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Bray-en-Val

Bray-en-Val est une ancienne commune française située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.

Bray-en-Val
Bray-en-Val
Mairie de Bray-en-Val.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Loiret
Arrondissement Orléans
Intercommunalité Communauté de communes du Val de Sully
Statut Commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Luc Lefebvre
2017-2020
Code postal 45460
Code commune 45051
DĂ©mographie
Gentilé Abraysiens
Population 1 414 hab. (2014 en augmentation de 4.51 % par rapport Ă  2009)
DensitĂ© 63 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 49′ 50″ nord, 2° 22′ 03″ est
Altitude Min. 107 m
Max. 147 m
Superficie 22,32 km2
Élections
DĂ©partementales Sully-sur-Loire
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Bray-Saint Aignan
Localisation
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Bray-en-Val

    DĂ©nomination

    La dénomination actuelle a été officialisée en 1933. Auparavant, la commune était connue sous l'appellation Bray, encore utilisée dans le langage oral.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Carte de la commune de Bray-en-Val et des communes limitrophes

    La commune de Bray-en-Val se trouve dans le quadrant sud-est du dĂ©partement du Loiret, dans la rĂ©gion agricole de l'OrlĂ©anais[1] et l'aire urbaine de Sully-sur-Loire[2]. Ă€ vol d'oiseau, elle se situe Ă  35,2 km d'OrlĂ©ans[3], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  11,0 km d'Ouzouer-sur-Loire, ancien chef-lieu du canton dont dĂ©pendait la commune avant . La commune fait partie du bassin de vie de Sully-sur-Loire[2] dont elle est Ă©loignĂ©e de 7,1 km[4].

    Les communes les plus proches sont : Bouzy-la-ForĂŞt (2,8 km), Les Bordes (3,2 km), Saint-Aignan-des-GuĂ©s (3,6 km), BonnĂ©e (3,8 km), Saint-BenoĂ®t-sur-Loire (4,7 km), Saint-Père-sur-Loire (6,1 km), Sully-sur-Loire (7,1 km), Guilly (7,1 km), Germigny-des-PrĂ©s (7,6 km) et Saint-Martin-d'Abbat (km)[5].

    Hydrographie

    La Bonnée, affluent de la Loire et la ligne ferroviaire Orléans - Gien traversent le territoire de la commune.

    Histoire

    Le , Bray-en-Val est intégrée à la commune nouvelle de Bray-Saint Aignan dont elle est le chef-lieu, avec le statut de commune déléguée[6].

    Urbanisme

    Plan local d'urbanisme

    La commune prescrit l'élaboration d'un plan d'occupation des sols en . Le document est approuvé en juin 1982 puis révisé en 1987 et modifié en 1992 et 1998[7].

    La loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains du , dite loi SRU, complétée par la loi urbanisme et habitat du , marque une évolution de la planification urbaine en créant notamment les plans locaux d’urbanisme (PLU), vecteurs de projets de territoire, appelés à se substituer progressivement aux plans d’occupation des sols. Le PLU contient deux éléments nouveaux par rapport au POS : le plan d'aménagement et de développement durable (PADD), qui exprime le projet de la ville par des orientations générales en matière d'urbanisme, de développement, d'équipement et de préservation de l'environnement et les orientations d'aménagement et de programmation (OAP) qui correspondent à des zooms qui peuvent porter sur des quartiers ou secteurs à mettre en valeur, réhabiliter, restructurer ou aménager, ou sur l'aménagement d'un espace public, etc. Dans ce cadre le conseil municipal prescrit la révision du Plan d’occupation des sols et sa transformation en plan local d'urbanisme le . Après une enquête publique qui se déroule en , le document est approuvé le . Une révision est ensuite lancée en [7] - [8].

    Documents d'orientations intercommunaux

    La commune est membre du pays Forêt d'Orléans - Val de Loire, qui regroupe 32 communes. En 2012 les Pays Forêt d'Orléans Val de Loire, Loire Beauce et Sologne Val-sud sont les seuls territoires du département du Loiret ne disposant pas de schéma de cohérence territoriale (SCoT). Compte tenu de l'intérêt de cet outil pour l'avenir des territoires, les élus de ces pays décident d'engager une démarche commune d'élaboration de SCoT. Le comité syndical du Pays Forêt d'Orléans - Val de Loire décide de prendre le la compétence « élaboration, gestion et suivi du Schéma de Cohérence Territoriale » et, après avis favorable conforme des différentes communes membres (le pour Bray-en-Val), le préfet approuve la modification des statuts en ce sens le [9]. Les trois SCoT sont lancés officiellement et simultanément à La Ferté-Saint-Aubin le [10], l'assistance à maîtrise d'ouvrage étant confiée à un seul bureau d'études[11]. Après étude et concertation de 2014 à 2017, le document doit être approuvé en 2018[12].

    Voies de communication et transports

    RĂ©seau routier principal de la commune de Bray-en-Val (avec indication du trafic routier 2014).

    Infrastructures routières

    La commune est traversĂ©e par quatre routes dĂ©partementales : la RD 948 (2 186 vĂ©hicules/jour en 2014), qui relie Malesherbes Ă  Cerdon[13], la RD 952 (6 691 vĂ©hicules/jour), qui relie Briare Ă  Châteauneuf-sur-Loire[13], la RD 961 (1 988 vĂ©hicules/jour), qui relie Montargis Ă  BonnĂ©e[13] et la RD 848 qui relie le centre-bourg Ă  la RD 952. ComplĂ©tant ces voies, la commune est sillonnĂ©e de plusieurs voies communales et chemins ruraux desservant ses fermes et hameaux et les bourgs environnants.

    Transports en commun

    En 2016, la commune est desservie par la ligne 3 du réseau Ulys, le réseau interurbain de transport par autocar du Conseil départemental du Loiret[14] qui relie Bonny-sur-Loire - Briare - Gien - Châteauneuf-sur-Loire - Orléans[15]. Des correspondances SNCF sont assurées dans les gares d'Orléans et Gien. À compter du , la compétence des services de transports routiers interurbains, réguliers et à la demande est transférée des départements aux régions, et donc localement du département du Loiret à la région Centre-Val de Loire, consécutivement à la loi NOTRe du [16].

    Risques naturels et technologiques majeurs

    La commune de Bray-en-Val est vulnérable à différents aléas naturels : inondations (par débordement de la Loire ou de ruisseaux), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique. Elle est également exposée à un risque technologique : le transport de matières dangereuses[17]. Entre 1999 et 2016, deux arrêtés ministériels portant ou ayant porté reconnaissance de catastrophe naturelle ont été pris pour le territoire de la commune de Bray-en-Val pour des inondations et coulées de boue[18].

    Risque d'inondation

    Zone inondable de la commune de Bray-en-Val.

    La Loire est à l'origine des dégâts les plus importants sur la commune en cas de crue majeure. Les crues historiques sont celles de 1846, 1856, 1866 et 1907. Aucune crue n'a atteint depuis 1907 les hauteurs atteintes lors de ces événements catastrophiques[19].

    Le val d’Ouzouer, s’étendant sur 22 km de longueur, d'Ouzouer-sur-Loire Ă  Châteauneuf-sur-Loire, est protĂ©gĂ© par une levĂ©e de 22 km de long ouverte Ă  l’aval sur 1,5 km au dĂ©bouchĂ© de la BonnĂ©e. Cette levĂ©e n'est pas submersible pour des crues du type de celle de 1856. Elle a Ă©tĂ© renforcĂ©e dans les annĂ©es 2000 sur presque toute sa longueur par la mise en place d’un « masque drainant » du cĂ´tĂ© du val. A l’amont, un dĂ©versoir, dĂ©nommĂ© dĂ©versoir d'Ouzouer, a Ă©tĂ© construit en 1886 Ă  l'endroit oĂą s'Ă©taient produites des brèches lors des grandes crues de 1846, 1856 et 1866. Il a une longueur totale de 878 m dont 800 m au niveau du seuil. Il est surĂ©levĂ© d'un cordon de terre (banquette fusible) d’une hauteur de 1,20 mètre environ[20]. Le val est exposĂ© au risque d’inondation[20] - [21]:

    • Par remous de la Loire dans la BonnĂ©e : dès la crue de premiers dommages (5,30 m Ă  l’échelle de Gien), celui-ci remonte jusqu’au niveau de Germigny-des-PrĂ©s.
    • Par dĂ©passement des digues si elles rĂ©sistent Ă  la pression des eaux jusqu’à ce qu’elles soient dĂ©passĂ©es : le val d’Ouzouer est le premier val endiguĂ© de l’OrlĂ©anais Ă  ĂŞtre dĂ©passĂ© par la Loire, dès la crue de premières surverses (6,3 m Ă  Gien), qui provoque des brèches dans la digue, alors que le dĂ©versoir ne fonctionne pas. Celui-ci est sollicitĂ© seulement pour une crue exceptionnelle, alors que le système d’endiguement est dĂ©jĂ  dĂ©truit.
    • Par rupture des digues, avant leur dĂ©passement : le val d’Ouzouer peut Ă©galement ĂŞtre inondĂ© avant la crue de première surverse, en cas de dĂ©faillance des digues. Deux principales zones de dĂ©faillance sont mises en Ă©vidence (secteurs des Prouteaux et de Saint-Benoit) et permettent de considĂ©rer que le risque de rupture n'est plus nĂ©gligeable au-delĂ  d'une crue de pĂ©riode de retour 20 ans (environ 5,1 m Ă  l'Ă©chelle de Gien).

    Le risque d'inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) du val de Sully approuvé le et pour lequel une révision a été prescrite le [22]. Le périmètre urbain de la commune se situe en grande partie en dehors du val, sur la terrasse. Le bourg centre est situé en dehors du val inondable. Cependant, une partie du territoire communal se situe dans le val inondable, couvert par deux secteurs d’aléas. Sont situés en aléa moyen, sur le coteau principalement, trois groupements d’habitation. Dans la plaine, environ la moitié des bâtiments d’exploitations agricoles sont en aléa faible, tandis que l’autre moitié se situent en aléa moyen[23].

    Deux documents permettent de définir les modalités de gestion de crise et d'organisation des secours : au niveau départemental, le Dispositif ORSEC départemental spécialisé déclenché en cas d'inondation de la Loire, le plan ORSIL[Note 1], et au niveau communal le plan communal de sauvegarde[24].

    Risque de mouvements de terrain

    Le territoire de la commune peut être concerné par un risque d'effondrement de cavités souterraines non connues. Une cartographie départementale de l'inventaire des cavités souterraines et des désordres de surface a été réalisée. Il a été recensé sur la commune plusieurs effondrements de cavités[25].

    Par ailleurs le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[26]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particulièrement affecté le Loiret après la canicule de l'été 2003. Une grande partie du territoire de la commune est soumis à un aléa « moyen » face à ce risque, selon l'échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), hormis le cente-bourg qui est en aléa « faible »[27].

    Risque sismique

    La totalité du département est classée en zone de sismicité « très faible »[28]. À ce titre aucune réglementation spécifique ne s'applique aux constructions dites « à risque normal »[29].

    Transport de matières dangereuses

    Le risque de transport de matières dangereuses peut survenir en cas d'accident impliquant une unité mobile (ex. camion) ou une canalisation transportant des matières dangereuses (toxique, inflammable...). Une matière dangereuse est une substance susceptible de présenter un danger et des conséquences graves pour l'homme et son environnement. À Bray-en-Val, les facteurs de risque sont le transport routier empruntant les RD 952 et RD 948 et le réseau de gaz à haute pression qui traverse la commune[17].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1988 ? Bernard Boursin
    Les données manquantes sont à compléter.


    Bloc communal : Commune et intercommunalités

    La paroisse de Bray acquiert le statut de municipalité avec le décret du de l'Assemblée Nationale[30] puis celui de « commune », au sens de l'administration territoriale actuelle, par le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[31]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l'organisation municipale pour qu'un régime juridique uniforme soit défini pour toutes les communes de France, point de départ de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central[32].

    La commune est orthographiĂ©e Bray dans l'arrĂŞtĂ© de 1801. En 1918, la Chambre de Commerce de Paris Ă©met le souhait « qu'un nom de complĂ©ment soit donnĂ© aux localitĂ©s qui portent une dĂ©nomination identique » afin d'Ă©viter toute confusion dans les transmissions postales et le transport des marchandises. Le gouvernement accueille favorablement cette demande et le le prĂ©fet du Loiret invite 82 communes du Loiret ayant des homonymes dans d'autres dĂ©partements Ă  complĂ©ter leur nom. Vingt-trois conseils municipaux refusent. La commune de Bray, quant Ă  elle, prend le nom de Bray-en-Val Ă  la suite du dĂ©cret du [33].

    La commune est membre de la communauté de communes du Canton d’Ouzouer-sur-Loire depuis sa création le jusqu'en 2016. Cette intercommunalité est renommée Communauté de communes du Val d'Or et Forêt par arrêté préfectoral du [34]. Depuis le , la commune est membre de la communauté de communes du Val de Sully, issue de la fusion des communautés de communes du Sullias et de Val d'Or et Forêt, ainsi que du rattachement de la commune de Vannes-sur-Cosson [35].

    Circonscriptions de rattachement

    Sous l'Ancien Régime, à la veille des États généraux de 1789, la paroisse de Bray était rattachée sur le plan ecclésiastique à l'ancien diocèse d'Orléans, sur le plan judiciaire au bailliage d'Orléans , sur le plan militaire au gouvernement d'Orléans et sur le plan administratif à la généralité d'Orléans, élection d'Orléans[36] - [37].

    La loi du divise le pays en 83 dĂ©partements dĂ©coupĂ©s chacun en six Ă  neuf districts eux-mĂŞmes dĂ©coupĂ©s en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les dĂ©partements, sont le siège d’une administration d’État et constituent Ă  ce titre des circonscriptions administratives. La commune de Bray est alors incluse dans le canton de Saint Benoit, le district de Gien et le dĂ©partement du Loiret[38].

    La recherche d’un équilibre entre la volonté d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exécution et le contrôle des lois d’une part, et la volonté d’accorder une certaine autonomie aux collectivités de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 à 1838[39]. Les découpages territoriaux évoluent ensuite au gré des réformes visant à décentraliser ou recentraliser l'action de l'État. La régionalisation fonctionnelle des services de l'État (1945-1971) aboutit à la création de régions[40]. L'acte I de la décentralisation de 1982-1983 constitue une étape importante en donnant l'autonomie aux collectivités territoriales, régions, départements et communes[41]. L'acte II intervient en 2003-2006[42], puis l'acte III en 2012-2015.

    Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Bray-en-Val aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l'historique de l'évolution de leurs territoires.

    Circonscription Nom Période Type Évolution du découpage territorial
    DistrictGien1790-1795AdministrativeLa commune est rattachée au district de Gien de 1790 à 1795[43] - [38]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d'importance[44].
    CantonSaint Benoit1790-1801Administrative et électoraleLe , la municipalité de Bray est rattachée au canton de Saint Benoit[45] - [43]. Les cantons sont supprimés, en tant que découpage administratif, par une loi du , et ne conservent qu'un rôle électoral[44]. Ils permettent l’élection des électeurs du second degré chargés de désigner les députés[46]. Les cantons acquièrent une fonction administrative avec la disparition des districts en 1795.
    Ouzouer-sur-Loire1801-2015Sous le Consulat, un redécoupage territorial visant à réduire le nombre de justices de paix ramène le nombre de cantons dans le Loiret de 59 à 31[47]. Bray est alors rattachée par arrêté du 9 vendémiaire an X () au canton d'Ouzouer-sur-Loire, sous le nom de Bray[48] - [43].
    Sully-sur-Loire2015-ÉlectoraleLa loi du [49] et ses décrets d'application publiés en février et [50] introduisent un nouveau découpage territorial pour les élections départementales. La commune est alors rattachée au nouveau canton de Sully-sur-Loire[50]. Depuis cette réforme, plus aucun service de l'État n'exerce sa compétence sur un territoire s'appuyant sur le nouveau découpage cantonal. Le canton a disparu en tant que circonscription administrative de l'État ; il est désormais uniquement une circonscription électorale destinée à l'élection d'un binôme de conseillers départementaux siégeant au conseil départemental[51].
    ArrondissementGien1801-1926AdministrativeBray est rattachée à l'arrondissement de Gien par arrêté du 9 vendémiaire an X ()[43] - [48].
    Orléans1926-Sous la Troisième République, en raison d'un endettement considérable et de l'effort nécessaire pour la reconstruction post-Première Guerre mondiale, la France traverse une crise financière. Pour réduire les dépenses de l’État, Raymond Poincaré fait voter plusieurs décrets-lois réformant en profondeur l’administration française : 106 arrondissements sont ainsi supprimés, dont ceux de Gien et de Pithiviers dans le Loiret par décret du [52]. Bray-en-Val est ainsi transférée de l'arrondissement de Gien à celui d'Orléans[43] - [53].
    Circonscription lĂ©gislative3e circonscription2010-ÉlectoraleLors du dĂ©coupage lĂ©gislatif de 1986, le nombre de circonscriptions lĂ©gislatives passe dans le Loiret de 4 Ă  5. Un nouveau redĂ©coupage intervient en 2010 avec la loi du . En attribuant un siège de dĂ©putĂ© « par tranche » de 125 000 habitants, le nombre de circonscriptions par dĂ©partement varie dĂ©sormais de 1 Ă  21[54] - [55]. Dans le Loiret, le nombre de circonscriptions passe de cinq Ă  six[56]. La rĂ©forme n'affecte pas Bray-en-Val qui reste rattachĂ©e Ă  la troisième circonscription[57].

    Collectivités de rattachement

    La commune de Bray-en-Val est rattachée au département du Loiret et à la région Centre-Val de Loire[58], à la fois circonscriptions administratives de l'État et collectivités territoriales.

    Équipements et services

    Gestion des déchets

    En 2016, la commune est membre du SICTOM de la région de Châteauneuf-sur-Loire, créé en 1976. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures ménagères résiduelles[Note 2], des emballages ménagers recyclables et des encombrants en porte à porte et du verre en points d’apport volontaire [59]. Un réseau de dix déchèteries accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, ferraille, cartons…). La déchèterie la plus proche est située sur la commune de Saint-Aignan-des-Gués[60]. L'élimination et la valorisation énergétique des déchets ménagers et de ceux issus de la collecte sélective sont effectuées par le SYCTOM de Gien-Châteauneuf-sur-Loire qui comprend un centre de transfert de déchets ménagers et un centre de stockage de déchets ultimes (CSDU) de classe II à Saint-Aignan-des-Gués ainsi qu'une usine d’incinération des ordures ménagères à Gien-Arrabloy[59].

    Depuis le , la « gestion des déchets ménagers » ne fait plus partie des compétences de la commune mais est une compétence obligatoire de la communauté de communes du Val de Sully en application de la loi NOTRe du [61].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Ă€ partir du , les populations lĂ©gales des communes sont publiĂ©es annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose dĂ©sormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une pĂ©riode de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂŞte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[62]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[63] - [Note 3].

    En 2014, la commune comptait 1 414 habitants, en augmentation de 4,51 % par rapport Ă  2009 (Loiret : 2,42 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    401425418444508506512536602
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    646651694668715715738750705
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    712674667615622603634685659
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2008 2013 2014
    6687027448379021 0431 3101 3931 414
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee Ă  partir de 2006[64].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Jacques-le-Majeur de Bray-en-Val.
    • Église paroissiale Saint-Jacques-le-Majeur.

    Zones Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats » et «Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zone Spéciale de Conservation (ZSC) et de Zones de Protection Spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles. L'objectif est de promouvoir une gestion adaptée des habitats tout en tenant compte des exigences économiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularités régionales et locales de chaque État Membre. les activités humaines ne sont pas interdites, dès lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l’état de conservation favorable des habitats et des espèces concernés[65] - [66].

    Les sites Natura 2000 présents sur le territoire communal de Bray-en-Val sont les suivants[INPN 1] :

    Numéro Type Nom Arrêté Document d’objectifs Localisation
    FR2410018ZPSForêt d’OrléansArrêté du portant désignation du site Natura 2000 Forêt d’Orléans[67]Validé le Partie est de la commune.
    FR2400524SICForêt d’Orléans et périphérieArrêté du Arrêté du Forêt d'Orléans et périphérie (zone spéciale de conservation)[68] Validé le Partie est de la commune[69].

    Le site de la « forĂŞt d'OrlĂ©ans » s'Ă©tend du nord-est de l'agglomĂ©ration orlĂ©anaise jusqu'aux portes de Gien, suivant un arc de cercle d'une soixantaine de kilomètres de long et d'une largeur variant de 2 Ă  15 km environ. Cet ensemble forestier quasi continu est majoritairement domanial. La forĂŞt domaniale est constituĂ©e de trois massifs distincts, de l'ouest vers l'est, les massifs d'OrlĂ©ans, Ingrannes et Lorris (communĂ©ment considĂ©rĂ© en deux sous-massifs : Lorris-Châteauneuf et Lorris-les Bordes), en pĂ©riphĂ©rie desquels se trouvent d'autres parcelles forestières. La surface globale des trois massifs domaniaux est de 34 500 hectares. D'une surface totale de 32 177 ha, le site est constituĂ© de deux grandes entitĂ©s couvrant la presque intĂ©gralitĂ© des massifs forestiers domaniaux d'Ingrannes et de Lorris. Ces deux grandes entitĂ©s englobent Ă©galement d'autres parcelles forestières, ainsi que des Ă©tangs, en pĂ©riphĂ©rie, de mĂŞme que la grande « clairière » de Sully-la-Chapelle, Ingrannes et Seichebrières incluse dans le massif d'Ingrannes. Ce site prĂ©sente un grand intĂ©rĂŞt ornithologique notamment avec la nidification du balbuzard pĂŞcheur, de l'aigle bottĂ©, du circaète Jean-le-Blanc, de la bondrĂ©e apivore, du busard Saint-Martin, de l'engoulevent d'Europe, des pics noir, mar et cendrĂ©, de l'alouette lulu et de la fauvette pitchou. Les Ă©tangs constituent par ailleurs des sites d'Ă©tape migratoire importants pour diffĂ©rentes espèces[INPN 2].

    Le site de la « forĂŞt d'OrlĂ©ans et pĂ©riphĂ©rie » d'une surface totale de 2 226,40 ha, est morcelĂ© en 38 entitĂ©s. Celles-ci, de tailles variables (de 0,9 Ă  347 ha), sont dissĂ©minĂ©es sur les 3 massifs et leurs pĂ©riphĂ©ries. Au cours de la rĂ©alisation du document d'objectifs, Ă  la suite des inventaires de terrain, l'absence d'habitat ou habitat d'espèce d'intĂ©rĂŞt communautaire dans certaines entitĂ©s a conduit Ă  la proposition de leur suppression (13 entitĂ©s concernĂ©es, pour une surface totale de 207,90 ha). L'intĂ©rĂŞt du site rĂ©side dans la qualitĂ© des zones humides (Ă©tangs, tourbières, marais, mares), la grande richesse floristique, avec un intĂ©rĂŞt Ă©levĂ© pour les bryophytes, les lichens et les champignons. 17 habitats naturels d’intĂ©rĂŞt communautaire sont rĂ©pertoriĂ©s sur le site qui prĂ©sente aussi un intĂ©rĂŞt faunistique, notamment l’avifaune, les chiroptères, les amphibiens et les insectes. Ce site prĂ©sente une faible vulnĂ©rabilitĂ© dans les conditions actuelles de gestion ; il s’agit en effet de parcelles de forĂŞt domaniale dont la gestion actuelle n’induit pas de contraintes particulières pour les espèces citĂ©es. Certaines comme le balbuzard pĂŞcheur font l’objet d’une surveillance. D’autres espèces justifieraient un suivi, comme le sonneur Ă  ventre jaune, l’aigle bottĂ©, la pie-grièche Ă©corcheur[INPN 3].

    Zones nationales d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte des ZNIEFF de la commune et de ses abords.

    Différents zonages d’identification de la richesse patrimoniale naturelle sont présents sur la commune de Bray-en-Val. Ces périmètres s’intersectent ou se superposent, et notamment vis-à-vis des sites Natura 2000, appuyant ainsi l’intérêt biologique, écologique ou encore paysagère des sites concernés. L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Le territoire communal de Bray-en-Val comprend quatre ZNIEFF[INPN 4].

    La ZNIEFF, de deuxième gĂ©nĂ©ration et de type 1[Note 4], dĂ©nommĂ©e « Aulnaie marĂ©cageuse de GuĂ©-bord », d'une superficie de 9 hectares, se localise entre la RD 95 et le hameau de GuĂ©-Bord, au sud-est du bourg de Bouzy-la-ForĂŞt, Ă  1,5 km de Bray-en-Val[70]. Son altitude varie entre 115 et 120 m[INPN 5]. Il s'agit d'une aulnaie tourbeuse de fond de vallĂ©e (lit majeur du ruisseau de Saint-Laurent) en très bon Ă©tat de conservation qui abrite une importante population d'Osmonde royale. Au sein de cette aulnaie, on observe un certain nombre de sources Ă  Chrysosplenium oppositifolium (en population particulièrement importante)[INPN 6].

    La ZNIEFF, de deuxième gĂ©nĂ©ration et de type 1[Note 4], dĂ©nommĂ©e « Étang de Châteaubriand », d'une superficie de 8 hectares, Se trouve entre les parcelles 227, 329 et 330 du massif de Lorris (en forĂŞt d'OrlĂ©ans), près du carrefour de Chateaubriand, jouxtant les vestiges de l'ancienne abbaye de Chappes-en-Bois, Ă  3 km au nord du bourg des Bordes[DREAL 1]. Son altitude varie entre 124 et 0 m[INPN 7]. Cet Ă©tang abrite des communautĂ©s aquatiques et amphibies, des jonchaies, une aulnaie et des saulaies marĂ©cageuses. Cinq espèces de la flore dĂ©terminantes de ZNIEFF dont trois protĂ©gĂ©es ont Ă©tĂ© observĂ©es sur le site. Une belle population de Luronium natans, espèce de l'annexe II de la directive Habitats, est en particulier prĂ©sente[INPN 8].

    La ZNIEFF, de deuxième gĂ©nĂ©ration et de type 1[Note 4], dĂ©nommĂ©e « Lisières des six poteaux (massif de Lorris) », d'une superficie de 33 hectares, se situe dans le massif de Lorris près du Carrefour de Sully, c'est-Ă -dire Ă  un peu plus de 4,5 km au nord-est du bourg des Bordes[DREAL 2]. Son altitude varie entre 130 et 0 m[INPN 9]. L'intĂ©rĂŞt de cette zone rĂ©side ainsi dans la prĂ©sence d'habitats peu frĂ©quents tels que les pelouses acidiphiles et les landes humides et sèches. Ces habitats sont ici localisĂ©s sur les lisières des chemins. On trouve Ă©galement deux mares oligotrophes : l'une Ă  l'angle de la route de Chateaubriand et de la route des Six Poteaux, et l'autre un peu Ă  l'Ă©cart de la route du Chaumontois[INPN 10].

    La ZNIEFF, de deuxième gĂ©nĂ©ration et de type type 2[Note 5], dĂ©nommĂ©e « Massif forestier d'OrlĂ©ans », d'une superficie de 36 086 hectares, s'Ă©tend sur 37 communes, dont Bray-en-Val[DREAL 3]. Son altitude varie entre 126 et 174 m[INPN 11]. La forĂŞt d'OrlĂ©ans repose pour l'essentiel sur des terrains de nature comparable Ă  celle des terrains de la Sologne (Burdigalien) Ă©pandus sur le coteau de Beauce. Les formations vĂ©gĂ©tales sont donc plutĂ´t acidoclines Ă  acidiphiles avec des secteurs secs et d'autres très humides. L'intĂ©rĂŞt dĂ©passe les contours complexes du massif domanial et s'Ă©tend Ă©galement aux lisières et enclaves privĂ©es qui le prolongent[INPN 12].

    Notes et références

    Notes

    1. ORSIL = Organisation des Secours en cas d’Inondation Loire.
    2. Les déchets ménagers résiduels comprennent les déchets obtenus après extraction des autres fractions, valorisables, de déchets.
    3. Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă  1999, que les populations correspondant Ă  une enquĂŞte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population lĂ©gale publiĂ©e par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée caractérisée par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.

    Inventaire national du patrimoine naturel

    Site de la Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement Centre-Val de Loire

    Autres sources

    1. « Zonage en petites régions agricoles », sur http://agreste.agriculture.gouv.fr/ (consulté le )
    2. « Fiche communale », sur http://www.insee.fr/ (consulté le ).
    3. « Orthodromie entre "Bray-en-Val" et "Orléans" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    4. « Orthodromie entre "Bray-en-Val" et "Sully-sur-Loire" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    5. « Villes les plus proches de Bray-en-Val », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    6. « Recueil des actes administratifs des services de l'État du Loiret », sur http://www.loiret.gouv.fr/, (consulté le ).
    7. [PDF]« État d'avancement des procédures d'urbanisme dans le Loiret au 1er janvier 2016 », sur http://www.loiret.gouv.fr/, (consulté le ), p. 87
    8. « État d'avancement des procédures d'urbanisme dans le Loiret », sur http://www.loiret.gouv.fr/, (consulté le )
    9. « Arrêté du 19 février 2016 portant modification des statuts du syndicat mixte pour le développement du Pays Forêt d'Orléans – Val de Loire », sur http://www.loiret.gouv.fr/ (consulté le )
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    70. « Découpage communal de la ZNIEFF 240030476 - Aulnaie marécageuse de Gué-bord » (consulté le ).

    Voir aussi

    Ouvrages

    • Louis Marie Prudhomme, Dictionnaire gĂ©ographique et mĂ©thodique de la RĂ©publique française en 120 dĂ©partements, volume 1, Paris, Louis Marie Prudhomme, , 673 p. (lire en ligne).
    • Camille Bloch, Cahiers de dolĂ©ances du bailliage d'OrlĂ©ans pour les États gĂ©nĂ©raux de 1789 - tome 1, OrlĂ©ans, Ministère de l'Instruction publique, (lire en ligne)
    • Camille Bloch, Cahiers de dolĂ©ances du bailliage d'OrlĂ©ans pour les États gĂ©nĂ©raux de 1789 - tome 2, OrlĂ©ans, Ministère de l'Instruction publique, (lire en ligne)
    • Collectif, Loiret : un dĂ©partement Ă  l'Ă©lĂ©gance naturelle, Paris, Christine Bonneton, , 319 p. (ISBN 978-2-86253-234-9)
    • AbbĂ© Patron, DĂ©partement du Loiret : Dictionnaire des communes, Paris, ComĂ©dit, 1991, rĂ©Ă©dition de 1870, 511 p. (ISBN 978-2-909112-01-5 et 2-909112-01-2)
    • Claude Motte, Isabelle SĂ©guy & Christine ThĂ©rĂ©, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d’hier, communes d’aujourd’hui : Les communes de la France mĂ©tropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d’histoire administrative, Paris, Institut National d’Études DĂ©mographiques,, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, prĂ©sentation en ligne)
    • Jean-Louis Masson, Provinces, dĂ©partements, rĂ©gions : l'organisation administrative de la France, Paris, Fernand Lanore, , 703 p. (ISBN 2-85157-003-X, lire en ligne).

    Rapports

    • Plan de prĂ©vention des risques d'inondations dans le val de Sully : Rapport de prĂ©sentation, (lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes


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