Les Trois Mousquetaires : D'Artagnan
Les Trois Mousquetaires : D'Artagnan est un film franco-germano-hispano-belge réalisé par Martin Bourboulon, sorti en .
Réalisation | Martin Bourboulon |
---|---|
Scénario |
Alexandre de La Patellière Matthieu Delaporte |
Musique | Guillaume Roussel |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
Chapter 2 Pathé Films |
Pays de production |
France Allemagne Espagne Belgique |
Genre | Cape et épée |
Durée | 121 minutes |
Sortie | 2023 |
Série
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Il s'agit du premier film d'une saga en deux parties adaptée du roman Les Trois Mousquetaires d'Alexandre Dumas. La seconde partie, Les Trois Mousquetaires : Milady, est prévue le [1].
Synopsis
D'Artagnan, un jeune Gascon fougueux, est laissé pour mort après avoir tenté de sauver une jeune femme d’un enlèvement. Une fois arrivé à Paris, il tente par tous les moyens de retrouver ses agresseurs, mais il ignore que sa quête le mènera au cœur d’une véritable guerre où se joue l’avenir de la France[2].
Fiche technique
Médias externes | |
Images | |
Affiche officielle sur le site Allociné | |
Vidéos | |
Bande-annonce officielle sur le compte YouTube de Pathé |
Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par les bases de données Allociné et IMDb. Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données d'Unifrance.
- Titre original : Les Trois Mousquetaires : D'Artagnan
- Réalisation : Martin Bourboulon
- Scénario : Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte, d'après Les Trois Mousquetaires d'Alexandre Dumas
- Musique : Guillaume Roussel
- Décors : Stéphane Taillasson
- Costumes : Thierry Delettre
- Photographie : Nicolas Bolduc
- Montage : Célia Lafitedupont
- Production : Dimitri Rassam
- Sociétés de production : Chapter 2 (Mediawan) et Pathé Films ; M6 Films, Constantin Film, ZDF, DeAPlaneta et Umedia (coproductions)
- Sociétés de distribution : Pathé Distribution (France), Constantin (Allemagne), DeAPlaneta (Espagne) et Alternative Films (Belgique)
- Budget : 36 millions d'euros[3] - [4]
- Pays de production : France[5], Allemagne[5], Espagne[5], Belgique[6]
- Langues originales : français et anglais
- Format : couleur - 2,39:1 - Dolby Atmos / IMAX 6-Track
- Genre : cape et d'épée, action, aventure
- Durée : 121 minutes[7]
- Dates de sortie[7] :
- Classification :
Distribution
Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par les bases de données Allociné et IMDb.
- François Civil : D'Artagnan
- Vincent Cassel : Athos
- Romain Duris : Aramis
- Pio Marmaï : Porthos
- Eva Green : Milady de Winter
- Jacob Fortune-Lloyd (en) : le duc de Buckingham
- Vicky Krieps : Anne d'Autriche
- Louis Garrel : Louis XIII
- Lyna Khoudri : Constance Bonacieux
- Patrick Mille : le comte de Chalais
- Marc Barbé : le capitaine de Tréville
- Julien Frison : Gaston d'Orléans
- Éric Ruf : le cardinal de Richelieu
- Dominique Valadié : Marie de Médicis
- Thibault Vinçon : Horace Saint Blancard
- Gabriel Almaer : Benjamin de la Fère, frère d'Athos
- Raynaldo Houy Delattre : le comte de Rochefort
- Laurent Claret : De Monfort
- Nicolas Vaude : Le juge
- Charlotte Ranson : Isabelle de Valcour
- Stéphane Margot : un protestant, allié d'Athos
- François Civil interprète D'Artagnan.
- Vincent Cassel interprète Athos.
- Romain Duris interprète Aramis.
- Pio Marmaï interprète Porthos.
- Eva Green interprète Milady de Winter.
Production
Genèse et développement
Les prémices des deux films datent de 2019, lorsque le producteur Dimitri Rassam liste une demi-douzaine d’œuvres (dont Les Rois maudits) qui pourraient faire l'objet d'une adaptation à même de créer l'évènement sur grand écran[4]. Après avoir « sondé quelques territoires européens majeurs », il se fixe sur Les Trois Mousquetaires[9].
Début 2020, il associe au projet les scénaristes Matthieu Delaporte et Alexandre de La Patellière qui avaient déjà envisagé d'adapter le roman de Dumas au théâtre avant d'abandonner le projet. Le réalisateur Martin Bourboulon rejoint l'équipe peu de temps après, alors qu'il est en post-production de son film Eiffel. Les quatre hommes se connaissent bien pour avoir déjà travaillé ensemble sur Papa ou Maman et sa suite.
La majeure partie de l'écriture se déroule pendant le premier confinement de 2020. Il est vite décidé d'adapter le roman en deux films puis la pré-production et le casting sont lancés alors que seul le scénario du premier volet est terminé[4].
Le projet est annoncé à la presse courant 2020[10]. Ce diptyque est pensé comme une « réponse aux franchises américaines » à même de « créer l'évènement », selon le producteur Dimitri Rassam. Pour donner une idée du ton de l'adaptation, il évoque un mélange entre le Cyrano de Bergerac (1990) de Jean-Paul Rappeneau et la saga Indiana Jones[11]. Il précise également que Martin Bourboulon et lui ont revu plusieurs autres films avant le tournage pour inspiration, dont Les Duellistes (1977) de Ridley Scott, La Reine Margot (1994) de Patrice Chéreau[12] et The Revenant (2015) d'Alejandro González Iñárritu[13]. Produit par Dimitri Rassam pour Chapter 2 et Pathé, les deux films sont coproduits par des sociétés française (M6 Films), allemande (Constantin Film), espagnole (DeAPlaneta[5]) et belge (Umedia[6]). Il est préacheté par M6, OCS et Canal Plus en février 2021[5].
De leur côté, les scénaristes nourrissent aussi leur adaptation d'un travail de documentation historique, en s'appuyant par exemple sur la correspondance entre Louis XIII et Richelieu ou sur des comptes-rendus de duels de l'époque[14].
Martin Bourboulon situe quant à lui le ton des films entre le thriller et le « western royal »[15], le tout porté par une « narration immersive » soutenue par des « plans séquences et des cascades réalisées par les comédiens »[16]. En effet, selon le coordinateur des cascades, Dominique Fouassier, la production a « mis un point d'honneur à ce que ce soient tous les comédiens qui fassent leurs combats », avec « des doublures pour préparer les combats » en amont[17]. De fait, les acteurs suivent avant le tournage un entraînement d'escrime sous la direction de Yannick Borel, champion olympique et champion du monde d'épée[4].
Ce diptyque se veut une adaptation complète du roman d'Alexandre Dumas. Dès l'annonce du projet, les tournages des deux films sont prévus pour se dérouler simultanément, pour un total de 27 semaines de production et un budget de 72 millions d'euros environ[18] - [1] - [19]. Cette méthode impose la constitution de deux équipes de montage travaillant en parallèle, chacune s'occupant d'un film[9].
Il s'agit de la première adaptation cinématographique française des Trois Mousquetaires depuis 62 ans[20], la précédente étant la saga en deux parties de Bernard Borderie sortie en [20].
Attribution des rôles
En , Pathé dévoile la distribution des rôles principaux : François Civil (D'Artagnan), Eva Green (Milady), Vincent Cassel (Athos), Romain Duris (Aramis), Pio Marmaï (Porthos), Lyna Khoudri (Constance Bonacieux), Louis Garrel (Louis XIII), Vicky Krieps (Anne d'Autriche) et Oliver Jackson-Cohen (le duc de Buckingham)[19]. Cependant, pour une raison non spécifiée, Oliver Jackson-Cohen est remplacé avant le tournage par Jacob Fortune-Lloyd[1] - [21]. En , Éric Ruf (cardinal de Richelieu), Marc Barbé (capitaine de Tréville) et Patrick Mille (comte de Chalais) rejoignent la distribution[21].
Le réalisateur Martin Bourboulon et le producteur Dimitri Rassam avaient une liste idéale d'acteurs pour incarner les mousquetaires, et, les quatre comédiens auxquels ils avaient pensé pour les rôles les ont acceptés[22]. Le premier personnage casté a été celui de D'Artagnan[22], joué par François Civil[22] - [23] - [24], qui réalise un rêve d'enfance de jouer ce rôle[25] - [26] - [27]. Lorsque ce dernier apprit que Dimitri Rassam souhaitait le rencontrer pour parler du projet début [28], l'acteur a décidé de tout donner, taillant sa moustache, faisant un petit catogan avec ses cheveux longs[29], se faisant passer pour D'Artagnan lors de la rencontre[25] et en mentant au producteur en en lui disant que Les Trois Mousquetaires était son livre de chevet et qu'il le connaissait par cœur[29], alors qu'il n'avait acheté sa version audio que deux jours auparavant et qu'il l'avait écouté en trois fois la vitesse de lecture normale afin d'être prêt pour l'entrevue[29]. Pour François Civil, sa rencontre avec Dimitri Rassam ressemblait un peu à celle de D'Artagnan et Tréville, le capitaine des mousquetaires, lorsqu'il arrive en lui disant qu'il était prêt à être mousquetaire[29]. Plus tard, environ six à huit mois après avoir été casté pour le film et avoir reçu le scénario, François Civil a finalement lu le roman Les Trois Mousquetaires lors du premier confinement dû à la pandémie de Covid-19[30].
Martin Bourboulon et Dimitri Rassam voulaient une approche moderne et des rôles féminins forts dans cette adaptation[22]. Pour le rôle de Milady de Winter, ils voulaient une « actrice mystérieuse », donc Eva Green a été casté[22]. Vincent Cassel tournait la série Liaison avec Eva Green lorsqu'il a proposé l'actrice au producteur Dimitri Rassam, et peu de temps après, elle a reçu les scénarios et accepté le rôle[31].
Dans cette nouvelle adaptation de Les Trois Mousquetaires, Porthos (incarné par Pio Marmaï) est bisexuel[32] - [33].
Tournage
Les Trois Mousquetaires : D'Artagnan et Les Trois Mousquetaires : Milady ont été tournés conjointement pendant 150 jours en France[34], dans des monuments tels que le Palais du Louvre, l'Hôtel des Invalides à Paris, les châteaux de Fontainebleau (Seine-et-Marne), de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), de Fort la Latte (Côtes-d'Armor) et de Chantilly (Oise), ainsi que la citadelle de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) et le centre-ville historique de Troyes (Aube)[35] - [36].
Le tournage débute le 16 août 2021[37] et s'est terminé le 3 juin 2022 au château de Farcheville (Essonne)[38] - [39].
L'intégralité du tournage se déroule en France, et, à part pour un jour en studio, totalement en décors naturels aménagés[40] - [41].
Début , l'équipe tourne à Compiègne (Oise), puis se rend dans la ville de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), notamment au Fort National, qui fait office de doublure pour les fortifications de La Rochelle[42] - [43], ainsi que sur la plage de l’Éventail[44]. La plage Bonaparte de Plouha (Côtes-d'Armor) sert également de décor[45], ainsi que le Fort la Latte à Plévenon[46]. Ces décors des Côtes-d'Armor servent de cadre aux scènes du siège de la Rochelle, présenté dans le deuxième film.
Le tournage se déroule également en Île-de-France, notamment à Paris (hôtel des Invalides, le palais du Louvre) et en Seine-et-Marne (château de Fontainebleau[47], cité épiscopale et cathédrale de Meaux[48]), ainsi que dans l'Oise (château de Chantilly) et le Val-d'Oise (Mériel, Abbaye de Royaumont))[1] - [49], les Yvelines (château de Saint-Germain-en-Laye)[50], la Seine-Saint-Denis (Maison d'éducation de la Légion d'honneur à Saint-Denis), et les Hauts-de-Seine (Levallois-Perret)[51].
En , le tournage reprend après une pause d'un mois. Néanmoins il est à noter que les deux films sont tournés en même temps et dans le désordre : la première partie du tournage ne coïncide pas forcément avec la première partie du diptyque (les scènes du siège de la Rochelle ayant été filmées à l'automne 2021 n'apparaîtront par exemple que dans le deuxième volet). En , l'équipe prend ses quartiers à Troyes, notamment dans la Maison de l'outil et de la pensée ouvrière, dont une des salles servira par exemple de base au décor de la chambre de D'Artagnan[52] - [36]. Le tournage se déroule également le même mois aux Hospices de Beaune (Côte-d'Or)[53] ainsi que sur le domaine du Valpendant dans la commune de Presles (Val-d'Oise) et le château de la Cordelière à Chaource (Aube)[54]. En , le tournage se déplace au château de Farcheville (Essonne)[55], puis à Moret-Loing-et-Orvanne (Seine-et-Marne)[56].
Prévu pour courir jusqu'au [4], le tournage reprend pour quelques jours après le festival de Cannes, pour finalement terminer le au château de Farcheville[57] - [58]. Le tournage des deux films aura ainsi duré 150 jours[59].
- Rue d'Ulm à Compiègne.
- Plage de l'Éventail de Saint-Malo
- Domaine du Valpendant à Presles
Décors du premier film
Certains des décors montrés dans ce film sont[60] :
- le château de Fontainebleau, figurant la salle du Conseil du roi, les couloirs du Louvre et la chapelle de la reine ;
- le château de Farcheville, figurant le Conseil de guerre du roi et un intérieur à la Rochelle ;
- l'hôtel de Lauzun, figurant la chambre de la reine ;
- le fort du Trou-d'Enfer, pour une scène à la morgue de Paris ;
- l'abbaye de Royaumont, tenant le rôle de l'Abbaye du Val de Grâce ;
- l'Abbaye de Longpont, pour d'autres scènes dans l'Abbaye du Val de Grâce ;
- le château de Compiègne, qui figure l'Hôtel des mousquetaires, et qui est anachronique : l'histoire se déroule sous le règne de Louis XIII, or ce château a été construit à l'époque de Louis XV ;
- le quai Étoile du Roy à Saint-Malo, pour des scènes à la Rochelle ;
- le fort la Latte, figurant le Fort royal à La Rochelle ;
- le fort National, à Saint-Malo, figurant le Petit Fort de Villeneuve de Radis ;
- la place Chateaubriand à Saint-Malo, pour diverses scènes à la citadelle de La Rochelle ;
- la plage Bonaparte de Plouha, pour la scène du débarquement du Duc de Buckingham ;
- la cathédrale Saint-Étienne de Meaux, pour la scène du mariage[61] ;
- le Louvre :
- extérieur : la Cour Carrée,
- intérieur : l'Escalier du Sud, l'un des deux escaliers imposants se situant aux deux extrémités de la Colonnade.
Accueil et sortie
Promotion
La première image du film a été dévoilée le [1]. Le , le magazine Première a publié deux couvertures avec les acteurs principaux du film (François Civil, Vincent Cassel, Romain Duris, Pio Marmaï et Eva Green)[62].
Deux nouvelles images paraissent le [63]. Quinze minutes du film ont été montrées au marché du film du Festival de Cannes 2022[63]. Le premier teaser et l'affiche officielle sont livrés le [64] - [35].
La bande-annonce officielle a été dévoilée le [65]. Les affiches individuelles pour les personnages sont quant à elles montrées le [66].
Accueil critique
D'Artagnan
Site | Note |
---|---|
Allociné |
Périodique | Note |
---|---|
L'Obs | |
La Voix du Nord | |
Journal du Geek | |
Paris Match | |
Écran Large |
En France, le site Allociné propose une moyenne de 3,7⁄5, d'après l'interprétation de 37 critiques de presse[67].
La critique est majoritairement favorable au film. Pour la rédaction de CNews, « Martin Bourboulon réussit à remettre le film de cape et d’épée au goût du jour, grâce à une mise en scène rythmée et ambitieuse, ainsi qu’à des acteurs qui prennent un malin plaisir à incarner ces héros populaires. »[68].
Barbara Théate écrit pour Le Journal du dimanche, « portée par la mise en scène enlevée de Martin Bourboulon, cette énième adaptation réussit à donner un nouveau souffle, âpre et fougueux, aux aventures d’un des plus célèbres héros de la littérature française : les combats à l’épée offrent un réalisme spectaculaire, les costumes sont d’un luxe absolu, les dialogues mêlent goût du romanesque et humour bravache. »[69].
Jacky Bornet, pour FranceInfo Culture, souligne le « charisme » de la distribution. Le critique rajoute : « Epique, romanesque et ponctuée de très beaux duels, cette nouvelle version, tout en décors naturels, bénéficie des atouts d’une grande production », actualisant le genre de cape et d'épée dans une adaptation de l'œuvre de Dumas quelque peu plus sombre qu'à l'accoutumée[70].
Christophe Caron, pour La Voix du Nord, constate « le respect des figures totémiques » tout en ayant une version actualisée. Là aussi, le critique félicite le casting jugé « malin ». Un nuage sombre à l'horizon : la multiplication des sous-intrigues qui peuvent peut-être faire trop pour le spectateur. Le critique estime que « c’est bien le panache bondissant du grand divertissement populaire qui prend le dessus » sur des intrigues amoureuses inspirées par l'ère post-MeToo, permettant d'attendre « sereinement » le second volet[71].
« À mi-chemin entre le western et le film de cape et d’épée dans la pure tradition du genre », le long-métrage de Martin Bourboulon semble avoir été apprécié par Julie Hay (Journal du Geek). Elle résume sa critique ainsi : « Les Trois Mousquetaires : D'Artagnan n'a pas peur de mettre le feu aux poudres. Le premier volet de la saga, pensée en deux opus, tranche dans le vif et offre un grand spectacle aux amateurs des récits de Dumas mais pas seulement. Un divertissement familial qui rivalise sans problème avec les super-productions hollywoodiennes. En garde ! »[72].
Lino Cassinat (Écran Large) se montre plus nuancé quand au premier volet de ces Trois Mousquetaires. Le critique reconnait beaucoup de mérite et de bonne volonté aussi bien à la production qu'au réalisateur, que de vouloir faire des films français plus modernes et ambitieux, qu'au réalisateur. Les scènes de combat ne sont pas suffisamment travaillées sur la mise en scène, donnant « un flux visuel uniforme et légèrement brouillon ». Les décors ainsi que les costumes sont une réussite pour le critique. Un autre point négatif soulevé par le critique est le manque de développement des personnages, notamment ceux d'Aramis et Porthos, mais surtout celui de d'Artagnan, dont « les motivations demeurent une drôle d'énigme une fois rendu au générique de fin »[73].
Maroussia Dubreuil, dans Le Monde, considère que le film mise tout sur « l'humour et un casting efficace » et « ce premier opus participe à la grande séance de rattrapage du féminisme en offrant des partitions hardies à ses deux protagonistes, Milady et mademoiselle Bonacieux. »[74].
Pour Lelo Jimmy Batista, dans Libération, « Les Trois Mousquetaires a les airs d’une visite officielle – tout est verrouillé, propre, de bon goût, et manque cruellement de folie. Les deux heures passent vite, mais, soyons honnêtes, on ne s’amuse jamais vraiment. »[75].
Dans sa critique pour La Croix, Céline Rouden n'est pas très emballée pas le résultat de ce premier volet des Trois Mousquetaires : « Confiée au réalisateur d’Eiffel, cette version des Trois Mousquetaires entend revisiter le film de cape et d’épée en lui apportant une touche de modernité. Mais ni le casting, aux interprétations disparates, ni l’esthétique très sombre, ni le soupçon de second degré ne parviennent à faire décoller le film. »[76].
Box-office
Pays ou région | Box-office | Date d'arrêt du box-office | Nombre de semaines |
---|---|---|---|
France | 3 313 471 entrées[77] | en cours | 11 |
Mexique | 362 000 entrées | en cours | 2 |
Russie | 308 000 entrées[7] | en cours | 6 |
Espagne | 108 864 entrées[77] | en cours | 4 |
Italie | 104 000 entrées[7] | en cours | 6 |
Brésil | 97 772 entrées[7] | en cours | 2 |
Allemagne | 27 261 entrées[77] | en cours | 4 |
Belgique | 15 000 entrées | en cours | 6 |
Total mondial | 32.397 million €[78] / 35 million USD[79]. | en cours | en cours |
France
Pour son premier jour d'exploitation en France, Les Trois Mousquetaires : D'Artagnan réalise 197 224 entrées, dont 121 185 en avant-première, pour un total de 2 915 séances proposées dans 732 salles[80] - [81]. En comptant pour ce premier jour les avant-premières, le film se positionne en seconde place du box-office des nouveautés pour sa journée de démarrage, derrière Super Mario Bros. le film (281 442) et devant Mon chat et moi, la grande aventure de rroû (9 853)[82].
Lors de son premier week-end d'exploitation, le film réalise plus de 724 000 entrées, le plaçant en deuxième place du box-office, derrière Super Mario Bros. le film (1 364 123), et devant Je verrai toujours vos visages (128 770)[83]. Au bout d’une première semaine d’exploitation dans les salles françaises, le long-métrage totalise 1 007 159 entrées franchissant la barre symbolique du premier million d'entrées, toujours pour une seconde place au box-office, derrière Super Mario Bros. le film (1 866 914) et devant Je verrai toujours vos visages (194 589)[84].
C'est au cours de son troisième week-end d'exploitation que D'Artagnan franchit le cap des 2 millions d'entrées, soit une baisse de fréquentation de 24 % par rapport à la précédente grosse production française de l'année, Astérix et Obélix : L'Empire du Milieu[85].
Après 6 semaines d'exploitation, Les Trois Mousquetaires quittent pour la première fois le podium : avec une baisse de 49 % de rentabilité par rapport à la semaine précédente pour un total de 123 014 entrées supplémentaires, le long-métrage passe à la 4e place du box-office hebdomadaire, derrière L'Exorciste du Vatican (155 555) et devant Hawaii (71 825). Ces chiffres permettent toutefois au film de franchir le seuil des 3 millions de tickets vendus sur son territoire national et de s'assoir comfortablement en troisième place des films français et à la quatrième place toutes origines confondues au box-office local pour l'année 2023[86] - [87].
International
Unifrance a annoncé le vendredi 5 mai 2023 qu'exactement 1 mois après sa première date de sortie, le film avait passé le cap symbolique des 1 million d'entrées à l'international (soit 5.86M€ de recettes hors France). Ceci notamment grâce à un démarrage en trombe au Mexique durant sa première semaine en salles avec 258 000 entrées et une quatrième place décrochée au box-office local. Le pays d'Amérique centrale a donc brigué la place de second marché du film, dépassant la Russie, dès sa deuxième semaine d'exploitation[88].
À la mi-mai, Unifrance a complété cette annonce en révélant son étude des chiffres d'exploitation des films français à l'étranger en avril 2023. Avec 1 374 768 entrées cumulées grâce à 5 540 copies sur 42 territoires, équivalent à 7 332 252 euros de recettes (chiffres consolidés le 10 mai 2023)[89]; Les Trois Mousquetaires - D'Artagnan était le film français le plus vu en salles dans le monde durant ce mois précis. Il est devenu ainsi la troisième production hexagonale à comptabiliser plus de 1 million de tickets hors de ses frontières depuis le début de l’année 2023[90]. Le film est sorti en salles ou a été acquis par un distributeur pour sortir en salles dans 64 pays hors France à ce jour[91].
La société de distribution québécoise du film Sphère Films a annoncé qu'il avait passé la barre symbolique des 500,000 $ CAN de recettes le jeudi 1er juin 2023 au bout de sa 5ème semaine en salles au Québec[92] - [93]. Le film y affichait une bonne tenue, étant toujours dans le top 10, le seul film en V.O.F (version originale francophone) représenté et engrangeant 515,600 $ CAN de recettes en 6ème semaine d'exploitation[94] - [95].
Variety a annoncé le 15 juin 2023, qu'au vu du bel accueil international pour le premier opus (et ses 35 millions de dollars américains de recettes globales), Samuel Goldwyn Films avait acquis les droits de diffusions des deux films du dyptique sur le marché américain pour une sortie en salles prévue en décembre de la même année[96].
PEN India Ltd et M International Media vont sortir le film le 23 juin 2023 dans les salles indiennes [97].
Références historiques et anachronismes
Les auteurs du film suivent les pas de Dumas et s'arrangent donc comme lui avec la vérité historique en parsemant leur film de quelques anachronismes par goût esthétique ou narratif.
Costumes
- La France ne commence à instaurer l'uniforme militaire qu'à partir des années 1660, mais les mousquetaires, en tant que troupe d'élite du roi, portent dès 1622 une casaque bleue à quatre pans ornée de croix blanches fleurdelisées par-dessus leurs habits civils[98]. Par goût esthétique, et contre l'avis du conseiller historique du film Julien Wilmart[99], l'équipe du film remplace ces casaques par des manteaux bleu marine portant un blason en forme de croix cousu sur l'épaule. On notera néanmoins que ces manteaux sont toujours dénommés « casaques » dans les dialogues.
- On peut voir que le personnage de Benjamin de la Fère porte des lunettes à branches, or ces lunettes n'apparaissent qu'au XVIIIe siècle. À l'époque du film, les lunettes seraient plus vraisemblablement des bésicles.
- Au début du film, lors d'une scène d'orage, on voit un personnage abritant une femme sous un parapluie. Or ce parapluie ne ressemble pas à ce qui était utilisé en 1627, mais plutôt à un parapluie moderne.
Les rebelles huguenots Benjamin de La Fère et Horace Saint Blancard
Horace Saint Blancard est un personnage fictif du film, meneur des Rébellions huguenotes retranchées dans leur bastion de La Rochelle. Cela dit, le nom de famille Saint Blancard est bien celui de nombreux réfugiés huguenots ayant fuit la France après la Révocation de l'Édit de Nantes, retrouvés notamment à Berlin, au Brandebourg et aux Provinces-Unies[100] - [101] - [102] - [103]. Malgré l'homonymie, ces protestants ne sont aucunement apparentés au célèbre Bertand d'Ornézan, Baron de Saint-Blancard, amiral et général des galères au service de François 1er qui œuvra durant l'Alliance franco-ottomane avec Soliman le Magnifique et Barberousse[104] - [105] - [106].
La famille comtale de La Fère est une création de Dumas. C'est un titre fictif donné au personnage d'Athos (Olivier d'Athos, comte de La Fère) alors que son inspiration réelle s'appellait Armand de Sillègue d'Athos d'Autevielle. Dans le roman, il n'a pas de frère connu. Le choix du prénom Benjamin pour le frère d'Athos dans le film n'est pas anodin. C'est un clin d'œil appuyé à celui d'un vrai leader historique des rebelles de la cause huguenote Benjamin de Rohan, duc de Soubise, frère de Henri II de Rohan qui donnent même le surnom de ce soulèvement comme "Guerres de M. de Rohan"[107].
Un autre clin d'œil à l'Histoire espièglement fictionnalisée et commentée de manière similaire par Dumas est d'amener la foi protestante jusque chez les héros mousquetaires car le vrai Henri d'Aramitz était d'ascendance protestante. Son grand-père le capitaine huguenot Pierre d’Aramitz, joua un rôle actif dans les guerres de religion qui sévissaient dans le Béarn et la Soule à l’époque de Jeanne d'Albret et de l'apogée des États de Béarn. Pareillement, Isaac de Porthau provenait d'une famille de protestants convertis de Pau. Dumas avait évoqué l'aspect absurdement fratricide de ces conflits à travers le récit du valet de Porthos, Mousqueton, élevé dans la religion catholique alors que son frère aîné l'avait été dans la religion protestante (Chapitre XXV)[108].
Cependant Dumas n'a que survolé le contexte des 8 guerres de religion qui ont décimé les terres de ces nombreux noblions gascons et béarnais dont le statut même de mousquetaires découlait indirectement. En effet, les cadets des familles nombreuses de la petite noblesse occitane désargentée voire pauvre n'avaient pour seules voies honorables, soit le clergé, soit de tenter de "monter à Paris" et prendre les armes pour leur roi [109] dans le sillon de la filière de recrutement privilégiée[110] créée par Henri IV, "le béarnais", natif de Pau, voulant de la "noblesse d'épée" [111]de confiance et de qualité au sein de sa compagnie des "carabins" précurseurs des mousquetaires[112] et ayant lui-même oscillé entre le catholicisme de son père et de la cour du royaume de France et le calvinisme de sa mère et d'une grande partie de ses terres natales durant sa vie[113].
Les "extremistes protestants" faits prisonniers avec sur eux des lettres codées, mentionnés lors du conseil du roi: Achille Brandicourt et Nicolas Beaumont, sont eux aussi des créations des scénaristes[114].
Dialogues
- Quand Richelieu déclare « La reine préfère le déshonneur à la guerre. Elle aura le déshonneur, et nous aurons la guerre. », ceci est une référence à une citation apocryphe de Winston Churchill : « Le gouvernement avait le choix entre la guerre et le déshonneur ; il a choisi le déshonneur et il aura la guerre. » qu'il aurait adressée à Neville Chamberlain (la citation aurait apparemment été inventée par l'historien William Manchester).
- Le film fait une référence à peine voilée au Cyrano de Bergerac d'Edmond Rostand en utilisant la dénomination de « Cadets de Gascogne » pour désigner un corps militaire, ce qui est une invention de Rostand, et en reprenant de plus son hymne des cadets (« Ce sont les cadets de Gascogne, De Carbon de Castel-Jaloux...»)[115], ici déclamé en chœur et en chanson lors d'une scène de taverne. Les véritables Cyrano de Bergerac et d'Artagnan ont été compagnons d'armes au cours du Siège d'Arras (1640).
- La reine Anne d'Autriche, née en Espagne, ne parlait pas l'anglais, langue peu connue à l'époque sur le continent. Elle avait d'ailleurs eu des difficultés à apprendre le français et le parlait avec un fort accent espagnol ce qui n'est pas montré dans le film.
- Lorsque la jeune lingère du Louvre et mercière Constance Bonacieux recoud la blessure de d'Artagnan, elle parle de «centimètres». Or les étalons du mètre et du kilogramme furent créés en 1799 après la Révolution et on peut imaginer que leur utilisation dans la société fut encore plus tardive.
Lieux des intrigues
La reine et le duc de Buckingham se retrouvent à l'abbaye du Val de Grâce. L'édifice est gothique (séquences tournées à Royaumont) alors que la véritable abbaye du Val de Grâce a été construite suite à un vœux d'Anne d'Autriche de donner un héritier au roi au milieu du XVIIeme siècle. Elle n'existait donc pas à l'époque où l'intrigue est censée avoir lieu. On voit le roi et la reine chasser à Chantilly avec en arrière plan le château tel qu'il a été reconstruit par le duc d'Aumale au XIXeme siècle. Le roi réside au Louvre, or on voit dans le film la Cour carrée, construite pour l'essentiel par Louis XIV. Seule l'aile Pierre Lescot et le pavillon de l'horloge existaient à l'époque de Louis XIII.
Autour du film
Adaptation de l'univers de Dumas
La même équipe de production (Chapter 2 et Pathé) et les mêmes scénaristes ont prévu ensuite de réaliser une autre adaptation à gros budget de Dumas, consacrée cette fois au Comte de Monte-Cristo[116]. Pour ce film, Matthieu Delaporte et Alexandre de La Patellière signeront le scénario ainsi que la réalisation. La sortie en salles est fixée au 23 octobre 2024[117].
Possible suite au diptyque
En cas de succès public, ces deux films pourraient être suivis de l'adaptation de Vingt Ans après et du Vicomte de Bragelonne, les romans de Dumas qui faisaient eux-mêmes suite aux Trois Mousquetaires, a priori sous la forme de deux autres films « autour des Trois Mousquetaires qui feront le lien avec Vingt Ans Après et Le Vicomte de Bragelonne »[118] - [119]. Le troisième volet pourrait ainsi s'intituler Le Masque de fer[120].
Séries dérivées
Pathé et Chapter 2 développent également deux séries dérivées en lien avec les films, l'une dont le titre international est Milady Origins, centrée sur le passé du personnage éponyme, et l'autre intitulée Black Musketeer, centrée sur le personnage fictif de Hannibal -qui apparaît dans le deuxième opus du diptyque- inspiré du personnage historique réel d'Aniaba, prince d'Assinie et filleul de baptême de Louis XIV, le premier et unique mousquetaire noir de l'Histoire.
Le tournage est prévu pour le deuxième trimestre 2023[120]. Les deux séries seront supervisées par Matthieu Delaporte et Alexandre de La Patellière[121], avec deux équipes de scénaristes plus particulièrement dédiées à chaque série : Judith Havas et Simon Jablonka pour la série consacrée à Milady Origins et Thomas Mansuy et Mathieu Leblanc, avec Sarah Malléon et Nils-Antoine Sambuc, pour Black Musketeer. Ces deux séries seront coproduites et diffusées par Disney+[122].
Notes et références
- (en) Elsa Keslassy, « Pathé, Dimitri Rassam’s $85-Million The Three Musketeers – d’Artagnan – Milady Kicks Off Filming in France », sur Variety, (consulté le ).
- « Pathé International », sur Pathé international (consulté le ).
- Fabien Lemercier, « 340 longs métrages produits par la France en 2021 », sur Cineuropa,
- Thomas Baurez, Thierry Chèze et Gaël Golhen, « Au cœur de l'action - Dans les coulisses des Trois Mousquetaires », Première, (lire en ligne).
- (en) Elsa Kelassy, « Dimitri Rassam, Pathe Team on Big-Budget ‘The Three Musketeers’ Film Adaptation (EXCLUSIVE) », sur Variety, (consulté le ).
- Fabien Lemercier, « Critique : Les Trois Mousquetaires : D'Artagnan », sur Cineuropa,
- « Les Trois Mousquetaires : D'Artagnan », sur Unifrance (consulté le ).
- « Les Trois Mousquetaires : D'Artagnan | Visas et Classification | CNC », sur CNC.fr (consulté le )
- « "Eiffel", "Illusions perdues", "Les Trois Mousquetaires" : le retour des blockbusters made in France », sur BFMTV (consulté le ).
- « "Les Trois Mousquetaires" à nouveau adapté au cinéma par Pathé », sur Le Journal du dimanche, (consulté le ).
- « Le réalisateur de Papa ou maman prépare une adaptation en deux parties des Trois Mousquetaires », sur BFMTV (consulté le ).
- Fanny Dolle, « Ma journée sur le tournage des Trois Mousquetaires à Compiègne », sur Courrier picard, (consulté le ).
- Jérôme Lachasse, « "Les Trois mousquetaires", un blockbuster made in France aux allures de western », sur BFM TV,
- « SÉANCE TENANTE #1 - The Northman, The Duke, Les Trois Mousquetaires - YouTube », sur www.youtube.com (consulté le ).
- « « Eiffel » : l’amour avec un grand A », sur La Nouvelle République du Centre-Ouest, (consulté le ).
- Émilie Chassevant, « La spectaculaire ascension de Martin Bourboulon dans les étages du cinéma », Ouest France, (lire en ligne).
- « VIDÉO. Dans les coulisses du tournage des «Trois Mousquetaires» à Troyes », sur Journal L'Est Eclair, (consulté le ).
- Emma Poesy, « La tonitruante bande-annonce des Trois Mousquetaires affiche ses ambitions hollywoodiennes », sur Le Figaro,
- « Les Trois Mousquetaires : François Civil, Eva Green, Vincent Cassel, Romain Duris... au casting ! », sur Allociné, (consulté le ).
- Valérie de Marnhac, « Sorties cinéma de la semaine : "Les Trois Mousquetaires" et "L'Établi" », sur RCF.fr,
- (en) Nicole Zamlout, « 'The Three Musketeers' Posters Reveal Full Cast for Upcoming Movies From Director Martin Bourboulon », sur Collider,
- « Dans les coulisses des Trois Mousquetaires : le casting et le tournage [2/2] », sur Première,
- Fabienne Bradfer, « Un spectacle pour tous: «Les trois mousquetaires» font mouche », sur Le Soir, -
- Yves Jaeglé, « « Les Trois Mousquetaires, c'est le GIGN de l'époque » : les coulisses d'un film épique » [archive du ] , sur Le Parisien,
- Julienne Farine, « François Civil a menti pour avoir le rôle de d'Artagnan », sur 20 Minutes,
- « Cinéma : le roman "Les Trois Mousquetaires" une nouvelle fois porté au cinéma », sur France Télévisions,
- « François Civil : le personnage qu'il rêve d'interpréter au cinéma ! », sur YouTube,
- Olivier Rajchman, « François Civil (Les Trois Mousquetaires) : "Entre mon métier et ma vie avec mes amis, c'est vite vu" », Télé-Loisirs,
- Stéphane Boudsocq, « INVITÉ RTL - "Les Trois mousquetaires" : François Civil raconte comment il a décroché le rôle de "D'Artagnan" », sur RTL,
- Yves Jaeglé, « François Civil, d'Artagnan dans « Les Trois Mousquetaires » : « Il a fallu mouiller le maillot » » [archive du ] , sur Le Parisien, .
- Thierry Cheze, « [Exclu] Eva Green en couverture de Première pour Les Trois Mousquetaires : "Milady a un côté psychopathe" », sur Première, .
- Clément Arbrun, « L'un des "Trois Mousquetaires" était-il vraiment bisexuel, comme dans le film ? », sur Terrafemina, .
- Gilles Kerdreux, « Les mousquetaires passent dans l'Ouest avant de débarquer en force au cinéma en avril » [archive du ], sur Ouest-France, (consulté le ).
- Dimitri Rassam, « Tweet de Dimitri Rassam », sur Twitter, : « 150 jours de tournage (8 mois) »
- (en) Elsa Keslassy, « ‘The Three Musketeers: D’Artagnan:’ Trailer, Official Poster Unveiled by Pathe, Chapter 2 (EXCLUSIVE) », sur Variety,
- « Troyes : tournage de deux films sur Les Trois Mousquetaires », sur YouTube,
- « Les trois mousquetaires de Martin Bourboulon entre en tournage », sur Le Film français,
- Stéphane Joby, « Au château de Farcheville (Essonne), derniers jours de tournage pour Les Trois Mousquetaires, aventure au long cours de @MBourboulon », sur Twitter,
- Dimitri Rassam, « Clap de fin de tournage », sur Twitter,
- « C'est l'un des projets les plus ambitieux du cinéma français. Le tournage pendant 7 mois de l'adaptation du roman d'Alexandre Dumas, Les trois mousquetaires », sur www.rtl.fr (consulté le ).
- « La France de d'Artagnan - uMap », sur umap.openstreetmap.fr (consulté le )
- « Saint-Malo - Les « Trois Mousquetaires » invertissent le Château de Saint-Malo », sur Le Télégramme, (consulté le ).
- « Saint-Malo. Les Trois Mousquetaires : un tournage exceptionnel et en public ! », sur Ouest-France, (consulté le ).
- « Cassel et Duris à l’assaut de Saint-Malo sur le tournage des Trois Mousquetaires », sur Ouest-France, (consulté le ).
- « Cinéma : le film Les Trois Mousquetaires en tournage plage Bonaparte à Plouha », sur actu.fr, (consulté le ).
- « Les trois mousquetaires ont investi le Fort-La-Latte, à Plévenon », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
- « Fontainebleau. Casting : postulez pour le tournage des Trois Mousquetaires au château », sur Actu.fr, (consulté le ).
- « Meaux accueille des stars du cinéma pour le tournage d'un film historique », sur actu.fr, (consulté le ).
- « Val-d'Oise : des figurants recherchés pour un film avec Vincent Cassel, Eva Green et François Civil », sur actu.fr, (consulté le ).
- « Yvelines. Saint-Germain-en-Laye. Un casting pour le film « Les Trois Mousquetaires – Milady » », sur actu.fr (consulté le ).
- « Les Trois Mousquetaires à Levallois », sur Ville de Levallois, (consulté le ).
- « Troyes : Les Trois Mousquetaires s’invitent à la Maison de l’Outil », sur canal32.fr (consulté le ).
- « Beaune. Le tournage des Trois mousquetaires investit l’Hôtel-Dieu avec Vincent Cassel, François Civil, Romain Duris et Pio Marmaï », sur Le Bien public, (consulté le ).
- Par Chaource, « Film « les Trois Mousquetaires » – Tournage à la Cordelière », sur Chaource en pays d'Armance (consulté le ).
- « Casting figurants Essonne à Farcheville pour le film Les 3 mousquetaires », sur Laminute.info (consulté le ).
- « Moret. Un tournage avec des stars du cinéma va perturber le centre-ville », sur actu.fr (consulté le ).
- « Tweet de Stéphane Joby le 1 juin 2022 », sur Twitter, (consulté le ).
- « Tweet de Dimitri Rassam le 3 juin 2022 (1) », sur Twitter, (consulté le ).
- « Tweet de Dimitri Rassam le 3 juin 2022 (2) », sur Twitter, (consulté le ).
- « La France de d'Artagnan - uMap », sur umap.openstreetmap.fr (consulté le )
- « «Les Trois mousquetaires»: la cathédrale de Meaux entièrement redécorée pour accueillir le tournage du film », sur leparisien.fr (consulté le )
- « [Exclu] Les Trois Mousquetaires en couverture de Première : "Ces deux films sont des westerns modernes" », sur Première, .
- Charles Martin, « Les Trois Mousquetaires : D'Artagnan, Athos et Milady sur de nouvelles photos », sur Première, .
- Pathé Films, « L'affiche officielle du premier film de la saga LES TROIS MOUSQUETAIRES se dévoile ! LES TROIS MOUSQUETAIRES - D’ARTAGNAN à retrouver en salles le 5 avril 2023 ! », sur Twitter, .
- Edouard Orozco, « Les Trois Mousquetaires : D’Artagnan dévoile sa bande-annonce spectaculaire », sur Première, .
- Lucie Chiquer, « Les Trois Mousquetaires : les affiches personnages avec François Civil, Eva Green, Vincent Cassel... », sur Première, .
- « Critiques presse pour le film Les Trois Mousquetaires : D'Artagnan », sur Allociné (consulté le ).
- « Les Trois Mousquetaires : D'Artagnan : on a vu le premier volet du diptyque, et voici ce qu'on en a pensé », sur CNews, (consulté le )
- Barbara Théate, « Les films à voir ou à éviter la semaine du 5 avril », sur Le JDD, (consulté le )
- Jacky Bornet, « Les Trois mousquetaires : D'Artagnan : le retour fougueux au cinéma d'un classique, avec un casting cinq étoiles », sur France Info Culture, (consulté le )
- Christophe Caron, « Au cinéma: «Les Trois Mousquetaires - D’Artagnan»****, où l’on apprend que François Civil a menti pour décrocher le rôle », sur La Voix du Nord, (consulté le )
- Julie Hay, « Critique Les Trois Mousquetaires : D’Artagnan est tout feu, tout “lame” ⚔️ », sur le Journal du Geek, (consulté le )
- Lino Cassinat, « Les Trois Mousquetaires : D'Artagnan - critique qui tousse pour un », sur Ecran Large, (consulté le )
- Maroussia Dubreuil, « « Les Trois Mousquetaires. D’Artagnan » : un fougueux boys band à l’esprit boy-scout » , sur Le Monde, (consulté le )
- Lelo Jimmy Batista, « Critique - «Les Trois Mousquetaires : D’Artagnan», ça peut le fer », sur Libération, (consulté le )
- Céline Rouden, « Cinéma : Alexandre Dumas, le scénariste adoré des réalisateurs » , sur La Croix, (consulté le )
- « Les Trois Mousquetaires : D'Artagnan (2023) », sur JPBox-office (consulté le ).
- variety.com .
- (en) Brent Lang, « Samuel Goldwyn Films Buys U.S. Rights to ‘The Three Musketeers,’ Two-Part Epic With Vincent Cassel, Eva Green (EXCLUSIVE) », sur Variety, (consulté le ) : « The two films were shot back-to-back, with the first film “The Three Musketeers: D’Artagnan” released in France this past April, earning $35 million at the international box office. The sequel “The Three Musketeers: Milady” will open in the country on Dec. 13. ».
- Tanguy Colon, « Box-office 1er jour : Super Mario Bros en tête de course », sur Boxoffice Pro, .
- Bertrand Lott, « Box-office : “Super Mario Bros” à fond sur le champignon », sur Télérama, .
- Brigitte Baronnet, « Box-office : Super Mario ou Les Trois Mousquetaires, quel film remporte le match du premier jour France ? », sur Allociné, .
- Tanguy Colon, « Box-office week-end : Super Mario Bros en mode étoile filante », sur Boxoffice Pro, .
- Maximilien Pierrette, « Super Mario et Les 3 Mousquetaires déjà millionnaires au box-office France », sur Allociné, (consulté le )
- Slim Mrad, « Box-office week-end : les 4 millions pour Mario, les 2 millions pour D’Artagnan », sur boxofficepro.fr, (consulté le )
- Slim Mrad, « Box-office hebdo : Les Gardiens de la Galaxie 3 double millionnaire », sur boxofficepro.fr, (consulté le )
- Vincent Formica, « Les Gardiens de la Galaxie 3 : 2 millions d'entrées au box-office France pour le film Marvel », sur Allociné, (consulté le )
- Unifrance, « "Les Trois Mousquetaires – D’Artagnan" franchit le million de spectateurs à l’international », sur Twitter, (consulté le )
- Andrea Sponchiado, « Box-office international des films français - Avril 2023 », (consulté le )
- « 300+ films exploités et 230+ nouvelles sorties pour 3,4 M d’entrées et 21,6 M€ de recettes », sur Unifrance, (consulté le )
- « Les Trois Mousquetaires - D'Artagnan - Sorties à l'international - Ditributeur/Acheteurs », sur Unifrance, (consulté le )
- Sphère Films, « "Déjà 500 000 $ au box-office québécois" », sur Facebook, (consulté le )
- Agence Cinéac, « "Top 10 - Semaine du 26 Mai au 01 Juin 2023 (semaine 22)" », sur Box-Office Québec par Cinéac, (consulté le )
- Cinoche.com, « "Box-Office Québécois - par l'Agence Cinéac - du vendredi 2 juin au dimanche 4 juin 2023" », sur Cinoche.com, (consulté le )
- Cinoche.com, « Les Trois Mousquetaires : D'Artagnan Box-Office Québécois du film semaine par semaine - Données Cinéac » (consulté le )
- (en) Brent Lang, « Samuel Goldwyn Films Buys U.S. Rights to ‘The Three Musketeers,’ Two-Part Epic With Vincent Cassel, Eva Green (EXCLUSIVE) », sur Variety, (consulté le ) : « The two films were shot back-to-back, with the first film “The Three Musketeers: D’Artagnan” released in France this past April, earning $35 million at the international box office. The sequel “The Three Musketeers: Milady” will open in the country on Dec. 13. »
- (en) Taran Adarsh, « BIG BUDGET FRENCH FILM TO RELEASE IN INDIA » : « French film The Three Musketeers : D'Artagnan is coming to Indian cinemas on 23 June 2023, courtesy of M International Media and PEN Marudhar/PEN India Ltd. »
- « Le Guichet du Savoir »,
- « https://twitter.com/JulienWilmart/status/1628699866321809410 », sur Twitter (consulté le )
- (en) « Huguenot Refugees in Brandenburg and Berlin, Germany », sur FamilySearch.org (consulté le ) : « Walter de Saint Blancard, ex-pastor of Montpéllier, was named chaplain of the Court of Berlin, and charged with the settlement of the refugees of Languedoc. It was he who presented to the elector the French of high birth. »
- (de) Hubert Bost (dir.), Manuela Böhm et Jens Häseler, « De Montpellier à Berlin : l’itinéraire du pasteur François de Gaultier de Saint-Blancard (1639-1703) », in Hugenotten zwischen Migration und Integration. Neue Forschungen zum Refuge in Berlin und Brandenburg, Metropol-Verlag, , 280 p. (ISBN 3936411735)
- « Pierre Bayle et le Refuge au Brandebourg », sur OpenEdition.org (consulté le ) : « Bayle est également en correspondance avec François Gaultier de Saint-Blancard (1639-1703), qui est initialement ministre à Montpellier. Ayant été modérateur du dernier synode du Bas-Languedoc tenu à Uzès en 1681, et le temple de Montpellier ayant été détruit l’année suivante (à l’occasion de l’« affaire Paulet »), Gaultier de Saint-Blancard sort de France en 1683, emmenant avec lui sa femme et ses deux enfants ; il se réfugie d’abord en Suisse, ensuite en Hollande et enfin au Brandebourg, où il est envoyé par Guillaume d’Orange en mission auprès du prince-électeur en vue d’une alliance des puissances protestantes. Ses deux frères, Barthélemy et Jacques, le rejoignent à Berlin peu après la Révocation. François gagne la confiance de Frédéric-Guillaume, qui le retient à sa cour, à partir de 1685, en qualité de ministre. Il y contribue sans doute à la rédaction de l’Édit de Potsdam et prépare la grande coalition de 1688, devenant ainsi un des dirigeants du Refuge. En 1689, il est envoyé en Angleterre afin de féliciter Guillaume d’Orange sur la réussite de la Glorieuse Révolution. En 1690, une nouvelle mission en Suisse lui est confiée par le prince-électeur. Enfin, en 1696, il est nommé membre de la commission chargée par le consistoire de Berlin de chercher les moyens de faire rétablir l’édit de Nantes par Louis XIV. Il publie plusieurs ouvrages, dont une réfutation de Bossuet : Réflexions générales sur le livre de M. de Meaux, ci-devant évêque de Condom, intitulé « Exposition etc. » (Cologne-sur-la-Spree [Cölln] 1685, 12°), composée à la demande du prince-électeur. Puisqu’il voyage souvent entre la Hollande et le Brandebourg en tant qu’émissaire de Frédéric-Guillaume et de Guillaume d’Orange, il est un intermédiaire idéal pour les échanges entre Bayle et Jacques Lenfant. »
- Claire Gantet et Markus Meumann, Les échanges savants franco-allemands au XVIIIe siècle: Transferts, circulations et réseaux, Presses Universitaires de Rennes, , 356 p. (ISBN 2753578206)
- « La croisière du baron de Saint-Blancard, 1537-1538 [article] », sur Portail Persée (consulté le )
- « Bertrand d'ORNEZAN, seigneur d'Astarac, marquis des Iles d'Or (1521), baron de Saint-Blancard, amiral des Mers du Levant », sur GeneaNet (consulté le )
- Pierre Grillon, « Revue d’Histoire Moderne & Contemporaine, tome 15 N°4,pp. 624-661 », Armand Collin,
- Valérie Sottocasa, « Les guerres de Rohan (1620-1629) et la construction de l'identité cévenole in Bulletin de la Société de l'Histoire du Protestantisme Français (1903-2015) Vol. 152, pp. 625-645 (21 pages) », Librairie Droz, octobre-novembre-décembre 2006 (JSTOR 24309092)
- « Les Trois Mousquetaires, Alexandre Dumas - J.-B. Fellens et L.-P. Dufour, 1849 (p. 198-211) - Chapitre XXV: La maîtresse de Porthos », sur Wikisource, (consulté le )
- Joseph Miqueu, « Le Béarn des mousquetaires et des soldats du roi », sur Decitre, Cercle Historique l'Arribère, Navarrenx, (ISBN 9782918404095)
- Marie-Pierre Courtois, « Les trois mousquetaires, fils du Béarn », sur La République des Pyrénées, (consulté le )
- Élie Haddad, « Noblesse d’épée, noblesse de robe : espaces sociaux et frontières idéologiques in 21 BIS L’Atelier Bis - Frontières, seuils, limites : histoire sociale des catégorisations », sur OpenEdition.org, (consulté le ) : « S’y exprime le partage entre une noblesse récente, dite « bourgeoise », c’est-à-dire dont l’origine sociale est celle des bourgeois des villes (un statut juridique, non une classe sociale), et des nobles de cour, dont l’origine ancienne serait radicalement différente et qui sont assimilés à la fonction militaire (l’épée). Ce partage est couramment repris dans l’historiographie pour distinguer deux catégories sociales, la noblesse de robe et la noblesse d’épée. Pourtant, il est le produit d’une histoire et d’un travail social et politique propre à l’époque moderne. Il résulte de conflits sur la manière de concevoir l’appropriation par des familles, au cours du XVIe siècle, des hautes charges de justice rendues vénales et anoblissantes par la législation royale, appropriation qui contribua à redéfinir profondément le second ordre, face à une autre origine nobiliaire, seigneuriale [et souvent provinciale] cette fois. Émergea alors l’idée d’un double service possible du roi, service guerrier et courtisan d’une part, service judiciaire et financier de l’autre. »
- Bertrand Galimard Flavigny, « Les carabins à l’origine des mousquetaires », sur Actu-Juridique.fr (consulté le ) : « Que l’on ne s’y trompe pas, ces carabins-là n’étaient pas des étudiants en médecine, mais des membres de la cavalerie légère chargés d’escorter le roi et armés de carabines à canon cour, ce qui permettait de tirer tout en restant à cheval. Cette compagnie, créée par Henri III fut dotée de mousquets par Louis XIII en 1622. C’est là l’origine du corps des mousquetaires de la maison du Roi, cher à Alexandre Dumas. »
- Nicole Vray, « Jeanne d'Albret et Henri IV : mère et fils, reine de Navarre et roi de France: la foi et l'ambiguïté », Olivétan, Lyon, (ISBN 2354791631, consulté le ) : « Sous l'angle de la relation "mère-fils", le livre retrace le rôle de Jeanne d'Albret, la "reine huguenote", dans l'éducation et la vie publique d'Henri IV. Il permet de mieux comprendre sa personnalité et son époque, deux ou trois générations après les débuts de la Réforme. Partagé entre le protestantisme de sa mère et le catholicisme de son père et de la cour, la Saint-Barthélemy lui fera choisir la Réforme en 1576. Il est alors roi de Navarre, chef incontesté des troupes protestantes pendant les guerres de religion. Mais seul successeur au trône royal, il abjure en 1593, avec à ses côtés Catherine de Bourbon. Leurs relations traversent des périodes difficiles, Henri IV oscillant entre son statut de roi et son rôle de frère. Dès lors, le roi suivra la voie de la paix religieuse par l'Édit de Nantes (1598) et militaire par le traité de Vervins (1598). Entouré de ministres pour la plupart huguenots, il s'attache à redresser la France socialement et économiquement. Les marques de la Réforme sont perceptibles dans son action, mais la politique d'Henri IV se distingue de celle de sa mère, mais aussi des chefs huguenots ou des hommes d'Église: il ouvre une nouvelle voie pour conjuguer la tolérance en politique. En 1610, la France pleure le "roi de paix", mais qui comprend alors que ce début de XVIIe siècle voit disparaître un roi visionnaire, précurseur de conquêtes futures: la liberté de conscience, de pensée et la distinction entre "foi privée" et "loi publique". »
- Christine Féret-Fleury - d'après Alexandre Dumas, « Les Trois Mousquetaires (Tome 1) - D'Artagnan, roman issu du film du même nom », Flammarion Jeunesse, (ISBN 978-2080416490, consulté le )
- Pierre-Alain Lévy, « Cyrano de Bergerac. Acte 2, VII. Monologue des Cadets de Gascogne », sur Wukali, (consulté le )
- Fred Teper, « Alexandre de la Patellière et Matthieu Delaporte annoncent de nombreux projets de films et de séries (Actus) », sur Les Chroniques de Cliffhanger & Co, (consulté le ).
- « Pathé : « Le Comte de Monte-Cristo » dans les salles françaises le 23 octobre 2024 », sur www.satellifacts.com (consulté le ).
- « https://twitter.com/cineluctable/status/1425393183983296512 », sur Twitter (consulté le ).
- « Les Trois Mousquetaires et Monte Cristo revisités par l'équipe du Prénom », sur Allociné (consulté le ).
- « « Les Trois Mousquetaires » : les secrets d'un blockbuster 100 % français », sur lejdd.fr (consulté le ).
- (en) Elsa Keslassy, « Pathé Steps Into Upscale Drama With Napoleon, Black Musketeer Series », sur Variety, (consulté le ).
- (en) Elsa Keslassy, « Disney+, Pathe, Chapter 2 Team on ‘Three Musketeers’ Spinoff Series, ‘Milady Origins,’ ‘Black Musketeer’ (EXCLUSIVE) », sur Variety, (consulté le ).
Annexes
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à l'audiovisuel :