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Vieux-Manoir

Vieux-Manoir est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Vieux-Manoir
Vieux-Manoir
Mairie.
Blason de Vieux-Manoir
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Communauté de communes inter-Caux-Vexin
Maire
Mandat
Fabrice Otero
2020-2026
Code postal 76750
Code commune 76738
DĂ©mographie
Gentilé Manérois
Population
municipale
767 hab. (2020 en augmentation de 6,23 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 94 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 34â€Č 04″ nord, 1° 17â€Č 55″ est
Altitude Min. 143 m
Max. 189 m
Superficie 8,13 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Mesnil-Esnard
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Liens
Site web vieux-manoir.fr

    GĂ©ographie

    Vieux-Manoir est une commune du Rouennais.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 9,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 875 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Buchy », sur la commune de Buchy, mise en service en 1960[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 901,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă  21 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Vieux-Manoir est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (94 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (94 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (74,9 %), prairies (15,1 %), zones urbanisĂ©es (5,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4 %), forĂȘts (1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Vetus Manerium entre 1215 et 1222, Ecclesia de Veteri Manerio vers 1240, Vetus Manerium en 1337, Le Viel Manoir en 1319, 1392, 1403, 1469 et 1471[21], Notre Dame de Vieil Manoir en 1676, 1715 et 1758[22], Vieumanoir en 1412, entre 1469 et 1473[23], Notre Dame du Vieux Manoir en 1623[24], Vieux Manoir en 1715[25], Viel Manoir en 1793, Vieux-Manoir en 1801[26].

    Le nom de Vieux-Manoir semble en effet ĂȘtre une traduction littĂ©rale de vetera domus, on a pas trouvĂ© de ruines antiques au Vieux-Manoir mais elles sont nombreuses Ă  Cailly.

    Hameau, ancienne paroisse et commune de Saint-Aubin-sur-Cailly[25].

    Á Saint-Aubin-sur-Cailly il existait une église dédié à Saint Aubin, elle a été démolie au début du XIXe siÚcle.

    Histoire

    Saint-Aubin-sur-Cailly, ancienne commune de la Seine-Maritime, aujourd'hui intégrée à Vieux-Manoir est attesté sous la forme Sanctum Albinum entre 1049 et 1058[27].

    Seconde Guerre mondiale

    Le , l'avion du capitaine Hawkinson se crashait au nord de Rouen, Ă  Vieux-Manoir. À la suite d'un appel Ă  tĂ©moins, le gendre du sauveteur du pilote s'est manifestĂ©. Hubert Thomassin, de Buchy, au Nord de Rouen (Seine-Maritime), a eu connaissance de l’appel lancĂ© par Alain Trouplin, forestier Ă  la retraite des Ventes-Saint-RĂ©my (Seine-Maritime), concernant l’histoire du pilote amĂ©ricain Robert W Hawkinson, dont le chasseur, un P-51, s’est crashĂ© le sur la commune de Vieux-Manoir. Alain Trouplin a cherchĂ© des tĂ©moins pouvant le renseigner sur le lieu oĂč l’avion est tombĂ© et sur les diffĂ©rentes personnes qui sont venues en aide au soldat amĂ©ricain. Alors que son pilote cherchait des cibles d’opportunitĂ© et avait localisĂ© des vĂ©hicules allemands qu’il voulait mitrailler, l’avion de Hawkinson est touchĂ© par un tir de DCA allemande. L’appareil devenu incontrĂŽlable va bientĂŽt toucher le sol. Son pilote le redresse Ă  une hauteur d’environ 260 mĂštres et saute en parachute. La distance Ă©tant faible, l’atterrissage du pilote est violent et celui-ci se casse la cheville. IgnorĂ© dans un premier temps par un passant qui Ă©tait Ă  proximitĂ© de son point de chute, l’AmĂ©ricain rampe jusqu’à une haie pour s’y cacher. Puis, il se rĂ©fugie au pied d’un gros arbre situĂ© dans cette haie. Seulement, juste Ă  cĂŽtĂ©, il y avait un passage utilisĂ© par les civils et les troupes allemandes qui voulaient aller voir l’avion brĂ»ler de plus prĂšs
 « Il s’est mĂȘme mis une branche devant lui afin de se dissimuler davantage », insiste Hubert Thomassin. Cet homme qui a contactĂ© Alain Trouplin pour lui fournir les renseignements complĂ©mentaires est le gendre de RenĂ© Dehayes. Dans son rapport d’évasion, l’AmĂ©ricain explique qui est RenĂ© Dehayes : « Heureusement, je n’ai pas Ă©tĂ© dĂ©couvert et j’ai passĂ© la nuit dans le champ. Le lendemain matin, tĂŽt, un jeune garçon du nom de Gilbert Merienne est passĂ© sur un cheval de trait (c’est par la suite que j’ai dĂ©couvert son nom et celui d’autres personnes qui m’ont aidĂ©). Je l’ai appelĂ© et il s’est approchĂ© de moi, tout en Ă©moi. À l’aide du dictionnaire qui se trouvait dans ma trousse d’évasion, je lui ai demandĂ© s’il pouvait me procurer des vĂȘtements de civil et me cacher. Il m’a rĂ©pondu par l’affirmative et il est parti. Un peu plus tard, un autre garçon, RenĂ© Dehayes, est arrivĂ© avec les vĂȘtements. Je les ai enfilĂ©s et il m’a montrĂ© le chemin vers le bois que j’avais essayĂ© d’atteindre la veille. Cette nuit-lĂ , les deux garçons sont revenus avec leur oncle, Mr. Merienne, le maire de Vieux-Manoir, un petit village proche. Ils m’ont emmenĂ© dans une ferme qui Ă©tait tenue par un autre membre de la famille. Ils m’ont montrĂ© oĂč dormir dans la grange et m’ont donnĂ© du pain en gelĂ©e et du lait : je n’avais rien mangĂ© ni bu depuis mon petit-dĂ©jeuner de la veille. TĂŽt le lendemain matin, ils m’ont mis au fond d’une charrette tirĂ©e par un cheval et m’ont recouvert de foin. La charrette, conduite par Mr. Merienne, s’est arrĂȘtĂ©e Ă  un certain point de notre voyage et je pouvais entendre parler allemand. AprĂšs un Ă©change de, semble-t-il, plaisanteries, la charrette a continuĂ© sa route et au bout d’un certain temps nous sommes arrivĂ©s Ă  un croisement Ă©loignĂ© nommĂ© Cauvicourt et Ă  la petite ferme de Madame Alexandrine HĂ©bert.» En prĂ©sence de son Ă©pouse, qui est la fille de RenĂ© Dehayes, Hubert Thomassin prĂ©cise que le maire de Vieux-Manoir a aidĂ© au transport de l’AmĂ©ricain, mais les deux personnes qui l’ont aidĂ© du dĂ©but jusqu’à la fin, ce sont RenĂ© Dehayes et Gilbert MĂ©rienne. Ils Ă©taient cousins. Mme HĂ©bert Ă©tait la mĂšre de RenĂ© Dehayes. Tous les matins, avant d’aller travailler Ă  la ferme, elle apportait Ă  manger Ă  Robert Hawkinson . Pendant un mois, le pilote amĂ©ricain a Ă©chappĂ© aux recherches allemandes. Lors de la retraite, des troupes sont arrivĂ©es Ă  la ferme de Cauvicourt, elles exigeaient avoir de la nourriture. Le pilote s’était cachĂ© dans une petite chambre. Les Allemands ont dĂ©cidĂ© de fouiller la maison. Ils ont ouvert la porte d’une chambre pour l’inspecter. Ils n’ont rien trouvĂ© et sont repartis Ă  la cuisine. En fait, en s’ouvrant, la porte de la piĂšce dissimulait une autre porte qui donnait accĂšs Ă  la petite chambre oĂč se trouvait l’aviateur. Heureusement qu’ils n’ont rien vu, sinon tout le monde aurait pu y passer. Le pilote amĂ©ricain qui avait effectuĂ© 81 missions depuis avant de tomber Ă  Vieux-Manoir est reparti avec les troupes canadiennes dĂ©but . Il a par la suite fait carriĂšre dans les affaires. La pĂąture dans laquelle l’avion est tombĂ© le est aujourd’hui un labour. Hubert Thomassin et son Ă©pouse n’oublient pas le courage dont ont fait preuve ces hommes Ă  l’époque. Se rappeler d’eux et rappeler ce qu’ils ont fait est un moyen simple de leur rendre hommage.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1947 1977 Pierre Cuinat[Note 8]
    1977 1983 Auguste Papillon
    1983 2008 Marie Soulas DVD
    2008 En cours Pierre Palenne[28] Fonctionnaire retraité
    juillet 2020[29] - [30] En cours
    (au 10 août 2020)
    Fabrice Otero Ingénieur dans le développement durable
    Vice-prĂ©sident de la CC du Moulin d’Écalles ( ? → 2016)
    Vice-prĂ©sident de la CC Inter-Caux-Vexin (2017 → 2020)

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[32].

    En 2020, la commune comptait 767 habitants[Note 9], en augmentation de 6,23 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    345430382373401380350328354
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    329320318323300291300282284
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    288299299269277261273299300
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    283280340609599650697691683
    2015 2020 - - - - - - -
    737767-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee Ă  partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Notre-Dame.

    HĂ©raldique

    Blason de Vieux-Manoir Blason
    D'or à l'arbre arraché au naturel ; au chef d'azur chargé de deux épées d'or passées en sautoir, accostées de deux besants d'argent[34].
    DĂ©tails
    Un brevet d'armoiries est signé par le Conseil Français d'Héraldique le 4 novembre 2000.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Une rue de la commune porte le nom de ce maire
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Buchy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Vieux-Manoir et Buchy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Buchy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Vieux-Manoir et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. Archives de Seine-Maritime G. 3267, 3269.
    22. Archives de Seine-Maritime G. 1452, 739.
    23. Archives de Seine-Maritime Tab. Rouen, Reg. 3 f. 148 v., Reg. 13 f. 36 v., Reg. 15 f. 73 v.
    24. Archives de Seine-Maritime Tab. Pont-Saint-Pierre.
    25. Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 1062.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    27. Jean Adigard des Gautries, Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite). Annales de Normandie, 8e année, n°3, 1958, page 156.
    28. Isabelle Villy, « Pierre Palenne, un « ultra-marin » de Martinique, Ă©lu Ă  Vieux-Manoir il y a 37 ans : Le maire sortant de Vieux-Manoir (Seine-Maritime), Pierre Palenne se souvient de ses dĂ©buts d'Ă©lu quelques annĂ©es aprĂšs ĂȘtre arrivĂ© de sa Martinique natale. RĂ©cit », 76 actu,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Il s’en est passĂ© des choses depuis ce jour oĂč, Ă  l’ñge de 17 ans, Pierre Palenne a quittĂ© sa Martinique natale pour construire sa vie en MĂ©tropole. Une vie bien remplie qui l’a conduit, dĂšs 1983, Ă  devenir Ă©lu dans sa commune de Vieux-Manoir (Seine-Maritime)
 une mission qui a durĂ© 37 annĂ©es en tout, dont 12 en tant que maire ».
    29. Isabelle Villy, « Municipales. L’adjoint sortant Fabrice Otero, tĂȘte de liste Ă  Vieux-Manoir en Seine-Maritime : Le maire de Vieux-Manoir (Seine-Maritime) Pierre Palenne ne se reprĂ©sente pas. Son premier adjoint, Fabrice Otero sera tĂȘte de liste lors des Ă©lections municipales du 15 mars 2020 », 76 actu,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Au conseil municipal depuis 1983 et aprĂšs deux mandats de maire, Pierre Palenne a dĂ©cidĂ© de passer la main. C’est donc Fabrice OtĂ©ro, premier adjoint depuis 2014, qui a mis en place une nouvelle Ă©quipe pour la prochaine Ă©lection. Cet ingĂ©nieur urbaniste de 54 ans, mariĂ© et pĂšre de quatre enfants, n’est pas un novice dans la vie locale. Investi dans l’action municipale depuis 2007 et vice-prĂ©sident de la communautĂ© de communes Inter Caux Vexin chargĂ© du tourisme, il fut auparavant vice-prĂ©sident de la communautĂ© de communes du Moulin-d’Écalles chargĂ© du dĂ©veloppement Ă©conomique et, Ă  ce titre, pilotĂ© la deuxiĂšme tranche du parc d’activitĂ© ».
    30. « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. « Blason
 », sur armorialdefrance.fr.
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