La Capelle
La Capelle est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.
La Capelle | |||||
Entrée de La Capelle en venant par La Flamengrie par la route nationale 2. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Aisne | ||||
Arrondissement | Vervins | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Thiérache du Centre (siège) |
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Maire Mandat |
Johann Wéry 2020-2026 |
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Code postal | 02260 | ||||
Code commune | 02141 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Capellois(es) | ||||
Population municipale |
1 772 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 145 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 58′ 41″ nord, 3° 55′ 02″ est | ||||
Altitude | 228 m Min. 174 m Max. 231 m |
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Superficie | 12,26 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Vervins | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | lacapelle02.fr | ||||
Ses habitants s'appellent les Capellois et les Capelloises.
Géographie
Localisation
La Capelle est un bourg de Thiérache, dans le Nord-Est du département de l'Aisne et située au carrefour des routes nationales 2, 29 (RD 1029) et 43 (RD 1043).
Elle fut desservie par la ligne Busigny - Hirson, ligne de chemin de fer qui fonctionna de 1885 Ã 1959 (et 1977 pour le trafic marchandises entre Le Nouvion-sur-Meuse et La Capelle)[1].
La Capelle est limitrophe des communes suivantes :
La Flamengrie | ||||
Buironfosse | N | Clairfontaine | ||
O La Capelle E | ||||
S | ||||
Lerzy | Froidestrées | Sommeron |
Toponymie
Le nom de La Capelle provient du terme picard désignant une chapelle, et désigne celle dédiée à sainte Grimonie.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Fontaine-Vervins Man », sur la commune de Fontaine-lès-Vervins, mise en service en 1977[8] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,1 °C et la hauteur de précipitations de 907,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, mise en service en 1933 et à 53 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,3 °C pour 1981-2010[13], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
La Capelle est une commune rurale[Note 6] - [15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (72,3 %), terres arables (12,4 %), zones urbanisées (8,4 %), forêts (2,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,1 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Histoire
Le village aurait été fondé par sainte Grimonie, sainte d'origine écossaise du IVe siècle.
Pendant la Guerre franco-espagnole (1595-1598), le village a été pris par les troupes espagnoles du comte de Fuentes.
Le bourg eut une importance stratégique, en défendant la frontière française face à Avesnes-sur-Helpe, qui fut espagnole.
Le , la première réunion officielle de l'hippodrome se déroule avec sept épreuves sur un champ de course d'essai. 10 000 personnes participent à l’événement.
Le , à la fin de la Première Guerre mondiale, c'est à La Capelle que les plénipotentiaires allemands venus pour négocier l'armistice avec à leur tête Matthias Erzberger, franchirent les lignes de front et rencontrèrent le commandant de Bourbon Busset chargé par le maréchal Foch de les amener à Rethondes. Ils furent amenés en voiture jusqu'à Homblières puis Tergnier où un train spécial les attendait. Il les transporta alors à la clairière de Rethondes en forêt de Compiègne le 8 au matin où les attendait le maréchal Foch avec la délégation alliée dans son train de commandement.
: l'hippodrome rouvre ses portes.
: inauguration des tribunes de l'hippodrome. 25 000 personnes participent à l'inauguration.
1940 : lors de la Seconde Guerre mondiale, en 1940 pendant la Drôle de guerre, le général Paul Barbe installe à La Capelle le poste de commandement de sa division, la 4e division légère de cavalerie[22].
1959 : l'hippodrome reçoit son premier tiercé.
1996 : l'hippodrome reçoit les premières réunions PMU.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Capelle est membre de la communauté de communes de la Thiérache du Centre, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à La Capelle. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[23].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Vervins, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[24]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Vervins pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[24], et de la troisième circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[25].
Administration municipale
Résultats électoraux
- Présidentielle 2002
- Jacques Chirac : 815 voix, 74,98 %
- Jean-Marie Le Pen : 272 voix, 25,02 %
- Législatives 2002
- Jean-Pierre Balligand (PS) : 473 voix, 56,58 %
- Annick Garin (UMP) : 363 voix, 43,42 %
- Référendum de 2005 sur la constitution européenne
- NON : 674 voix, 67,60 %
- OUI : 323 voix, 32,40 %
- Présidentielle 2007
- Nicolas Sarkozy : 646 voix, 57,07 %
- Ségolène Royal : 486 voix, 42,93 %
- Législatives 2007
- Frédéric Meura (UMP) : 641 voix, 68,19 %
- Jean-Pierre Balligand (PS) : 299 voix, 31,81 %
- Élections régionales 2010
- Caroline Cayeux (UMP) : 324 voix, 47,65 %
- Claude Gewerc (PS) : 245 voix, 36,03 %
- Michel Guiniot (FN) : 111 voix, 16,32 %
Distinctions et labels
Ville fleurie: 2 fleurs attribuées en 2009 par le Conseil des Villes et Villages Fleuris de France au Concours des villes et villages fleuris[31].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].
En 2020, la commune comptait 1 772 habitants[Note 7], en diminution de 3,59 % par rapport à 2014 (Aisne : −1,93 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Manifestations culturelles et festivités
La Foire aux fromages, organisée chaque premier dimanche de septembre[36].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Borne milliaire, en bordure de la route d'Avesnes-sur-Helpe une borne routière romaine en calcaire et de forme cylindrique.
- Eglise Sainte-Grimonie
- Hippodrome réputé : l'hippodrome de la Capelle, créé en 1874.
- Oratoire Notre-Dame-de-Bon-Secours-et-Saint-Antoine : cet oratoire au couronnement original a été édifié par un membre de la famille du fondateur, peu après le décès de ce dernier en janvier 1776[37].
- Villa Pasques[38], qui fut le lieu où les plénipotentiaires allemands prirent contact avec les alliés pour négocier l'armistice de 1918[39] - [40]. La villa Pasques est depuis 1992 le siège de la communauté de communes de la Thiérache du Centre[41].
Personnalités liées à la commune
- Claas Hugo Humbert (1830-1904), écrivain, molièriste franco-allemand, petit-fils du maire de La Capelle, Louis-Henri Humbert.
- Léon Dehon (1843-1925), religieux français - fondateur de la congrégation des prêtres du Sacré-Cœur de Jésus.
- Pierre Sellier (1892-1949), clairon de la paix de la Première Guerre mondiale.
- Guy Mairesse (1910-1954), pilote automobile français, y est né.
Héraldique
Blason | Coupé : au 1er d’azur à la muraille crénelée d’argent, flanquée de deux tours du même, le tout maçonné de sable, aux deux lions d’or adossés et brochant, tenant un sabre d’argent, au 2e de gueules aux quatre besants d’or[42]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- José Banaudo, Trains oubliés, vol.4 : L'État, le Nord, les Ceintures, Éditions du Cabri, Menton, 1982 (ISBN 2-903310-24-6), pp. 190-191.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Fontaine-Vervins Man - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre La Capelle et Fontaine-lès-Vervins », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Fontaine-Vervins Man - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre La Capelle et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Le corridor des Panzers, tome I, Jean-Yves Mary, p.33, Heimdal, 2009
- « communauté de communes de la Thiérache du Centre - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le )
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Capelle », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
- Almanach-annuaire de la Marne, de l'Aisne et des Ardennes, 18e année, Matot-Braine, Reims, 1876, p193.
- « Les maires s'installent », La Thiérache, no 2575,‎ , p. 48 (ISSN 0183-8415)
- « Johann Wéry est le nouveau maire de La Capelle », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Johann Wéry succède à Guy Méresse. Il sera épaulé par cinq adjoints ».
- « Johann Wéry,tout nouveau maire de La Capelle », L'Union,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Johann Wéry a mis pour la première fois l'écharpe tricolore de maire ».
- Virginie Menvielle, « Johann Wéry est élu avec 15 voix », La Thiérache, no 2896,‎ , p. 7 (ISSN 0183-8415)
- « Villes fleuries de l'Aisne », (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Foire au fromage » (consulté le )
- France. Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France. Commission régionale Picardie., Plouvier, Martine. et Impr. Mame), La Thiérache, Aisne : sur une frontière de la France, Association pour la généralisation de l'Inventaire régional en Picardie, (ISBN 2-906340-43-X et 978-2-906340-43-5, OCLC 468545952, lire en ligne)
- la Voix du Nord du 8 novembre 2009, article de Benjamin Meriau.
- « 11 novembre, le Beaucourtois Sellier a sonné l'Armistice »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Le Pays, 5 novembre 2008, sur le site lepays.fr.
- Frédéric Plancard, « Le clairon de l’Armistice », 8 novembre 2008, sur le site de L'Est républicain, estrepublicain.fr, consulté le 9 novembre 2009.
- Sylvain Liron, « Siège de la communauté de communes La Capelle la voulait trop ! », L'Union - L'Ardennais,‎ (lire en ligne)
- « 02141 La Capelle (Aisne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
Annexes
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- « Dossier complet : Commune de la Capelle (02141) », Recensement général de la population de 2016, INSEE, (consulté le ).
- « La Capelle », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- Terascia le portail de la Grande Thiérache
Bibliographie
- Maxime de Sars, Histoire héroïque de la Capelle, Lorisse - Le Livre d'Histoire (réimpr. 2000), 245 p.