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Saulnières (Ille-et-Vilaine)

Saulnières est une commune française. Elle se situe dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne.

Saulnières
Saulnières (Ille-et-Vilaine)
L'église paroissiale Saint-Martin de Saulnières vue de face.
Blason de Saulnières
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Redon
Intercommunalité Bretagne Porte de Loire Communauté
Maire
Mandat
Laurent Le Guehennec
2020-2026
Code postal 35320
Code commune 35321
Démographie
Gentilé Saulniérois
Population
municipale
791 hab. (2020 en augmentation de 10,32 % par rapport à 2014)
Densité 76 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 55′ 00″ nord, 1° 35′ 11″ ouest
Altitude 90 m
Min. 56 m
Max. 117 m
Superficie 10,34 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bain-de-Bretagne
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Saulnières
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Saulnières
Liens
Site web www.saulnieres35.fr

    Géographie

    Description

    • Carte de Saulnières et des communes avoisinantes.
      Carte de Saulnières et des communes avoisinantes.
    • Le centre du bourg de Saulnières.
      Le centre du bourg de Saulnières.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]
    • Moyenne annuelle de température : 11,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 720 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La-Noe-Blanche », sur la commune de La Noë-Blanche, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 752,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à 19 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saulnières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (37,8 %), terres arables (34,5 %), prairies (22 %), zones urbanisées (3,2 %), forêts (2,6 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Villa Salnieriensis au XIe siècle kce qui signifie "domaine où on vend du sel") , Salneris en 1068, parochia de Sauneriis en 1240, ecclesia de Salneriis en 1516[21].

    Les saulniers empruntaient les chemins de la paroisse pour livrer le sel dans les campagnes bretonnes, mais aussi pour le livrer, souvent en contrebande, en Anjou : le "chemin des Saulniers"[Note 7], ancienne voie gallo-romaine, et même probablement chemin protohistorique (de nombreux mégalithes jalonnent son tracé), en bonne partie identifié, passait au nord du bourg de Saulnières et se poursuivait en direction de l'Anjou, passant notamment au sud de la forêt de la Guerche[22].

    Histoire

    Antiquité et Moyen Âge

    En 1068, la paroisse de Saulnières relève du seigneur de Châteaugiron, qui donne le quart des dîmes et du terrage à l'abbaye Saint-Georges de Rennes, où sa fille est religieuse.

    Selon Jean-Baptiste Ogée, « les religieuses de ce temps jouissaient d'une grande liberté ; liberté peut-être aussi funeste à leurs mœurs qu'à leur réputation. La médisance, ou peut-être la calomnie se déchaîna contre elles. Les Conciles et les Évêques, voulant empêcher un scandale nuisible à la religion, donnèrent à ces religieuses des avis sages. Mais l'amour de la liberté, et peut-être des plaisirs, faisoient oublier des conseils salutaires à la vérité, mais qui faisoient un devoir de la pénitence. Enfin le mal alla si loin, qu'en 1527, Yves de Mayeux, Évêque de Rennes, ne pouvant plus tolérer ces abus, eût recours à l'autorité du Roi pour astreindre à la clôture les religieuses de Saint-Georges »[23].

    Temps modernes

    Carte de Cassini représentant la région de Saulnières et Le Sel.

    Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Saulnières en 1778 :

    « Saulnières : à 5 lieues au Sud-Sud-Est de Rennes, son évêché, sa subdélégation et son ressort. On y compte 650 communiants[Note 8], y compris ceux de La Bosse, sa succursale. Le territoire, couvert d'arbres et de buissons, renferme des terres labourables, des prairies et des landes ; les habitants font du cidre. (...)[24]. »

    La paroisse de Saulnières était divisée en quatre frairies : le Bourg, la Ballue, la Bosse et la Haute-Bosse. Les seigneurs de Châteaugiron et de Poligné[25] se partageaient les fiefs de la paroisse, qui possédait aussi plusieurs terres nobles : la Motte ; la Métairie ; la Marchée ; le Plessix-Bonenfant[26].

    Révolution française

    L'assemblée des paroissiens de Saulières, préalable à la réunion des États généraux, se tint le ; elle fut présidée par Barbotin le Jeune, notaire de la juridiction du Sel et de la baronnie de Poligné ; 27 paroissiens étaient présents et deux d'entre eux ( Alexis Pitauld et Pierre Gouret) furent désignés pour représenter la paroisse à l'assemblée de la sénéchaussée. Le cahier de doléances de la paroisse n'a pas été retrouvé[27].

    Le XIXe siècle

    Le , Saulnières perd une partie de son territoire quand La Bosse prend son indépendance et devient paroisse par ordonnance royale de Charles X[28].

    A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Saulnières en 1853 :

    « Saulnières (sous l'invocation de saint Martin, fêté le 11 novembre) : commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom ; aujourd'hui succursale. (...) Principaux villages : la Haute et la Basse-Colombais, la Tennehais, la Solais, le Boulay, Laudruais. Maisons importantes : le Plessix, Bon-Enfant, la Marchée. Superfcie totale 1 033 hectares 86 ares, dont (...) terres labourables 478 ha, prés et pâturages 133 ha, bois 40 ha, vergers et jardins 14 ha, landes et incultes 315 ha (...). Les anciens titres nomment cette paroisse ecclesia de Salneriis. Géologie : schiste argileux , quartzite au nord et au sud. On parle le français [en fait le gallo][29]. »

    La Belle Époque

    Une ligne de tramway des TIV (Transports d'Ille-et-Vilaine) allant de Rennes au Grand-Fougeray en passant par Chartres, Noyal-sur-Seiche, Pont-Péan, Orgères, Chanteloup, Le Sel, Saulnières, Pancé, Bain et La Dominelais fut construite à partir de 1909[30] ; mise en service en 1910, la ligne était longue de 64 km ; elle ferma en 1937 ; les tramways y circulaient à environ 25 km/h[31].

    La Première Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Saulnières.

    Le monument aux morts de Saulnières porte les noms de 33 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux 4 sont morts en Belgique dont 3 (Lucien Bouvier, Dominique Gémin et Félix Rabaux) dès le , le quatrième, Aristide Lambot, étant tué à l'ennemi le ; tous les autres sont morts sur le sol français à l'exception de Pierre Phélipé, interné en Suisse après avoir été prisonnier en Allemagne pendant presque toute la guerre et décédé le à Montana[32].

    L'Entre-deux-guerres

    • Saulnières : la route de la Gare.
      Saulnières : la route de la Gare.
    • Saulnières : routes de Janzé et de TresbÅ“uf.
      Saulnières : routes de Janzé et de Tresbœuf.

    La Seconde Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Saulnières porte les noms de 2 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale : Roger Boué, résistant FFI, mort des suites de ses blessures le à Saint-Jean-la-Poterie alors qu'il combattait sur le front de Lorient et Germain Libiot, soldat au 317e régiment d'artillerie lourde, mort pour la France le à Coclois (Aube)[32].

    Héraldique

    Blason de Saulnières Blason
    Bandé d'argent et de gueules de six pièces, au lion de sable, couronné d'or, tenant dans sa dextre une croisette pattée aussi de sable, brochant sur le tout.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Mairie de Saulnières.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Mars 1965 - Phélippé Jean-Baptiste
    - Mars 2001 Pierre Louis
    mars 2001 mars 2014 François Pilard[33] Retraité
    mars 2014 En cours Laurent Le Guehennec[34] DVD Responsable commercial
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].

    En 2020, la commune comptait 791 habitants[Note 9], en augmentation de 10,32 % par rapport à 2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    432468476502499532524545575
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    529572605565580583627640587
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    606626602488490465450461514
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    503503466531558581661673715
    2017 2020 - - - - - - -
    773791-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • L'église paroissiale Saint-Martin, Å“uvre d'Henri Mellet, construite entre 1894 et 1902[39].
    • Église paroissiale Saint-Martin : vue extérieure (façade).
      Église paroissiale Saint-Martin : vue extérieure (façade).
    • Église paroissiale Saint-Martin : vue extérieure (chevet, clocher et vue latérale).
      Église paroissiale Saint-Martin : vue extérieure (chevet, clocher et vue latérale).
    • Église paroissiale Saint-Martin : vue intérieure d'ensemble.
      Église paroissiale Saint-Martin : vue intérieure d'ensemble.
    • Église paroissiale Saint-Martin : le maître-autel.
      Église paroissiale Saint-Martin : le maître-autel.
    • Église paroissiale Saint-Martin : vitrail (détail) représentant notamment l'ancienne église de Saulnières.
      Église paroissiale Saint-Martin : vitrail (détail) représentant notamment l'ancienne église de Saulnières.
    • Église paroissiale Saint-Martin : vitrail (détail) représentant saint Martin.
      Église paroissiale Saint-Martin : vitrail (détail) représentant saint Martin.
    • Église paroissiale Saint-Martin : statue de saint Nicolas.
      Église paroissiale Saint-Martin : statue de saint Nicolas.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Un autre "chemin des Saulniers", emprunté par des saulniers en direction du Maine a été identifié entre Veneffles et Le Pertre, passant notamment par Domagné, Louvigné-de-Bais, Torcé et Argentré-du-Plessis.
    8. Personnes en âge de communier.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France La-Noe-Blanche - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saulnières et La Noë-Blanche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France La-Noe-Blanche - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saulnières et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. « Histoire de … Saulnières », sur vuesdici-magazine.fr (consulté le ).
    22. « 3-c est-ouest canton de retiers, chemin des saulniers », sur e-monsite.com (consulté le ).
    23. Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, t. 4, Nantes, Vatar Fils Aîné, (lire en ligne), page 403.
    24. Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, t. 4, Nantes, Vatar Fils Aîné, (lire en ligne), page 403.
    25. « Poligné : Histoire, Patrimoine, Noblesse (commune du canton de Bain-de-Bretagne) », sur infobretagne.com (consulté le ).
    26. Amédée Guillotin de Corson, Statistique historique et monumentale du canton du Sel : Mémoires de la Société archéologique d'Ille-et-Vilaine, t. XVII, , pages 271 et suivantes.
    27. « Cahier de doléances de Saulnières en 1789 », sur InfoBretagne.com (consulté le ).
    28. « La Bosse-de-Bretagne : Histoire, Patrimoine, Noblesse (commune du canton du Sel-de-Bretagne) », sur www.infobretagne.com (consulté le ).
    29. A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, t. 2, Rennes, Deniel, (lire en ligne), page 888.
    30. « Tramway de Rennes au Grand-Fougeray », La Dépêche bretonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    31. http://tramways35.e-monsite.com/pages/tiv-rennes-le-grand-fougeray.html.
    32. « Saulnières. Monument aux Morts (Relevé n° 23610) », sur MémorialGenWeb, (consulté le ).
    33. « Ils ont été élus maires », Dimanche Ouest-France (éd. Ille-et-Vilaine), no 535,‎ , p. 10-13 (ISSN 1285-7688).
    34. « L'annuaire des élus 2014 d'Ille-et-Vilaine », Dimanche Ouest-France, 20 avril 2014
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    39. Notice no IA00007607, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. « MémorialGenWeb Relevé », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
    41. « Ecole primaire publique Boby Lapointe », sur Ministère de l'Education Nationale et de la Jeunesse (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Archives

    • Seigneurie de la Marchée : Saulnières, Le Petit-Fougeray, cotes 15 J 79 à 15 J 88 > Fonds de Langle (15 J), Archives I&V.
    • Seigneurie du Chêne blanc : Saulnières, cote 15 J 95 > Fonds de Langle (15 J), Archives I&V.

    Liens externes

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