Transports dans la Somme
Les principaux axes de transport dans le département français de la Somme (autoroute A1 et LGV Nord) traversent l'est du département, loin de sa préfecture et ville principale, Amiens. Cette dernière fait ainsi figure de nœud de transport secondaire. Le département n'en conserve pas moins un réseau de transport relativement conséquent au regard de son poids démographique et économique.
Autoroutes | 275 km[1] | A1 A2 A16 A26 A28 A29 |
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Routes nationales | 47 km[1] | N 1 N 25 |
R.D. et V.C. | 11 274 km[1] | |
Autocars interurbains | Trans'80 |
Principales gares de voyageurs | Amiens |
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Services voyageurs | TER Hauts-de-France, TGV inOui, Ouigo |
Principaux ports | Saint-Valery-sur-Somme |
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Aéroports | Albert-Picardie |
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Transport routier
Infrastructures routières
Le principal axe autoroutier du département, l'autoroute A1 avec ses 67 000 véhicules quotidiens[2], file droit de l'Île-de-France à Arras à Lille en ne desservant la Somme que par trois échangeurs ; il s'agit de l'une des premières autoroutes ouvertes en France dans les années 1960.
Les autres autoroutes du département sont beaucoup plus récentes (années 1990 et 2000), beaucoup moins fréquentées (moins de 20 000 véhicules quotidiens hors contournement d'Amiens[2]) et ont été construites dans le cadre de la politique d'aménagement du territoire de l'État : il s'agit de l'autoroute A16 (Île-de-France - Beauvais - Amiens - Abbeville - Boulogne-sur-Mer - Calais - Dunkerque), de l'autoroute A28 (Tours - Le Mans - Rouen - Abbeville) et l'autoroute A29 (Caen - Le Havre - Amiens - Saint-Quentin).
Le projet d'autoroute A24, qui devait relier Amiens à Lille et ainsi offrir un itinéraire alternatif à l'A1, a été abandonné.
Identifiant | Origine | Principales agglomérations desservies dans le département | Fin | Remarques |
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Autoroute A1 | Paris-Porte de la Chapelle | Roye, Péronne | Lille | Autoroute concédée et payante à 2x3 voies, l'une des plus anciennes et les plus fréquentées de France. |
Autoroute A2 | Autoroute A1 à Combles | Frontière belge vers Bruxelles | Autoroute concédée et payante à 2x2 voies. Seules les premières centaines de mètres de cette autoroute se trouvent dans la Somme. | |
Autoroute A16 | Montsoult (vers Paris) | Amiens, Abbeville, Rue | Frontière belge vers Bruges | Autoroute concédée et payante à 2x2 voies. |
Autoroute A26 | Autoroute A5 près de Troyes | Calais | Autoroute concédée et payante à 2x2 voies, ne pénètre dans le département que sur quelques centaines de mètres. | |
Autoroute A28 | Autoroute A10 près de Tours | Abbeville | Autoroute A16 près d'Abbeville | Autoroute non concédée et gratuite à 2x2 voies. |
Autoroute A29 | Autoroute A13 près de Pont-l'Évêque | Poix-de-Picardie, Amiens, Péronne | Autoroute A26 près de Saint-Quentin | Autoroute concédée et payante à 2x2 voies dans le département, sauf au niveau d'Amiens où elle est gratuite sur une dizaine de kilomètres. |
Route nationale 1 (jusqu'aux années 1970) | Paris-Porte de la Chapelle | Poix-de-Picardie, Airaines, Abbeville, Nouvion | Calais | Le tracé originel entre Beauvais et Abbeville a été déclassé vers 1972 en RD 901. |
Route nationale 1 (des années 1970 jusqu'à 2006) | Paris-Porte de la Chapelle | Amiens, Abbeville | Frontière belge vers Veurne et Bruges | Ce nouvel itinéraire passant par Amiens emprunte un tronçon de l'ancienne RN 16 de Breteuil-sur-Noye à Amiens et un tronçon de l'ancienne RN 35 d'Amiens à Abbeville. Entièrement déclassé en 2006 en RD 1001 dans le département. |
Route nationale 1 (depuis 2006) | Autoroute A16 à Argœuves près d'Amiens | Amiens | Route nationale 25 à Amiens | La route nationale 1 n'est plus qu'une courte voie rapide à 2x2 voies assurant la continuité du contournement nord d'Amiens. |
Route nationale 15bis | Grandvilliers | Gamaches | Le Tréport | Déclassée en 1972 en RD 1015 et RD 316 (la RD 316 correspond au tracé originel de la route nationale qui faisait alors le détour par Aumale). |
Route nationale 16 | Route nationale 1 à Pierrefitte-sur-Seine près de Paris | Amiens, Doullens | Dunkerque | Tronçon de Breteuil à Amiens renuméroté RN 1, tronçon d'Amiens à Doullens renuméroté RN 25 et tronçon de Doullens à Dunkerque déclassé en RD 916 en 1972. |
Route nationale 17 | Route nationale 2 au Blanc-Mesnil près de Paris | Roye, Péronne | Frontière belge vers Bruges | Au nord de Péronne, la RN 17 continuait oriinellement par Cambrai et Douai : cet itinéraire a été déclassé vers 1972 en RD 917 dans le département (en partie conservé sous d'autres numérotations dans les autres départements). Dans les années 1970, la continuité de la RN 17 jusqu'à la région lilloise fut à nouveau assurée par récupération entre Péronne et Arras d'un tronçon de l'ancienne RN 37. L'ensemble de la RN 17 a été déclassé en RD 1017 en 2006 dans le département. |
Route nationale 25 (avant les années 1970) | Le Havre | Abbeville, Doullens | Lille | Déclassée en 1972 en RD 925 entre Le Havre et Doullens. |
Route nationale 25 (depuis les années 1970) | Amiens | Doullens | Arras | Le tronçon Amiens - Doullens appartenait à la RN 16 jusqu'aux années 1970. |
Route nationale 28 | Rouen | Saint-Maxent, Abbeville, Le Boisle | Bergues (Dunkerque) | Déclassée en RD 928 : en 1972 en aval d'Abbeville et lors de l'ouverture de l'A28 en amont ? |
Route nationale 29 (avant les années 1970) | Sainte-Marie-des-Champs (Yvetot) | Poix-de-Picardie, Amiens, Albert | Frontière belge vers Quiévrechain | Déclassée en 1972 en RD 929 entre Amiens et Bapaume. |
Route nationale 29 (des années 1970 à 2006) | Sainte-Marie-des-Champs (Yvetot) | Poix-de-Picardie, Amiens, Villers-Bretonneux | La Capelle | Nouvel itinéraire à l'est d'Amiens, repris à la RN 336 et à la RN 44. La totalité de la RN 29 dans le département a été déclassée en 2006 en RD 1029. |
Route nationale 30 | Rouen | Montdidier, Roye, Nesle, Ham | La Capelle | Déclassée en 1972 en RD 930. La RN 30 est devenue une route nationale reliant Bapaume à la frontière belge de 1972 à 2006. |
Route nationale 35 | Compiègne | Montdidier, Moreuil, Amiens | Abbeville | Déclassée en 1972 en RD 935 jusqu'à Amiens ; d'Amiens à Abbeville, reprise par la RN 235 et la RN 1 puis finalement déclassée en 2006 en RD 1235 et RD 1001. |
Route nationale 37 | Château-Thierry | Ham, Péronne | Saint-Venant au nord de Béthune | Déclassée en 1972 en RD 937 au sud du Péronne ; le tronçon de Péronne à Arras est alors repris par la RN 17 puis finalement déclassé en 2006 en RD 1017. |
Route nationale 40 | Le Havre | Saint-Valery-sur-Somme, Rue | Frontière belge vers Veurne et Bruges | Déclassée en 1972 en RD 940. |
Route nationale 40a | Noyelles-sur-Mer | Abbeville | Déclassée en 1972 en RD 40. | |
Route nationale 40b | Route nationale 1 à Forest-Montiers | Rue | Déclassée en 1972 en RD 32. | |
Route nationale 41 | Route nationale 25 à Saint-Riquier (Abbeville) | Frontière belge vers Tournai | Le tronçon situé dans la Somme n'a été classé dans le réseau routier national que dans les années 1930. Déclassée en 1972 en RD 941. | |
Route nationale 44 | Arras | Vitry-le-François | Cet itinéraire a été créé dans les années 1950 dans le département en reprenant des tronçons des RN 336 et 338, avant de reprendre en 1972 son itinéraire d'origine vers Cambrai ; le court tronçon dans le département qui n'est en tronc commun ni avec la RN 29 ni avec la RN 17 est alors déclassé en RD 44. | |
Route nationale 235 | Amiens | Yzeux (route nationale 1 vers Abbeville) | Itinéraire repris en 1972 à la RN 35 puis déclassé en 2006 en RD 1235. | |
Route nationale 319 | Le Moulin d'Écalles (communes de La Rue-Saint-Pierre et de Vieux-Manoir vers Rouen) | Poix-de-Picardie, Amiens, Contay | Carvin (vers Lille) | Déclassée en 1972 en RD 919, sauf tronc commun de Poix-de-Picardie à Amiens avec la RN 29. |
Route nationale 320 | Dieppe | Poix-de-Picardie, Conty, Ailly-sur-Noye | Moreuil | Déclassée en 1972 en RD 920 sauf tronc commun d'Aumale à Poix-de-Picardie avec la RN 29. |
Route nationale 329 | Beaumont-sur-Oise | Montdidier, Rosières-en-Santerre | Albert | Déclassée en 1972 en RD 329. |
Route nationale 333 | Amiens | Auxi-le-Château | Déclassée en 1972 en RD 933. | |
Route nationale 334 | Coucy-le-Château-Auffrique | Roye | Boves (Amiens) | Déclassée en 1972 en RD 934. |
Route nationale 334A | Roye | Vrély | Déclassée en 1972 en RD 34. | |
Route nationale 336 | Gamaches (vers Le Tréport) | Oisemont, Amiens, Villers-Bretonneux | Saint-Quentin | Renumérotée RN 44 entre Estrées-Mons et Saint-Quentin en 1952, puis en RN 29 entre Longueau (Amiens) et Saint-Quentin en 1972 et finalement déclassée sur ce parcours en 2006 en RD 1029. Déclassée en 1972 en RD 936 entre Gamaches et Longueau. |
Route nationale 337 | Nesle | Chaulnes | Bayonvillers | Déclassée en 1972 en RD 337. |
Route nationale 338 | Estrées-en-Chaussée (vers Saint-Quentin) | Péronne, Albert, Acheux-en-Amiénois, Doullens, Crécy-en-Ponthieu, Rue | Le Crotoy | Renumérotée en RN 44 en 1952 entre Estrées et Péronne puis déclassée en RD 44 sur ce parcours en 1972. Déclassée en 1972 sur le reste de son parcours en RD 938 sauf troncs communs avec les RN 25 et 40. |
Transport collectif de voyageurs
Le Nord est desservi par le réseau de transport routier Trans'80, initialement organisé par le département de la Somme, repris depuis 2017 par la région Hauts-de-France sous le même nom. Ce réseau compte une soixantaine de lignes régulières.
Transport ferroviaire
Historique
Le chemin de fer est apparu dès les années 1840 dans le département : la ligne Paris-Amiens-Lille a été ouverte en 1846 et son embranchement d'Amiens à Boulogne-sur-Mer en 1847-1848. Mais c'est surtout dans les années 1870 à 1890 que le réseau d’intérêt général du département a été développé par la Compagnie des chemins de fer du Nord. À la fin du XIXe siècle, Amiens était au centre d'une étoile à six branches de lignes à double voie, qui se dirigeaient vers Paris au sud, vers Montdidier et Compiègne au sud-est, vers Nesle, Ham et Reims à l'est, vers Albert et Lille au nord-est, vers Abbeville, Rue et Boulogne au nord-ouest et vers Poix-de-Picardie et Rouen au sud-ouest. De multiples lignes à voie unique permettaient d'atteindre, entre autres, Conty, Doullens, Gamaches, Péronne, Roye et Saint-Valery-sur-Somme.
La ligne Paris-Lille rebrousse en gare d'Amiens : cette configuration étant peu pratique pour les trains directs Paris-Lille, un raccordement direct est créé à l'est de la ville pour supprimer ce rebroussement, ce qui a pour résultat de ne plus faire passer le grand axe par la gare centrale d'Amiens. Une gare est alors créée à Longueau ; cette gare a longtemps fait office de deuxième gare de l'agglomération d'Amiens.
La Somme a également été desservie à partir de 1887 par un réseau de quelque 300 km de chemin de fer d’intérêt local, à écartement métrique, concédé à la Société générale des chemins de fer économiques (SE) sous le nom de Chemins de fer départementaux de la Somme. Une ligne à écartement standard, également concédée aux SE, reliait la station balnéaire d'Ault au réseau d'intérêt général. Ces lignes d'intérêt local ont toutes disparu après la Seconde Guerre mondiale, sauf les deux lignes de la baie de Somme où un trafic a pu être maintenu jusqu'au début des années 1970. Depuis leur fermeture au trafic classique, le chemin de fer de la baie de Somme est exploité par une association avec une desserte variant au fil de la saison touristique[3].
Les grands axes ferroviaires Paris-Lille et Paris-Boulogne-Calais (vers l'Angleterre) voient circuler dans l'Entre-Deux-Guerres un trafic dense assuré par certains des trains les plus performants de leur époque, mais il faudra attendre le milieu des années 1950 pour que soit entrepris l'électrification de la ligne Paris-Lille, après la levée du veto des autorités militaires.
En 1993, la LGV Nord est ouverte entre Paris et Lille : malgré la mobilisation des élus et de la CCI d'Amiens, la ligne à grande vitesse ne passe pas par la capitale picarde mais 50 km à l'est, le long de l'autoroute A1, et la Somme n'est desservie que par la petite gare TGV Haute-Picardie.
Situation actuelle
La principale gare de voyageurs du département est la gare d'Amiens, avec une fréquentation annuelle de 5 361 000 voyageurs en 2019[4].
La Somme a conservé un réseau ferroviaire relativement important, des lignes ferroviaires partant d'Amiens dans six directions, dont cinq à double voie et trois électrifiées. Ces lignes sont parcourues presque exclusivement par des trains TER Hauts-de-France.
La LGV Nord traverse l'est du département en ne le desservant que par la gare TGV Haute-Picardie, surnommée « gare des betteraves » par ses détracteurs.
Ligne de Gonesse à Lille-Frontière (LGV Nord branches sud et est) | Ligne à grande vitesse, à double voie électrifiée en courant alternatif 25 kV 50 Hz, destinée uniquement aux trains de voyageurs. |
Ligne de Paris-Nord à Lille | Double voie électrifiée en courant alternatif 25 kV 50 Hz. |
Ligne de Saint-Roch à Darnétal-Bifurcation | Double voie électrifiée en courant alternatif 25 kV 50 Hz. |
Ligne de Longueau à Boulogne-Ville | Double voie électrifiée en courant alternatif 25 kV 50 Hz jusqu'à Amiens ; au-delà , traction thermique, mais l’électrification est en projet. |
Ligne d'Amiens à Laon | Double voie non-électrifiée. |
Ligne d'Ormoy-Villers à Boves | Voie unique non-électrifiée. |
Ligne de Saint-Roch à Frévent | En grande partie fermée ou déclassée ; les premiers kilomètres de la ligne voient toutefois encore passer quelques trains de fret. |
Ligne d'Abbeville à Eu | Voie unique non-électrifiée. Trafic interrompu depuis 2018 ; il existe un projet de réouverture après renouvellement de l'infrastructure. |
Ligne de Saint-Just-en-Chaussée à Douai | Déclassée ou officiellement fermée dans le département sauf entre Chaulnes et Roye ; cette dernière section est en théorie ouverte au fret mais ne reçoit plus aucun trafic. |
Ligne de Compiègne à Roye-Faubourg-Saint-Gilles | Entièrement déclassée ou retranchée dans le département. |
Ligne de Doullens à Arras | Entièrement déclassée dans le département. |
Ligne de Fives à Abbeville | Entièrement déclassée dans le département. |
Ligne de Canaples à Longroy - Gamaches | Entièrement déclassée ou fermée. |
Ligne de Feuquières à Ponthoile | Ligne stratégique construite pour les besoins militaires pendant la Première Guerre mondiale, fermée dès 1919. |
Ligne de Saint-Omer-en-Chaussée à Vers | Entièrement déclassée ou retranchée. |
Ligne de Saint-Quentin à Ham | Entièrement déclassée. |
Transport maritime
Le département compte plusieurs petits ports de plaisance et de pêche sur le rivage de la baie de Somme, à Saint-Valery-sur-Somme, Le Crotoy et Le Hourdel.
Transport fluvial
La Somme et le canal qui la longe en partie sont navigables, mais ne sont plus utilisés au XXIe siècle que pour la navigation de plaisance en raison de leur gabarit réduit (gabarit Freycinet ou classe I CEMT[5]). Le canal du Nord, qui relie en classe II les bassins de la Seine et du Nord-Pas-de-Calais, doit être doublé par une liaison Seine-Escaut à grand gabarit.
Transport aérien
L'aéroport Albert-Picardie qui dessert le département connaît un trafic faible et n'est plus desservi par aucune ligne régulière. La proximité géographique de l'aéroport de Lille-Lesquin et surtout des aéroports de Paris-Charles de Gaulle et Paris-Beauvais donne peu de perspectives de développement à cet aéroport.
Le département possède également deux aérodromes à Amiens-Glisy et Abbeville.
Transports en commun urbains et périurbains
Amiens Métropole, la Communauté d'agglomération de la Baie de Somme et la commune de Péronne sont autorités organisatrices de la mobilité sur leur territoire et organisent des services de transport dans leur ressort territorial[6].
Ces trois réseaux de transports en commun incluent des lignes de bus, des lignes de transport à la demande (Amiens et Abbeville) et des lignes de bus à haut niveau de service (Nemo à Amiens).
Amiens était desservie par un réseau de tramway d'abord hippomobile puis électrique de 1891 à 1940. Le projet de nouveau tramway d'Amiens a été abandonné en 2014.
Modes actifs
Le département est traversé par plusieurs voies vertes, véloroutes et sentiers de grande randonnée :
- EuroVelo 4 le long du littoral (de Mers-les-Bains[7] Ã Fort-Mahon-Plage[8]), incluant le tour de la baie de Somme ;
- Véloroute de la vallée de la Somme, le long du canal de la Somme de Saint-Valery-sur-Somme à Ham[9] ;
- La traverse du Ponthieu d'Abbeville à Auxi-le-Château ;
- GR 120 sur la côte, de Fort-Mahon-Plage à Mers-les-Bains[10] ;
- GR 800 de Fonsomme à Saint-Valéry-sur-Somme[11].
Notes et références
- INSEE, « Réseau routier au 31 décembre 2018 : comparaisons départementales », sur insee.fr, (consulté le ).
- Ministère de la Transition écologique, « Trafic moyen journalier annuel sur le réseau routier national en 2019 », sur data.gouv.fr (consulté le )
- « Histoire de l'association », sur chemindefer-baiedesomme.fr (consulté le ).
- SNCF, « Fréquentation en gares », sur data.sncf.com (consulté le )
- [PDF] « Les voies navigables du bassin de la Seine », sur VNF.fr, (consulté le ).
- Cerema, « Liste et composition des Autorités Organisatrices de la Mobilité au 1er janvier 2021 », sur cerema.fr, (consulté le ).
- « EV4 : La Vélomaritime, de Le Tréport à St-Valéry-sur-Somme », sur af3v.org (consulté le ).
- « EV4 : La Vélomaritime, de St-Valéry-sur-Somme à Fort-Mahon / Tour de la Baie de Somme », sur af3v.org (consulté le ).
- « La Véloroute Vallée de Somme », sur somme.fr, (consulté le ).
- « GR 120 – Sentier du Littoral », sur randonnees.info (consulté le ).
- « SOMME : Marcher « Au fil de la Somme » avec le GR® 800 », sur somme.ffrandonnee.fr (consulté le ).