AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Nanteau-sur-Essonne

Nanteau-sur-Essonne est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de Seine-et-Marne, en rĂ©gion Île-de-France.

Nanteau-sur-Essonne
Nanteau-sur-Essonne
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Île-de-France
DĂ©partement Seine-et-Marne
Arrondissement Fontainebleau
Intercommunalité Communauté de communes Pays de Nemours
Maire
Mandat
Olivier Mauxion
2020-2026
Code postal 77760
Code commune 77328
DĂ©mographie
Gentilé Nantessonnais
Population
municipale
419 hab. (2020 en diminution de 5,84 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 32 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 19â€Č 01″ nord, 2° 25â€Č 05″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 127 m
Superficie 12,92 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Le Malesherbois
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Fontainebleau
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Nanteau-sur-Essonne
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Nanteau-sur-Essonne
GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Voir sur la carte topographique de Seine-et-Marne
Nanteau-sur-Essonne
GĂ©olocalisation sur la carte : Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Nanteau-sur-Essonne
Liens
Site web nanteau-sur-essonne.fr

    En 2020, elle compte 419 habitants.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Localisation de Nanteau-sur-Essonne dans le département de Seine-et-Marne.

    La commune de Nanteau-sur-Essonne se trouve dans le dĂ©partement de Seine-et-Marne, en rĂ©gion Île-de-France[1]. Elle est bordĂ©e, au nord, par le dĂ©partement de l'Essonne et au sud-ouest, par la commune du Malesherbois, dĂ©partement du Loiret, rĂ©gion Centre-Val de Loire. La commune fait partie du parc naturel rĂ©gional du GĂątinais français depuis le .

    Elle se situe Ă  36,15 km par la route[Note 1] de Melun[2], prĂ©fecture du dĂ©partement et Ă  27,32 km de Fontainebleau[3], sous-prĂ©fecture. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Malesherbes[1].

    Communes limitrophes

    Carte des communes limitrophes de Nanteau-sur-Essonne.

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Le Malesherbois (2,4 km), Buthiers (3,4 km), Boigneville (4,0 km), Tousson (4,6 km), Buno-Bonnevaux (5,4 km), Prunay-sur-Essonne (5,6 km), Boissy-aux-Cailles (6,4 km).

    Communes limitrophes de Nanteau-sur-Essonne
    Boigneville
    (Essonne)
    Buno-Bonnevaux
    (Essonne)
    Tousson
    Nanteau-sur-Essonne Boissy-aux-Cailles
    Le Malesherbois
    (Loiret)
    Buthiers

    Relief et géologie

    Le territoire de la commune se situe dans le sud du Bassin parisien, plus précisément au nord de la région naturelle du Gùtinais.

    Une partie de la commune se situe sur le plateau qui s'Ă©tend de la forĂȘt de Fontainebleau jusqu'Ă  Tousson et donc, Ă  la partie orientale de la commune. Il faut alors descendre pour atteindre le centre du village et le niveau de l'Essonne[5]. La dĂ©nivellation est d'environ 45 m, la vallĂ©e de l'Essonne est Ă  une altitude de 75 m. Le haut de la commune, vers le hameau de Bois Minard, est constituĂ© de champs de grandes dimensions oĂč l'on cultive les cĂ©rĂ©ales et les betteraves. La partie qui constitue la descente du plateau est couverte de forĂȘts, c'est aussi le cas des bords de l'Essonne, oĂč se trouvent de nombreux marais. La commune est trĂšs Ă©tirĂ©e en longueur. Entre la limite de Buthiers, au sud, et celle de Buno, au nord, il y a environ km.

    Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'Úre géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du PaléogÚne au Quaternaire)[6] - [7].

    • Carte montrant en couleurs le relief d'une commune
      Carte du relief de Nanteau-sur-Essonne.
    • Carte montrant en couleurs le zonage gĂ©ologique simplifiĂ© d'une commune
      Carte géologique vectorisée et harmonisée de Nanteau-sur-Essonne.
    Géologie de la commune de Nanteau-sur-Essonne selon l'échelle des temps géologiques[6] - [7].
    Ères PĂ©riodes gĂ©ologiques Époques gĂ©ologiques Nature des sols
    CĂ©nozoĂŻque Quaternaire HolocĂšne
    CE :Colluvions polygéniques éboulis.
    CF :Colluvions de versant et de fond de vallon.
    OE C :Loess calcaire, limon calcaire.
    LP :Limon des plateaux de composition argilo-marneuse.
    T :Zones tourbeuses au sein des alluvions récentes.
    Fz :Alluvions récentes : limons, argiles, sables, tourbes localement.
    PléistocÚne
    NéogÚne PliocÚne non présent.
    MiocĂšne
    m1MG :Molasse du GĂątinais, Marnes vertes de Neuville-sur-Essonne (Loiret).
    PaléogÚne OligocÚne
    g1CE :Calcaire d'Étampes, meuliùres, marnes, calcaires du Gñtinais.
    g1GF :GrÚs de Fontainebleau en place ou remaniés (grésification quaternaire de sables stampiens dunaires).
    g1SF :Sables de Fontainebleau, accessoirement grÚs en place ou peu remanié (versant).
    ÉocĂšne non prĂ©sent.
    PaléocÚne non présent.

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Carte des réseaux hydrographique et routier de Nanteau-sur-Essonne.

    Le rĂ©seau hydrographique de la commune se compose essentiellement de la riviĂšre Essonne[8], longue de 101,10 km, affluent de la rive gauche de la Seine, ainsi que :

    • un bras de 0,33 km[9] ;
    • un bras de 0,57 km[10].

    Sa longueur totale sur la commune est de 2,55 km[11].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon Ă©tat des eaux imposĂ© par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intĂ©grĂ©e s’articulent Ă  diffĂ©rentes Ă©chelles : le SDAGE, Ă  l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, Ă  l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le dĂ©partement de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[12].

    La commune fait partie du SAGE « Nappe de Beauce et milieux aquatiques associĂ©s », approuvĂ© le . Le territoire de ce SAGE couvre deux rĂ©gions, six dĂ©partements et compte 681 communes, pour une superficie de 9 722 km2[13]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurĂ©s par le Syndicat mixte du pays Beauce GĂątinais en Pithiverais, qualifiĂ© de « structure porteuse »[14].

    Climat

    ParamÚtres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,3 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 5,2 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,4 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 667 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 0,5 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -2,6 j

    La commune bĂ©nĂ©ficie d’un « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France dĂ©finie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalitĂ© des communes de Seine-et-Marne[15].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[16]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[15]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales[17]. Cette Ă©volution peut ĂȘtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve Ă  37 km Ă  vol d'oiseau[18], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour 1981-2010[19] Ă  11,6 °C pour 1991-2020[20].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[21] - [22]. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protĂ©gĂ©, le Parc naturel rĂ©gional du GĂątinais français, crĂ©Ă© en 1999 et d'une superficie de 75 567 ha. D’une grande richesse en termes d’habitats naturels, de flore et de faune, il est un maillon essentiel de l’Arc sud-francilien des continuitĂ©s Ă©cologiques (notamment pour les espaces naturels ouverts et la circulation de la grande faune)[23] - [24].

    Deux autres espaces protégés sont présents dans la commune :

    • la zone centrale de la rĂ©serve de biosphĂšre « Fontainebleau et GĂątinais », crĂ©Ă©e en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha (46 056 ha pour la zone centrale). Cette rĂ©serve de biosphĂšre, d'une grande biodiversitĂ©, comprend trois grands ensembles : une grande moitiĂ© ouest Ă  dominante agricole, l’emblĂ©matique forĂȘt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine Ă  l’est. La structure de coordination est l'Association de la RĂ©serve de biosphĂšre de Fontainebleau et du GĂątinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Éducation, unique parmi les RĂ©serves de biosphĂšre françaises[25] - [26].
    • la zone de transition de la rĂ©serve de biosphĂšre « Fontainebleau et GĂątinais », crĂ©Ă©e en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha (95 595 ha pour la zone de transition). Cette rĂ©serve de biosphĂšre, d'une grande biodiversitĂ©, comprend trois grands ensembles : une grande moitiĂ© ouest Ă  dominante agricole, l’emblĂ©matique forĂȘt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine Ă  l’est. La structure de coordination est l'Association de la RĂ©serve de biosphĂšre de Fontainebleau et du GĂątinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Éducation, unique parmi les RĂ©serves de biosphĂšre françaises[25] - [27].

    RĂ©seau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d’intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce rĂ©seau est constituĂ© de Zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spĂ©ciale (ZPS). Dans les zones de ce rĂ©seau, les États Membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[28].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[29] - [Carte 1] :

    • la « Haute vallĂ©e de l'Essonne », d'une superficie de 971 ha, un ensemble Ă©cologique de grande importance Ă  l’échelon du bassin parisien. Cette entitĂ© est constituĂ©e de milieux humides remarquables rĂ©sultants de l’évolution de bas marais alcalins[30] - [31].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Le territoire communal de Nanteau-sur-Essonne comprend une ZNIEFF de type 1[Note 4] - [32] - [Carte 2], les « Bois de la Fontaine Saint-Agnan, Bel-Air, la Garenne de Boucleaux et vallĂ©e Poirette » (188,79 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[33]. , et une ZNIEFF de type 2[Note 5] - [32], la « vallĂ©e de l'Éssonne de Buthiers Ă  la Seine » (5 102,19 ha), couvrant 29 communes dont 1 dans le Loiret, 4 en Seine-et-Marne et 24 dans l'Essonne[34].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Nanteau-sur-Essonne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [35] - [36] - [37]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine du Malesherbois, une agglomĂ©ration inter-rĂ©gionale regroupant 2 communes[38] et 8 636 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[39] - [40].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[41] - [42].

    Occupation des sols

    En 2018, l'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts (54,27 %) en trĂšs lĂ©gĂšre augmentation par rapport Ă  1990 (53,29 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e est la suivante : forĂȘts (54,27 %), terres arables (40,78 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (2,88 %), zones urbanisĂ©es (2,08 %)[Note 8] - [43].

    Occupation des sols en 1990 et 2018[43].
    Type d’occupation 1990 2018 Bilan
    Territoires artificialisés
    (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles)
    26,76 ha 2,08 % 26,76 ha 2,08 % 0 ha en stagnation
    Territoires agricoles
    (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogÚnes)
    575,51 ha 44,64 % 562,90 ha 43,66 % −12,61 ha en diminution
    ForĂȘts et milieux semi-naturels
    (forĂȘts, milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e, espaces ouverts sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation)
    687,08 ha 53,29 % 699,69 ha 54,27 % 12,61 ha en augmentation

    ParallĂšlement, L'Institut Paris RĂ©gion, agence d'urbanisme de la rĂ©gion Île-de-France, a mis en place un inventaire numĂ©rique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dĂ©nommĂ© le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisĂ© rĂ©guliĂšrement depuis sa premiĂšre Ă©dition en 1982. RĂ©alisĂ© Ă  partir de photos aĂ©riennes, le MOS distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, Ă©quipements, activitĂ©s Ă©conomiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'Ă  81 postes, diffĂ©rente de celle de Corine Land Cover[44] - [45] - [46]. L'Institut met Ă©galement Ă  disposition des outils permettant de visualiser par photo aĂ©rienne l'Ă©volution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[47].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Carte orhophotogrammĂ©trique de la commune.
      Carte orhophotogrammétrique de la commune.

    Planification

    La loi SRU du a incitĂ© les communes Ă  se regrouper au sein d’un Ă©tablissement public, pour dĂ©terminer les partis d’amĂ©nagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratĂ©gique des politiques publiques Ă  une grande Ă©chelle et Ă  un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Nemours GĂątinais, approuvĂ© le et portĂ© par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Nemours-GĂątinais[48].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en rĂ©vision[49]. Le zonage rĂ©glementaire et le rĂšglement associĂ© peuvent ĂȘtre consultĂ©s sur le GĂ©oportail de l'urbanisme[Carte 3].

    Lieux-dits et Ă©carts

    Carte du cadastre de la commune de Nanteau-sur-Essonne.

    La commune compte 81 lieux-dits administratifs[Note 9] répertoriés consultables ici[50] (source : le fichier Fantoir).

    Un hameau aujourd'hui disparu, Courcelles, seule une rue porte encore ce nom.

    Deux hameaux importants se partagent une bonne partie de la population :

    • Bois Minard, sur le plateau et proche de Tousson, entourĂ© de champs cultivĂ©s ;
    • Villetard, Ă  l'entrĂ©e ouest du village (en provenance Malesherbes), situĂ© le long d'une route lĂ©gĂšrement en hauteur par rapport Ă  l'Essonne. Ce hameau est bordĂ© au nord-est par une forĂȘt et se situe non loin de l'endroit oĂč Ă©tait le chĂąteau.

    Un lieu-dit qui a donné son nom à une rue est nommé Clos Corbin ; il est situé à l'entrée du chemin de Milly.

    Logement

    En 2017, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 273 dont 97,4 % de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 2,6 % d'appartements[Note 10].

    Parmi ces logements, 73,6 % étaient des résidences principales, 21,4 % des résidences secondaires et 5,1 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 86,4 % contre 9 % de locataires et 4,5 % logés gratuitement[51].

    Voies de communication

    Deux routes départementales relient Nanteau-sur-Essonne aux communes voisines :

    • la D 152 (qui longe la limite sud de la commune), Ă  Buthiers en direction de l'est et vers Le Malesherbois en direction de l'ouest ;
    • la D 410 (qui traverse la partie sud-est du territoire), Ă  Tousson en direction du nord-est et vers Buthiers en direction du sud.

    Le territoire de la commune est traversé d'est en ouest par le sentier de grande randonnée GR 1, entre Boissy-aux-Cailles et Malesherbes.

    Transports

    La commune est desservie par la ligne d'autocars no 184.004 du réseau de bus Les Cars Bleus, ligne qui Nanteau-sur-Essonne à Nemours[52].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Nantoil en 1134[53] ; Nantolium en 1165[54] ; Nantolium supra Essonam en vers 1350 (Pouillé)[55] ; Nentheau en 1518[56].

    Composé de nanto-, mot gaulois qui désigne une "vallée", et de -ialo, "clairiÚre" (naturelle ou éventuellement essartée) qui a fréquemment donné -euil dans la toponymie mais ici a évolué en -eau. Nanteau signifie donc : « la clairiÚre de/dans la vallée » ; dans le cas de ce Nanteau, on évoque la vallée de l'Essonne.

    Ses habitants sont appelés les Nantessonnais et Nantessonnaises.

    Histoire

    Le rocher aux pieds

    Un mĂ©galithe en grĂšs appelĂ© « pierre du pas de Sainte-Anne » ou « rocher aux pieds » se trouve sur la route de Nanteau Ă  Buno-Bonnevaux (au nord-ouest de Nanteau), entre l'ancien moulin de Roisneau et la Chapelle-Nainveau[57]. Le mĂ©galithe fait 3,90 m de longueur, 2,30 m de largeur et 1,55 m de hauteur. Il porte deux empreintes en creux de pas humains : l'un, de grandeur naturelle, Ă  bout effilĂ©, qui est dit ĂȘtre l'empreinte du pas de sainte Anne, mĂšre de la Vierge ; l'autre, plus petit, attribuĂ© au pas de la Vierge encore enfant[58]. Sont aussi sculptĂ©s une petite cupule et un long trait en forme de petite rigole[59] qui correspond au grand axe de la sculpture[60], prolongĂ© vers le nord au-delĂ  de l'empreinte de la plus grande des sculptures de pied[61]. La longueur de cette grande sculpture de pied (27 cm indique un pied d'homme mais son indice soleo-podalique[Note 11] correspond Ă  un pied de femme. Son orientation correspond au plein sud magnĂ©tique Ă  l'Ă©poque nĂ©olithique et a pu servir de mĂ©ridienne[62]. Il existe plusieurs sculptures de pied en creux connues (pierre « Le Mulot » Ă  Bleurville (Vosges)[63], pierre de Saint-Roch Ă  Menomblet (VendĂ©e)[64], etc) mais rarement additionnĂ©es de gravures annexes[60]. la petite sculpture de pied est moins bien formĂ©e, mais son axe est orientĂ© plein est - plein ouest[65]. La cupule mentionnĂ©e se trouve sur le flanc sud de la pierre ; elle forme un angle de 38° avec l’axe de petit pied, et 52° avec l'axe du grand pied[66], soit les angles du solstice (52°) pour la latitude du lieu. Elle indique donc le lever du soleil au solstice d'hiver[67].

    Dans les champs et coteaux voisins se trouvent un grand nombre de silex taillés, le polissoir de Buno, la chambre sépulcrale de Buno, les menhirs de Tousson et autres artéfacts préhistoriques[58], et un gros éboulis de rochers en « grÚs de Fontainebleau » (bien visible sur la carte IGN[57]) sur un versant de colline le long de la route mentionnée[59].

    Menhir du Paly

    Le menhir du Paly (au Closeau, immĂ©diatement Ă  l'ouest du village[57]) est gravĂ© d'un visage humain dont le nez et les sourcils forment un T, et d'une hache Ă  crosse[68]. Plusieurs reprĂ©sentations humaines gravĂ©es se retrouvent localement : dalle gravĂ©e de Rouville (Malesherbes, Loiret), dalle de l’Ouche de Beauce de Maisse (Essonne, NĂ©olithique moyen), allĂ©e couverte dite du Trou aux Anglais (Aubergenville, Yvelines), et d'autres. Toutes ces gravures ont une coiffe ressemblant Ă  des plumes dressĂ©es Ă  partir des lignes de sourcils[69], mais prĂ©sentent des variations. D'autres gravures similaires en Suisse et dans le sud de la France, datĂ©es du Chalcolithique, sont plus homogĂšnes[70] - [71].

    Le motif de hache Ă  crosse est habituellement attribuĂ© au NĂ©olithique ancien et moyen. Celui du « visage en T » va du NĂ©olithique ancien jusqu’au Chalcolithique. La combinaison de ces deux motifs indique que le massif de Fontainebleau aurait Ă©tĂ© une zone de transition et de passage pour des courants culturels de diffĂ©rents lieux et pĂ©riodes[72].

    SĂ©pulture collective de la Pente-des-Courcelles

    Les fouilles de cet abri sous roche aménagé sous une dalle se sont terminées en 1995. Son mobilier funéraire, assez peu fourni, inclut un vase attribuable au Néolithique récent et dont la typologie le rapproche du groupe culturel du Montet. Des tombes similaires se retrouvent sur la commune voisine Buno-Bonnevaux[73] - [74].

    Moyen-Âge

    Le hameau de Boisminard étant depuis toujours le lieu de production agricole du village de Nanteau, il est normal que le hameau et ses terres aient appartenu à des seigneurs, propriétaires terriens.
    Sous Philippe Auguste, 2e moitié du XIe siÚcle, le seigneur de Boisminard était chevalier du bailliage de GrÚs et de La Chapelle-la-Reine. Au XIVe siÚcle, sous Charles VI et Isabeau de BaviÚre, Huet de Moncelard était le propriétaire de Boisminard en 1384. C'est à cette époque que Nanteau eut beaucoup à souffrir des luttes et pillages de la guerre de Cent Ans.
    Au XVe siÚcle c'est Joachim Rouault qui en était le propriétaire.

    Époque moderne

    Au XVIe siĂšcle aprĂšs avoir appartenu Ă  l'archevĂȘchĂ© de Sens, Nanteau et Tousson devinrent la propriĂ©tĂ© des vidames de Chartres reprĂ©sentĂ©s Ă  cette Ă©poque par François de VendĂŽme[75].

    En 1660, Jacques de La Barre, seigneur de Groslieu d'Arbouville, Ă©tait Ă  la fois seigneur de Nanteau et de Boisminard. C'est donc Ă  cette Ă©poque qu'a eu lieu l'important incendie de Boisminard en . 15 Ă  16 maisons furent brulĂ©es. La lĂ©gende dit que les hommes n'arrivaient pas Ă  Ă©teindre le feu et c'est seulement l'arrivĂ©e du Saint Sacrement venant de l'Ă©glise qui fit le miracle. Une procession fut alors instituĂ©e qui perdura jusqu'au XVIIIe siĂšcle oĂč l'on montait de Nanteau Ă  Boisminard.

    En 1730, Defayal d'Allennes était seigneur de Nanteau, il mourut le 5 juin 1730. La seigneurie dépendait du bailliage de Milly.

    En 1790, JosÚph Nicola de Broglie, Prince de Revel, était seigneur de Nanteau, il fut déclaré émigré.

    En 1870, Nanteau fut occupé par le 84e Régiment de Ligne Prussien[76].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    14-12-1789 21-11-1791 François Poinvreau
    21-11-1791 1800 Gabriel Coisnon
    1800 1803 Jean Coisnon
    1803 1807 Brichard
    1807 1835 Jean Coisnon
    1835 1848 Louis Viron
    1848 1856 Radideau
    1856 1871 Louis Pierre Viron
    1871 1874 Chaillou
    1874 1888 Robert Delion
    1888 1900 Bizouarne
    1900 1908 LĂ©opold Flamery
    1908 1925 Victor Pelletier
    1925 1930 EugĂšne Lenoir
    1930 1935 Arthur Boutteville
    1935 1945 Joseph Caillette
    1945 1947 Donatien Chachignon
    1947 1959 André Pouinteau
    1959 1962 Marcel Vallet
    1962 1965 Moyse Henriette
    1965 1989 Jean Herblot
    1989 2001 Daniel Escoffre
    2001 2008 MichĂšle Bouteille
    2008 2020 Helen Henderson
    2020 en cours Olivier Mauxion

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usĂ©es et pluviales relĂšve des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rĂŽle des EPCI Ă  fiscalitĂ© propre en leur transfĂ©rant cette compĂ©tence. Ce transfert devait en principe ĂȘtre effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilitĂ© d’un report de ce transfert au [77] - [78].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la commune de Nanteau-sur-Essonne ne dispose pas d'assainissement collectif[79] - [80].

    L’assainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[81]. Le Parc naturel rĂ©gional du GĂątinais français assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vĂ©rifier la bonne exĂ©cution des travaux de rĂ©alisation et de rĂ©habilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[79] - [82].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SME de la région de Buthiers qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [79] - [83] - [84].

    Les nappes de Beauce et du Champigny sont classĂ©es en zone de rĂ©partition des eaux (ZRE), signifiant un dĂ©sĂ©quilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce dĂ©sĂ©quilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualitĂ© en permanence sur le territoire du dĂ©partement, le troisiĂšme Plan dĂ©partemental de l’eau signĂ©, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sĂ©curisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a Ă©tĂ© prĂ©parĂ© et publiĂ© en dĂ©cembre 2020 un schĂ©ma dĂ©partemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont dĂ©finis. La commune fait partie du secteur Beauce[85].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[86]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[87].

    En 2020, la commune comptait 419 habitants[Note 12], en diminution de 5,84 % par rapport Ă  2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    220305261270309331303330354
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    359357375335325346359334335
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    343335293251266282255232234
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    239245252258314394422430449
    2018 2020 - - - - - - -
    431419-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[88] puis Insee Ă  partir de 2006[89].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune ne dispose pas d’école primaire publique (maternelle ou Ă©lĂ©mentaire)[90].

    ÉvĂ©nements

    • FĂȘte du Village : dĂ©but septembre

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2017, le nombre de mĂ©nages fiscaux de la commune Ă©tait de 181, reprĂ©sentant 434 personnes et la mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation de 24 810 euros[91].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone Ă©tait de 35, occupant 182 actifs rĂ©sidants. Le taux d'activitĂ© de la population (actifs ayant un emploi) ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©levait Ă  64,8 % contre un taux de chĂŽmage de 4,8 %. Les 30,4 % d’inactifs se rĂ©partissent de la façon suivante : 9,6 % d’étudiants et stagiaires non rĂ©munĂ©rĂ©s, 12,6 % de retraitĂ©s ou prĂ©retraitĂ©s et 8,1 % pour les autres inactifs[92].

    Entreprises et commerces

    En 2018, le nombre d'Ă©tablissements actifs Ă©tait de 22 dont 1 dans l’industrie manufacturiĂšre, industries extractives et autres, 6 dans le commerce de gros et de dĂ©tail, transports, hĂ©bergement et restauration, 1 dans les activitĂ©s financiĂšres et d'assurance, 2 dans les activitĂ©s immobiliĂšres, 9 dans les activitĂ©s spĂ©cialisĂ©es, scientifiques et techniques et activitĂ©s de services administratifs et de soutien, 1 dans l’administration publique, enseignement, santĂ© humaine et action sociale et 2 Ă©taient relatifs aux autres activitĂ©s de services[93].

    En 2019, 5 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 4 individuelles.

    Au 1er janvier 2020, la commune ne disposait pas d’hîtel et de terrain de camping[94].

    Agriculture

    Nanteau-sur-Essonne est dans la petite rĂ©gion agricole dĂ©nommĂ©e le « Pays de BiĂšre et ForĂȘt de Fontainebleau », couvrant le Pays de BiĂšre et la forĂȘt de Fontainebleau[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-Ă©conomique[Note 13] de l'agriculture sur la commune est la polyculture et le polyĂ©levage[95].

    Si la productivitĂ© agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tĂȘte des dĂ©partements français, le dĂ©partement enregistre un double phĂ©nomĂšne de disparition des terres cultivables (prĂšs de 2 000 ha par an dans les annĂ©es 1980, moins dans les annĂ©es 2000) et de rĂ©duction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les annĂ©es 2010[96]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune oĂč le nombre d’exploitations est passĂ© de 10 en 1988 Ă  2 en 2010. ParallĂšlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 57 ha en 1988 Ă  43 ha en 2010[95]. Le tableau ci-dessous prĂ©sente les principales caractĂ©ristiques des exploitations agricoles de Nanteau-sur-Essonne, observĂ©es sur une pĂ©riode de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Nanteau-sur-Essonne entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension Ă©conomique[95] - [Note 14]
    Nombre d’exploitations (u) 10 5 2
    Travail (UTA) 16 6 4
    Surface agricole utilisée (ha) 571 234 86
    Cultures[97]
    Terres labourables (ha) 569 233 s
    Céréales (ha) 493 s s
    dont blé tendre (ha) 214 80 s
    dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) 102 s
    Tournesol (ha) 18
    Colza et navette (ha) s s
    Élevage[95]
    Cheptel (UGBTA[Note 15]) 16 20 23

    Culture locale et patrimoine

    L'Ă©lise Saint-Martin.

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-Martin avec son clocher carrĂ© du XIIe siĂšcle coiffĂ© en bĂątiĂšre, sa nef unique prolongĂ©e par un chƓur en abside (le tout du XIVe siĂšcle) et son christ en bois datĂ© de 1609. Cette sculpture est classĂ©e au titre objet monument historique depuis le 31/01/1938 et appartient Ă  la commune de Nanteau-sur-Essonne.
    • La vallĂ©e de l'Essonne*, les coteaux boisĂ©s, le site du hameau de Boisminard.
    • Vestiges prĂ©historiques et antiques : un ensemble d'abris sous roche et de grottes ornĂ©s de gravures rupestres.
    • Chasse, pĂȘche, randonnĂ©es pĂ©destres, passage du GR1.
    • Le vieux four de Boisminard, situĂ© dans le hameau, l'architecture de ce four est trĂšs particuliĂšre. Maintenant dans la plus grosse ferme de Boisminard en activitĂ© avec la chĂšvrerie de Boisminard, le four est recouvert d'escaliers. Anciennement, il servait Ă  cuire du pain. GrĂące Ă  la nouvelle appellation « Pays de Nemours », des visites seront organisĂ©es et des panneaux informatifs ont Ă©tĂ© mis en place dans tout Boisminard.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Nanteau-sur-Essonne », p. 1150–1153

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Elles comprennent les cultures annuelles associées aux cultures permanentes, les systÚmes culturaux et parcellaires complexes, les surfaces essentiellement agricoles, interrompues par des espaces naturels importants et les territoires agro-forestiers.
    9. Contrairement au hameau ou Ă©cart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcĂ©ment un lieu habitĂ©, il peut ĂȘtre un champ, un carrefour ou un bois...
    10. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours Ă©gale Ă  100 %.
    11. L'indice soleo-podalique d'un pied, mentionné dans Baudouin 1914, p. 166 et Baudouin & Boismoreau 1913, p. 511 est, comme indiqué dans ce dernier document, le résultat de l'opération suivante : [largeur maximum (à la plante du pied)] x 100 / [longueur maximum].
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    13. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    14. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    15. L'UnitĂ© gros bĂ©tail alimentation totale (UGBTA) est une unitĂ© employĂ©e pour pouvoir comparer ou agrĂ©ger des effectifs animaux d’espĂšces ou de catĂ©gories diffĂ©rentes (par exemple, une vache laitiĂšre = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mĂšre = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Sites Natura2000 de Nanteau-sur-Essonne » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
    2. « Zones ZNIEFF de Nanteau-sur-Essonne » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
    3. « GĂ©oportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Nanteau-sur-Essonne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. « Distance entre Nanteau-sur-Essonne et Melun », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Distance entre Nanteau-sur-Essonne et Fontainebleau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Nanteau-sur-Essonne », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Sandre, « L'Essonne ».
    6. « InfoTerre », sur le site du Bureau de recherches géologiques et miniÚres (BRGM) (consulté le ).
    7. « Carte géologique harmonisée du département de la Seine-et-Marne » [PDF], sur le site du Bureau de recherches géologiques et miniÚres (BRGM) (consulté le ).
    8. Sandre, « Fiche cours d'eau - L'Essonne (F45-0400) » (consulté le ).
    9. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de l'Essonne (F4527001) » (consulté le ).
    10. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de l'Essonne (F4526501) » (consulté le ).
    11. Site SIGES – Seine-Normandie (SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consultĂ© le 11 octobre 2018
    12. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    13. « SAGE Nappe de Beauce et milieux aquatiques associés - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    14. « le Schéma d'aménagement et de gestion des Eaux de la nappe de Beauce », sur www.sage-beauce.fr (consulté le ).
    15. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
    16. « DĂ©finition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consultĂ© le ).
    17. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    18. « Orthodromie entre Nanteau-sur-Essonne et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    21. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le ).
    22. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Parc naturel régional du Gùtinais français », sur www.parc-gatinais-francais.fr (consulté le ).
    24. « le Parc naturel régional du Gùtinais français - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « Réserve de biosphÚre de « Fontainebleau et Gùtinais » », sur mab-france.org (consulté le ).
    26. « la zone centrale de la réserve de biosphÚre « Fontainebleau et Gùtinais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « la zone de transition de la réserve de biosphÚre « Fontainebleau et Gùtinais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « Réseau européen Natura 2000 », sur le site du MinistÚre de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
    29. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Nanteau-sur-Essonne », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    30. « Haute vallĂ©e de l’Essonne - ZSC - FR1100799 », sur www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr, (consultĂ© le ).
    31. « site Natura 2000 FR1100799 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    32. « Liste des ZNIEFF de la commune de Nanteau-sur-Essonne », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    33. « ZNIEFF les « Bois de la Fontaine Saint-Agnan, Bel-Air, la Garenne de Boucleaux et vallée Poirette » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    34. « ZNIEFF la « vallĂ©e de l'Éssonne de Buthiers Ă  la Seine » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consultĂ© le ).
    35. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    36. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    37. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    38. « Unité urbaine 2020 du Le Malesherbois », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    39. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    40. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    41. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    42. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    43. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    44. IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur www.institutparisregion.fr (consultĂ© le ).
    45. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur www.iau-idf.fr (consulté le ).
    46. « Nanteau-sur-Essonne - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    47. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aĂ©rienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consultĂ© le ).
    48. « Le SCOT Nemours Gùtinais - Historique de l'élaboration », sur smep-nemours-gatinais.fr (consulté le ).
    49. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    50. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb (consulté en ).
    51. Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 15 septembre 2020
    52. « Lignes réguliÚres », sur cars-bleus.fr (consulté le ).
    53. Cartulaire de Montmartre, p. 64.
    54. Cartulaire de Montmartre, p. 104.
    55. Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de la Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 413.
    56. Arch. chùt. Marcoussis, Reg. de prisée, fol. 218.
    57. « Moulin de Roisneau et Nainveau, sur Nanteau-sur-Essone, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
    58. [Baudouin 1914] Marcel Baudouin, « Le rocher aux pieds de Nanteau-sur-Essonne (Seine-et-Marne) », Bulletins et MĂ©moires de la SociĂ©tĂ© d'Anthropologie de Paris, vol. 5, no 2,‎ , p. 159-177 (lire en ligne [sur persee]), p. 160.
    59. Baudouin 1914, p. 161.
    60. Baudouin 1914, p. 167.
    61. Baudouin 1914, p. 168.
    62. Baudouin 1914, p. 165.
    63. [Baudouin 1914] Marcel Baudouin, « Les pieds humains sculptĂ©s de la pierre Le Mulot (N° 1), Ă  Bleurville (Vosges) », Bulletins et MĂ©moires de la SociĂ©tĂ© d'Anthropologie de Paris, vol. 5, no 3,‎ , p. 181-196 (lire en ligne [sur persee]).
    64. [Baudouin & Boismoreau 1913] Marcel Baudouin et E. Boismoreau, « Les sculptures sur rochers de la pierre de Saint-Roch [pied humain et cupules] et leur rapport avec le culte solaire », Bulletin de la SociĂ©tĂ© prĂ©historique française, t. 10, no 9,‎ , p. 491-522 (lire en ligne [PDF] sur cnd_1.3.reseaudescommunes.fr).
    65. Baudouin 1914, p. 169.
    66. Baudouin 1914, p. 172.
    67. Baudouin 1914, p. 173.
    68. [Caldwell 2013] Duncan Caldwell, « Le Visage GravĂ© du Closeau 12 et ses Implications : Nanteau-sur-Essonne (Seine-et-Marne) », Art Rupestre, Bulletin du GERSAR, no 64,‎ , p. 37-46 (lire en ligne [sur academia.edu], consultĂ© le ), p. 37.
    69. Caldwell 2013, p. 39.
    70. Caldwell 2013, p. 40.
    71. [Caldwell 2012] Duncan Caldwell, « RĂ©examen de deux sites Ă  gravures piquetĂ©es Milly-la-ForĂȘt (Essonne) », Bulletin du Gersar, no 62,‎ (lire en ligne [PDF] sur detoursdesmondes.typepad.com, consultĂ© le ).
    72. Caldwell 2013, p. 45.
    73. [Salanova & Martineau 2014] Laure Salanova et Rémi Martineau, « La sépulture collective de « La Pente des Courcelles » (Nanteau-sur-Essone, Seine-et-Marne) », dans Richard Cottiaux & Laure Salanova, La fin du IVe millénaire dans le bassin parisien - Le Néolithique récent entre Seine, Oise et Marne (3500-2900 avant notre Úre), , sur researchgate.net (lire en ligne).
    74. [Tabeaud 2001] Martine Tabeaud, La mort en Île-de-France, publications de la Sorbonne, , 174 p., sur books.google.fr (lire en ligne), p. 51, 56, 58, 64,.
    75. Maurice Pignard-Péguet, « Histoire Générale Illustrée des départements - Seine et Marne», Auguste Gout Imprimeurs à Orléans 1911
    76. AD 77, Monographie communale.
    77. « Le service public local de l’eau potable et de l’assainissement. », sur https://www.vie-publique.fr/, (consultĂ© le ).
    78. « Seine-et-Marne - Assainissement collectif », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
    79. « Commune de Nanteau-sur-Essonne - organisation des services d'eau et d'assainissement », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    80. « Fonctionnement des services d'assainissement collectif de Seine-et-Marne - carte arrĂȘtĂ©e en fĂ©vrier 2020 », sur eau.seine-et-marne.fr (consultĂ© le ).
    81. « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministĂ©riel de l'assainissement non collectif (consultĂ© le ).
    82. « Le SMAAEP de Crécy_Boutigny et Environs - Services en propre », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    83. « SME de la région de Buthiers - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    84. « SME de la région de Buthiers - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    85. « SchĂ©ma dĂ©partemental d’alimentation en eau potable de secours de Seine-et-Marne », sur www.seine-et-marne.fr, (consultĂ© le ).
    86. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    87. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    88. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    89. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    90. Écoles Primaires, portail indĂ©pendant sur l'Ă©cole primaire, consultĂ© le 21 dĂ©cembre 2020
    91. Statistiques officielles de l'Insee, section Revenus et pauvreté des ménages, consulté le 14 septembre 2020
    92. Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chÎmage au sens du recensement en 2017», consultée le {1er} février 2021
    93. Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2019», consultée le {1er} février 2021
    94. Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2020», consultée le {1er} février 2021
    95. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Nanteau-sur-Essonne », sur http://recensement-agricole.agriculture.gouv.fr/ (consulté le ).
    96. « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    97. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siĂšge dans la commune de Nanteau-sur-Essonne », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministĂšre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la ForĂȘt. (consultĂ© le ).
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.