Lavande
Lavandula (les lavandes) est un genre de plantes de la famille des Lamiaceae[1] - [2], anciennement nommées Labiées.
Lavandula
RĂšgne | Plantae |
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Sous-rĂšgne | Tracheobionta |
Division | Magnoliophyta |
Classe | Magnoliopsida |
Sous-classe | Asteridae |
Ordre | Lamiales |
Famille | Lamiaceae |
Classification phylogénétique
EspÚces de rang inférieur
- Lavandula angustifolia
- Lavandula latifolia
- Lavandula intermedia
- Lavandula stoechas
- etc.
Ce sont des arbrisseaux dicotylĂ©dones, Ă fleurs le plus souvent mauves ou violettes disposĂ©es en Ă©pis, dont la plupart des espĂšces trĂšs odorantes, sont largement utilisĂ©es dans toutes les branches de la parfumerie, en particulier le lavandin (Lavandula Ăintermedia). Elles poussent surtout sur les sols calcaires secs et ensoleillĂ©s, Ă l'exception de Lavandula stoechas, qui prĂ©fĂšre les sols siliceux.
Toutes les lavandes sont des plantes mellifÚres, c'est-à -dire trÚs recherchées par les abeilles.
Historique
Venue de l'ouest du bassin mĂ©diterranĂ©en, la lavande Ă©tait dĂ©jĂ utilisĂ©e par les Romains pour conserver le linge et parfumer les bains. En Provence, la lavande fut utilisĂ©e au Moyen Ăge, pour la composition de parfums et de mĂ©dicaments, mais c'est Ă partir du XIXe siĂšcle que sa culture se dĂ©veloppa.
Ce genre botanique a été décrit pour la premiÚre fois en 1753 par le naturaliste suédois Carl von Linné (1707-1778).
L'essor de la production française d'huile essentielle de lavande est lié à l'implantation de parfumeries dans la région de Grasse. La mise en culture organisée systématique du lavandin, dans les années 1950, prit ensuite le relais.
La culture de la lavande du Quercy apparut également sur les derniers versants du sud-ouest du Massif central avant 1936 à Roquecor en Tarn-et-Garonne[3]. Celle-ci atteignit son apogée dans les années 1950 et 1960, et seuls quelques cultivateurs perpétuent encore cette tradition.
AprÚs plusieurs crises qui entraßnÚrent la chute de la production et une régression des cultures, les plantations furent relancées par la stabilisation des surfaces à cultiver et le développement des moyens de distillation.
De nos jours, la plus grande fĂȘte consacrĂ©e Ă la lavande en France est cĂ©lĂ©brĂ©e depuis prĂšs de 70 ans Ă l'occasion du « Corso de la Lavande » Ă Digne-les-Bains et s'achĂšve par un dĂ©filĂ© de chars dĂ©corĂ©s de lavande.
Le phytoplasme du Stolbur a détruit 50 % de la récolte française d'huile essentielle de lavande entre 2005 et 2010, la réduisant à environ 30 tonnes en 2011. La Bulgarie avec une production de 45 tonnes en 2010 et entre 55 et 60 tonnes en 2011 est devenue le premier producteur mondial de lavande devant la France. Les deux pays fournissent les trois quarts de la production internationale et entre 80 % et 90 % de l'huile essentielle de lavande bulgare est vendue en France[4]. En 2017, La Bulgarie est toujours en premiÚre position, avec 187 tonnes, tandis que la France produisait 120 tonnes.
Il existe un musée de la lavande en ArdÚche méridionale, dans le village de Saint-RemÚze, et un autre à Coustellet dans le Luberon.
La Chine cultive naturellement la lavande dans le bassin supérieur du Fleuve Jaune depuis la fin du XVe siÚcle.
Répartition géographique
Les pratiques de culture des lavandes dans les Alpes-de-Haute-Provence *
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RĂ©colte de la lavande, sur le plateau d'Albion. | ||
Domaine | Savoir-faire | |
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Lieu d'inventaire | Alpes-de-Haute-Provence | |
* Descriptif officiel MinistĂšre de la Culture (France) | ||
Anciennement, les lavandes poussaient en Provence et dans quelques pays du bassin mĂ©diterranĂ©en, puis la culture sâest rĂ©pandue en Europe de lâEst (Bulgarie, Russie, UkraineâŠ) et mĂȘme en Tasmanie ou encore au Canada oĂč des plants mutĂ©s peuvent maintenant rĂ©sister au gel.
Les lavandes « vraies » poussent Ă partir de 1200 mĂštres, sur les versants ensoleillĂ©s des montagnes. La qualitĂ© des lavandes est rĂ©putĂ©e augmenter avec lâaltitude. Le lavandin, une lavande hybride entre lavande vraie et lavande aspic est produite notamment Ă Sault, et elle est la principale activitĂ© agricole de cette zone du Vaucluse, on la retrouve en DrĂŽme provençale oĂč elle est trĂšs bien reprĂ©sentĂ©e et Ă©galement dans le Diois dans les villages comme Chamaloc (production la plus au Nord de lavande) oĂč se trouve la distillerie des 4 vallĂ©es. La lavande est Ă©galement produite dans le sud du dĂ©partement des Hautes Alpes dans le BuĂ«ch dans des villages comme la Faurie qui possĂšde Ă©galement une distillerie et dans d'autres villages comme Ribiers et Orpierre. Les pratiques de culture des lavandes dans les Alpes-de-Haute-Provence ont Ă©tĂ© inscrites Ă l'inventaire du patrimoine culturel immatĂ©riel en France en 2018.
Des expĂ©riences ont Ă©tĂ© Ă©galement menĂ©es en Quercy en 1936, oĂč la culture de la lavande de population s'est implantĂ©e et dĂ©veloppĂ©e dans le Lot et le Tarn-et-Garonne. L'ouvrage Les petites industries d'un dĂ©partement agricole rĂ©digĂ© par AndrĂ© Pueyo (Ă©ditions ForestiĂ© Ă Montauban) reprit en 1946 l'historique de son dĂ©veloppement pour relancer l'Ă©conomie dĂ©partementale de l'aprĂšs-guerre. Ainsi, des agriculteurs et des distillateurs produisirent la lavande du Quercy jusque dans les annĂ©es 1970. Cette activitĂ© renaĂźt progressivement depuis le milieu des annĂ©es 2000, grĂące au travail de producteurs locaux.
La lavande aspic, par contre, est rĂ©coltĂ©e dans le bassin mĂ©diterranĂ©en entre 0 et 600 m dâaltitude.
Les lavandes du groupe stoechas se développent sur tout son pourtour, notamment en Andalousie et dans la partie sud du Portugal.
Les lavandins sont les lavandes les plus cultivĂ©es (historiquement de 800 Ă 1 000 tonnes dâessence par an en France) et les plus rĂ©pandues, car ils sont les plus rĂ©sistants. Ils se dĂ©veloppent spontanĂ©ment dans le sud de la France. Cependant, on observe un dĂ©pĂ©rissement de deux variĂ©tĂ©s de lavandins, l'abrial[6] et le sumian[7], qui sont en voie de disparition.
RĂ©colte de la lavande
La rĂ©colte de la lavande se fait avant l'ouverture de la fleur de fin juillet Ă fin aoĂ»t, pour les lavandes « vraies ». Ă part lâaspic et la lavande « vraie » qui sont sauvages, les plantes sont gĂ©nĂ©ralement cultivĂ©es. Il existe cependant quelques distillations de lavandes sauvages de montagne, vĂ©ritable lavande « vraie », destinĂ©es Ă lâaromathĂ©rapie et les quantitĂ©s en sont trĂšs limitĂ©es. La rĂ©colte a lieu en Ă©tĂ©, car les fortes chaleurs favorisent la montĂ©e de lâessence dans les cellules et les glandes sĂ©crĂ©trices de la fleur. Les brins sont plus odorifĂ©rants s'ils sont cueillis juste avant l'ouverture des fleurs. AprĂšs, l'essentiel de l'arĂŽme se perd.
Les lavandes du groupe stoechas sont plus prĂ©coces : elles sont rĂ©coltĂ©es de mars Ă mai Ă lâĂ©tat sauvage, mais elles sont plus rarement exploitĂ©es. Pour les cultures, la rĂ©colte sâeffectue mĂ©caniquement, sauf pour les bouquets qui sont coupĂ©s manuellement Ă la faucille.
Les lavandes clonales (issues dâun individu et multipliĂ©es par bouturage) arrivent Ă maturitĂ© en mĂȘme temps, contrairement aux lavandes de population (non clonales) qui ne mĂ»rissent pas de façon homogĂšne, car chaque plante est un individu diffĂ©rent de son voisin. Les lavandes clonĂ©es sont plus susceptibles d'ĂȘtre massivement attaquĂ©es par des insectes ravageurs. Hormis quelques espĂšces, dont le chrysomĂšle de la lavande (ou du romarin), Chrysolina americana, la lavande a peu de prĂ©dateurs, en raison de sa teneur en substances rĂ©pulsives.
Lâhuile essentielle serait de meilleure qualitĂ© en altitude, mais le rendement y est plus faible, et lâaltitude augmente la teneur en esters.
Production de lâhuile essentielle
Il existe deux procĂ©dĂ©s principaux de production dâhuile essentielle de lavande :
- La distillation traditionnelle : la rĂ©colte doit subir un temps de sĂ©chage, avant distillation, afin de perdre lâexcĂšs dâeau. Un prĂ©fanage dâenviron un ou deux jours est indispensable pour la lavande fine, il Ă©vite de modifier la qualitĂ© des huiles essentielles qui sont obtenues par entraĂźnement Ă la vapeur dâeau des sommitĂ©s fleuries. On fait circuler un courant de vapeur dâeau dans la lavande coupĂ©e et bien tassĂ©e (temps de distillation relativement court, 30 Ă 45 min).
- La distillation en « vert broyĂ© » : qui depuis 1990 sâest dĂ©veloppĂ©e pour amĂ©liorer la productivitĂ© de la rĂ©colte (de lavandin surtout). SitĂŽt cueilli, le vĂ©gĂ©tal est hachĂ© Ă lâaide dâune ensileuse et il est placĂ© au fur et Ă mesure, sans sĂ©chage prĂ©alable, dans une benne ou caisson mobile de distillation qui sera directement montĂ© sur chaudiĂšre. Le fait de distiller broyĂ© modifiant la qualitĂ©, cette technique nâest pas adaptĂ©e pour obtenir une huile essentielle de lavande aux normes AOC. De façon gĂ©nĂ©rale, les qualitĂ©s ensilĂ©es auront des teneurs en alcools qui augmentent alors que celles en esters diminuent (phĂ©nomĂšnes dâhydrolyse), elles ont une odeur plus verte, peu apprĂ©ciĂ©e des parfumeurs. Des Ă©tudes sont faites pour amĂ©liorer les qualitĂ©s ensilĂ©es et aider les producteurs dans ce sens.
A noter qu'une nouvelle technique de récolte a fait son apparition depuis 2015. Il s'agit de ne récolter plus que les fleurs, les tiges sont broyées et restituées au sol. Cette technique de récolte est réalisable avec une machine spéciale, appelée Espieur, dont le principe est de peigner les plantes. Ceci a pour conséquence de réduire le volume de transport et l'énergie utilisée à la distillation. La qualité de l'huile est également modifiée, avec une odeur moins herbacée.
Les rendements en huile essentielle de lavande sont trĂšs variables selon les rĂ©gions, le climat, lâannĂ©e, lâĂąge de la plantation et la variĂ©tĂ© : ils sont dâenviron 15 kg par hectare, 25 Ă 50 kg pour les lavandes clonales, 80 kg pour le lavandin en zone de montagne sĂšche, prĂšs du double en plaine (jusquâĂ 180 kg).
Les rendements massiques de production dâhuile essentielle (rapport de la masse dâessence obtenue par la masse de plante distillĂ©e) sont les suivants :
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Les lavandins ont un meilleur rendement, car leurs fleurs sont plus développées, et plus productrices en huile essentielle. Leur essence, de bonne qualité olfactive (notamment celle obtenue par distillation traditionnelle), est plus camphrée que celle de la lavande.
Utilisations de la lavande
Parfumerie
Le mot lavande est un dĂ©rivĂ© du verbe laver, peut-ĂȘtre issu de l'italien lavando (action de laver), et qui remonte au latin lavandaria : linge Ă laver, sans doute Ă l'origine de l'anglais lavender (lavendre vers 1265). Cette Ă©tymologie laisse penser que trĂšs tĂŽt on a utilisĂ© la lavande pour parfumer le linge fraĂźchement lavĂ©. Des sachets de fleurs sĂ©chĂ©es sont traditionnellement placĂ©s dans les armoires, pour Ă©loigner les mites et parfumer la garde-robe.
Les fleurs de lavande, séchées, sont trÚs résistantes et conservent leurs arÎmes trÚs longtemps. Un autre usage trÚs ancien est celui de mettre de la lavande dans l'eau du bain pour son parfum et ses propriétés antiseptiques et calmantes.
L'essence de lavande contient des composants différents selon les espÚces (voir ci-dessous). On l'obtient traditionnellement par distillation des sommités florales. Au XIXe siÚcle et au début du XXe siÚcle, la Provence était parsemée de petites distilleries familiales, qui ont peu à peu toutes disparu, victimes de crises de mévente et de l'industrialisation de la production.
C'est bien sĂ»r la parfumerie qui fait le plus gros usage de la lavande. On peut tout parfumer avec elle, depuis les savonnettes jusqu'aux dĂ©tergents et au papier hygiĂ©nique. Dans les parfums proprement dits, la lavande est surtout rĂ©servĂ©e aux hommes, soit en soliflore dans les eaux de toilette, soit en note de cĆur dans les eaux de Cologne.
La lavande sert aussi Ă parfumer les salles de la maison : on les cueille et on les met dans des sachets qu'on accroche dans les chambres.
Propriétés médicinales
L'essence de lavande contient des composants diffĂ©rents selon les espĂšces, et on y trouve le plus souvent de l'acĂ©tate de linalyle, du linalol, du cinĂ©ol, du bĂ©ta-caryophyllĂšne, du ÎČ-ocimĂšne, de l'acĂ©tate de lavandulyle, du terpinen-4-ol, du ÎČ-ocimĂšne, du ÎČ-farnĂ©sĂšne et du borneol[8].
La lavande a des propriétés antidépressives[9], antispasmodiques, sédatives et diurétiques[10]. L'huile essentielle de lavande est recommandée par Santé Magazine, pour favoriser la décontraction musculaire[11]. Elle augmente le taux sanguin de mélatonine[12].
Depuis trĂšs longtemps, on prĂȘte des vertus cicatrisantes[13] et antiseptiques Ă la lavande[14] et sainte Hildegarde la conseillait comme cicatrisant. On lui trouvait des propriĂ©tĂ©s antivenimeuses et en cas de morsure de vipĂšre, on frottait la plaie avec une poignĂ©e de lavande (ceci pourrait expliquer le nom de la lavande aspic). La plante est trĂšs utilisĂ©e pour combattre les mites et les poux[15].
En phytothĂ©rapie, on la recommande pour combattre l'anxiĂ©tĂ©[16] - [17], la nervositĂ© et les insomnies[18] - [19], ainsi que pour soulager les rhumatismes et soigner les infections des voies respiratoires. Elle peut ĂȘtre prise en infusion, en poudre (gĂ©lules), sous forme d'huile essentielle ou d'alcoolat, pour les frictions.
L'huile essentielle de lavande est antiseptique et bactéricide[20]. Appliquée pure sur la peau elle soulagerait les brûlures et les piqûres d'insectes. Appliquée sur les tempes, elle soulagerait les douleurs migraineuses. La variété latifolia aurait un effet apaisant lors de crises de dermatite atopique (eczéma)[21].
L'hydrolat de lavande serait sédatif, antalgique, anti-inflammatoire, répulsif et cicatrisant[22].
Utilisation culinaire
On peut faire infuser des fleurs de lavande dans du lait, utilisĂ© ensuite pour la prĂ©paration de glace ou de crĂšme Ă la lavande. Les infusions de lavandes calment la nervositĂ© et peuvent soulager certains maux de tĂȘte[23]. Dans certaines rĂ©gions du Maghreb (AlgĂ©rie), Lavandula stoechas est utilisĂ©e dans quelques prĂ©parations culinaires, dont le couscous.
Les brins sont aussi utilisés dans les vallées (notamment celle de l'Estéron, prÚs de Nice), afin de confectionner une liqueur particuliÚrement forte en bouche, dont on dit qu'elle a des vertus antiseptiques, digestives et calmantes.
Ennemis
Rares sont les espÚces d'insectes qui attaquent les plantes aussi bien protégées par leurs huiles essentielles que la lavande ; la chrysomÚle de la lavande (ou du romarin), Chrysolina americana, en fait partie.
Actuellement (2013), le principal ennemi de la lavande est le phytoplasme du stolbur, dont le vecteur est Hyalesthes obsoletus (Cixiidae). Cette maladie est appelée communément « dépérissement de la lavande ». L'autre ravageur important de la lavande est la cécidomyie (Resseliella lavandulae), dont les larves se développant sous l'écorce provoquent également des symptÎmes de dépérissement[24].
D'autres ravageurs peuvent provoquer des dégùts importants (Arima marginata, crachat de coucou, punaise de la lavande, noctuelles, tordeuses, chenilles arpenteuses, pucerons).
Classification
Liste des espĂšces
Selon GRIN (6 juillet 2015)[25] :
- Lavandula Ăallardii Hy
- Lavandula angustifolia Mill. - la Lavande officinale[26] ou lavande vraie[2]
- Lavandula antineae Maire
- Lavandula aristibracteata A. G. Mill.
- Lavandula atriplicifolia Benth.
- Lavandula bipinnata (Roth) Kuntze
- Lavandula bramwellii Upson & S. Andrews
- Lavandula buchii Webb & Berthel.
- Lavandula Ăcadevallii Sennen
- Lavandula canariensis Mill.
- Lavandula Ăchaytoriae Upson & S. Andrews
- Lavandula citriodora A. G. Mill.
- Lavandula coronopifolia Poir.
- Lavandula dentata L.
- Lavandula dhofarensis A. G. Mill.
- Lavandula erythraeae (Chiov.) Cufod.
- Lavandula galgalloensis A. G. Mill.
- Lavandula gibsonii J. Graham
- Lavandula hasikensis A. G. Mill.
- Lavandula Ăintermedia Emeric ex Loisel. - le Lavandin[26]
- Lavandula lanata Boiss.
- Lavandula latifolia Medik. - la Lavande Ă larges feuilles[26] ou lavande aspic]][2]
- Lavandula Ălimae Rozeira
- Lavandula macra Baker
- Lavandula mairei Humbert
- Lavandula maroccana Murb.
- Lavandula minutolii Bolle
- Lavandula multifida L.
- Lavandula nimmoi Benth.
- Lavandula pedunculata (Mill.) Cav.
- Lavandula pinnata L. f.
- Lavandula pubescens Decne.
- Lavandula qishnensis Upson & S. Andrews
- Lavandula rejdalii Upson & Jury
- Lavandula rotundifolia Benth.
- Lavandula saharica Upson & Jury
- Lavandula samhanensis Upson & S. Andrews
- Lavandula setifera T. Anderson
- Lavandula somaliensis Chaytor
- Lavandula stoechas L. - la Lavande papillon ou Lavande stéchade[26] - [2]
- Lavandula sublepidota Rech. f.
- Lavandula subnuda Benth.
- Lavandula tenuisecta Coss. ex Ball
- Lavandula viridis LâHĂ©r.
Selon World Checklist of Selected Plant Families (WCSP) (6 juillet 2015)[27] :
- Lavandula Ă alportelensis P.Silva, Fontes & Myre (1951)
- Lavandula angustifolia Mill. (1768)
- Lavandula antineae Maire (1929)
- Lavandula aristibracteata A.G.Mill. (1985)
- Lavandula atriplicifolia Benth. (1848)
- Lavandula bipinnata (Roth) Kuntze (1891)
- Lavandula bramwellii Upson & S.Andrews (2003 publ. 2004)
- Lavandula buchii Webb & Berthel. (1844)
- Lavandula Ă cadevallii Sennen (1912)
- Lavandula canariensis (L.) Mill. (1768)
- Lavandula Ă cavanillesii D.Guillot & RossellĂł (2004)
- Lavandula citriodora A.G.Mill. (1985)
- Lavandula coronopifolia Poir. (1789)
- Lavandula dentata L. (1753)
- Lavandula dhofarensis A.G.Mill. (1985)
- Lavandula erythraeae (Chiov.) Cufod. (1969)
- Lavandula galgalloensis A.G.Mill. (1985)
- Lavandula gibsonii J.Graham (1839)
- Lavandula Ă ginginsii Upson & S.Andrews (2004)
- Lavandula hasikensis A.G.Mill. (1985)
- Lavandula Ă heterophylla Viv. (1802)
- Lavandula Ă intermedia Emeric ex Loisel., Fl. Gall., ed. 2 (1828)
- Lavandula Ă intermedia nothosubsp. aurigerana (Mailho)
- Lavandula Ă intermedia nothosubsp. intermedia
- Lavandula lanata Boiss. (1838)
- Lavandula latifolia Medik. (1784)
- Lavandula à limae Rozeira, Brotéria (1949)
- Lavandula Ă losae SĂĄnchez-GĂłmez, Alcaraz & GarcĂa Vall. (1991 publ. 1992)
- Lavandula macra Baker (1894)
- Lavandula mairei Humbert (1927)
- Lavandula maroccana Murb. (1922)
- Lavandula minutolii Bolle (1860)
- Lavandula multifida L. (1753)
- Lavandula nimmoi Benth. (1848)
- Lavandula pedunculata (Mill.) Cav. (1801)
- Lavandula pinnata Lundmark (1780)
- Lavandula pubescens Decne., Ann. Sci. Nat., Bot., sér. 2 (1834)
- Lavandula qishnensis Upson & S.Andrews (2004)
- Lavandula rejdalii Upson & Jury (2002)
- Lavandula rotundifolia Benth. (1833)
- Lavandula saharica Upson & Jury (2003 publ. 2004)
- Lavandula samhanensis Upson & S.Andrews (2004)
- Lavandula setifera T.Anderson, J. Proc. Linn. Soc. (1860)
- Lavandula somaliensis Chaytor, J. Linn. Soc. (1937)
- Lavandula stoechas L. (1753)
- Lavandula sublepidota Rech.f. (1979)
- Lavandula subnuda Benth. (1848)
- Lavandula tenuisecta Coss. ex Ball, J. Linn. Soc. (1878)
- Lavandula viridis L'HĂ©r. (1789)
Selon Tropicos (6 juillet 2015)[28] (Attention liste brute contenant possiblement des synonymes) :
- Lavandula abrotanoides Lam.
- Lavandula angustifolia Mill.
- Lavandula antiatlantica Maire
- Lavandula antineae Maire
- Lavandula approximata Gand.
- Lavandula aristibracteata A.G. Mill.
- Lavandula atlantica (Braun-Blanq.) Braun-Blanq. & Maire
- Lavandula atriplicifolia Benth.
- Lavandula bipinnata Kuntze
- Lavandula bramwellii Upson & S. Andrews
- Lavandula brevidens (Humbert) Maire
- Lavandula buchii Webb & Berthel.
- Lavandula canariensis Mill.
- Lavandula canescens Deflers
- Lavandula cariensis Boiss.
- Lavandula carnosa L. f.
- Lavandula citriodora A.G. Mill.
- Lavandula cladophora Gand.
- Lavandula coronopifolia Poir.
- Lavandula corsica Gand.
- Lavandula debeauxii Gand.
- Lavandula decipiens Gand.
- Lavandula delphinensis Jord. ex Billot
- Lavandula dentata L.
- Lavandula dhofarensis A.G. Mill.
- Lavandula dipimata Kuntze
- Lavandula elegans Desf.
- Lavandula eliasii Sennen
- Lavandula elongata (Merino) Merino
- Lavandula erigens Jord. & Fourr.
- Lavandula erythraeae (Chiov.) Cufod.
- Lavandula fascicularis Gand.
- Lavandula foliosa Christ
- Lavandula formosa F. Dietr. ex Link
- Lavandula fragrans Salisb.
- Lavandula galgalloensis A.G. Mill.
- Lavandula gibsonii J. Graham
- Lavandula guinardii Gand.
- Lavandula hasikensis A.G. Mill.
- Lavandula humbertii Maire & Wilczek
- Lavandula hybrida E. Rev. ex Briq.
- Lavandula incana Salisb.
- Lavandula inclinans Jord. & Fourr.
- Lavandula interrupta Jord. & Fourr.
- Lavandula lanata Boiss.
- Lavandula latifolia Medik.
- Lavandula lawii Wight
- Lavandula luisieri (Rozeira) Rivas Mart.
- Lavandula macra Baker
- Lavandula mairei Humbert
- Lavandula maroccana Murb.
- Lavandula massonii Cels ex Ging.
- Lavandula minutolii Bolle
- Lavandula multifida L.
- Lavandula multipartita Christm.
- Lavandula myrei P. Silva
- Lavandula nimmoi Benth.
- Lavandula officinalis Chaix
- Lavandula olbiensis Gand.
- Lavandula ovata Steud.
- Lavandula pannosa Gand.
- Lavandula pedunculata Cav.
- Lavandula perrottetii Benth.
- Lavandula pinnata Lundmark
- Lavandula pinnatifida Salisb.
- Lavandula pubescens Decne.
- Lavandula pyrenaica DC.
- Lavandula qishnensis Upson & S. Andrews
- Lavandula rejdalii Upson & Jury
- Lavandula rotundifolia Benth.
- Lavandula saharica Upson & Jury
- Lavandula samhanensis Upson & S. Andrews
- Lavandula sampaioana (Rozeira) Rivas Mart., T.E. DĂaz & Fern. Gonz.
- Lavandula santolinifolia Spach
- Lavandula setifera T. Anderson
- Lavandula somaliensis Chaytor
- Lavandula spectabilis K. Koch
- Lavandula stoechas L.
- Lavandula stricta Delile
- Lavandula sublepidota Rech. f.
- Lavandula subnuda Benth.
- Lavandula subtropica Gand.
- Lavandula tenuisecta Coss. ex Ball
- Lavandula tomentosa (Lundmark) Pau
- Lavandula vera DC.
- Lavandula viridis L'HĂ©r.
- Lavandula vulgaris Lam.
- Lavandula Ă allardii Hy
- Lavandula Ă alportelensis P. Silva, Fontes & Myre
- Lavandula Ă aurigerana Mailho - la Lavande de l'AriĂšge[26]
- Lavandula Ă burnatii Briq.
- Lavandula Ă cadevallii Sennen
- Lavandula Ă cavanillesii D.Guillot & RossellĂł
- Lavandula Ă chaytoriae Upson & S. Andrews
- Lavandula Ă christiana Gattef. & Maire
- Lavandula Ă feraudii Hy
- Lavandula Ă ginginsii Upson & S. Andrews
- Lavandula Ă guillonii Hy
- Lavandula Ă heterophylla Viv.
- Lavandula Ă hortensis Hy
- Lavandula Ă hybrida Balb. ex Ging.
- Lavandula Ă intermedia Emeric ex Loisel.
- Lavandula Ă leptostachya Pau
- Lavandula Ă limae Rozeira
- Lavandula Ă losae Rivas Goday ex P. Sanchez Gomez, F. Alcaraz Ariza & I. Garcia Vallejo
- Lavandula Ă sennenii Font Quer
- Lavandula Ă spica-latifolia Albert
Principales espĂšces, sous-espĂšces et hybrides
Selon Tim Upson, 2002[29] :
Section Lavandula (= section Spica Ging.)
- Lavandula angustifolia Mill. C'est la meilleure des lavandes pour la qualitĂ© de son huile essentielle. Ă l'Ă©tat sauvage, elle pousse naturellement surtout en haute Provence au-dessus de 700 Ă 800 mĂštres dâaltitude. Robuste, elle rĂ©siste aux contraintes climatiques des montagnes sĂšches de la haute Provence, mais elle peut ĂȘtre cultivĂ©e dans des rĂ©gions plus septentrionales, d'autant qu'il en existe de nombreux cultivars. C'est un arbrisseau buissonnant pouvant atteindre 0,50 m de haut. Les feuilles, linĂ©aires et de couleur gris-vert, ont une longueur variant entre 3 et 5 cm. Lors de la floraison (juillet-aoĂ»t), la plante dĂ©veloppe de longs pĂ©doncules non ramifiĂ©s terminĂ©s par des Ă©pis dont la couleur varie du mauve pĂąle au violet. Seule lâhuile essentielle issue de cette production sur une zone dĂ©terminĂ©e bĂ©nĂ©ficie de lâAppellation d'origine contrĂŽlĂ©e (AOC), huile essentielle de lavande de Haute-Provence. On recense environ 4 000 hectares cultivĂ©s dans les 4 dĂ©partements producteurs.
- subsp. angustifolia
- subsp. pyrenaica (DC) Guinea
- Lavandula lanata Boiss. Lavande laineuse (sud de l'Espagne).
- Lavandula latifolia Medik. Par rapport à l'angustifolia, ses feuilles sont plus larges (elliptiques) et trÚs odorantes. La floraison est plus précoce (juin-août), et les fleurs ont une odeur trÚs camphrée. Elles poussent à l'extrémité de tiges ramifiées, ce qui est le moyen le plus sûr de la différencier de la lavande vraie. Elle est beaucoup moins appréciée en parfumerie.
- Hybrides
- Lavandula Ă intermedia Emeric. ex. Loisel. Ăgalement appelĂ© lavandin, est un hybride naturel entre L. angustifolia et L. latifolia. C'est la troisiĂšme des lavandes provençales. DĂ©couvert un peu par hasard, il a Ă©tĂ© cultivĂ© Ă partir des annĂ©es 1930. Le lavandin est aujourd'hui l'espĂšce la plus cultivĂ©e, car sa fleur est plus productive en huile essentielle que la lavande vraie. Son essence de bonne qualitĂ© olfactive est plus camphrĂ©e que celle de la lavande, elle est trĂšs utilisĂ©e dans la parfumerie industrielle. Au cours des annĂ©es, plusieurs variĂ©tĂ©s de cet hybride ont Ă©tĂ© sĂ©lectionnĂ©es et reproduites par bouturage. Les surfaces cultivĂ©es en lavandins sont estimĂ©es Ă 17 000 hectares. Les variĂ©tĂ©s les plus cultivĂ©es actuellement sont : Lavandin Grosso 80 % des surfaces en lavandins, Lavandin Abrial 10 % et Lavandin Super 10 %.
- Lavandula lanata Boiss. Ă Lavandula angustifolia Mill.
Section Dentatae Suarez-Cerv. & Seoane-Camba
- Lavandula dentata L. var. dentata (forme rosea Maire, forme albiflora Maire). Lavande dentée, appelée parfois « lavande anglaise », caractérisée par ses feuilles trÚs découpées.
- Lavandula dentata L. var. candicans Batt.
Section Stoechas Ging.
- Lavandula stoechas L. ou lavande stéchas, lavande papillon, cantueso (nom surtout donné à la sous-espÚce L. stoechas pedunculata). à l'état sauvage, c'est certainement la lavande dont le territoire géographique est le plus vaste (tout le pourtour méditerranéen). Mais elle n'est d'aucune utilité en parfumerie : elle sent un peu le camphre, et rien d'autre. Elle se distingue des espÚces précédentes par deux caractéristiques : d'une part elle apprécie surtout les terrains siliceux, notamment le schiste ; de l'autre elle possÚde à l'extrémité de ses épis de grandes bractées violettes, souvent plus foncées que les fleurs proprement dites. Floraison : avril-juillet.
- subsp. Stoechas (forme leucantha Ging., forme rosea Maire)
- subsp. pedunculata (Mill.) Samp. ex Rozeira
- subsp. sampaiana Rozeira
- subsp. lusitanica (Chaytor) Rozeira
- subsp. luisieri (Rozeira) Rozeira
- subsp. atlantica Braun-Blanq.
- subsp. maderensis (Benth.) Rozeira
- subsp. cariensis (Boiss.) Rozeira
- Lavandula viridis LâHĂ©r. De forme similaire Ă L. stoechas, portant Ă©galement des bractĂ©es. Feuillage plus vert, fleurs le plus souvent blanches. Pousse en Espagne et au Portugal.
- Hybrides
- Lavandula stoechas L. Ă Lavandula viridis LâHĂ©r.
Section Pterostoechas Ging.
- Lavandula multifida L.
- Lavandula canariensis] Mill.
- Lavandula pinnata L. f. Originaire des Ăźles Canaries.
- Lavandula buchii Webb & Berthel.(var. buchii, var. gracile M.C. LeĂłn, var. tolpidifolia (Svent.) M.C. LeĂłn)
- Lavandula minutolii Bolle (var. minutolii, var. tenuipinna Svent.)
- Lavandula maroccana Murb.
- Lavandula tenuisecta Coss. ex. Ball
- Lavandula mairei Humbert (var. mairei, var. antiatlantica Maire)
- Lavandula antineaeMaire
- Lavandula coronopifolia Poir.
- Lavandula pubescens Decne.
- Lavandula citriodora A.G. Miller
- Hybrides
- Lavandula Ă christiana Gattef. & Maire
- Lavandula Ă murbeckiana Emb. & Maire
- Lavandula canariensis Mill. Ă Lavandula buchii Webb & Berthol. var. buchii
Section Subnudae Chaytor
- Lavandula subnuda Benth.
- Lavandula macra Baker
- Lavandula dhofarensis A.G. Miller
- subsp. Dhofarensis
- subsp. ayunensis A.G. Miller
- Lavandula setifera T. Anderson
- Lavandula nimmoi Benth.
- Lavandula galgalloensis A.G. Miller
- Lavandula aristibracteata A.G. Miller
- Lavandula somaliensis Chaytor
Section Chaetostachys Benth.
- Lavandula gibsonii Grah.
- Lavandula bipinnata (Roth) Kuntze
Non classés
- Lavandula hasikensis A.G. Miller
- Lavandula atriplicifolia Benth.
- Lavandula erythreae (Chiov.) Cufud.
Hybrides inter-sections
- Lavandula Ă allardii Hy
- Lavandula Ă heterophylla Poir.
- Lavandula dentata L. Ă Lavandula lanata Boiss.
Symbolique
Langage des fleurs
Dans le langage des fleurs, la lavande symbolise la tendresse respectueuse[30].
Calendrier
Dans le calendrier républicain français, le 14e jour du mois de Messidor, est officiellement dénommé jour de la Lavande[31].
Les noces de lavande symbolisent les 46 ans de mariage dans le folklore français.
Galerie de photos
- Ăpis de Lavandula angustifolia.
- Schéma de Lavandula angustifolia.
- Feuille de Lavandula dentata.
- Ăpis de Lavandula stoechas.
- Schéma de Lavandula latifolia.
- Lavandula intermedia.
- Brassée de lavande (L.angustifolia) d'IsÚre, Auvergne-RhÎne-Alpes, France.
Notes et références
- Nom en français d'aprÚs Dictionary of Common (Vernacular) Names sur Nomen.at
- Meyer C., ed. sc., 2015, Dictionnaire des Sciences Animales (En ligne). Montpellier, France, Cirad. [12/05/2015].
- André Puyeo, Les petites industries d'un département agricole, éd. Forestier, Montauban, 1946.
- ATS, « La Bulgarie cultive son titre de reine de la lavande mondiale », sur www.arcinfo.ch, (consulté le ).
- Lavande-lavandin
- Lavandula x intermedia abrial
- Lavandula x intermedia sumian
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- Anne Dumas, Les plantes et leurs symboles, Ăditions du ChĂȘne, coll. « Les carnets du jardin », , 128 p. (ISBN 2-84277-174-5, BNF 37189295).
- Ph. Fr. Na. Fabre d'Ăglantine, Rapport fait Ă la Convention nationale dans la sĂ©ance du 3 du second mois de la seconde annĂ©e de la RĂ©publique Française, p. 28.
Annexes
Bibliographie
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Didier Lanterborn, MĂ©moires d'un herboriste, Ă©d. Ăquinoxe (ISBN 2-84135-423-7)
- François Couplan, Eva Styner, Guide des plantes sauvages comestibles et toxiques, éd. Delachaux et Niestlé, coll. « Les guides du naturaliste », (ISBN 2-603-00952-4)
- Franck Dubus, La Lavande, fleur de reine, Ă©d. Utovie (ISBN 978-2-86819-177-9)
- www.crieppam.fr
- Pierre Lieutaghi, Petite ethnobotanique méditerranéenne, Arles, Actes Sud, , 334 p. (ISBN 2-7427-5674-4), Lavandes, p. 199-205
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives au vivant :
- Base de données des plantes d'Afrique
- Global Biodiversity Information Facility
- Tela Botanica
- (en) Australian Plant Name Index
- (sv) Dyntaxa
- (en) EPPO Global Database
- (en) Flora of China
- (he + en) Flora of Israel Online
- (en) FloraBase
- (en) Germplasm Resources Information Network
- (mul + en) iNaturalist
- (en) Interim Register of Marine and Nonmarine Genera
- (en) International Plant Names Index
- (cs) NĂĄlezovĂĄ databĂĄze ochrany pĆĂrody
- (en) NBN Atlas
- (nl) NDFF Verspreidingsatlas
- (nl) Nederlands Soortenregister
- (en + en) New Zealand Organisms Register
- (en) PLANTS Database
- (en) Plants of the World Online
- (en) SystÚme d'information taxonomique intégré
- (en) Tropicos
- (en) VicFlora
- Ressource relative à la santé :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- (en) Référence Catalogue of Life : Lavandula L. (consulté le )
- (en) Référence Flora of China : Lavandula (consulté le )
- (en) Référence Flora of Pakistan : Lavandula (consulté le )
- (en) Référence FloraBase (Australie-Occidentale) : classification Lavandula (+ photos + répartition + description) (consulté le )
- (en) Référence GRIN : genre Lavandula L. (+liste d'espÚces contenant des synonymes) (consulté le )
- (fr+en) Référence ITIS : Lavandula L. (consulté le )
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- (en) Référence The Plant List : Lavandula (consulté le )
- (en) Référence Tropicos : Lavandula L. (+ liste sous-taxons) (consulté le )
- (en) Référence uBio : site déclaré ici indisponible le 7 avril 2023
- (en) Référence UICN : taxon Lavandula (consulté le )