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Varennes-Changy

Varennes-Changy est une commune française, située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.

Varennes-Changy
Varennes-Changy
Place de l'Église.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Loiret
Arrondissement Montargis
Intercommunalité Communauté de communes Canaux et Forêts en Gâtinais
Maire
Mandat
Evelyne Couteau
2020-2026
Code postal 45290
Code commune 45332
DĂ©mographie
Gentilé Varennois
Population
municipale
1 492 hab. (2020 en stagnation par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 50 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 52′ 00″ nord, 2° 40′ 00″ est
Altitude Min. 103 m
Max. 154 m
Superficie 29,77 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Lorris
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Varennes-Changy
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Varennes-Changy
Liens
Site web varenneschangy.fr

    GĂ©ographie

    Localisation

    Représentations cartographiques de la commune
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    Avec les communes environnantes
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    La commune de Varennes-Changy se trouve dans le quadrant sud-est du dĂ©partement du Loiret, dans la rĂ©gion agricole du Gâtinais pauvre[1]. Ă€ vol d'oiseau, elle se situe Ă  56,3 km d'OrlĂ©ans[2], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  16,0 km de Montargis[3], sous-prĂ©fecture, et Ă  11,2 km de Lorris, ancien chef-lieu du canton dont dĂ©pendait la commune avant . La commune fait partie du bassin de vie de Lorris[4].

    Communes limitrophes

    Les communes les plus proches sont : Ouzouer-des-Champs (3,8 km), Le Moulinet-sur-Solin (km), Oussoy-en-Gâtinais (4,8 km), Saint-Hilaire-sur-Puiseaux (5,2 km), Langesse (5,2 km), La Cour-Marigny (5,6 km), Nogent-sur-Vernisson (6,4 km), Montereau (6,6 km), Pressigny-les-Pins (km) et Solterre (7,6 km)[5].

    Lieux-dits et Ă©carts

    Le Bois-des-Haies, les Bonnys, les Bruyères, le Bussoy, les Cadellières, Champ-Louis, les Champs-Mignons, Changy, la Cloreine, la Colinière, les Coudreaux, les Courselles, Crételle, les Fumasses, les Fougères, la Gaufflerie, la Golotte, les Houches, Le Haut-du-Turc, la Maincereine, les Marnières, les Maux-Prés, la Montagne, la Mozardière, les Pages, la Pageonnerie, la Petite-Charbonnière, les Petits-Fleury, les Potinières, la Ragerie, la Riverie-Neuve, la Théauderie, le Trembloy, la Saboterie, la Vallée, les Vaux.

    GĂ©ologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[6].

    Hydrographie

    Le Puiseaux[7] ; le ruisseau des Fontaines[8] ; l'Ă©tang de Changy ; les fontaines Renaud et Saint-Martin.

    Climat

    Le climat est tempéré de type océanique dégradé se caractérisant par des hivers doux et pluvieux, et des étés frais et relativement humides.

    Urbanisme

    Typologie

    Varennes-Changy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [9] - [10] - [11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12] - [13].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47 %), zones agricoles hétérogènes (20,6 %), forêts (13,6 %), prairies (12,5 %), zones urbanisées (4,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[14].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    • Carte orthophotographique de la commune en 2016.
      Carte orthophotographique de la commune en 2016.

    Logement

    En 2013, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 890.

    Parmi ces logements, 74,6 % étaient des résidences principales, 15 % des résidences secondaires et 10,4 % des logements vacants.

    La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 79,5 %[15].

    Voies de communication et transports

    Place Marie-Desprez.
    RĂ©seau routier principal de la commune de Varennes-Changy (avec indication du trafic routier 2014).

    Les routes départementales 41 et 42 traversent le territoire de la commune.

    Varennes-Changy est relié au réseau Ulys du Conseil Général. Un arrêt de car se situe rue de Nogent sur la ligne 18 Bellegarde-Lorris-Gien[16].

    Risques majeurs

    La commune de Varennes-Changy est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible). Elle est également exposée à deux risques technologiques : le risque nucléaire et le risque de transport de matières dangereuses[17]. Entre 1989 et 2019, dix arrêtés ministériels ayant porté reconnaissance de catastrophe naturelle ont été pris pour le territoire de la commune : cinq pour des inondations et coulées de boues et cinq pour des mouvements de terrains[18].

    Risques naturels

    Le territoire de la commune peut être concerné par un risque d'effondrement de cavités souterraines non connues. Une cartographie départementale de l'inventaire des cavités souterraines et des désordres de surface a été réalisée. Il a été recensé sur la commune plusieurs effondrements de cavités[19].

    Par ailleurs, le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liés à la sècheresse. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sècheresse[20]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particulièrement affecté le Loiret après la canicule de l'été 2003. La totalité du territoire de la commune est exposée à un aléa « moyen » face à ce risque, selon l'échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), hormis une poche englobant le bourg en aléa « fort »[21].

    Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicité croissante[22]. La commune, à l’instar de l’ensemble du département, est concernée par un risque très faible[18].

    Risques technologiques

    Dans le domaine des risques technologiques, une partie du territoire de la commune peut ĂŞtre concernĂ©e par le risque nuclĂ©aire. En cas d’accident grave, certaines installations nuclĂ©aires sont en effet susceptibles de rejeter dans l’atmosphère de l’iode radioactif. Or la commune se situe partiellement Ă  l'intĂ©rieur du pĂ©rimètre de 20 km du Plan particulier d'intervention de la centrale nuclĂ©aire de Dampierre. Ă€ ce titre les habitants de la commune, comme tous ceux rĂ©sidant dans le pĂ©rimètre proche de 20 km de la centrale ont bĂ©nĂ©ficiĂ©, Ă  titre prĂ©ventif, d'une distribution de comprimĂ©s d’iode stable dont l’ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroĂŻde d’une exposition Ă  de l’iode radioactif[Note 2]. En cas d'incident ou d'accident nuclĂ©aire, des consignes de confinement ou d'Ă©vacuation peuvent ĂŞtre donnĂ©es et les habitants peuvent ĂŞtre amenĂ©s Ă  ingĂ©rer, sur ordre du prĂ©fet, les comprimĂ©s en leur possession[24].

    La commune est exposée au risque de transport de matières dangereuses, en raison du passage sur son territoire d'un itinéraire routier structurant supportant un fort trafic (l'autoroute A77)[17] - [25].

    Toponymie

    La dénomination Varennes-Changy[26] a été officialisée en 1974, en même temps que la fusion définitive des deux communes.

    La dénomination de Varennes-en-Gâtinais[26] avait été officialisée en 1933. Auparavant, la commune était connue sous le simple nom Varennes (toujours utilisé dans le langage courant, mais de manière qui se raréfie depuis la fusion avec Changy, ou seulement pour parler du bourg de Varennes).

    Histoire

    Sous l'Ancien Régime, Varennes dépendait de l'archidiaconé du Gâtinais et de l'archevêché de Sens.

    Entre le et le , plus de 2 800 rĂ©fugiĂ©s espagnols fuyant l'effondrement de la Seconde RĂ©publique espagnole devant les troupes de Francisco Franco, arrivent dans le Loiret. Devant l'insuffisance des structures d'accueil disponibles Ă  OrlĂ©ans, 46 centres d’accueil ruraux sont ouverts[27], dont un Ă  Varennes-en-Gâtinais[28]. Les rĂ©fugiĂ©s, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont dĂ©sarmĂ©s et retenus dans le Sud de la France), sont soumis Ă  une quarantaine stricte, vaccinĂ©s, le courrier est limitĂ©, et le ravitaillement, s'il est peu variĂ© et cuisinĂ© Ă  la française, est cependant assurĂ©[29]. Une partie des rĂ©fugiĂ©s rentrent en Espagne, incitĂ©s par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, ceux prĂ©fĂ©rant rester sont regroupĂ©s au camp de la verrerie des Aydes, Ă  Fleury-les-Aubrais[28].

    Politique et administration

    Bloc communal : Commune et intercommunalités

    La paroisse de Varennes acquiert le statut de municipalité avec le décret du de l'Assemblée Nationale[30] puis celui de « commune », au sens de l'administration territoriale actuelle, par le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[31]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l'organisation municipale pour qu'un régime juridique uniforme soit défini pour toutes les communes de France, point de départ de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central[32].

    La commune est orthographiée Varennes dans l'arrêté de 1801. En 1918, la Chambre de Commerce de Paris émet le souhait « qu'un nom de complément soit donné aux localités qui portent une dénomination identique » afin d'éviter toute confusion dans les transmissions postales et le transport des marchandises. Le gouvernement accueille favorablement cette demande et le le préfet du Loiret invite 82 communes du Loiret ayant des homonymes dans d'autres départements à compléter leur nom. Vingt-trois conseils municipaux refusent. La commune de Varennes, quant à elle, prend le nom de Varennes-en-Gâtinais à la suite du décret du [33].

    Varennes-Changy est issue de la fusion simple, intervenue le 1er janvier 1971, entre les anciennes communes de Varennes-en-Gâtinais et Changy[34]. La codification géographique est celle de Varennes-en-Gâtinais, et la mairie située dans le bourg de cette ancienne commune.

    Localisation de la commune de Varennes-Changy dans la communauté de communes Canaux et forêts en Gâtinais.

    La commune est membre de la communauté de communes du canton de Lorris, une intercommunalité qui remplace l'ancien SIVOM du canton de Lorris créé en , depuis sa création le jusqu'au [35].

    Afin de renforcer et rĂ©duire le nombre d'intercommunalitĂ©s en France, la loi du portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (dite loi NOTRe) fait passer le seuil dĂ©mographique minimal de 5 000 Ă  15 000 habitants pour constituer une intercommunalitĂ©, sauf exceptions. Le schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale du Loiret est arrĂŞtĂ© sur ces bases le et le nombre d'Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale Ă  fiscalitĂ© propre passe dans le dĂ©partement du Loiret de 28 (2 communautĂ©s d'agglomĂ©ration et 26 communautĂ©s de communes) Ă  16 (deux communautĂ©s d'agglomĂ©ration et 14 communautĂ©s de communes dont une interdĂ©partementale)[36]. Les communautĂ©s de communes du canton de Lorris et canton de Châtillon-Coligny et du Bellegardois fusionnent ainsi Ă  compter du en une seule entitĂ© : la communautĂ© de communes Canaux et forĂŞts en Gâtinais, dont le siège est Ă  Lorris et dont fait dĂ©sormais partie Varennes-Changy[37].

    Circonscriptions de rattachement

    La loi du divise le pays en 83 départements découpés chacun en six à neuf districts eux-mêmes découpés en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les départements, sont le siège d’une administration d’État et constituent à ce titre des circonscriptions administratives. La commune de Varennes est alors incluse dans le canton de Nogen-sur-Vernisson, le district de Montargis et le département du Loiret[38].

    La recherche d’un équilibre entre la volonté d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exécution et le contrôle des lois d’une part, et la volonté d’accorder une certaine autonomie aux collectivités de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 à 1838[39]. Les découpages territoriaux évoluent ensuite au gré des réformes visant à décentraliser ou recentraliser l'action de l'État. La régionalisation fonctionnelle des services de l'État (1945-1971) aboutit à la création de régions[40]. L'acte I de la décentralisation de 1982-1983 constitue une étape importante en donnant l'autonomie aux collectivités territoriales, régions, départements et communes[41]. L'acte II intervient en 2003-2006[42], puis l'acte III en 2012-2015.

    Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Varennes-Changy aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l'historique de l'évolution de leurs territoires.

    Circonscription Nom Période Type Évolution du découpage territorial
    DistrictMontargis1790-1795AdministrativeLa commune est rattachée au district de Montargis de 1790 à 1795[43] - [38]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d'importance[44].
    CantonNogen sur Vernisson1790-1801Administrative et électoraleLe , la municipalité de Varennes est rattachée au canton de Nogen sur Vernisson[45] - [43]. Les cantons sont supprimés, en tant que découpage administratif, par une loi du , et ne conservent qu'un rôle électoral[44]. Ils permettent l’élection des électeurs du second degré chargés de désigner les députés[46]. Les cantons acquièrent une fonction administrative avec la disparition des districts en 1795.
    Lorris1801-2015Sous le Consulat, un redécoupage territorial visant à réduire le nombre de justices de paix ramène le nombre de cantons dans le Loiret de 59 à 31[47]. Varennes est alors rattachée par arrêté du 9 vendémiaire an X () au canton de Lorris, sous le nom de Varennes[48] - [43].
    Lorris2015-ÉlectoraleLa loi du [49] et ses décrets d'application publiés en février et [50] introduisent un nouveau découpage territorial pour les élections départementales. La commune est alors rattachée au nouveau canton de Lorris[50]. Depuis cette réforme, plus aucun service de l'État n'exerce sa compétence sur un territoire s'appuyant sur le nouveau découpage cantonal. Le canton a disparu en tant que circonscription administrative de l'État ; il est désormais uniquement une circonscription électorale dédiée à l'élection d'un binôme de conseillers départementaux siégeant au conseil départemental[51].
    ArrondissementMontargis1801-AdministrativeVarennes est rattachée à l'arrondissement de Montargis depuis sa création en 1801[43] - [48].
    Circonscription lĂ©gislative6e circonscription2010-ÉlectoraleLors du dĂ©coupage lĂ©gislatif de 1986, le nombre de circonscriptions lĂ©gislatives passe dans le Loiret de 4 Ă  5. Un nouveau redĂ©coupage intervient en 2010 avec la loi du . En attribuant un siège de dĂ©putĂ© « par tranche » de 125 000 habitants, le nombre de circonscriptions par dĂ©partement varie dĂ©sormais de 1 Ă  21[52] - [53]. Dans le Loiret, le nombre de circonscriptions passe de cinq Ă  six[54]. Varennes-Changy, initialement rattachĂ©e Ă  la cinquième circonscription, est, après 2010, rattachĂ©e Ă  la sixième circonscription[55].

    Collectivités de rattachement

    La commune de Varennes-Changy est rattachée au département du Loiret et à la région Centre-Val de Loire[56], à la fois circonscriptions administratives de l'État et collectivités territoriales.

    Conseil municipal et maire

    Depuis les Ă©lections municipales de 2014, le conseil municipal de Varennes-Changy, commune de plus de 1 000 habitants, est Ă©lu au scrutin proportionnel de liste Ă  deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[57], pour un mandat de six ans renouvelable[58]. Il est composĂ© de 19 membres[59]. L'exĂ©cutif communal est constituĂ© par le maire, Ă©lu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c'est-Ă -dire pour la durĂ©e du mandat du conseil. Evelyne Couteau est maire depuis 2014.

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1884 1904 Camille Ernest Auguste Denance MĂ©decin
    1904 1921 Pierre Célestin Brécy
    1921 1925 Pierre Edouard Joseph Denance[Note 3] MĂ©decin
    1925 1945 Alexandre Louis Bergeron Notaire
    1945 1971 Pol Gourand[Note 4] MĂ©decin
    1971 1983 Roger Marmontel[Note 5] Industriel
    1983 1989 Jean-Paul Bergougnan Exploitant agricole
    1989 2003 Bernard Roche DVD
    2003 2014 Jean-Marie Charenton Professeur
    mars 2014 En cours Evelyne Couteau

    Équipements et services

    Gestion des déchets

    En 2016, la commune est membre du SICTOM de la région de Châteauneuf-sur-Loire, créé en 1976. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures ménagères résiduelles[Note 8], des emballages ménagers recyclables et des encombrants en porte à porte et du verre en points d’apport volontaire[60]. Un réseau de dix déchèteries accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, ferraille, cartons…). La déchèterie la plus proche est située sur la commune de Lorris[61]. L'élimination et la valorisation énergétique des déchets ménagers et de ceux issus de la collecte sélective sont effectuées par le SYCTOM de Gien-Châteauneuf-sur-Loire qui comprend un centre de transfert de déchets ménagers et un centre de stockage de déchets ultimes (CSDU) de classe II à Saint-Aignan-des-Gués ainsi qu'une usine d’incinération des ordures ménagères à Gien-Arrabloy[60].

    Depuis le , la « gestion des déchets ménagers » ne fait plus partie des compétences de la commune mais est une compétence obligatoire de la communauté de communes Canaux et Forêts en Gâtinais en application de la loi NOTRe du [62].

    Production et distribution d'eau

    Le service public d’eau potable est une compétence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 décembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques[63]. Au , la production et la distribution de l'eau potable sur le territoire communal sont assurées par la commune elle-même[64]. La loi NOTRe du 7 août 2015 prévoit que le transfert des compétences « eau et assainissement » vers les communautés de communes sera obligatoire à compter du . Le transfert d’une compétence entraîne de facto la mise à disposition gratuite de plein droit des biens, équipements et services publics utilisés, à la date du transfert, pour l'exercice de ces compétences et la substitution de la communauté dans les droits et obligations des communes[65] - [66].

    Assainissement

    La compĂ©tence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usĂ©es, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrĂ´le des raccordements aux rĂ©seaux publics de collecte[67], est assurĂ©e par la commune elle-mĂŞme[68]. La commune est raccordĂ©e Ă  une station d'Ă©puration situĂ©e sur le territoire communal, mise en service le et dont la capacitĂ© nominale de traitement est de 2 500 EH, soit 450 m3/jour. Cet Ă©quipement utilise un procĂ©dĂ© d'Ă©puration biologique dit « Ă  boues activĂ©es »[69] - [70].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[71]. La communauté de communes du canton de Lorris a créé, par transfert de compétences de ses communes adhérentes, le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de contrôler les installations neuves et existantes, la mise en place d’un service de vidange et la réhabilitation des installations[72]. Depuis le , c'est la communauté de communes Canaux et Forêts en Gâtinais, issue de la fusion de la communauté de communes du canton de Lorris, de la communauté de communes de Châtillon-Coligny et de la communauté de communes du Bellegardois, qui assure, par substitution, le SPANC.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[73]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[74].

    En 2020, la commune comptait 1 492 habitants[Note 9], en stagnation par rapport Ă  2014 (Loiret : +1,88 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    461580590598642707716790811
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    8378499851 0151 0251 0741 1601 1381 123
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1581 1401 1441 002949860880897793
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    7828251 0171 1321 2591 2271 3961 4411 535
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 4921 4941 492------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee Ă  partir de 2006[75].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    Le nombre de mĂ©nages fiscaux en 2013 Ă©tait de 647 reprĂ©sentant 1 507 personnes et la mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation de 19 980 €[15].

    Emploi

    En 2014, le nombre total d'emplois dans la zone était de 380, occupant 591 actifs résidants (salariés et non-salariés).

    Le taux d'activité de la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 77,3 % contre un taux de chômage (au sens du recensement) de 12,1 %. Les inactifs se répartissent de la façon suivante : étudiants et stagiaires non rémunérés 5,9 %, retraités ou préretraités 9,6 %, autres inactifs 7,3 %[15].

    Entreprises et commerces

    En 2015, le nombre d'établissements actifs était de 125 dont 16 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 6 dans l'industrie, 20 dans la construction, 74 dans le commerce-transports-services divers et 9 étaient relatifs au secteur administratif.

    Cette même année, 7 entreprises ont été créées, dont 5 par des auto-entrepreneurs[15].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le château de Changy datant des XVIIe et XVIIIe siècles ;
    • L'Ă©glise Notre-Dame d'origine mĂ©diĂ©vale contient une cloche en bronze datĂ©e de 1787 classĂ©e monument historique au titre d'objet le [76] ; la nef a Ă©tĂ© reconstruite en 1822 ;

    À l'intérieur, des peintures provenant de l'atelier du peintre espagnol Francisco de Zurbarán (1598–1664) ont été offertes par la duchesse de Dalmatie entre 1840 et 1851. Parmi ces œuvres, il faut citer : l'Annonciation, l'Assomption, le Baptême du Christ, la Cène[77]...

    • La source Saint-Martin[78].
    • Le château de Changy-les-Bois.
      Le château de Changy-les-Bois.
    • Église Notre-Dame.
      Église Notre-Dame.
    • Église Notre-Dame, base de la charpente du clocher.
      Église Notre-Dame, base de la charpente du clocher.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Le périmètre de sûreté des centrales nucléaires ayant été porté au niveau national de 10 à 20 km en 2018, le calendrier national prévoit une distribution d’iode aux populations du rayon 10 à 20 km, qui n'en avaient jusqu'à présent pas été destinataires, à partir de septembre 2019[23].
    3. Pierre Denance : fils de Camille Denance
    4. Pol Gourand : Gendre de Pierre Denance
    5. Chevalier de l'Ordre national du MĂ©rite en septembre 1978
    6. Pierre Brucy : maire du 15 novembre 1794 au 9 janvier 1795 ; nommé par le représentant du peuple Brival, il refuse invoquant sa fonction d'officier public (état civil), il est remplacé par Louis Aussenard
    7. Nicolas Desforges : frère de Armand Desforges
    8. Les déchets ménagers résiduels comprennent les déchets obtenus après extraction des autres fractions, valorisables, de déchets.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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    Références

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    77. Offices de Tourisme de France
    78. La fontaine Saint Martin
    79. « Ramon Vinay - Biographie ».

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Louis Marie Prudhomme, Dictionnaire gĂ©ographique et mĂ©thodique de la RĂ©publique française en 120 dĂ©partements, volume 1, Paris, Louis Marie Prudhomme, , 673 p. (lire en ligne).
    • Collectif, Loiret : un dĂ©partement Ă  l'Ă©lĂ©gance naturelle, Paris, Christine Bonneton, , 319 p. (ISBN 978-2-86253-234-9)
    • AbbĂ© Patron, DĂ©partement du Loiret : Dictionnaire des communes, Paris, ComĂ©dit, 1991, rĂ©Ă©dition de 1870 (ISBN 978-2-909112-01-5 et 2-909112-01-2)
    • Claude Motte, Isabelle SĂ©guy & Christine ThĂ©rĂ©, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d’hier, communes d’aujourd’hui : Les communes de la France mĂ©tropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d’histoire administrative, Paris, Institut National d’Études DĂ©mographiques,, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, lire en ligne)

    Articles connexes

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