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Belfort-du-Quercy

Belfort-du-Quercy est une commune française située dans le sud du département du Lot en région Occitanie.

Notre-Dame-de-la-Figouze vue depuis la rue du ChĂąteau.
Belfort-du-Quercy
Belfort-du-Quercy
Vue panoramique de Belfort du Quercy.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Lot
Arrondissement Cahors
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Lalbenque-Limogne
Maire
Mandat
Francis Figeac
2020-2026
Code postal 46230
Code commune 46023
DĂ©mographie
Population
municipale
515 hab. (2020 en augmentation de 3 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 14 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 16â€Č 09″ nord, 1° 32â€Č 37″ est
Altitude 239 m
Min. 153 m
Max. 307 m
Superficie 36,19 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton des Marches du Sud-Quercy
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Belfort-du-Quercy
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Belfort-du-Quercy

    Belfort-du-Quercy est une commune rurale qui compte 515 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu un pic de population de 2 285 habitants en 1793. Ses habitants sont appelĂ©s les Belfortois ou Belfortoises.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Commune du Quercy situĂ©e dans le parc naturel rĂ©gional des Causses du Quercy, limitrophe du dĂ©partement de Tarn-et-Garonne. Elle est au sud de Cahors et au nord de Caussade. Elle est Ă©galement dans le causse de Limogne, un des quatre causses du Quercy, dĂ©nudĂ© et clairsemĂ© de champs de lavande, de genĂ©vriers et de chĂȘnes truffiers.

    ExposĂ©e Ă  un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par le Lemboulas, le ruisseau de Dourre, le ruisseau de Glaich, le ruisseau de LĂ©ourĂ© et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel rĂ©gional des Causses du Quercy, la commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « serres de Labastide-de-Penne et de Belfort-du-Quercy »), un espace protĂ©gĂ© (le « gĂ©oparc des causses du Quercy ») et deux zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique. Les communes limitrophes sont Cahors, Labastide-de-Penne, Lapenche, Montalzat, Montpezat-de-Quercy, Puylaroque, Lalbenque et Montdoumerc.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 10 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 851 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 9,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Vincent », sur la commune de Saint-Vincent-d'AutĂ©jac, mise en service en 1993[7] et qui se trouve Ă  13 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 771,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, dans le dĂ©partement de Tarn-et-Garonne, mise en service en 1885 et Ă  32 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,6 °C pour 1981-2010[11] Ă  14 °C pour 1991-2020[12].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[13] - [14].

    La commune fait ainsi partie du parc naturel rĂ©gional des Causses du Quercy, un espace protĂ©gĂ© crĂ©Ă© en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'Ă©tend sur 102 communes du dĂ©partement du Lot[15]. La cohĂ©rence du territoire du Parc s’est fondĂ©e sur l’unitĂ© gĂ©ologique d’un mĂȘme socle de massif karstique, entaillĂ© de profondes vallĂ©es. Le pĂ©rimĂštre repose sur une unitĂ© de paysages autour de la pierre et du bĂąti (souvent en pierre sĂšche), de l’empreinte des pelouses sĂšches et du pastoralisme et de l’omniprĂ©sence des patrimoines naturels et culturels[16] - [17]. Ce parc a Ă©tĂ© classĂ© GĂ©oparc en mai 2017 sous la dĂ©nomination « gĂ©oparc des causses du Quercy, faisant dĂšs lors partie du RĂ©seau mondial des GĂ©oparcs, soutenu par l’UNESCO[18] - [19] ;

    RĂ©seau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats : les « serres de Labastide-de-Penne et de Belfort-du-Quercy »[21], d'une superficie de 616 ha, abritant une flore d'orchidĂ©es globalement diversifiĂ©e et abondante comptant au moins 30 espĂšces, dont 20 participant aux Brometalia, parmi lesquelles Ophrys lutea, Serapias vomeracea, Spiranthes spiralis. Une riche entomofaune comprenant, outre Euphydryas aurinia, diverses espĂšces mĂ©diterranĂ©ennes tels le criquet Omocestus raymondi et les papillons Anthocharis belia, Ă©galement bien rĂ©pandue sur le site[22].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensĂ©es sur la commune[23] : les « pelouses marno-calcaires du plateau de Belfort-de-Quercy et Labastide-de-Penne » (1 188 ha), couvrant 4 communes dont deux dans le Lot et deux dans le Tarn-et-Garonne[24] et le « ruisseau du Lemboulas et ruisseaux affluents » (1 311 ha), couvrant 9 communes dont six dans le Lot et trois dans le Tarn-et-Garonne[25].

    Urbanisme

    Typologie

    Belfort-du-Quercy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [26] - [I 1] - [27]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (93,8 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (84 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (57,1 %), terres arables (25,4 %), prairies (10,3 %), forĂȘts (4,2 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (2 %), cultures permanentes (1 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Belfort-du-Quercy est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[29]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[30].

    Risques naturels

    Belfort-du-Quercy est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies a Ă©tĂ© approuvĂ© par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral le pour la pĂ©riode 2015-2025. Les propriĂ©taires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mĂštres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situĂ©es Ă  moins de 200 mĂštres de terrains en nature de bois, forĂȘts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brĂ»lage des dĂ©chets issus de l’entretien des parcs et jardins des mĂ©nages et des collectivitĂ©s est interdit. L’écobuage est Ă©galement interdit, ainsi que les feux de type mĂ©chouis et barbecues, Ă  l’exception de ceux prĂ©vus dans des installations fixes (non situĂ©es sous couvert d'arbres) constituant une dĂ©pendance d'habitation[31].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Belfort-du-Quercy.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines), des Ă©boulements, chutes de pierres et de blocs, des glissements de terrain et des tassements diffĂ©rentiels[32]. Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[33].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 83,2 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,7 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 317 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 235 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 74 %, Ă  comparer aux 72 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[34] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[33].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2009, 2011, 2012 et 2015 et par des mouvements de terrain en 1999[29].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par une ligne de chemin de fer et une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[35].

    Toponymie

    Le toponyme Belfort Ă  une origine romane composĂ©e de bĂšl et de fĂČrt qui dĂ©signent souvent un chĂąteau fort[36].

    Histoire

    Au décÚs de Jean-Hector de Roquefeuil, baron de Belfort, sa veuve et héritiÚre bénéficiaire, Catherine de La Tour fit vente à Mr de Maraval de deux hommages, justice et rentes dépendant de sa succession (contrat du 3 juillet 1625). Cette vente fut contestée par le fils du baron à sa majorité (procÚs en 1656).

    Seconde Guerre mondiale voir :

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[37]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1792 1802 Jean-louis Coars
    1802 1806 Pierre Soupa
    1806 1815 Jean-baptiste Reilhe
    1815 1824 Alexandre Sicard
    1824 1830 Antoine Sicard
    1830 1835 Antoine Caminel
    1835 1848 Antoine Sicard
    1848 1848 Pierre Deilhes
    1848 1856 Jean-pierre Canihac
    1856 1870 Antoine Sicard
    1871 1874 Alexandre Sicard
    1874 1876 Antoine Caminel
    1876 1894 Alexandre Sicard
    1895 10.10.1895 Guillaume Vaysset
    1895 1919 Antoine Caminel
    1919 1925 LĂ©on Canihac
    1925 1936 Joseph Planchou
    1936 1947 Blaise Grimal
    1947 1965 Paul Lacassagne
    1965 1983 Raymond Cantelorp
    1983 2008 Raymond Lacan PS Conseiller général
    2008 2014 Alain Viet[38] PRG enseignant/retraité
    2014 2020 Claude Verines DVG Retraité agricole
    2020 en cours Francis Figeac Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[40]. En 2020, la commune comptait 515 habitants[Note 7], en augmentation de 3 % par rapport Ă  2014 (Lot : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 2851 5391 5651 5901 5731 6641 6561 6501 600
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5561 5301 4711 3961 3961 3351 2571 1801 135
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0831 058926731726705661564549
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    541519483441458464513520508
    2017 2020 - - - - - - -
    516515-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee Ă  partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 212 mĂ©nages fiscaux[Note 8], regroupant 475 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 18 570 â‚Ź[I 4] (20 740 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 5]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 6]5,4 %7,2 %7,8 %
    DĂ©partement[I 7]7,3 %8,9 %9,6 %
    France entiĂšre[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  295 personnes, parmi lesquelles on compte 70,5 % d'actifs (62,7 % ayant un emploi et 7,8 % de chĂŽmeurs) et 29,5 % d'inactifs[Note 9] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 130 emplois en 2018, contre 153 en 2013 et 136 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 191, soit un indicateur de concentration d'emploi de 68,3 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 48,7 %[I 10].

    Sur ces 191 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 72 travaillent dans la commune, soit 38 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 74,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1 % les transports en commun, 10,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 13,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    43 établissements[Note 10] sont implantés à Belfort-du-Quercy au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11] - [I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble43
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    1227,9 %(14 %)
    Construction716,3 %(13,9 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    716,3 %(29,9 %)
    Activités financiÚres et d'assurance24,7 %(2,8 %)
    Activités immobiliÚres511,6 %(3,5 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    511,6 %(13,5 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    12,3 %(12 %)
    Autres activités de services49,3 %(8,7 %)

    Le secteur de l'industrie manufacturiĂšre, des industries extractives et autres est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 27,9 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (12 sur les 43 entreprises implantĂ©es Ă  Belfort-du-Quercy), contre 14 % au niveau dĂ©partemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    Les deux entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[43] :

    • La Pinede, commerce de gros (commerce interentreprises) de fruits et lĂ©gumes (9 508 k€)
    • Boissel Habitat, activitĂ©s des sociĂ©tĂ©s holding (k€)

    Agriculture

    La commune est dans le Quercy Blanc », une petite région agricole couvrant une partie du sud-ouestdu département du Lot[44]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations71644441
    SAU[Note 13] (ha)2 1362 7162 4182 431

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 71 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] Ă  64 en 2000 puis Ă  44 en 2010[46] et enfin Ă  41 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 42 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 60 % de ses exploitations[47] - [Carte 6]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune est restĂ©e relativement stable, passant de 2136 ha en 1988 Ă  2431 ha en 2020[Carte 7]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 30 Ă  59 ha[46]. Cependant plusieurs Ă©levages canins dont le cĂ©lĂšbre Pech du Cayrol (Chiens truffiers Lagotto Romagnolo) et la cynophilie en gĂ©nĂ©ral portent haut Ă  l’international les couleurs de la commune.

    Lieux et Monuments

    • Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Belfort-du-Quercy, Bourg. L'Ă©difice est rĂ©fĂ©rencĂ© dans la base MĂ©rimĂ©e et Ă  l'Inventaire gĂ©nĂ©ral RĂ©gion Occitanie[48].
    • Église Saint-GeniĂšs de Saint-GeniĂšs, sise au lieu-dit Saint-GeniĂšs ou Saint-GeniĂšs-de-la-Milhau. L'Ă©difice est rĂ©fĂ©rencĂ© dans la base MĂ©rimĂ©e et Ă  l'Inventaire gĂ©nĂ©ral RĂ©gion Occitanie[49].
    • Chapelle Saint-Jean-des-Arades.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Belfort-du-Quercy » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Belfort-du-Quercy » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Belfort-du-Quercy » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
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    Autres sources

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    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[20].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[45].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

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