-sol, on distingue deux formations végétales :

    1. Le Quercy Blanc, oĂč l'on note la prĂ©sence d'espĂšces vĂ©gĂ©tales particuliĂšres telles que le robinier (Robinia pseudoacacia) ou le peuplier (Populus sp.).
    2. Le causse de Limogne, est, quant Ă  lui, caractĂ©risĂ© par des formations vĂ©gĂ©tales beaucoup moins exigeantes en eau. On peut trouver le chĂȘne pubescent (Quercus pubescens), le genĂ©vrier (Juniperus sp.) ou le noyer commun (Juglans regia L.).

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Puylaroque.

    La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainĂ©e par la LĂšre, le CandĂ©, le ruisseau de Sietges, le ruisseau de Tourtourel, le Rieucros, le ruisseau de CoffiniĂ©, le ruisseau de Coumbel, le ruisseau de Madel, le ruisseau de Mouillagol, le ruisseau de Salepeyssou, le ruisseau des Frayssinades et par divers petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 38 km de longueur totale[3] - [Carte 1].

    La LĂšre, d'une longueur totale de 45,1 km, prend sa source dans la commune de Saillac et s'Ă©coule du nord-est au sud-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Aveyron Ă  Albias, aprĂšs avoir traversĂ© 14 communes[4].

    Le CandĂ©, d'une longueur totale de 18,1 km, prend sa source dans la commune de Labastide-de-Penne et s'Ă©coule du nord-est au sud-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la riviĂšre la LĂšre Ă  Caussade, aprĂšs avoir traversĂ© 7 communes[5].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 10,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 852 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[10] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[11] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Vincent », sur la commune de Saint-Vincent-d'AutĂ©jac, mise en service en 1993[12] et qui se trouve Ă  15 km Ă  vol d'oiseau[13] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 771,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[14]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et Ă  33 km[15], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,6 °C pour 1981-2010[16] Ă  14 °C pour 1991-2020[17].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[18] - [19].

    La commune est dans le pĂ©rimĂštre du « gĂ©oparc des causses du Quercy », classĂ© GĂ©oparc en mai 2017 et appartenant dĂšs lors au rĂ©seau mondial des GĂ©oparcs, soutenu par l’UNESCO[20] - [21].

    RĂ©seau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats : le « causse de Gaussou et sites proches »[23], d'une superficie de 198 ha, un ensemble de petits causses sur sol karstique, argileux du bord du plateau du Quercy blanc. Il s'agit du site Ă  orchidĂ©es le plus intĂ©ressant de Tarn-et-Garonne[24].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensĂ©es sur la commune[25] :

    • les « bois dÂŽAubrelong, vallĂ©e de la LĂšre morte et vallons annexes » (1 470 ha), couvrant 8 communes dont trois dans le Lot et cinq dans le Tarn-et-Garonne[26] ;
    • les « pelouses marno-calcaires du plateau de Belfort-de-Quercy et Labastide-de-Penne » (1 188 ha), couvrant 4 communes dont deux dans le Lot et deux dans le Tarn-et-Garonne[27] ;
    • la « vallĂ©e de Saint Symphorien » (41 ha), couvrant 4 communes du dĂ©partement[28] ;
    • la « vallĂ©e SĂšche de Mouillagol et plateau de Ganiole » (458 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[29] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 7] - [25] : le « causse de Caylus, vallĂ©e de Sietges et haute vallĂ©e de la LĂšre » (8 815 ha), couvrant 13 communes dont cinq dans le Lot et huit dans le Tarn-et-Garonne[30].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Puylaroque.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Puylaroque est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [31] - [I 1] - [32].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montauban, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (57,5 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (58,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (31,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (25,1 %), terres arables (22,6 %), prairies (9,8 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (9,7 %), zones urbanisĂ©es (1,3 %)[33].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Puylaroque est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[34]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[35].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la LĂšre et le CandĂ©. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-PyrĂ©nĂ©es rĂ©alisĂ©e dans le cadre du XIe Contrat de plan État-rĂ©gion, visant Ă  informer les citoyens et les dĂ©cideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[36]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1992, 1999 et 2001[37] - [34].

    Puylaroque est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt du fait de la prĂ©sence sur son territoire . Le dĂ©partement de Tarn-et-Garonne prĂ©sentant toutefois globalement un niveau d’alĂ©a moyen Ă  faible trĂšs localisĂ©, aucun Plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les risques d’incendie de forĂȘt (PFCIF) n'a Ă©tĂ© Ă©laborĂ©. Le dĂ©broussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 10] - [38].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Puylaroque.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[39].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 68 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (92 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 541 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 476 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 88 %, Ă  comparer aux 96 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[40] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[41].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 2002, 2011, 2017 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[34].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[42].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1790 1791 Antonin Tressens
    1791 1792 Louis Lacassagne
    1792 1795 Jean Rescoussié
    1795 1796 Jean Bastide
    1796 1797 Joseph Capin
    1797 1798 Pierre Rescoussié
    1798 1800 Jean Andrieu
    1800 1804 Joseph Capin
    1804 1815 Joseph Latreilhe
    1815 1817 Pierre Louis Labarthe-Pradal
    1817 1826 Jean Jacques Louis Capin
    1826 1830 Pierre Louis Labarthe-Pradal
    1830 1834 Melchior Louis Tressens
    1834 1834 Guillaume Laroque
    1834 1837 Guillaume Joseph Capin
    1837 1848 Jean Pierre Joseph Marie Capin
    1848 1852 Jean Pierre Breil
    1852 1857 Joseph Caudesaigues
    1857 1870 Jean-Etienne Caudesaigues
    1870 1873 Jean Louis Melchior Bastide
    1873 1877 Jean-Etienne Caudesaigues
    1877 1878 Pierre Murat
    1878 1892 Urbain Hippolyte Sers
    1892 1924 Marie Charles Louis EugĂšne Capin
    1924 1925 Louis Laporte
    1925 1929 Gabriel Andrieu
    1929 1942 Guillaume Laurent Loupiac
    1942 1944 Jean Marie Cavaillé
    1944 1945 Jean Freycinet
    1945 1965 Angély Jean Canihac
    1965 1983 Ismaël Louis Pierre BessiÚres
    1983 1989 Frédéric Diemer
    1989 2008 Julien Courdesses
    2008 2014 Pierre Birmes
    2014 En cours Gilles Valette
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Cutting (Moselle).

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[44].

    En 2020, la commune comptait 689 habitants[Note 11], en augmentation de 1,77 % par rapport Ă  2014 (Tarn-et-Garonne : +3,86 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 0801 6922 0952 0892 1252 3272 3412 4332 354
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 2852 2182 1652 0722 0371 9431 8541 7521 566
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5511 5331 305991928821795809737
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    686629606614580576638656670
    2018 2020 - - - - - - -
    701689-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee Ă  partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 330 mĂ©nages fiscaux[Note 12], regroupant 690 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 18 390 â‚Ź[I 4] (20 140 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 5]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 6]10,3 %8,8 %13,5 %
    DĂ©partement[I 7]8,4 %10,2 %10,3 %
    France entiĂšre[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  407 personnes, parmi lesquelles on compte 75,2 % d'actifs (61,7 % ayant un emploi et 13,5 % de chĂŽmeurs) et 24,8 % d'inactifs[Note 13] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montauban, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 4] - [I 9]. Elle compte 115 emplois en 2018, contre 131 en 2013 et 132 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 255, soit un indicateur de concentration d'emploi de 45,3 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 52,6 %[I 10].

    Sur ces 255 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 81 travaillent dans la commune, soit 32 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 82,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,2 % les transports en commun, 7,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    66 établissements[Note 14] sont implantés à Puylaroque au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 15] - [I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble66100 %(100 %)
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    710,6 %(9,6 %)
    Construction1522,7 %(14,9 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    1522,7 %(29,7 %)
    Information et communication23 %(1,9 %)
    Activités financiÚres et d'assurance11,5 %(3,4 %)
    Activités immobiliÚres34,5 %(3,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    57,6 %(14,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    1218,2 %(13,6 %)
    Autres activités de services69,1 %(9,3 %)

    Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 22,7 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (15 sur les 66 entreprises implantĂ©es Ă  Puylaroque), contre 29,7 % au niveau dĂ©partemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    Les deux entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[47] :

    • Pharmacie Du Trebuchet, commerce de dĂ©tail de produits pharmaceutiques en magasin spĂ©cialisĂ© (953 k€)
    • EURL LRF, production d'Ă©lectricitĂ© (147 k€)

    Agriculture

    La commune est dans les Causses du Quercy, une petite région agricole située dans l'est du département de Tarn-et-Garonne[48]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 16] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

    1988200020102020
    Exploitations58362932
    SAU[Note 17] (ha)1 5131 5411 2411 126

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 58 lors du recensement agricole de 1988[Note 18] Ă  36 en 2000 puis Ă  29 en 2010[50] et enfin Ă  32 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 45 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 57 % de ses exploitations[51] - [Carte 7]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 1 513 ha en 1988 Ă  1 126 ha en 2020[Carte 8]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 26 Ă  35 ha[50].

    Vie pratique

    Enseignement

    École primaire Jean Moulin (80 Ă©lĂšves)[52].

    Santé

    Une pharmacie, un médecin, des infirmiÚres, une kinésithérapeute.

    Culture

    Une médiathÚque et un grand choix d'associations.

    Services

    Des commerçants, un bureau de poste.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Architecture sacrée

    Architecture civile

    • Plusieurs maisons gothiques.
    • ChĂąteau d'eau de la fin du XIXe dĂ©but XXe siĂšcle appelĂ© « Pech Calem »[55]. Ce chĂąteau d'eau est toujours en service de nos jours : il alimente Puylaroque en eau potable depuis les nappes aquifĂšres situĂ©es dans le sous-sol calcaire.
    • L'ancienne gendarmerie de Puylaroque, situĂ©e au cƓur du village, est aujourd'hui une propriĂ©tĂ© privĂ©e. La façade a Ă©tĂ© recrĂ©pie en 2006 grĂące Ă  un enduit Ă  la chaux, afin de protĂ©ger les pierres utilisĂ©es pour la construction de la bĂątisse originelle. Au XIXe siĂšcle, la maison Ă©tait une gendarmerie (crĂ©ation de la maison vers 1870). On peut encore distinguer les diffĂ©rentes parties de la maison (Ă©curies, bĂątiment principal destinĂ© Ă  l'administration). Enfin, la maison a Ă©tĂ© une boucherie-charcuterie jusqu'au milieu des annĂ©es 1980, dont la vitrine a Ă©tĂ© dĂ©molie lors de la rĂ©fection de la façade en 2006.


    • Église Saint-Jacques
      Église Saint-Jacques
    • La citadelle
      La citadelle
    • Chapelle Saint-Symphorien
      Chapelle Saint-Symphorien

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Puylaroque Blason
    D'azur au puits d'argent, maçonné de sable, posé sur une roche aussi d'argent.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Louis Razoua, Notes et documents pour servir Ă  l'histoire civile et religieuse de Puylaroque, ForestiĂ©, 1883.
    • Jackye VaĂŻsse, Le XXe siĂšcle Ă  Puylaroque : Chronique d'un village du Tarn et Garonne, Lys Editions Amatteis, 2009.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[8].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[9].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[22].
    6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Le principe d’un dĂ©broussaillement efficace consiste Ă  couper et Ă©liminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sĂšches 50 mĂštres autour des habitations et 2 mĂštres de part et d’autre des voies, Ă©laguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situĂ©s dans la zone Ă  dĂ©broussailler pour Ă©viter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, Ă©liminer les arbustes sous les grands arbres pour Ă©viter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se dĂ©barrasser des vĂ©gĂ©taux coupĂ©s par compostage, par Ă©vacuation en dĂ©charge autorisĂ©e ou par incinĂ©ration en respectant la rĂ©glementation sur le brĂ»lage et entretenir rĂ©guliĂšrement la zone dĂ©broussaillĂ©e, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans Ă  proximitĂ© de l’habitation
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    12. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    13. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    14. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    15. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    16. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    17. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    18. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[49].
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Puylaroque » sur Géoportail (consulté le 1 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montauban » (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Puylaroque » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Puylaroque » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Puylaroque » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Puylaroque » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    3. « Fiche communale de Puylaroque », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    4. Sandre, « la LÚre »
    5. Sandre, « le Candé »
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    9. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    10. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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    16. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    22. Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
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    43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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    45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    47. « Entreprises à Puylaroque », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
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    50. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Puylaroque - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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    52. « École primaire Jean Moulin », sur MinistĂšre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse.
    53. « Eglise Saint-Jacques », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    54. « Chapelle Saint-Symphorien », notice no PA00095854, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    55. Pech est un terme occitan issu du latin podium qui signifie hauteur ; la traduction littérale étant puy.
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