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Andernos-les-Bains

Andernos-les-Bains [ɑ̃dɛʁnɔs le bɛ̃] est une commune du Sud-Ouest de la France, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Gironde, en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.

Andernos-les-Bains
Andernos-les-Bains
L'hĂŽtel de ville en 2009.
Blason de Andernos-les-Bains
Blason
Andernos-les-Bains
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Gironde
Arrondissement Arcachon
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Bassin d'Arcachon Nord
(siĂšge)
Maire
Mandat
Jean-Yves Rosazza
2020-2026
Code postal 33510
Code commune 33005
DĂ©mographie
Gentilé Andernosiens
Population
municipale
12 284 hab. (2020 en augmentation de 4,88 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 614 hab./km2
Population
agglomération
19 557 hab. (2020)
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 44â€Č 37″ nord, 1° 06â€Č 09″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 30 m
Superficie 20,01 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Andernos-les-Bains
(ville-centre)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Andernos-les-Bains
(bureau centralisateur)
LĂ©gislatives HuitiĂšme circonscription
Localisation
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Andernos-les-Bains
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Andernos-les-Bains
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Andernos-les-Bains
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Andernos-les-Bains
Liens
Site web www.andernoslesbains.fr

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune est située sur la rive orientale du bassin d'Arcachon, au nord-est d'Arcachon et au nord du pays de Buch, dans les landes de Gascogne.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes en sont ArÚs au nord-nord-est et Lanton au sud-est et, plus précisément, l'écart de Taussat.

    Communes limitrophes d’Andernos-les-Bains[1]
    ArĂšs
    Andernos-les-Bains
    Bassin d'Arcachon Lanton

    Hydrographie

    Quatre cours d'eau coulent Ă  Andernos et se jettent dans le bassin d'Arcachon :

    • Ă  l'ouest, le CirĂšs, qui sert de frontiĂšre communale avec ArĂšs[3] ;
    • le Comte[4] ;
    • le BĂ©tey[5] ;
    • Ă  l'est, le Massurat, qui sert de frontiĂšre communale avec Lanton et son Ă©cart de Taussat-les-Bains[6].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[7]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,7 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 942 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[11] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[12] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Le Temple », sur la commune du Temple, mise en service en 1984[13] et qui se trouve Ă  18 km Ă  vol d'oiseau[14] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 979,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[15]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Le Temple », sur la commune du Temple, mise en service en 1984 et Ă  18 km[14], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de pour 1981-2010[16] Ă  pour 1991-2020[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Andernos-les-Bains est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [18] - [19] - [20]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine d'Andernos-les-Bains, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 2 communes[21] et 19 557 habitants en 2020, dont elle est ville-centre[22] - [23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[24] - [25].

    La commune, bordĂ©e par l'ocĂ©an Atlantique, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[26]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[27] - [28].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (50,5 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (44,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (43,1 %), forĂȘts (34,9 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (13 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (5,1 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (2,3 %), zones humides cĂŽtiĂšres (1,6 %)[29].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Lignes de bus

    Liaisons réguliÚres :

    Transport aérien

    Transport ferroviaire

    Andernos-les Bains est située à :

    La ville était auparavant desservie par la ligne de Lesparre à Saint-Symphorien qui reliait Lesparre-Médoc à Saint-Symphorien en passant par Hourtin, ArÚs, Biganos, Mios, Belin-Béliet et quelques autres gares de moindre importance. La ligne a été déferrée et transformée en piste cyclable et l'ancienne gare d'Andernos est devenue l'office de tourisme de la ville.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Andernos-les-Bains est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[30]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[31].

    La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) d’Arcachon, regroupant les 10 communes du bassin d'Arcachon concernĂ©es par un risque de submersion marine, un des 18 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[32]. Aux XXe et XXIe siĂšcles, les Ă©vĂ©nements significatifs sont ceux de 1882, 1896, 1897 puis 1924, 1951, 1984 et 1999. Au XXe siĂšcle, les tempĂȘtes Klaus, entre le et le et Xynthia des 27 et ont marquĂ© les esprits. Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă  30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă  300 ans) et extrĂȘme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout systĂšme de protection)[33]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1986, 1993, 1999, 2009, 2013 et 2020 et au titre des inondations par remontĂ©e de nappe en 2014[34] - [30].

    Andernos-les-Bains est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt[35]. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[36]. Sur le plan de l'amĂ©nagement du territoire la commune dispose d'un plan de prĂ©vention des risques incendies feux de forĂȘts (PPRIF)[37].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[38].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[30].

    Toponymie

    Le toponyme est documentĂ© sous les formes Endernos en 1339, Andarnos en 1634, Andernes en 1630 (carte de Gudocus), Andernos[39]
 La prononciation traditionnelle [endarˈnɔs] inversait les 2 premiĂšres voyelles.

    Andernos est un toponyme aquitanique en -otz / -os[39], suffixe aquitain que l'on rencontre aussi en Espagne sous la forme diphtonguée -uÚs. Le radical Andern- correspond probablement à un nom de personne aquitanique selon le cas général et dans ce cas précis Anderen-, attesté comme nom de femme Andere, Anderenis. Andere (nominatif singulier) est attestée à Martres-Tolosane et la forme Andereni (datif singulier) à Larcan ; Joaquin Gorrochategui postule une déclinaison -e, -enis. On connait aussi les noms de femme apparentés Anderexo (nominatif), Anderese(n), Andereseni au datif singulier. Anderitia, Andere signifie « dame » en basque[40].

    AprĂšs s'ĂȘtre appelĂ©e simplement Andernos, la commune a obtenu en 1897 d'ajouter le dĂ©terminant complĂ©mentaire -les-Bains[41].

    En gascon, le nom de la commune est AndernĂČs / EndarnĂČs.

    Histoire

    Barques des parqueurs d'huĂźtres (vers 1920).
    Le bassin d'Arcachon au Mauret.

    Andernos est habitĂ© dĂšs la PrĂ©histoire rĂ©cente soit depuis 10 000 ans environ. Cette occupation est attestĂ©e par la dĂ©couverte de milliers d’objets sur les rives et l’embouchure du ruisseau « Le BĂ©tey ». Il s’agit d’un site prĂ©historique majeur sur la façade atlantique.

    À l'Ă©poque gallo-romaine, Andernos est une citĂ© importante[42]. La bourgade gallo-romaine a Ă©tĂ© dĂ©truite par les invasions barbares. On en trouve nĂ©anmoins des vestiges, Ă  cĂŽtĂ© de l'Ă©glise Saint-Éloi, non loin du port ostrĂ©icole. Ils ont d'abord Ă©tĂ© interprĂ©tĂ©s comme ceux d'une basilique ; mais les derniĂšres recherches penchent plutĂŽt pour ceux d’une immense villa gallo-romaine construite prĂšs du littoral.

    Pour plus d'information sur la commune au XVIIIe siĂšcle, voir l'ouvrage de Jacques Baurein[43].

    À la RĂ©volution, la paroisse de Saint-Éloi d'Andernos forme la commune d'Andernos[44].

    Le chĂąteau d’Andernos, devenu bien national, Ă©tait situĂ© Ă  environ km de l’église et du bassin. Il a complĂštement disparu, dĂ©truit en 1845.

    En 1851, une importante portion au nord et nord-est du territoire communal acquiert son autonomie pour former la commune d'ArĂšs[41].

    La ville d'Andernos prend officiellement le nom d'Andernos-les-Bains par un décret du 13 décembre 1897[45].

    Politique et administration

    DĂ©coupage territorial

    La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arcachon du département de la Gironde.

    Commune et intercommunalités

    La commune est membre de la communauté d'agglomération du Bassin d'Arcachon Nord et en est le siÚge.

    Circonscriptions administratives

    La commune est rattachée au canton d'Andernos-les-Bains.

    Circonscriptions Ă©lectorales

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la huitiÚme circonscription de la Gironde.

    Liste des maires (depuis 1851, année de la partition avec la nouvelle commune d'ArÚs)

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    13 avril 1851 24 juillet 1852 (révocation) Jacques Hazera Maçon
    25 juillet 1852 5 juin 1855 (démission) Luc Baché
    6 juin 1855 9 septembre 1865 Jacques Hazera Maçon
    10 septembre 1865 13 mai 1871 Martin Lacaze, dit Broustic Commerçant
    14 mai 1871 27 mai 1871 Antonin Lalande, dit Antonin
    28 mai 1871 7 octobre 1876 Martin Lacaze, dit Broustic Commerçant
    8 octobre 1876 17 mai 1884 Pierre Goubet Forgeron
    18 mai 1884 19 mai 1888 SĂ©bastien GĂ©rard Castaing ex-Instituteur
    20 mai 1888 24 septembre 1894 (décÚs) Pierre Baché
    25 septembre 1894 19 mai 1900 Francois Goubet, dit Francillon Entrepreneur en bĂątiment
    20 mai 1900 19 mai 1929 Louis Théodore David Alliance Démocratique Avocat
    20 mai 1929 20 juillet 1934 (démission) Jacques de Chorivit Courtier en vins
    21 juillet 1934 11 mai 1935 Hector Saubesty, dit Totor Artisan peintre
    12 mai 1935 12 octobre 1936 (décÚs) Gaston Bordes Avocat
    21 novembre 1936 20 mars 1941 Hector Saubesty, dit Totor Artisan peintre
    21 mars 1941 21 octobre 1944 Jean Dusseaux (nommé par décret)
    22 octobre 1944 30 octobre 1947 Hector Saubesty, dit Totor Artisan peintre
    31 octobre 1947 15 février 1964 (décÚs) Jean-Marcel Despagne
    26 avril 1964 27 mars 1971 AndrĂ© Lahaye, dit Titianel PĂȘcheur, OstrĂ©iculteur
    28 mars 1971 23 septembre 1972 (démission) Lucien Ribe
    24 septembre 1972 9 novembre 1972 Rémy Counilh (intérim) Directeur d'école
    10 novembre 1972 10 août 1974
    (décÚs)
    Franck Cazenave RI Ingénieur, ancien maire de Belin-Béliet
    Député (1962-1974)
    11 aout 1974 3 octobre 1974 Elisabeth Verdier (intérim) Médecin
    4 octobre 1974 avril 2014 Philippe PĂ©rusat RPR puis UMP Promoteur immobilier
    avril 2014 En cours Jean-Yves Rosazza[46]
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[47]
    SE ex-Agent immobilier
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique environnementale

    En 2018, pour faire face à la transition énergétique pour la « croissance verte », la commune adopte la solution « zéro pesticide » qui est un programme écologique amenant à la non-utilisation de produits phytosanitaires de synthÚse sur une grande partie des espaces publics.

    Jumelages

    Andernos-les-Bains est jumelée avec :

    Équipements et services publics

    Enseignement

    École Ă©lĂ©mentaire Jules-Ferry.

    La commune dispose de plusieurs Ă©coles :

    • quatre Ă©coles maternelles (trois Ă©coles publiques : Capsus, le Betey, le Coulin et une Ă©cole privĂ©e : Bonaccueil) ;
    • quatre Ă©coles Ă©lĂ©mentaires (trois Ă©coles publiques : Capsus, le Betey, Jules-Ferry et une Ă©cole privĂ©e : Bonaccueil) ;
    • un collĂšge public (collĂšge AndrĂ©-Lahaye accueillant plus de 900 Ă©lĂšves) ;
    • un lycĂ©e public d'enseignement gĂ©nĂ©ral (lycĂ©e Nord-Bassin de plus de 800 Ă©lĂšves).
    • Un centre de mer et d’éducation au dĂ©veloppement durable (CE2D) implantĂ© dans un parc forestier (au 130 avenue de Bordeaux) organise des animations et des sĂ©jours (classes de mer), principalement pour l'Ă©cole primaire[48].

    Justice, sécurité, secours et défense

    La ville héberge plusieurs services publics :

    • une mairie ;
    • une caserne de pompiers ;
    • une police municipale ;
    • une gendarmerie.

    Population et société

    Les habitants sont appelés les Andernosiens[49].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque annĂ©e Ă  la suite d'une enquĂȘte par sondage auprĂšs d'un Ă©chantillon d'adresses reprĂ©sentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement rĂ©el tous les cinq ans[50] - [Note 7].

    En 2020, la commune comptait 12 284 habitants[Note 8], en augmentation de 4,88 % par rapport Ă  2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7207438231 0161 1691 0721 2211 277503
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    5105195746387439491 0751 0851 118
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2471 3491 3541 3301 4561 7822 3002 7683 174
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    3 4724 6765 1195 9717 1769 25410 27811 20911 873
    2020 - - - - - - - -
    12 284--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee Ă  partir de 2006[51].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    La voile Ă  Andernos.
    Port du BĂ©tey.

    La ville d'Andernos-les-Bains est riche de plus de 200 associations et dispose de plusieurs centres sportifs :

    • un complexe de tennis disposant de dix courts (dont deux couverts) et d'un terrain de squash ;
    • un complexe sportif (Jacques Rosazza) disposant de cinq terrains de football (dont deux avec vestiaires), d'une piste d'athlĂ©tisme et d'une tribune de 500 places ;
    • deux salles des sports (Jacques Rosazza et salle du collĂšge) : pour les clubs de handball, de volley-ball, de futsal, de badminton et de gymnastique ;
    • un centre de voile (Sport Nautique Andernosien) ;
    • une piscine municipale ;
    • et aussi un aĂ©rodrome, une piste d'aĂ©romodĂ©lisme, un centre Ă©questre, des clubs de billard, de danse, de judo, de boxe et autres arts martiaux, deux clubs de pĂ©tanque, un club de baseball, un skate-park, un club de tir et de tir Ă  l'arc, un club de triathlon.

    En tout, la ville compte 53 clubs sportifs, dont un club de handball (Andernos Handball Nord Bassin) qui Ă©volue en Nationale 3.

    Loisirs

    La ville d'Andernos-les-Bains dispose de plusieurs lieux de loisirs :

    • un casino ;
    • deux discothĂšques ;
    • un cinĂ©ma comportant une salle pouvant accueillir 200 personnes qui est le cinĂ©ma historique d'Andernos ; cependant, en raison de son nombre modeste de places, un deuxiĂšme cinĂ©ma, type multiplex, doit ouvrir dans un quartier un peu excentrĂ©, Ă  l'emplacement de l'ancien stade de football.

    Manifestations culturelles et festivités

    • Festival de jazz, en Ă©tĂ© depuis 1968[52].

    MĂ©dias

    • Andernos La Radio.

    Culture locale et patrimoine

    L'Ă©glise Saint-Éloi et le site des vestiges (mars 2009).
    Église Notre-Dame-de-la-Paix.

    Lieux et monuments

    • Site prĂ©historique du Betey[53]. Les objets dĂ©couverts montrent une occupation humaine continue de ces rivages, en partie recouverts par les eaux. L’occupation prĂ©historique dĂ©bute par la prĂ©sence  de chasseurs-pĂȘcheurs-cueilleurs nomades (premier MĂ©solithique ; Ă  partir de – 8 500 ans av. J.-C. ; pointes de flĂšches[54]) et se termine par de traces d’agriculteur-Ă©leveurs (NĂ©olithique final ; Ă  partir de ; haches polies, cĂ©ramiques). Cette sĂ©dentarisation lors de la « rĂ©volution nĂ©olithique » a probablement donnĂ© lieu Ă  l’implantation de plusieurs villages prĂ©historiques sur les rivages du Betey, dĂ©sormais sous les eaux[55].
    • L'Ă©glise Saint-Éloi Ă©tait un relais du pĂšlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. BĂątie sur les ruines d'une villa gallo-romaine du IVe siĂšcle (dont les vestiges sont en partie visibles Ă  cĂŽtĂ© de l'Ă©glise), elle date du XIe siĂšcle. Des photos des peintures murales des XVe et XVIIe siĂšcles de l'Ă©glise sont disponibles sur la base MĂ©moire du ministĂšre de la Culture[56].
    • Église Notre-Dame-de-la-Paix d'Andernos-les-Bains.
    • Les vestiges gallo-romains situĂ©s dans l'ancien cimetiĂšre, Ă  proximitĂ© de l'Ă©glise Saint-Éloi, ont Ă©tĂ© classĂ©s Ă  l'inventaire des monuments historiques en 1933[57].
    • La Maison Louis-David. PrĂšs du centre-ville, la villa Ignota, construite en plusieurs Ă©tapes de 1908 Ă  1914[58], prĂ©sente les caractĂ©ristiques de l'architecture balnĂ©aire de la fin du XIXe et du dĂ©but du XXe siĂšcle. PropriĂ©tĂ© de Louis ThĂ©odore David, maire d'Andernos de 1905 Ă  1929, laissĂ©e Ă  l'abandon Ă  son dĂ©cĂšs, elle a Ă©tĂ© acquise par la municipalitĂ© et restaurĂ©e en 1978. Aujourd'hui centre culturel appelĂ© « Maison municipale Louis-David », elle abrite le musĂ©e de la ville oĂč se trouve conservĂ©e une partie des vestiges retrouvĂ©s sur le site des ruines gallo-romaines ainsi qu'une collection de monnaies anciennes, des archives municipales et des manuscrits. Elle accueille aussi tout au long de l'annĂ©e de nombreuses expositions de peinture et d'arts plastiques. Cette villa est entourĂ©e par le parc « Louis-David », ou l'on peut voir la tombe de Louis ThĂ©odore David rĂ©alisĂ©e par le cĂ©lĂšbre sculpteur parisien des annĂ©es 1930 Raymond Delamarre[59].
    • Maison Louis-David
    • PremiĂšre Ă©tape de la construction de la villa Ignota (aprĂšs 1908).
      PremiĂšre Ă©tape de la construction de la villa Ignota (aprĂšs 1908).
    • Panonceau dĂ©crivant la villa Ignota.
      Panonceau décrivant la villa Ignota.
    • La villa Ignota, maison municipale (mars 2009).
      La villa Ignota, maison municipale (mars 2009).
    • La villa Ignota.
      La villa Ignota.
    • Site naturel des Quinconces : Les Quinconces furent un lieu de promenade frĂ©quentĂ©, entre autres, par Sarah Bernhardt lors de ses sĂ©jours Ă  Andernos-les-Bains. Ce site reste l'un des derniers espaces naturels Ă  avoir rĂ©sistĂ© Ă  l'urbanisation intensive des 50 derniĂšres annĂ©es.
    • La jetĂ©e d'Andernos-les-Bains est la plus longue du bassin avec ses 232 mĂštres. Cet ouvrage imaginĂ© bien avant la PremiĂšre Guerre mondiale par Louis David, n'a Ă©tĂ© construite qu'en 1926. À l'origine, elle devait mesurer le double de la longueur actuelle. Elle a Ă©tĂ© restaurĂ©e et Ă©largie en 1995 par l'architecte Pierre Raffy, et prolongĂ©e par une halte nautique afin d'atteindre le chenal toujours en eau[60]. De lĂ , on peut voir les cabanes tchanquĂ©es ainsi que l'entrĂ©e du bassin d'Arcachon[42].
    • Site naturel protĂ©gĂ© des Quinconces, bassins Ă  poissons.
      Site naturel protégé des Quinconces, bassins à poissons.
    • Port ostrĂ©icole.
      Port ostréicole.
    • L'entrĂ©e du port.
      L'entrée du port.
    • halte nautique en bout de la jetĂ©e.
      halte nautique en bout de la jetée.
    • JetĂ©e d'Andernos.
      Jetée d'Andernos.
    • La plage centrale.
      La plage centrale.
    • Le bassin Ă  marĂ©e basse.
      Le bassin à marée basse.

    Patrimoine culturel

    La ville dispose d'une école de musique municipale, une médiathÚque et compte plusieurs associations culturelles :

    • un club de thĂ©Ăątre ;
    • un club d'Ɠnologie ;
    • un club d'Ă©checs, de bridge, de tarot ;
    • des clubs de danse, d'histoire, de peinture.

    Depuis 2012, l'office de tourisme s'est doté d'un site internet permettant de découvrir toutes les beautés de la ville[61].

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Armes

    Les armes d'Andernos-les-Bains se blasonnent ainsi :

    « D'azur au voilier d'or voguant sur une mer de sinople chargée d'un dauphin nageant cousu du champ, la queue contournée, au soleil aussi d'or mouvant de l'angle senestre du chef, au chef cousu de gueules chargé d'un léopard d'or. »


    Ces armes sont considérées comme fautives : la superposition d'azur sur sinople est interdite en héraldique.

    Logotype

    Sur la base de l'initiale A du nom de la commune, le logotype rappelle la forme du bassin d'Arcachon et un point orange précise l'emplacement de la ville sur le bassin.
    Texte sous le nom de la commune :

    « Je m'y sens bien ! »

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[9].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[10].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă  1999, que les populations correspondant Ă  une enquĂȘte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniĂšre population lĂ©gale publiĂ©e par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.

    Références

    1. Andernos-les-Bains sur Géoportail, consulté le 10 septembre 2015.
    2. Andernos-les-Bains sur Géoportail, consulté le 10 septembre 2015.
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau de CirÚs (S1300500 ) » (consulté le )
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Comte (S1300510 ) » (consulté le )
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau du Bétey (S1300520 ) » (consulté le )
    6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le ruisseau Le Massurat (05190754 ) » (consulté le )
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    9. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    10. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    11. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    12. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    13. « Station Météo-France Le Temple - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    14. « Orthodromie entre Andernos-les-Bains et Le Temple », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Le Temple - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Le Temple - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Le Temple - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Unité urbaine 2020 d'Andernos-les-Bains », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    22. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    23. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    24. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    26. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    27. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Loi relative Ă  l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
    29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    30. « Les risques prÚs de chez moi - commune d'Andernos-les-Bains », sur Géorisques (consulté le )
    31. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    32. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne », sur https://www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr/ (consulté le )
    33. « cartographie des risques d'inondations du TRI d’Arcachon », sur www.nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consultĂ© le )
    34. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    35. « Le risque feux de forĂȘts. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
    36. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
    37. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    38. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Andernos-les-Bains », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    39. BĂ©nĂ©dicte Boyrie-FĂ©niĂ©, Institut occitan, Dictionnaire toponymique des communes de Gironde, Pau, Éditions Cairn, , 402 p. (ISBN 978-2-35068-012-5), p. 40..
    40. Michel Morvan, Note sur l'origine du mot Andere.
    41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    42. D'aprÚs « Patrimoine des communes de la Gironde » ; éditions Flohic ; 2004 ; 2 tomes ; pp. 55-58.
    43. Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 3, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne), article 6.XXXIII, pages 388-390
    44. Historique des communes, p. 1, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 2 septembre 2013.
    45. Décret publié au JO du 17 décembre 1897, cf. site Gallica de la BNF accessible via ce lien .
    46. Fils de Jacques Rosazza, adjoint à la mairie de 1965 à 2001, année de sa disparition ; un complexe sportif d'Andernos, porte son nom
    47. https://reader.cafeyn.co/fr/1980758/21597798
    48. Juniors du développement durable, « Centre de mer Andernos », Répertoire des associations, Bordeaux Métropole (consulté le ).
    49. Nom des habitants des communes françaises sur habitants.fr, consulté le 27 juillet 2011.
    50. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    51. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    52. « Andernos Jazz Festival a 50 ans ! », sur andernos-jazz-festival.fr, (consulté le ).
    53. « Collection préhistorique au Musée municipal à la Maison David », sur tourisme.andernoslesbains.fr (consulté le ).
    54. Parmi ces pointes de flĂšches, apparaissent en grand nombre, les « triangles et segments du Betey » ; ce sont des pointes de flĂšches Ă  la forme singuliĂšre Ă  fonction polyvalente ; elles permettent d’avoir simultanĂ©ment des pointes perçantes, des pointes tranchantes, des Ă©lĂ©ments de barbelure, de scie et de faucilles. D’origine probablement espagnole, cette technologie s’est progressivement diffusĂ©e en France, particuliĂšrement en Aquitaine. Ces armatures apparaissent sur nos cĂŽtes au NĂ©olithique ancien (vers – 5400 ans avant J.-C.). Elles ont Ă©tĂ© baptisĂ©es dans les annĂ©es 1970 du nom du site oĂč elles ont Ă©tĂ© dĂ©couvertes.
    55. Julia Roussot-Larroque, « La "station sous-marine" du BĂ©tey Ă  Andernos (Gironde) d'aprĂšs la collection Ferrier », D'Arcachon Ă  Andernos, regards sur le bassin. Actes du XLVIIIe congrĂšs d'Ă©tudes rĂ©gionales tenu Ă  Arcachon et Andernos les 20-21 avril 1996, FĂ©dĂ©ration Historique du Sud-Ouest,‎ , p. 53-71 (lire en ligne).
    56. « Images de peintures murales de l'Ă©glise Saint-Éloi et autres sites de la ville », base MĂ©moire, ministĂšre français de la Culture, consultĂ© le 2 mars 2010.
    57. « Classement des vestiges gallo-romains », notice no PA00083111, base Mérimée, ministÚre français de la Culture, consulté le 27 janvier 2010.
    58. « Villa Ignota (musée) », sur visites.aquitaine.fr (consulté le ).
    59. « "La Consolation" Sépulture de Louis David à Andernos-Les-Bains », sur atelier-raymond-delamarre.fr, (consulté le ).
    60. Le Bassin d'Arcachon en 101 sites et monuments, Bordeaux, Editions Le Festin, mars 2012 ; réédition juillet 2017, 144 p. (lire en ligne), n° 68 ; p.94.
    61. Site de l'office de tourisme.
    62. Détail de ses séjours connu par les lettres à sa mÚre.
    63. Fiche biographique sur le site de l'Ordre de la Libération

    Bibliographie

    • Olivier de Marliave, Dictionnaire du Bassin d'Arcachon, Ă©d. Sud-Ouest, collection Sites et Patrimoine, 2017.
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