Noyelles-sur-Mer
Noyelles-sur-Mer est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.
Noyelles-sur-Mer | |||||
La vallée de la Somme vue de Noyelles. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Abbeville | ||||
Intercommunalité | CC Ponthieu-Marquenterre | ||||
Maire Mandat |
Martial Balsamo 2022-2026 |
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Code postal | 80860 | ||||
Code commune | 80600 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Noyellois | ||||
Population municipale |
663 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 33 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 11′ 04″ nord, 1° 42′ 35″ est | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 42 m |
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Superficie | 20,01 km2 | ||||
Type | Commune rurale et littorale | ||||
Aire d'attraction | Abbeville (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Abbeville-1 | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Depuis , la commune fait partie du parc naturel régional Baie de Somme - Picardie maritime.
Géographie
La commune fait partie de la région naturelle du Marquenterre.
Géomorphologie
Des alluvions se sont déposées dans les Salines. En plaine, le sol est composé de silice mêlée à plus ou moins d'argile. Du côté de Sailly-Bray, il est plutôt marécageux. Dans les bas-champs, il est soumis au dessèchement[1].
Relief, paysage, végétation
Côté sud, vers la baie, l'altitude n'excède pas trois mètres. En allant vers l'est, les terres s'élèvent jusqu'à 12 mètres. Un point de vue intéressant se dévoile alors vers Saint-Valery-sur-Somme, Le Hourdel et Le Crotoy[1].
Hydrographie
Le Riot qui prend sa source à Nolette se jette dans le Dien. La vallée du Dien rejoint la baie de Somme. Fin XIXe siècle, le Dien qui prend sa source à Nouvion, alimente encore deux moulins : un à Bonnelle, l'autre à Noyelles[1].
La nappe phréatique affleure et en cas de fortes pluies, des caves peuvent être inondées.
Climat
Le climat de la commune est tempéré océanique.
Urbanisme et aménagement du territoire
Vers 1890, la commune comprend six dépendances ou hameaux[1] :
- la Comterie,
- Nolette,
- les Salines et les Carrières,
- le Pont à brebis,
- Sailly-Bray,
- Bonnelle dont une partie, au-delà du Dien, relève de Ponthoile.
Une digue protège la commune du danger présenté par les hautes marées pouvant provenir de la baie.
Communes limitrophes
Ponthoile | Nouvion | |||
Saint-Valery-sur-Somme | N | Sailly-Flibeaucourt | ||
O Noyelles-sur-Mer E | ||||
S | ||||
Saigneville et Boismont | Port-le-Grand |
Urbanisme
Typologie
Noyelles-sur-Mer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Abbeville, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[6] - [7].
La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[8]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[9] - [10].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (68,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50,6 %), zones humides intérieures (21,9 %), prairies (20,6 %), zones urbanisées (4,1 %), zones humides côtières (2,8 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Toponymie
Du IVe au XIVe siècle, on trouve Nigella[1] (845), Noella supra summum[1] (1215-1257)[13].
Latinisé en Nigella au IXe, sur la base de l'homonyme nielle. Toponyme gaulois composé de *novio, latinisé en Nigella au IXe et Xe siècles (« neuf, nouveau » → voir Noyon) et *ialo- (« clairière, lieu défriché, essart » → voir Neuilly et Noailles). Le toponyme se rencontre principalement dans la France du Nord (Nord-Pas-de-Calais et Picardie, Normandie, Bretagne) et dérive du celtique Nigella, qui désigne une « dépression humide entre les dunes », un « lieu marécageux »[14]
La succession des digues et en posant la voie de chemin de fer sur un remblai, supprimant le phénomène de « chasse d'eau » qui existait auparavant, lorsque la Somme était bien plus large qu'à ce jour, Noyelle était vraiment « sur Mer »[15].
Histoire
Elle était également desservie par les chemins de fer départementaux de la Somme, dont les lignes Noyelles - Le Crotoy et Noyelles - Saint-Valery sont désormais exploitées par un chemin de fer touristique, le chemin de fer de la baie de Somme.
Antiquité
Nigella est d'origine ancienne. À Sailly-Bray, on a trouvé des haches celtiques, des tuiles plates à rebords et des tessons de poterie rouge et noire, des figurines égyptiennes qui peuvent faire présumer que les Phéniciens, vinrent sur ses bords[1].
Moyen Âge
Lorsque les comtes du Ponthieu eurent fortifié Abbeville et que celle-ci prit de l'importance comme havre maritime[Note 3], ils élevèrent une forteresse à Noyelles à l'embouchure de la Somme. C'était une citadelle avancée contre les incursions et les invasions des pirates.
- Les cercueils de pierre découverts à Sailly-Bray appartiennent à l'époque gallo-romaine et aux premiers siècles de la monarchie française[16].
- En 1194, Noyelles obtint une charte communale copiée sur celle d'Abbeville.
- En 1217, naissance d'une collégiale dédiée à Notre-Dame : Guillaume III, comte de Ponthieu, établit dans l'église un chapitre composé de douze chanoines et d'un doyen[17].
- En 1346, Édouard III d'Angleterre, passa le gué de Blanquetaque, se présenta et somma le château de se rendre.
- Jacques d'Harcourt, seigneur de Noyelles et gouverneur du Crotoy attaque les villes et les châteaux occupés par les Anglo-bourguignons et ramène à Noyelles un butin important.
- En 1423, Jacques d'Harcourt finit par succomber sous le nombre des Anglo-Bourguignons de Philippe III de Bourgogne.
Première Guerre mondiale
- Pendant la Première Guerre mondiale, Noyelles abritera une importante base arrière britannique dont un grand camp de travailleurs immigrés chinois. Près de 12 000 coolies furent recrutés par l'armée britannique entre 1917 et 1919 dans le cadre du Corps de travailleurs chinois, pour des tâches civiles à l'arrière du front mais certains connaitront les zones de combat. À ce titre, ils représentent l'une des premières immigrations chinoises en France. Ils avaient l'interdiction de se mêler à la population civile du lieu et étaient affectés à des tâches ingrates et rudes. Beaucoup sont morts d'une épidémie de choléra qui a sévi dans le camp, de tuberculose et surtout de la grippe espagnole en 1918-1919, certains furent tués au combat. Le cimetière chinois de Nolette regroupe 849 stèles de marbre blanc ornées d'inscriptions en anglais ("Faithful unto Death" ou " Though death he still liveth" ou encore "A good reputation endures for ever") ainsi que d'idéogrammes en chinois et sur quelques-unes, très rares, le nom du défunt. La Commonwealth War Graves Commission entretient ici le plus grand cimetière chinois d'Europe.
Seconde Guerre mondiale
Le , au début de la Bataille de France les chars allemands atteignent pour la première fois le littoral à Noyelles-sur-Mer vers 22h00[18] .
Dans la nuit du 28 au 29 août 1944, Marguerite Duflos, résistante domiciliée à Nolette, est massacrée par les Allemands. Son corps sera retrouvé dans le bois de Gentelles[19].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].
En 2020, la commune comptait 663 habitants[Note 4], en diminution de 10,28 % par rapport à 2014 (Somme : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
La commune gère une école primaire relevant de l'académie d'Amiens, en zone B pour les vacances scolaires.
Pour l'année scolaire 2018-2019, 45 élèves sont inscrits dans l'établissement[32].
La compétence scolaire est du ressort de la communauté de communes.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église de l'Assomption de la Vierge : édifice en brique qui conserve plusieurs œuvres protégées comme monuments historiques[33].
- Le Chemin de fer de la baie de Somme (CFBS), un chemin de fer touristique sur voie métrique qui circule de mars à décembre entre Le Crotoy et Cayeux-sur-Mer via Noyelles-sur-Mer et Saint-Valery-sur-Somme.
- Le cimetière chinois de Nolette[34], où sont inhumés 849 des travailleurs chinois, est le plus grand cimetière chinois de France. La plupart travaillait au camp chinois de l'armée britannique situé sur la commune entre 1917 et 1919[35].
- Le gué de Blanquetaque (« Blanche tache »), un passage historique de l’embouchure de la Somme. Il n’est plus utilisé depuis la construction du canal de Saint-Valery-sur-Somme à Abbeville en 1786.
- Dans le marais de Sailly-Bray, la commune possède la « Hutte des 400 coups », construite en 1905 pour le vicomte. Son nom serait dû aux 400 coups de fusil tirés par les garde-chasse, lors de l'inauguration.
- Église de l'Assomption-de-la-Sainte-Vierge.
- Salle communale.
- Monument aux morts pour la patrie.
- Château à Noyelles.
- Château de Nolette.
- L'entrée du cimetière chinois de Nolette.
- Fête de la vapeur 2009, à la gare de Noyelles-sur-Mer.
- Le Dien à Bonnelle
Personnalités liées à la commune
- Guy XV de Laval.
- Violette Szabo a passé une partie de son enfance à Noyelles. Une rue porte son nom.
- Jacques de Fromont (1895-1979) y avait une maison et a donné son nom au stade de Noyelles.
Héraldique
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Les armes de la commune se blasonnent ainsi : d'argent à la fasce d'azur, accompagné en chef de trois fleurs de lys de gueules et en pointe d'une molette de sable. |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Noyelles-sur-Mer sur le site de l'Institut géographique national
- Commonwealth War Graves Commission : le cimetière chinois de Noyelles-sur-Mer (liste de 837 noms dans la rubrique Cemetery Reports)
- Un petit coin de Chine en Picardie : le repos éternel des Célestes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Anciennement, on appelait havre un port de mer.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Notice historique et géographique de l'instituteur, M. Warin, fin du XIXe siècle, Archives départementales de la Somme, Amiens
- « Le réseau Trans'80 en ligne ».
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Abbeville », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 121 (lire en ligne sur DicoTopo) .
- « Chronique de Toponymie », sur Noyelles et Noyal (consulté le ).
- Christian Andres, Miettes Valericaines, Paris, Éditions complicités, .
- François-César Louandre, Histoire d'Abbeville et du comté de Ponthieu jusqu'en 1789, vol. reprise de 1883, t. Tome 1, 67, rue Saint-Jacques - 75005 Paris, Lorisse éditeur-diffuseur, , 14e éd., 439 p. (ISBN 2-84435-013-5), p. 13.
- François-César Louandre, Histoire d'Abbeville et du comté du Ponthieu jusqu'en 1789, Le Livre d'histoire, Paris, réédit., 1988
- Jacques-Benoist Méchin, 60 jours qui ébranlèrent l'Occident, t. 1, (ISBN 978-2221132111).
- Lire en ligne.
- L'écho du canton, communauté de communes du canton de Nouvion, 4e trim. 2000, édit. Norsud S.A. Saleux - 80480.
- Johann Rauch, « Noyelles-sur-Mer : Michel Létocart maire honoraire prépare une liste aux municipales : Le maire honoraire noyellois, Michel Létocart perdant aux municipales de 2014, est sur les rangs pour les prochaines municipales », Le Journal d'Abbeville, (lire en ligne, consulté le ) « Pour mémoire, Michel Létocart fut élu maire pour la première fois en 1989. Lors des municipales de 2014 la liste d’opposition alors menée par Jean-Michel Gay fait une véritable razzia sur le conseil, et la liste conduite par le maire sortant pour un quatrième mandat est totalement balayée ».
- Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 9 avril 2014, p. 13.
- Johann Rauch, « Pourquoi la démission du maire et pourquoi les Noyellois devront revoter... : Jean-Michel Gay livre les raisons qui ont motivé sa démission du poste de maire et du conseil municipal... Les Noyellois seront rappelés aux urnes », Le Journal d'Abbeville, (lire en ligne, consulté le ).
- « NOYELLES-SUR-MER Le maire mis en minorité sur le compte administratif : Le dernier conseil municipal a été marqué par le rejet du compte administratif, marquant un nouveau désaveu du maire Jean-Michel Gay par son équipe », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Pour Jean-Michel Gay, cette prise de position s’inscrit dans la continuité du camouflet subi en septembre, quand ses adjoints lui avaient retiré plusieurs de ses délégations (voir notre édition du 25 septembre). « Ils remettent ça, ils veulent que je parte » , constate-t-il ».
- « Noyelles-sur-Mer - Un nouveau maire élu ce vendredi soir : Jean-Louis Demarest, premier adjoint jusqu’alors, a été élu nouveau maire de Noyelles, ce vendredi soir, en remplacement de Jean-Michel Gay. Il était le seule candidat. Noyelles passe de quatre à trois adjoints », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Jean-Louis Demarest, 62 ans, retraité de la fonction publique, a été élu nouveau maire de Noyelles-sur-Mer, ce vendredi soir 7 octobre (...) Celui qui était jusqu’alors premier adjoint succède à Jean-Michel Gay, qui a démissionné cet été, à la suite de divergences de vue avec une partie de son conseil municipal, notamment trois de ses adjoint ».
- Catherine Ducrocq, « L’ancien maire de Noyelles-sur-Mer est mort à 68 an : Il avait démissionné de ses fonctions au mois de juillet 2022 en raison de problèmes de santé. Jean-Louis Demarest est mort à l’âge de 68 ans », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Il était engagé dans la vie municipale depuis 2014 en étant d’abord l’adjoint de Jean-Michel Gay ».
- Vincent Beny, « Noyelles-sur-Mer : pour Martial Balsamo, être maire, c'est un vrai métier : Élu maire en juillet, à la place de Jean-Louis Demarest, démissionnaire pour des raisons personnelles, Martial Balsamo assure vouloir suivre la voie tracée par son prédécesseur », Le Journal d'Abbeville, (lire en ligne, consulté le ) « En 2016, le maire en place (Jean-Michel Gay, N.D.L.R.) a démissionné. J’étais inscrit dans des associations. Il manquait des élus et on m’a proposé le poste de 3e adjoint. En 2020, lors de la dernière élection municipale, je suis devenu 1er adjoint ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « L'école sur le site du ministère de l'Éducation nationale » (consulté le ).
- « Protection des œuvres de l'église comme monuments historiques ».
- « Le cimetière chinois de Nolette ».
- Benoît Hopquin, « 14-18 Noyelles n’oublie pas ses coolies : A partir de 1916, alors que l’effort de guerre nécessitait toujours plus de bras, 40 000 hommes venus de l’empire du Milieu furent exploités derrière la ligne de front. La communauté chinoise leur rend hommage chaque année, en avril, dans la Somme. », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
- Commonwealth War Graves Commission référence erronée dans la base du CWGC: Cheng Hang Tzu