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Solterre

Solterre est une commune française, située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.

Solterre
Solterre
Le quartier de la Commodité sur la route départementale, ancienne RN 7.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Loiret
Arrondissement Montargis
Intercommunalité Agglomération montargoise et rives du Loing
Maire
Mandat
Jean-Paul Billault
2020-2026
Code postal 45700
Code commune 45312
DĂ©mographie
Gentilé Solterriens[1]
Population
municipale
475 hab. (2020 en diminution de 2,66 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 48 hab./km2
Population
agglomération
68 488 hab.
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 55â€Č 12″ nord, 2° 44â€Č 20″ est
Altitude Min. 96 m
Max. 115 m
Superficie 9,80 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montargis
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Montargis
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Solterre
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Solterre

    GĂ©ographie

    Localisation

    Carte de la commune de Solterre et des communes limitrophes.

    La commune de Solterre se trouve dans le quadrant nord-est du dĂ©partement du Loiret, dans la rĂ©gion agricole du GĂątinais pauvre[2] et l'aire urbaine de Montargis. À vol d'oiseau, elle se situe Ă  62,3 km d'OrlĂ©ans[3], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  10,3 km de Montargis[4], sous-prĂ©fecture, et Ă  8,0 km d'Amilly, ancien chef-lieu du canton dont dĂ©pendait la commune avant . La commune fait partie du bassin de vie de Montargis[5].

    Les communes les plus proches sont : Cortrat (km), Saint-Hilaire-sur-Puiseaux (2,7 km), Pressigny-les-Pins (2,8 km), Ouzouer-des-Champs (3,8 km), Mormant-sur-Vernisson (4,7 km), Montcresson (4,7 km), Conflans-sur-Loing (6,2 km), Vimory (6,3 km), Nogent-sur-Vernisson (6,6 km) et Montbouy (7,5 km)[6].

    Paysages

    Outre le village historique, oĂč s'Ă©lĂšve l'Ă©glise et un chĂąteau, l'important quartier de « La CommoditĂ© » s'est dĂ©veloppĂ© le long de la Route nationale 7. La mairie-Ă©cole fut Ă©rigĂ©e dans ce quartier.

    Lieux-dits et Ă©carts

    • La CommoditĂ©, sur la route dĂ©partementale D 2007, anciennement route nationale n°7. Ce hameau fut jadis un relais de poste.

    GĂ©ologie

    La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sĂ©dimentaires français. Cette vaste dĂ©pression, occupĂ©e dans le passĂ© par des mers peu profondes et des lacs, a Ă©tĂ© comblĂ©e, au fur et Ă  mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches gĂ©ologiques[7].

    Une seule couche est affleurante sur le territoire communal. Il s'agit d'une formation superficielle du Quaternaire : de la craie blanche Ă  silex remontant Ă  la pĂ©riode CrĂ©tacĂ©. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « n°365 - Montargis » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000Ăšme du dĂ©partement du Loiret[8] - [9] et sa notice associĂ©e[10].

    Carte géologique de la commune.
    Ère PĂ©riode Époque Formations gĂ©ologiques
    CĂ©nozoĂŻque
    (0 - 66.0)
    Quaternaire
    (0 - 2.58)
    HolocĂšne
    Fz :alluvions récentes des lits mineurs, HolocÚne
    PléistocÚne non présent
    NĂ©ogĂšne
    (2.58 - 23.03)
    PliocÚne non présent
    MiocĂšne
    PaléogÚne
    (23.03 - 66.0)
    OligocĂšne
    g1CEt :calcaire d'Étampes, Stampien supĂ©rieur
    ÉocĂšne non prĂ©sent
    PaléocÚne non présent
    MĂ©sozoĂŻque
    (66.0 - 252.17)
    Crétacé
    (66.0 - ≃145.0)
    c5Cr :craie blanche Ă  silex, Campanien

    Relief

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l’Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rences dans toutes les statistiques, est de 9,80 km2[11] - [Note 1]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 9,8 km2[9]. Son relief est relativement plat puisque la dĂ©nivelĂ©e maximale atteint 19 mĂštres. L'altitude du territoire varie entre 96 m et 115 m[14].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Le territoire communal de Solterre comprend une ZNIEFF[INPN 1].

    Carte des ZNIEFF de la commune et de ses abords.
    DĂ©signation Type Superficie Description
    « Marais Chapeau » type 1[Note 2] 4 hectares La zone s'Ă©tend sur les communes de Saint-Hilaire-sur-Puiseaux et Solterre. Elle se localise Ă  environ 1,7 km au nord-ouest de la CommoditĂ© (commune de Solterre[DREAL 1]. Son altitude est de 100 m[INPN 2]. On recense sur ce site huit espĂšces vĂ©gĂ©tales dĂ©terminantes, dont quatre protĂ©gĂ©es. Il s'agit d'un vestige des marais neutro-calcicoles qui jalonnaient les environs du Puiseaux dans le GĂątinais de l'Ouest[INPN 3].

    Histoire

    Toponymie

    n. f. Bas latin terra = terre, et saura, fĂ©minin de saurus, d’origine germanique, qui signifie : jaune roux. Saura Terra aboutit rĂ©guliĂšrement Ă  Solterre par changement de la diphtongue au en o et par substitution de la liquide l Ă  la liquide r. Nature du terrain : argile brune.
    Solleterre lez Montargis, (Archives Nationales-JJ 195, n° 650, fol. 165) ; Solterre, 1740 (BibliothĂšque Municipale d’OrlĂ©ans, Manuscrit 995, fol. 238) ; Solleterre, 1768 (Archives DĂ©partementales du Loiret-P 1175) ; Soltaire, XVIIIe s. (Carte de Cassini).

    Urbanisme

    Typologie

    Solterre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montargis, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (82,8 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (81 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (76,5 %), forĂȘts (10 %), zones urbanisĂ©es (5 %), prairies (3,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (2,7 %), mines, dĂ©charges et chantiers (2,1 %)[20].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    • Carte orthophotographique de la commune en 2016.
      Carte orthophotographique de la commune en 2016.

    Voies de communication et transports

    RĂ©seau routier principal de la commune de Solterre (avec indication du trafic routier 2014).

    Risques majeurs

    La commune de Solterre est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicitĂ© trĂšs faible). Elle est Ă©galement exposĂ©e Ă  un risque technologique : le risque de transport de matiĂšres dangereuses[21]. Entre 1989 et 2019, un arrĂȘtĂ© ministĂ©riel ayant portĂ© reconnaissance de catastrophe naturelle a Ă©tĂ© pris pour le territoire de la commune pour des inondations et coulĂ©es de boues[22].

    Risques naturels

    Le territoire de la commune peut ĂȘtre concernĂ© par un risque d'effondrement de cavitĂ©s souterraines non connues. Une cartographie dĂ©partementale de l'inventaire des cavitĂ©s souterraines et des dĂ©sordres de surface a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e. Il a Ă©tĂ© recensĂ© sur la commune plusieurs effondrements de cavitĂ©s[23].

    Par ailleurs le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liés à la sÚcheresse. Le phénomÚne de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sÚcheresse[24]. Ce phénomÚne peut provoquer des dégùts trÚs importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particuliÚrement affecté le Loiret aprÚs la canicule de l'été 2003. La quasi-totalité du territoire de la commune est exposée à un aléa « moyen » face à ce risque, selon l'échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et miniÚres (BRGM)[25].

    Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicitĂ© croissante[26]. La commune, Ă  l’instar de l’ensemble du dĂ©partement, est concernĂ©e par un risque trĂšs faible[22].

    Risques technologiques

    La commune est exposée au risque de transport de matiÚres dangereuses, en raison du passage sur son territoire d'un itinéraire routier structurant supportant un fort trafic (la route départementale D 2007)[21] - [27].

    Politique et administration

    Bloc communal : Commune et intercommunalités

    La paroisse et bourg de Solterre acquiert le statut de municipalitĂ© avec le dĂ©cret du de l'AssemblĂ©e Nationale[28] puis celui de « commune », au sens de l'administration territoriale actuelle, par le dĂ©cret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[29]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l'organisation municipale pour qu'un rĂ©gime juridique uniforme soit dĂ©fini pour toutes les communes de France, point de dĂ©part de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central[30].

    Aucun événement de restructuration majeure du territoire, de type suppression, cession ou réception de territoire, n'a affecté la commune depuis sa création[31].

    Localisation de la commune de Solterre dans la communauté d'agglomération Agglomération Montargoise et Rives du Loing.

    Initialement constituĂ© par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral le , le district urbain de l’agglomĂ©ration Montargoise, le plus ancien district de France, regroupait huit communes. Celui-ci avait des compĂ©tences rĂ©duites : ordures mĂ©nagĂšres, transports, service dĂ©partemental d’incendie et de secours (SDIS) et assainissement. La communautĂ© d’agglomĂ©ration a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e dans l’optique d’avoir une mutualisation des moyens. En application des dispositions de la loi no 99-586 du relative au renforcement et Ă  la simplification de la coopĂ©ration intercommunale, le district s’est transformĂ© en communautĂ© d’agglomĂ©ration qui a pris le nom de « AgglomĂ©ration Montargoise et Rives du Loing » par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du . Les statuts dont Ă©tĂ© adoptĂ©s le [32]. La commune de Solterre rejoint la communautĂ© d'agglomĂ©ration le [33]. Elle appartient Ă  d'autres Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale, de type syndicats ou autres regroupements intercommunaux. Le dĂ©coupage territorial de ces structures est en constante Ă©volution dans une perspective de rationalisation et d'efficience des services[Note 5].

    La loi du portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (dite loi NOTRe), visant une rĂ©duction du nombre d'intercommunalitĂ©s en France, fait passer de 5 000 Ă  15 000 habitants, sauf exceptions, le seuil dĂ©mographique minimal pour constituer une intercommunalitĂ© et a un impact sur les pĂ©rimĂštres des intercommunalitĂ©s du dĂ©partement du Loiret dont le nombre passe de 28 Ă  16. Mais la communautĂ© d'agglomĂ©ration AgglomĂ©ration Montargoise et Rives du Loing, dont la population totale dĂ©passe le nouveau seuil minimal, ne voit pas son pĂ©rimĂštre changer[34] et la commune de Solterre en reste donc membre. Cette loi a toutefois un impact sur ses compĂ©tences avec l'attribution de nouvelles comptĂ©nces comme de la gestion des milieux aquatiques et de la prĂ©vention des inondations Ă  partir du [35].

    Circonscriptions de rattachement

    Sous l'Ancien RĂ©gime, Ă  la veille des États gĂ©nĂ©raux de 1789, la paroisse de Solterre Ă©tait rattachĂ©e sur le plan ecclĂ©siastique de l'ancien diocĂšse de Sens[36] et sur le plan judiciaire au bailliage de Montargis[37].

    La loi du divise le pays en 83 dĂ©partements dĂ©coupĂ©s chacun en six Ă  neuf districts eux-mĂȘmes dĂ©coupĂ©s en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les dĂ©partements, sont le siĂšge d’une administration d’État et constituent Ă  ce titre des circonscriptions administratives. La commune de Solterre est alors incluse dans le canton de Nogent-sur-Marne, le district de Montargis et le dĂ©partement du Loiret[38].

    La recherche d’un Ă©quilibre entre la volontĂ© d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exĂ©cution et le contrĂŽle des lois d’une part, et la volontĂ© d’accorder une certaine autonomie aux collectivitĂ©s de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 Ă  1838[39]. Les dĂ©coupages territoriaux Ă©voluent ensuite au grĂ© des rĂ©formes visant Ă  dĂ©centraliser ou recentraliser l'action de l'État. La rĂ©gionalisation fonctionnelle des services de l'État (1945-1971) aboutit Ă  la crĂ©ation de rĂ©gions[40]. L'acte I de la dĂ©centralisation de 1982-1983 constitue une Ă©tape importante en donnant l'autonomie aux collectivitĂ©s territoriales, rĂ©gions, dĂ©partements et communes[41]. L'acte II intervient en 2003-2006[42], puis l'acte III en 2012-2015.

    Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Solterre aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l'historique de l'évolution de leurs territoires.

    Circonscription Nom PĂ©riode Type Évolution du dĂ©coupage territorial
    DistrictMontargis1790-1795AdministrativeLa commune est rattachée au district de Montargis de 1790 à 1795[31] - [38]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquiÚrent dÚs lors plus d'importance[43].
    CantonNogen-sur-Vernisson1790-1801Administrative et Ă©lectoraleEn 1790, lors de la crĂ©ation des cantons, districts et dĂ©partements, la commune de Solterre est rattachĂ©e au canton de Nogen sur Vernisson[31]. Les cantons sont supprimĂ©s, en tant que dĂ©coupage administratif, par une loi du , et ne conservent qu'un rĂŽle Ă©lectoral[43]. Ils permettent l’élection des Ă©lecteurs du second degrĂ© chargĂ©s de dĂ©signer les dĂ©putĂ©s[44]. Ils acquiĂšrent une fonction administrative avec la disparition des districts en 1795.
    ChĂątillon-sur-Loing1801-1936Sous le Consulat, un redĂ©coupage territorial visant Ă  rĂ©duire le nombre de justices de paix ramĂšne le nombre de cantons dans le Loiret de 59 Ă  31[45]. Le canton de Nogen-sur-Vernisson est supprimĂ© et Solterre est alors rattachĂ©e au canton de ChĂątillon-sur-Loing par arrĂȘtĂ© du 9 vendĂ©miaire an X ()[46] - [31].
    Montargis1936-1973La commune est distraite du canton de Chùtillon-Coligny et intégrée au canton de Montargis par la loi du [31] - [47].
    Amilly1973-2015En 1973, la commune est rattachée au canton d'Amilly, un nouveau canton issu de la division de l'ancien canton de Montargis[48].
    Montargis2015-ÉlectoraleLa loi du [49] et ses dĂ©crets d'application publiĂ©s en fĂ©vrier et [50] introduisent un nouveau dĂ©coupage territorial pour les Ă©lections dĂ©partementales. La commune est alors rattachĂ©e au nouveau canton de Montargis[50]. Depuis cette rĂ©forme, plus aucun service de l'État n'exerce sa compĂ©tence sur un territoire s'appuyant sur le nouveau dĂ©coupage cantonal. Le canton a disparu en tant que circonscription administrative de l'État ; il est dĂ©sormais uniquement une circonscription Ă©lectorale destinĂ©e Ă  l'Ă©lection d'un binĂŽme de conseillers dĂ©partementaux siĂ©geant au conseil dĂ©partemental[51].
    ArrondissementMontargis1801-AdministrativeSolterre est rattachée à l'arrondissement de Montargis depuis sa création en 1801[31] - [46].
    Circonscription lĂ©gislative4e circonscription2010-ÉlectoraleLors du dĂ©coupage lĂ©gislatif de 1986, le nombre de circonscriptions lĂ©gislatives passe dans le Loiret de 4 Ă  5. Un nouveau redĂ©coupage intervient en 2010 avec la loi du . En attribuant un siĂšge de dĂ©putĂ© « par tranche » de 125 000 habitants, le nombre de circonscriptions par dĂ©partement varie dĂ©sormais de 1 Ă  21[52] - [53]. Dans le Loiret, le nombre de circonscriptions passe de cinq Ă  six[54]. La rĂ©forme n'affecte pas Solterre qui reste rattachĂ©e Ă  la quatriĂšme circonscription[55].

    Collectivités de rattachement

    La commune de Solterre est rattachĂ©e au dĂ©partement du Loiret et Ă  la rĂ©gion Centre-Val de Loire[56], Ă  la fois circonscriptions administratives de l'État et collectivitĂ©s territoriales.

    Conseil municipal et maire

    La mairie en 2016.

    Depuis les Ă©lections municipales de 2014, le conseil municipal de Solterre, commune de moins de 1 000 habitants, est Ă©lu au scrutin majoritaire plurinominal Ă  deux tours, les Ă©lecteurs pouvant modifier les listes, panacher, ajouter ou supprimer des candidats sans que le vote soit nul[57], pour un mandat de six ans renouvelable[58]. Il est composĂ© de 11 membres[59]. L'exĂ©cutif communal est constituĂ© par le maire, Ă©lu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c'est-Ă -dire pour la durĂ©e du mandat du conseil.

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 2001 mars 2008 Jean-Paul Billault Commercial
    mars 2008 mars 2014 Jean-Claude Decourt
    mars 2014 En cours Jean-Paul Billault[60] - [61] Ancien cadre, Président de la Communauté de communes
    Les données manquantes sont à compléter.

    Équipements et services

    Gestion des déchets

    En 2016, la commune est membre du syndicat mixte de ramassage et de traitement des ordures mĂ©nagĂšres (SMIRTOM) de Montargis, crĂ©Ă© en 1968. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures mĂ©nagĂšres rĂ©siduelles[Note 6], des emballages mĂ©nagers recyclables et des encombrants en porte Ă  porte et du verre en points d’apport volontaire[62]. Un rĂ©seau de trois dĂ©chĂšteries accueille les encombrants et autres dĂ©chets spĂ©cifiques (dĂ©chets verts, dĂ©chets dangereux, gravats, ferraille, cartons
). La dĂ©chĂšterie la plus proche est situĂ©e sur la commune d'Amilly[63].

    Le SMIRTOM de Montargis procÚde également à l'élimination et la valorisation énergétique des déchets ménagers et de ceux issus de la collecte sélective dans l'unité d'Amilly, construite en 1969. Une convention de délégation du service public de traitement a été conclue en 2013 avec la société Novergie Centre, filiale énergie du Groupe Suez pour la valorisation énergétique des déchets[64].

    Depuis le , la « gestion des déchets ménagers » ne fait plus partie des compétences de la commune mais est une compétence obligatoire de la communauté d'agglomération Agglomération montargoise et rives du Loing en application de la loi NOTRe du [65].

    Production et distribution d'eau

    Le service public d’eau potable est une compĂ©tence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 dĂ©cembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques[66]. La commune a dĂ©lĂ©guĂ© la gestion du service de production et de distribution de l'eau potable sur le territoire communal au syndicat des eaux de Saint-Maurice-sur-Fessard - Villemoutiers - Chevillon-sur-Huillard, un syndicat crĂ©Ă© en 1963 desservant quatre communes : Chevillon-sur-Huillard, Saint-Maurice-sur-Fessard, Solterre et Villemoutiers[67] - [68]. Au , la production et la distribution de l'eau potable sur le territoire communal relĂšvent de la compĂ©tence de la communautĂ© de l'agglomĂ©ration montargoise et des rives du Loing (A.M.E.) qui assure la reprĂ©sentation-substitution des communes adhĂ©rentes au Syndicat, dont Solterre, au sein de celui-ci[69].

    Assainissement

    La compĂ©tence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usĂ©es, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrĂŽle des raccordements aux rĂ©seaux publics de collecte[70], est Ă©galement assurĂ©e par l'A.M.E.[71] - [72] - [73] qui dispose ainsi en 2015 d’un rĂ©seau de 384,8 km, de 11 737 regards de visite et de 145 postes de relevage et de trois stations d’épuration principales situĂ©es Ă  Chalette-sur-Loing, Ă  Amilly et Ă  Vimory[74]. La commune est raccordĂ©e quant Ă  elle Ă  une station d'Ă©puration situĂ©e sur le territoire communal, mise en service le et dont la capacitĂ© nominale de traitement est de 400 EH, soit 60 m3/jour. Cet Ă©quipement utilise un procĂ©dĂ© d'Ă©puration de type lagunage naturel. Son exploitation est assurĂ©e en 2017 par la Lyonnaise des Eaux Amilly[75] - [76].

    Certaines rues de la commune ne sont pas desservies par le rĂ©seau d’eaux usĂ©es (rĂ©seau d’assainissement collectif) de l’AgglomĂ©ration montargoise et les habitations doivent dĂšs lors ĂȘtre pourvues d’un systĂšme d’assainissement individuel. L’assainissement non collectif (ANC) dĂ©signe ces installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[77]. L'agglomĂ©ration montargoise assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vĂ©rifier la bonne exĂ©cution des travaux de rĂ©alisation et de rĂ©habilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[78] - [74].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[79]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[80].

    En 2020, la commune comptait 475 habitants[Note 7], en diminution de 2,66 % par rapport Ă  2014 (Loiret : +1,88 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    159165170186218237240259274
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    266315331353353374350357330
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    339315292289300326285295297
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    298318289325369470486477496
    2014 2019 2020 - - - - - -
    488475475------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[81] puis Insee Ă  partir de 2006[82].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'Ă©glise Saint-Pierre[83].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[12] - [13]
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e caractĂ©risĂ©e par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. La commune peut faire partie de diverses autres intercommunalitĂ©s qui ne sont pas reprĂ©sentĂ©es : des syndicats (syndicats intercommunaux Ă  vocation unique(SIVU), (syndicats intercommunaux Ă  vocation multiple(SIVOM), syndicats mixtes) ou d’autres regroupements intercommunaux (programme local de l'habitat (PLH), contrat local de santĂ© (CLS), centre intercommunal d'action sociale (CIAS).
    6. Les déchets ménagers résiduels comprennent les déchets obtenus aprÚs extraction des autres fractions, valorisables, de déchets.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution comparĂ©e de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ).

    Inventaire national du patrimoine naturel

    Site de la Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement Centre-Val de Loire

    Autres sources

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    3. « Orthodromie entre "Solterre" et "Orléans », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    4. « Orthodromie entre "Solterre" et "Montargis" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    5. « Fiche communale », sur http://www.insee.fr/ (consulté le ).
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    81. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    82. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    83. « L'église Saint-Pierre », notice no PA00099023, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Bibliographie

    • Louis Marie Prudhomme, Dictionnaire gĂ©ographique et mĂ©thodique de la RĂ©publique française en 120 dĂ©partements, volume 1, Paris, Louis Marie Prudhomme, , 673 p. (lire en ligne).
    • Collectif, Loiret : un dĂ©partement Ă  l'Ă©lĂ©gance naturelle, Paris, Christine Bonneton, , 319 p. (ISBN 978-2-86253-234-9)
    • AbbĂ© Patron, DĂ©partement du Loiret : Dictionnaire des communes, Paris, ComĂ©dit, 1991, rĂ©Ă©dition de 1870 (ISBN 978-2-909112-01-5 et 2-909112-01-2)
    • Claude Motte, Isabelle SĂ©guy & Christine ThĂ©rĂ©, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d’hier, communes d’aujourd’hui : Les communes de la France mĂ©tropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d’histoire administrative, Paris, Institut National d’Études DĂ©mographiques,, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, lire en ligne)
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