AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Gerde

Gerde est une commune française situĂ©e dans le centre du dĂ©partement des Hautes-PyrĂ©nĂ©es, en rĂ©gion Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la province du Haut-Adour, autrefois incluse dans l’ancien comtĂ© de Bigorre.

Gerde
Gerde
Blason de Gerde
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement BagnĂšres-de-Bigorre
Intercommunalité Communauté de communes de la Haute-Bigorre
Maire
Mandat
GisĂšle Dubarry
2020-2026
Code postal 65200
Code commune 65198
DĂ©mographie
Gentilé Gerdois
Population
municipale
1 142 hab. (2020 en diminution de 3,3 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 165 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 03â€Č 21″ nord, 0° 10â€Č 05″ est
Altitude Min. 550 m
Max. 1 033 m
Superficie 6,93 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine BagnÚres-de-Bigorre
(banlieue)
Aire d'attraction BagnĂšres-de-Bigorre
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de la Haute-Bigorre
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Gerde
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Gerde
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Voir sur la carte topographique des Hautes-Pyrénées
Gerde
GĂ©olocalisation sur la carte : Occitanie
Voir sur la carte administrative d'Occitanie
Gerde

    Il s’agit d’une zone montagneuse constituĂ©e des prolongements occidentaux des massifs de NĂ©ouvielle et de l’Arbizon. ExposĂ©e Ă  un climat de montagne, elle est drainĂ©e par l'Adour, le Arrouy, ou Luz,, le ruisseau de Lies et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un espace protĂ©gĂ© (l'« Adour et affluents ») et quatre zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Gerde est une commune rurale qui compte 1 142 habitants en 2020. Elle est dans l'agglomĂ©ration de BagnĂšres-de-Bigorre et fait partie de l'aire d'attraction de BagnĂšres-de-Bigorre. Ses habitants sont appelĂ©s les Gerdois ou Gerdoises.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Gerde se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1]. Le centre géographique du département des Hautes-Pyrénées est situé sur la commune, d'aprÚs les calculs publiés en 2020 par l'IGN[Note 1] - [1].

    Elle se situe Ă  21 km Ă  vol d'oiseau de Tarbes[2], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  km de BagnĂšres-de-Bigorre[3], sous-prĂ©fecture.

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : AstĂ© (1,6 km), BagnĂšres-de-Bigorre (1,8 km), BeaudĂ©an (3,0 km), Uzer (3,4 km), Lies (3,6 km), Hauban (4,3 km), Campan (4,3 km), Pouzac (4,3 km).

    Sur le plan historique et culturel, Gerde fait partie de la province historique du Haut-Adour, autrefois incluse dans l’ancien comtĂ© de Bigorre. Il s’agit d’une zone montagneuse constituĂ©e des prolongements occidentaux des massifs de NĂ©ouvielle et de l’Arbizon[5] - [6].

    Carte de la commune de Gerde et des proches communes.
    Communes limitrophes de Gerde[7].
    Uzer
    BagnĂšres-de-Bigorre Gerde Lies
    Asté

    Paysages et relief

    Vue générale en été.

    Hydrographie

    Le pont au-dessus de l'Adour.

    L'Adour et l'Adourette forment une partie de la limite ouest avec la commune de BagnĂšres-de-Bigorre.
    Le riou Arrouy (Luz), affluent gauche de l'Arros, prend naissance sur la commune non loin du col des PalomiĂšres et traverse la commune en son centre.

    Elle est drainée par l'Adour, l'Arrouy, ou Luz,, le ruisseau de Lies, L'Adourette, Riou Arrouy et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[8] - [Carte 1].

    L'Adour, d'une longueur totale de 308,8 km, se forme dans la vallĂ©e de Campan en Haute-Bigorre de la rĂ©union de trois torrents : l'Adour de Payolle, l'Adour de Gripp et l'Adour de Lesponne et s'Ă©coule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le golfe de Gascogne Ă  Anglet, aprĂšs avoir traversĂ© 118 communes[9].

    L'Arrouy, ou Luz,, d'une longueur totale de 10,3 km, prend sa source dans la commune et s'Ă©coule vers le nord puis se rĂ©oriente vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans l'Arros Ă  Bonnemazon, aprĂšs avoir traversĂ© 7 communes[10].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroßt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[12].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[11]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 4,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 151 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[14] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[15] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Artigues », sur la commune de Campan, mise en service en 1959[16] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[17] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 7,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 220,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[18]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-PyrĂ©nĂ©es », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et Ă  21 km[19], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[20], Ă  12,6 °C pour 1981-2010[21], puis Ă  12,9 °C pour 1991-2020[22].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[23] - [24]. Dans ce cadre, la commune fait partie[25]. Un espace protĂ©gĂ© est prĂ©sent sur la commune : l'« Adour et affluents », objet d'un arrĂȘtĂ© de protection de biotope, d'une superficie de 215,8 ha[26].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensĂ©es sur la commune[27] : « l'Adour, de BagnĂšres Ă  Barcelonne-du-Gers » (2 786 ha), couvrant 59 communes dont 18 dans le Gers, une dans les Landes et 40 dans les Hautes-PyrĂ©nĂ©es[28] et le « rĂ©seau hydrographique des Baronnies » (390 ha), couvrant 35 communes du dĂ©partement[29] et deux ZNIEFF de type 2[Note 7] - [27] :

    • l'« Adour et milieux annexes » (3 634 ha), couvrant 60 communes dont 18 dans le Gers, une dans les Landes et 41 dans les Hautes-PyrĂ©nĂ©es[30] ;
    • les « Baronnies » (20 367 ha), couvrant 43 communes du dĂ©partement[31].
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Gerde est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 8] - [32] - [I 2] - [33]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de BagnĂšres-de-Bigorre, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 10 communes[I 3] et 13 262 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue[I 4] - [I 5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de BagnĂšres-de-Bigorre dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 6] - [I 7].

    La fontaine.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (51 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (51,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (38 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (25,4 %), prairies (23,1 %), zones urbanisĂ©es (10,9 %), terres arables (2,5 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (0,1 %)[34].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    • Carte en couleurs prĂ©sentant l'occupation des sols.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Photo aĂ©rienne en couleurs de la commune.
      Carte orthophotogrammétrique de la commune.

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 693[I 8].
    Parmi ces logements, 78,0 % sont des résidences principales, 15,7 % des résidences secondaires et 6,3 % des logements vacants.

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par les routes dĂ©partementales D 8, D 208 et D 784.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Gerde est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains, avalanche et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[35]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[36].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'Adour et l'Arrouy. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-PyrĂ©nĂ©es rĂ©alisĂ©e dans le cadre du XIe Contrat de plan État-rĂ©gion, visant Ă  informer les citoyens et les dĂ©cideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[37]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[38] - [35].

    Gerde est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies a Ă©tĂ© approuvĂ© par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral le pour la pĂ©riode 2020-2029. Le prĂ©cĂ©dent couvrait la pĂ©riode 2007-2017. L’emploi du feu est rĂ©gi par deux types de rĂ©glementations. D’abord le code forestier et l’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du , qui rĂ©glementent l’emploi du feu Ă  moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du dĂ©partement. Ensuite celle Ă©tablie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brĂ»lage des dĂ©chets verts des particuliers. L’écobuage est quant Ă  lui rĂ©glementĂ© dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[39]

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Gerde.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des tassements différentiels[40].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 42,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (44,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 569 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 503 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 88 %, Ă  comparer aux 75 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[41] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[42].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[35].

    La commune est exposĂ©e aux risques d'avalanche. Les habitants exposĂ©s Ă  ce risque doivent se renseigner, en mairie, de l’existence d’un plan de prĂ©vention des risques avalanches (PPRA). Le cas Ă©chĂ©ant, identifier les mesures applicables Ă  l'habitation, identifier, au sein de l'habitation, la piĂšce avec la façade la moins exposĂ©e Ă  l’alĂ©a pouvant faire office, au besoin, de zone de confinement et Ă©quiper cette piĂšce avec un kit de situation d’urgence[43] - [44].

    Risque technologique

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par une canalisation de transport de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[45].

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Gerde Ă  l'est de BagnĂšres-de-Bigorre

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[46] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    DĂ©nominations historiques :

    Nom occitan : Gerda.

    Histoire

    Préhistoire

    La grotte de la CarriĂšre est un gisement prĂ©historique[47]. A. Clot (1970) la donne pour du PlĂ©istocĂšne infĂ©rieur ou moyen[48] ; Fosse (1997) pour le dĂ©but du PlĂ©istocĂšne supĂ©rieur (interglaciaire Riss-WĂŒrm[49] ou Éémien, 130 000 Ă  115 000 ans), avec des vestiges d'animaux dont la grande diversitĂ© est caractĂ©ristique des repaires d'hyĂšnes anciens[49] ; les vestiges d'hyĂšnes (16,7 % de la faune du site) y sont cependant moins abondants que dans la plupart des repaires d'hyĂšnes[50] (moyenne de 33 % pour 22 autres repaires[49])[51] - [52].

    Cadastre napoléonien de Gerde

    Le plan cadastral napoléonien de Gerde est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[53].

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Liste des maires

    La mairie en 2020.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1988 ? Jean Espagnacq
    mars 1995 mars 2001 Pierre Plantat
    mars 2001 mars 2014 Monique Hournarette
    mars 2014 Marc Decker
    En cours GisÚle Dubarry Employée de banque

    Historique administratif

    Pays et sénéchaussée de Bigorre, quarteron de BagnÚres, vicomté d'Asté, canton de Campan (depuis 1790)[56].

    Intercommunalité

    Gerde appartient à la communauté de communes Haute-Bigorre créée en et qui réunit 24 communes.

    Services publics

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[59]. En 2020, la commune comptait 1 142 habitants[Note 10], en diminution de 3,3 % par rapport Ă  2014 (Hautes-PyrĂ©nĂ©es : +0,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    495691642649842837845801832
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    807775835860837882836827835
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    815794809736715739731695691
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    8811 0011 0401 1451 1911 1161 1401 1851 150
    2020 - - - - - - - -
    1 142--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[60] puis Insee Ă  partir de 2006[61].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    L’école primaire en 2020.

    Enseignement

    La commune dĂ©pend de l'acadĂ©mie de Toulouse. Elle dispose d’une Ă©cole en 2017[62].

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 531 mĂ©nages fiscaux[Note 11], regroupant 1 108 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 22 730 â‚Ź[I 9] (20 420 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 10]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 11]4,6 %7,7 %7,3 %
    DĂ©partement[I 12]7,7 %9,4 %9,8 %
    France entiĂšre[I 13]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  576 personnes, parmi lesquelles on compte 71,9 % d'actifs (64,6 % ayant un emploi et 7,3 % de chĂŽmeurs) et 28,1 % d'inactifs[Note 12] - [I 11]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de BagnĂšres-de-Bigorre, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 4] - [I 14]. Elle compte 84 emplois en 2018, contre 77 en 2013 et 77 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 382, soit un indicateur de concentration d'emploi de 22,1 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 42,6 %[I 15].

    Sur ces 382 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 58 travaillent dans la commune, soit 15 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 87,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2 % les transports en commun, 7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Julien de Gerde.
    Le monument aux morts municipal.

    Lieux et monuments

    • Retable de Marc FerrĂšre,Ă©glise Saint-Julien-de-Brioude.
      Retable de Marc FerrĂšre,
      Ă©glise Saint-Julien-de-Brioude.
    • Le lavoir en 2020.
      Le lavoir en 2020.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    De gueules à trois pals d'or alésés, fléchés en pointe et rangés en fasce, au chef cousu d'azur chargé de trois palombes volantes d'argent.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. La méthode de détermination du centre géographique d'une division administrative donnée consiste à calculer le centre de gravité de la surface en question, dont on connaßt le périmÚtre, sur un ellipsoïde, forme mathématique semblable à une sphÚre légÚrement aplatie et aussi proche que possible de la surface terrestre.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[13].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    11. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    12. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Gerde » sur Géoportail (consulté le 3 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Gerde » (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    3. « Unité urbaine 2020 de BagnÚres-de-Bigorre » (consulté le ).
    4. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », (consultĂ© le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de BagnÚres-de-Bigorre » (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    8. Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Gerde
    9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Gerde » (consulté le ).
    10. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Gerde » (consulté le ).
    12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
    13. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    14. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    15. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Gerde » (consulté le ).
    16. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    17. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

    Autres sources

    1. « Quel est le centre géographique des 96 départements métropolitains ? », sur www.ign.fr, (consulté le )
    2. Stephan Georg, « Distance entre Gerde et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Gerde et BagnÚres-de-Bigorre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Gerde », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. « la Haut-Adour », sur www.tourisme-en-france.com (consulté le )
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 323-324.
    7. « Gerde, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Les distances à vol d'oiseau se mesurent avec l'outil « Mesurer une distance » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).
    8. « Fiche communale de Gerde », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    9. Sandre, « l'Adour »
    10. Sandre, « l'Luz »
    11. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    12. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    13. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    14. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    15. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    16. « Station Météo-France Artigues - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    17. « Orthodromie entre Gerde et Campan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station Météo-France Artigues - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    19. « Orthodromie entre Gerde et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    23. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    24. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    25. « Parc national des Pyrénées - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    26. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « Liste des ZNIEFF de la commune de Gerde », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF « l'Adour, de BagnÚres à Barcelonne-du-Gers » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « ZNIEFF le « réseau hydrographique des Baronnies » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    30. « ZNIEFF l'« Adour et milieux annexes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    31. « ZNIEFF les « Baronnies » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    32. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    33. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    34. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    35. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Gerde », sur Géorisques (consulté le )
    36. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    37. DREAL Occitanie, « CIZI », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    38. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur www.gouvernement.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    39. « Plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre l’incendie (PDPFCI) 2020 – 2029 », sur www.hautes-pyrenees.gouv.fr (consultĂ© le )
    40. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur www.gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    41. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    42. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Gerde », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    43. « PrĂ©parer son kit d’urgence. », sur www.gouvernement.fr (consultĂ© le )
    44. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur www.gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Risque avalanche.
    45. « Dossier départemental des risques majeurs des Hautes-Pyrénées », sur www.gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
    46. Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Conseil Général des Hautes Pyrénées, 2000.
    47. [Clot 1980] André Clot, La grotte de la CarriÚre (Gerde, Hautes- Pyrénées). Stratigraphie et Paléontologie des Carnivores (thÚse de doctorat, laboratoire de Géologie), Université Paul Sabatier à Toulouse, , 237 p..
    48. [Clot 1970] AndrĂ© Clot, « Note prĂ©liminaire sur la Grotte de la CarriĂšre, Ă  Gerde (Hautes-PyrĂ©nĂ©es) », Bulletin de la SociĂ©tĂ© prĂ©historique française, vol. 67, no 2 « Études & Travaux »,‎ , p. 427-434 (lire en ligne [sur persee]).
    49. [Fosse 1997] Philippe Fosse, « VariabilitĂ© des assemblages osseux crĂ©Ă©s par l'HyĂšne des Cavernes », PalĂ©o, no 9,‎ , p. 15-54 (lire en ligne [sur persee]), p. 18.
    50. Fosse 1997, p. 19.
    51. [Simonnet 1971] G. Simonnet, « Midi-PyrĂ©nĂ©es », Gallia PrĂ©histoire, vol. 14, no 2,‎ , p. 400-403 (lire en ligne [sur persee]).
    52. [Clottes 1973] Jean Clottes, « Midi-PyrĂ©nĂ©es », Gallia PrĂ©histoire, vol. 16, no 2,‎ , p. 481-523 (lire en ligne [sur persee]), p. 482, p. 485 fig. 4 et p. 486 fig. 5.
    53. « Plan cadastral de Gerde en 1825 », Archives départementales des Hautes-Pyrénées, sur archivesenligne65.fr (consulté le ).
    54. MinistÚre de l'Intérieur - Hautes-Pyrénées (Occitanie), « Résultats de l'élection présidentielle de 2012 à Gerde » (consulté le ).
    55. MinistÚre de l'Intérieur - Hautes-Pyrénées (Occitanie), « Résultats de l'élection présidentielle de 2017 à Gerde » (consulté le ).
    56. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
    57. « Liste des juridictions compétentes pour Gerde », sur le site du ministÚre de la Justice (consulté le )
    58. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    59. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    60. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    61. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    62. « Annuaire : RĂ©sultats de recherche », sur le site du ministĂšre de l'Éducation nationale (consultĂ© le ).
    63. Jacques Duclos, Mémoires. Et la lutte continue, 1959-1969 : du début de la Ve République à la campagne présidentielle, Fayard, 1972, p. 460
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.