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Asté

AstĂ© est une commune française situĂ©e dans le centre du dĂ©partement des Hautes-PyrĂ©nĂ©es, en rĂ©gion Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la province du Haut-Adour, autrefois incluse dans l’ancien comtĂ© de Bigorre.

Asté
Asté
L'église d'Asté.
Blason de Asté
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement BagnĂšres-de-Bigorre
Intercommunalité Communauté de communes de la Haute-Bigorre
Maire
Mandat
Thierry Broca
2020-2026
Code postal 65200
Code commune 65042
DĂ©mographie
Gentilé Astéens
Population
municipale
581 hab. (2020 en augmentation de 6,8 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 22 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 02â€Č 31″ nord, 0° 10â€Č 08″ est
Altitude Min. 578 m
Max. 1 804 m
Superficie 26,67 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine BagnÚres-de-Bigorre
(banlieue)
Aire d'attraction BagnĂšres-de-Bigorre
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de la Haute-Bigorre
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Asté

    Il s’agit d’une zone montagneuse constituĂ©e des prolongements occidentaux des massifs de NĂ©ouvielle et de l’Arbizon. ExposĂ©e Ă  un climat de montagne, elle est drainĂ©e par l'Adour, le LhĂ©ris, le ruisseau de Lies et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un espace protĂ©gĂ© (l'« Adour et affluents ») et neuf zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    AstĂ© est une commune rurale qui compte 581 habitants en 2020. Elle est dans l'agglomĂ©ration de BagnĂšres-de-Bigorre et fait partie de l'aire d'attraction de BagnĂšres-de-Bigorre. Ses habitants sont appelĂ©s les AstĂ©ens ou AstĂ©ennes.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune d'Asté se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe Ă  22 km Ă  vol d'oiseau de Tarbes[1], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  km de BagnĂšres-de-Bigorre[2], sous-prĂ©fecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : BeaudĂ©an (1,4 km), Gerde (1,6 km), Campan (2,8 km), BagnĂšres-de-Bigorre (3,0 km), Lies (4,4 km), Uzer (4,7 km), Marsas (4,9 km), Banios (5,4 km).

    Sur le plan historique et culturel, AstĂ© fait partie de la province historique du Haut-Adour, autrefois incluse dans l’ancien comtĂ© de Bigorre. Il s’agit d’une zone montagneuse constituĂ©e des prolongements occidentaux des massifs de NĂ©ouvielle et de l’Arbizon[4] - [5].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Paysages et relief

    Vue générale en été.

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainĂ©e par l'Adour, le LhĂ©ris, le ruisseau de Lies, le ruisseau de Hourclat, le ruisseau Gavarni et par divers petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 23 km de longueur totale[8] - [Carte 1].

    L'Adour, d'une longueur totale de 308,8 km, se forme dans la vallĂ©e de Campan en Haute-Bigorre de la rĂ©union de trois torrents : l'Adour de Payolle, l'Adour de Gripp et l'Adour de Lesponne et s'Ă©coule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le golfe de Gascogne Ă  Anglet, aprĂšs avoir traversĂ© 118 communes[9].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroßt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[11].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 4,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 184 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,6 j
    L'Adour depuis un pont à Asté.

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[13] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[14] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Artigues », sur la commune de Campan, mise en service en 1959[15] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[16] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 7,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 220,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[17]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-PyrĂ©nĂ©es », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et Ă  22 km[18], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[19], Ă  12,6 °C pour 1981-2010[20], puis Ă  12,9 °C pour 1991-2020[21].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[22] - [23]. Dans ce cadre, la commune fait partie[24]. Un espace protĂ©gĂ© est prĂ©sent sur la commune : l'« Adour et affluents », objet d'un arrĂȘtĂ© de protection de biotope, d'une superficie de 215,8 ha[25].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Cinq ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensĂ©es sur la commune[26] :

    • les « ChaĂźnon calcaire de la Bouche de Campan et soulane du Signal de Bassia » (2 055 ha), couvrant 6 communes du dĂ©partement[27] ;
    • « l'Adour, de BagnĂšres Ă  Barcelonne-du-Gers » (2 786 ha), couvrant 59 communes dont 18 dans le Gers, une dans les Landes et 40 dans les Hautes-PyrĂ©nĂ©es[28] ;
    • le « massif de LhĂ©ris, Hautes-Baronnies » (5 455 ha), couvrant 9 communes du dĂ©partement[29] ;
    • le « massif karstique du MonnĂ©, Tucou, BĂ©dat » (1 512 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[30] ;
    • le « rĂ©seau hydrographique des Baronnies » (390 ha), couvrant 35 communes du dĂ©partement[31] ;

    et quatre ZNIEFF de type 2[Note 6] - [26] :

    • l'« Adour et milieux annexes » (3 634 ha), couvrant 60 communes dont 18 dans le Gers, une dans les Landes et 41 dans les Hautes-PyrĂ©nĂ©es[32] ;
    • les « Baronnies » (20 367 ha), couvrant 43 communes du dĂ©partement[33] ;
    • le « bassin du Haut Adour » (27 303 ha), couvrant 18 communes du dĂ©partement[34];
    • le « massif du MonnĂ©, vallĂ©e de l'Oussouet » (6 955 ha), couvrant 11 communes du dĂ©partement[35].
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    AstĂ© est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 7] - [36] - [I 2] - [37]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de BagnĂšres-de-Bigorre, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 10 communes[I 3] et 13 262 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue[I 4] - [I 5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de BagnĂšres-de-Bigorre dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 6] - [I 7].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (88 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (87,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (61,5 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (26,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (3,9 %), prairies (2,8 %), zones urbanisĂ©es (2,7 %), terres arables (2,5 %)[38].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    • Carte en couleurs prĂ©sentant l'occupation des sols.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Photo aĂ©rienne en couleurs de la commune.
      Carte orthophotogrammétrique de la commune.

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 355[I 8].
    Parmi ces logements, 66,8 % sont des résidences principales, 16,6 % des résidences secondaires et 16,6 % des logements vacants.

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par la route dĂ©partementale D 935 et la route dĂ©partementale D 8.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'AstĂ© est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains, avalanche et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses, et Ă  un risque particulier : le risque de radon[39]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[40].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'Adour. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-PyrĂ©nĂ©es rĂ©alisĂ©e dans le cadre du XIe Contrat de plan État-rĂ©gion, visant Ă  informer les citoyens et les dĂ©cideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[41]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999, 2009, 2019, 2021 et 2022[42] - [39].

    AstĂ© est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies a Ă©tĂ© approuvĂ© par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral le pour la pĂ©riode 2020-2029. Le prĂ©cĂ©dent couvrait la pĂ©riode 2007-2017. L’emploi du feu est rĂ©gi par deux types de rĂ©glementations. D’abord le code forestier et l’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du , qui rĂ©glementent l’emploi du feu Ă  moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du dĂ©partement. Ensuite celle Ă©tablie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brĂ»lage des dĂ©chets verts des particuliers. L’écobuage est quant Ă  lui rĂ©glementĂ© dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[43]

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Asté.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des tassements différentiels[44].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 28,3 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (44,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 334 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 173 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 52 %, Ă  comparer aux 75 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[45] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[46].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2013[39].

    La commune est exposĂ©e aux risques d'avalanche. Les habitants exposĂ©s Ă  ce risque doivent se renseigner, en mairie, de l’existence d’un plan de prĂ©vention des risques avalanches (PPRA). Le cas Ă©chĂ©ant, identifier les mesures applicables Ă  l'habitation, identifier, au sein de l'habitation, la piĂšce avec la façade la moins exposĂ©e Ă  l’alĂ©a pouvant faire office, au besoin, de zone de confinement et Ă©quiper cette piĂšce avec un kit de situation d’urgence[47] - [48].

    Risque technologique

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par une canalisation de transport de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[49].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune d'AstĂ© est classĂ©e en zone 2, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs gĂ©ologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bĂątiments[50].

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Asté à l'est de BagnÚres-de-Bigorre

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[51] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    DĂ©nominations historiques :

    • De Guilhermo de Aster, latin et gascon (1062, cartulaire de Bigorre ; v. 1125, ibid. ; 1285, montre Bigorre) ;
    • Arnaldus Willermi de Ester, latin et gascon (v. 1090, Larcher, cartulaire Saint-PĂ©) ;
    • Hyspanum de Ester, (v. 1140, livre vert de BĂ©nac) ;
    • vicecomes d-Aster, latin et gascon (1183, cartulaire de Berdoues) ;
    • en B. d’Astee, (1283, procĂšs Bigorre) ;
    • De Asterio, latin (1300, enquĂȘte Bigorre ; 1313, Debita regi Navarre ; 1342, pouillĂ© de Tarbes ; 1379, procuration Tarbes) ;
    • de Astario, latin (1300, enquĂȘte Bigorre) ;
    • Aster, (1429, censier de Bigorre) ;
    • Aste, (1541, ADPA, B 1010) ;
    • Aster, (1614, Guillaume Mauran) ;
    • Aster, (1760, Larcher, pouillĂ© de Tarbes) ;
    • AstĂ©, (fin XVIIIe siĂšcle, carte de Cassini).

    Ce nom dérive d'un fabricant de lances, de broches ou autres objets pointus (occitan ast).

    Nom occitan : AstĂšr.

    Histoire

    Asté en 1829.
    La fontaine de Crastes.

    Les seigneurs d'AstĂ© (Aster) sont assez embrouillĂ©s : voici un schĂ©ma, perfectible. Une premiĂšre famille des seigneurs d'AstĂ©/Aster[52] - [53] est signalĂ©e au XIe siĂšcle avec Guillaume Ier (fl. 1062), auquel succĂšde Auger Ier (fl. 1075/1080), puis sans doute les fils de ce dernier, Fort-Aner et Espain/Hispan Ier (fl. 1130). Puis on trouve Auger II (fl. 1147), Arnaud-Guillaume (fl. 1190) pĂšre d'Auger III, lui-mĂȘme pĂšre d'Espain II et Bernard/Bernat Ier : ce dernier, donnĂ© aussi directement comme le fils d'Auger II, semble le pĂšre d'AgnĂšs d'AstĂ©.

    AgnĂšs Ire dame d'AstĂ© Ă©pouse Sanche Garcie Ier d'Aure-Comminges, frĂšre cadet du comte/vicomte Bernard d'Aure (ce dernier † vers 1221 ; sa fille, de nom inconnu, transmet le comtĂ© d'Aure en 1235 Ă  Arnaud-Guillaume/Guilhem II vicomte de Labarthe, son Ă©poux ; Bernard d'Aure et Sanche Garcie d'AstĂ© sont les fils de Raimond d'Aure-Comminges, fils de Bertrande d'Aure et Guy de Comminges, lui-mĂȘme fils cadet de Bernard Ier comte de Comminges).

    La fille d'AgnĂšs et Sanche Garcie d'Aure, Ă©galement de nom inconnu, transmet AstĂ© Ă  son mari Arnaud II de Coarraze (Arnaud Ier d'AstĂ©)[54]. Arnaud de Coarraze est le premier Ă  ĂȘtre dit vicomte d'AstĂ© en 1249.

    Leur fils Garcie Arnaud Ier (de Coarraze) (deuxiĂšme moitiĂ© du XIIIe siĂšcle ; † vers 1264) hĂ©rite d'AstĂ©, alors que son frĂšre aĂźnĂ© Arnaud Guillaume continue les sires de Coarraze. Puis sa postĂ©ritĂ© :

    Bernard/Bernat Ier ou II († vers 1283) ; puis son fils Bernat II ou III († vers 1312 ; il Ă©pouse Savarigue/Soubirane de Jussan : Guchan ? ; plutĂŽt que Soubirane de Joyeuse), d'oĂč :

    Arnaud (II) (premiĂšre moitiĂ© du XIVe siĂšcle, † vers 1330 ; sa sƓur Soubirane d'Aure Ă©pouse en 1318 François II de LĂ©vis-MontsĂ©gur, d'oĂč postĂ©ritĂ©), d'oĂč :

    Jean Ier, x 1350 Mascarose d'Orbessan d'Ornézan ; parents de :

    Garcie Arnaud II (fin du XIVe siĂšcle), pĂšre de :

    Jean II (fl. jusque dans le premier quart du XVe siĂšcle), x 1387 Bertrande de Lavedan, fille du vicomte Ramon Garcie VI et sƓur du vicomte Arnaud IV de Lavedan, d'oĂč :

    Jean III, sĂ©nĂ©chal de Bigorre en 1437, † vers 1442, x Marie fille d'Archambaud de Caupenne

    Leur fille AgnĂšs II Ă©pouse en 1442 Sanche Garcie III de Larboust (alias Sanche Garcie II d'AstĂ© ; sĂ©nĂ©chal de Bigorre, † en 1458 au siĂšge de Garris ; frĂšre cadet de Manaud Ier de Larboust : deux fils de Sanche Garcie II de Larboust — de la Maison d'Aure-Comminges/Quatre-VallĂ©es — et de Bertrande de Jussan) parents de :

    Tristan et Jean Ier (ou IV) († vers 1496 ; x 1479 Jeanne de Foix-BĂ©arn-Grailly fille naturelle de Gaston). Jean est le pĂšre de Jean II (ou V), de Menaud († 1534) qui suit, de Françoise (x 1517 Antoine de Caraman de NĂšgrepelisse), et de Catherine (x Charles d'Espagne de Montespan).

    Menaud d'Aure, vicomte d'Aster (dit aussi de Larboust), Ă©pouse en 1525 l'hĂ©ritiĂšre Claire de Gramont : leur fils Antoine Ier de Gramont (1526-1576), comte de Gramont et de Guiche, vicomte d'Aster et de Larboust, prince de Bidache, prend le nom de sa mĂšre et fonde la Maison de Gramont. Sa derniĂšre fille Claire-Suzanne de Gramont se marie en 1595 avec Henri des Prez (ou des PrĂ©s), titrĂ© vicomte d'Aster (†1619, sans postĂ©ritĂ©). Le petit-fils d'Antoine Ier, Antoine II (1572-1644), devient le premier duc de Gramont en 1643.

    Cadastre napoléonien d'Asté

    Le plan cadastral napoléonien d'Asté est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[55].

    Politique et administration

    La mairie en 2020.
    La salle des fĂȘtes
    Le foyer rural en 2020

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981 ? LĂ©on BĂ©rot DVG
    mars 2001 mars 2008 Jean Galiay
    mars 2008 En cours Thierry Broca

    Historique administratif

    Pays et sénéchaussée de Bigorre, quarteron de BagnÚres, vicomté d'Asté, canton de Campan (depuis 1790)[56].

    Intercommunalité

    Asté appartient à la communauté de communes Haute-Bigorre créée en décembre 1994 et qui réunit 24 communes.

    Services publics

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[59]. En 2020, la commune comptait 581 habitants[Note 9], en augmentation de 6,8 % par rapport Ă  2014 (Hautes-PyrĂ©nĂ©es : +0,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    6906146846918329529891 0881 062
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 029975908917892867895856834
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    816797776688687652610549662
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    604563513504456484520525537
    2017 2020 - - - - - - -
    559581-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[60] puis Insee Ă  partir de 2006[61].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    L’école Ă©lĂ©mentaire en 2020.

    Enseignement

    La commune dĂ©pend de l'acadĂ©mie de Toulouse. Elle dispose d’une Ă©cole en 2017[62].

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 255 mĂ©nages fiscaux[Note 10], regroupant 587 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 19 990 â‚Ź[I 9] (20 420 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 10]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    Division200820132018
    Commune[I 11]3,4 %8,5 %7,1 %
    DĂ©partement[I 12]7,7 %9,4 %9,8 %
    France entiĂšre[I 13]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  340 personnes, parmi lesquelles on compte 74,4 % d'actifs (67,3 % ayant un emploi et 7,1 % de chĂŽmeurs) et 25,6 % d'inactifs[Note 11] - [I 11]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de BagnĂšres-de-Bigorre, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 4] - [I 14]. Elle compte 44 emplois en 2018, contre 49 en 2013 et 53 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 233, soit un indicateur de concentration d'emploi de 19,1 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 54,7 %[I 15].

    Sur ces 233 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 35 travaillent dans la commune, soit 15 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 91,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,3 % les transports en commun, 4,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].

    Culture locale et patrimoine

    L'Ă©glise Saint-Saturnin.
    Le lavoir en 2020.
    Le monument aux morts municipal.

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    De gueules aux trois flÚches d'argent, empennées d'or, posées en pal la pointe en bas et rangées en fasce[64].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • [Bouget 1948] Joseph Bouget, « Le ChĂątaignier de MĂ©dous », Bulletin de la SociĂ©tĂ© Botanique de France, vol. 95, no 1 (suppl.),‎ , p. 124-127 (ISSN 0037-8941, lire en ligne [PDF] sur tandfonline.com, consultĂ© le ).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[12].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    10. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique d'Asté » sur Géoportail (consulté le 3 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune d'Asté » (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    3. « Unité urbaine 2020 de BagnÚres-de-Bigorre » (consulté le ).
    4. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », (consultĂ© le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'BagnÚres-de-Bigorre » (consulté le ).
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    8. Insee : Rapport statistique communal pour la ville d' Asté
    9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Asté » (consulté le ).
    10. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Asté » (consulté le ).
    12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
    13. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    14. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    15. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Asté » (consulté le ).
    16. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    17. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Asté et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Asté et BagnÚres-de-Bigorre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches d'Asté », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. « la Haut-Adour », sur www.tourisme-en-france.com (consulté le )
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 323-324.
    6. Carte IGN sous GĂ©oportail
    7. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    8. « Fiche communale d'Asté », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    9. Sandre, « l'Adour »
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
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    13. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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    18. « Orthodromie entre Asté et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    20. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    50. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consultĂ© le )
    51. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, BNF 37213307)..
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    53. « Garcie Arnaud de Coarraze », sur Geneanet, arbre de Guy FOUILLADE.
    54. Arnaud est généralement considéré comme le fils de Raimond Arnaud III de Coarraze et le gendre d'AgnÚs d'Asté et Sanche Garcie d'Aure-Comminges. Mais certains auteurs l'ont donné comme issu de la famille d'Aure-Comminges : par exemple directement le fils d'AgnÚs et Sanche Garcie, ou un fils de Sanche Garcie Ier d'Aure-Larboust : ces filiations semblent plutÎt provenir de confusions...
    55. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral d' Asté en 1825
    56. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
    57. « Liste des juridictions compétentes pour Asté », sur le site du ministÚre de la Justice (consulté le )
    58. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    59. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    60. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    61. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    62. « Annuaire : RĂ©sultats de recherche », sur le site du ministĂšre de l'Éducation nationale (consultĂ© le ).
    63. AstĂ©. La guĂ©rison Ă  la source, La DĂ©pĂȘche.
    64. Banque du Blason
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