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Tresbœuf

Tresbœuf [tʁɛbœf] est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en Région Bretagne.

Tresbœuf
Tresbœuf
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Redon
Intercommunalité Bretagne Porte de Loire Communauté
Maire
Mandat
Laurence Roux
2020-2026
Code postal 35320
Code commune 35343
Démographie
Gentilé Tresbourgeois
Population
municipale
1 238 hab. (2020 en diminution de 1,98 % par rapport à 2014)
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 53′ 00″ nord, 1° 32′ 41″ ouest
Altitude 90 m
Min. 25 m
Max. 113 m
Superficie 25,33 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bain-de-Bretagne
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.tresboeuf.fr

    Géographie

    Le territoire communal n'est pas d'un seul tenant ; il comporte une exclave comprenant le hameau de Haut Verrion à km du centre du village.

    Carte de la commune.
    • Le bourg de Tresbœuf (vue aérienne, photo d'archives).
      Le bourg de Tresbœuf (vue aérienne, photo d'archives).

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été, augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit variables pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]
    • Moyenne annuelle de température : 11,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 741 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La-Noe-Blanche », sur la commune de La Noë-Blanche, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 752,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à 24 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Tresbœuf est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover, est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (98,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,3 %), zones agricoles hétérogènes (38 %), prairies (14,9 %), zones urbanisées (1,6 %), forêts (0,2 %)[19].

    L'institut national de l'information géographique et forestière met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Trebo en 1158[21], Tresbou en 1170, Trebou en 1185[21], Tresbou en 1240[22], Treboyum en 1516[23], Trebeu en 1731[22].

    Il s'agit peut-être d'une formation toponymique en Tré-. L'élément Tré- est issu du breton trev « paroisse »[24], comprendre vieux breton treb « lieu habité » (moyen breton treff > breton trev, tre[o])[25]. La graphie Tres- est inspirée de l'ancien français tres « au-delà » (même mot que très « beaucoup », issu du latin trans). D'après les formes anciennes, le second élément ne représente pas le gallo-roman BOVE (du latin bos, bovis) > « bœuf » attesté dès le XIIe siècle en français sous la forme buef, mais un élément -(b)o. La forme actuelle relève d'une analogie avec tres bœufs « trois bœufs ». La forme néo-bretonne Trevo[22], non attestée, rapproche implicitement ce toponyme de Trévoux. Quoi qu'il en soit, le toponyme le plus proche bien identifié comme étant d'origine bretonne est Pléchâtel situé à 17 km à l'ouest.

    Tresbœuf se dit Trébeu en gallo (prononcé [trebœ])[26] - [27]. La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Trevo[22].

    Histoire

    Moyen Âge

    En 1152, la paroisse de Tresbou est donnée à l'abbaye Saint-Melaine de Rennes. Celle-ci y installe un prieuré et y envoie ses moines.

    En 1218, l'abbaye de Rennes fait connaître un accord conclu avec le seigneur voisin, Alain Giffart seigneur du manoir de La Roche-Verrion (et probablement propriétaire du fief de la Bosse). Les religieux et le seigneur s'accordent sur la possession des terres, des moulins ainsi que la jouissance des dîmes et de la juridiction seigneuriale.

    Temps modernes

    En 1513, la seigneurie des Cours (famille Grameaux) détenait deux importants manoirs en Tresboeuf. Le premier se nommait le "Manoir des Cours" (il existe encore trois villages juxtaposés, nommés la Cour-Jambot, la Cour-Landais et les Cours-Audouart) et le second 'Manoir de la Rivière-Garmeaux" et sa chapelle. Cette famille de nobles était également propriétaire des Garmeaux en Janzé. Vers la fin du XVIe siècle, les deux terres nobles des Cours et de la Rivière passèrent aux mains d'une famille de riches bourgeois malouins, les de Launay.

    Au XVIIe siècle, Tresboeuf fait partie du territoire de la famille Bourbon-Conde (baronnie de Chateaubriant) et du marquis de Brie qui étaient les seigneurs supérieurs de la région, mais le seigneur de la Rivière ou Rivière-Garmeaux ou Rivière-Tresboeuf.[28] était regardé comme seigneur absolu de Tresbœuf et prenait le titre de seigneur de la paroisse[29].

    En 1743, René Augustin Patier (recteur de Tresboeuf) et la riche demoiselle Yvonne Lunel, font des donations pour établir dans le bourg de Tresboeuf un bureau de charité et deux ou trois pieuses filles s'occupant de visiter et de soigner les pauvres malades de Tresboeuf, et leur fournissant gratuitement "bouillons et remèdes". L'évêque de Rennes, Henri des Nos, approuve ce projet et règle cette institution charitable le qui œuvra pendant plusieurs décennies pour les pauvres de Tresboeuf.

    Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Tresbœuf en 1778 :

    « Trebœufs ; à 6 lieues et demie au Sud-Sud-Est de Rennes, son évêché, sa subdélégation et son ressort. On y compte 1 500 communiants[30] ; la cure est présentée par l'abbé de Saint-Melaine. Ce territoire, coupé par la rivière de Semnon et quelques ruisseaux, est couvert d'arbres et de ruisseaux ; il offre à la vue des terres en labeur [labour], de bonnes prairies et des landes ; les habitants font beaucoup de cidre[31]. »

    Le XIXe siècle

    En 1848, les quatre chapelles en Tresboeuf (trois frairiennes et une domestique) sont malheureusement toutes détruites pour utiliser leurs matériaux pour construire l'église actuelle "Saint-Martin". (Chapelles de Lossac, St-Étienne de Monceaux, de la rivière et Verrion)[32].

    Description de Tresboeuf 1845 - Dictionnaire de Bretagne.

    A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Tresbœuf en 1853 :

    « Tresbœuf (sous l'invocation de saint Martin) : Commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom ; aujourd'hui succursale ; chef-lieu de perception. (...) Principaux villages : Le Bois-Le jard, Lossac, la Hamonière, la Solière, la Morinais, la Beltière, la Goupillère, la Bahuchais, Monceaux, la Hucheloire, Lunel. Maison importante : la Rivière-Garnault. Superficie totale : 2 533 hectares, dont (...) terres labourables 1 636 ha, prés et pâturages 337 ha, bois 49 ha, vergers et jardins 62 ha, landes et incultes 343 ha, châtaigneraies 8 ha (...). Moulins : 3 ( à eau : de Briand ; à vent : de la Beltière, du Chênot). Cette ancienne paroisse est nommée dans les vieux titres « ecclesia de Trebeo et de Treboio », ce qui donne à penser que son nom français a été dénaturé. Elle présente aujourd'hui cette bizarrerie, qu'une partie de son territoire est détachée complètement, à environ 700 mètres au sud. Cette section, dite de Verrien, contient les villages suivants : Verrien, Ville-Jean, Passac et la Roche. Du côté sud, elle atteint les limites d'Ercé-en-Lamée. Géologie : quartzite ; schistes dans la vallée du nord. On parle le français[33]. »

    La Première Guerre mondiale

    Tresbœuf : le monument aux morts.

    Le monument aux morts de Tresbœuf porte les noms de 66 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale[34] ; parmi eux deux sont morts sur le front belge (Victor Choquené, dès le à Rossignol et Julien Robert en 1915) ; un (Pierre Guéguené) est mort en Serbie dans le cadre de l'expédition de Salonique ; tous les autres sont morts sur le sol français ; parmi eux deux au moins (François Bigot et Victor Choquené) ont été décorés à la fois de la Médaille militaire et de la Croix de guerre et deux (François Albert et Marie Joseph Baffel) de la Croix de guerre[35].

    La Seconde Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Tresbœuf porte les noms de 5 personnes (Albert Bizeul, Francis Gautier, Auguste Marsollier, Eugène Melaine et Aristide Messu) mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[34].

    L'après Seconde Guerre mondiale

    Deux soldats originaires de Tresbœuf (Robert Boudet et André Hersant) sont morts pour la France pendant la Guerre d'Algérie[34].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1971 juillet 1992
    (décès)
    Jean-Baptiste Chevrel Agriculteur retraité
    septembre 1992 juin 1995 Jean Paris Agriculteur retraité
    juin 1995 25 mai 2020 Annie Moutel[36] DVD Agricultrice
    Conseillère générale du Sel-de-Bretagne (1998 → 2004)
    25 mai 2020 En cours Laurence Roux[37] DVG Cadre de la fonction publique
    Conseillère départementale de Bain-de-Bretagne (2021 → )
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].

    En 2020, la commune comptait 1 238 habitants[Note 7], en diminution de 1,98 % par rapport à 2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4246801 4721 3651 4841 5801 5651 5121 510
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4491 4721 5091 4171 5721 5901 6631 6711 600
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5061 5191 4211 2011 1651 1311 1581 021959
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    9779168608568789261 1201 1761 246
    2018 2020 - - - - - - -
    1 2461 238-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments[42]

    • Église paroissiale Saint-Martin[43]
    • Église paroissiale Saint-Martin.
      Église paroissiale Saint-Martin.
    • Tresboeuf : église paroissiale Saint-Martin, la façade.
      Tresboeuf : église paroissiale Saint-Martin, la façade.
    • le manoir du Haut-Verrion (XVIIIe – XXe siècles).
    • le four à pain du bas-Verrion (XIXe siècle).
    • l'ancien manoir du Clos-Neuf (XIXe – XXe siècles).
    • le bureau de poste (XVIIIe – XXe siècle).
    • 4 moulins : Les moulins à eau de Briand (XVIIIe siècle) et du Bas-Pussac, et les moulins à vent de la Beltière et du Chênot.
    • Moulin à eau du Briand, sur le Semnon à Tresboeuf.
      Moulin à eau du Briand, sur le Semnon à Tresboeuf.
    • l'ancienne école privée (XIXe – XXe siècles).

    Monuments disparus

    • 4 chapelles de Tresboeuf ont été démolis pour construire l'actuelle église "Saint-Martin"[32].
    • Les menhirs situés près de Verrion et près du village du Plessis (dans le Champ de la Pierre, détruit vers 1880).
    • Dans l'enceinte de l'ancien manoir de Verrion, sa chapelle frairienne et son cimetière.
    • Plusieurs autres domaines seigneuriaux ont entièrement ou partiellement disparu (les Manoirs de la Jousselinière, de la Haultaye, des Cours, de la Rivière, de la Jousselière...)[44]
    • L'ancien abri de diligences (XIXe – XXe siècles).

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France La-Noe-Blanche - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Tresbœuf et La Noë-Blanche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France La-Noe-Blanche - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Tresbœuf et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Bulletin de la Société archéologique du Finistère, 2001, Volume 130, Page 429 .
    22. Site de KerOfis / Office de la langue bretonne : Générique - formes anciennes
    23. « Language Monographs, Numéros 18 à 21, page 93. ».
    24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 684a.
    25. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise (approche linguistique du vieux celtique continental), éditions Errance, Paris, 2003, (ISBN 2-87772-237-6), p. 300
    26. Régis Auffray, Le Petit Matao, Broché, 2007, page 953
    27. Bulletin de la Société archéologique du Finistère, Volume 130.
    28. « Tresboeuf : Histoire, Patrimoine, Noblesse (commune du canton du Sel-de-Bretagne) », sur www.infobretagne.com (consulté le ).
    29. G. de Corson, Pouillé historique de l'archevêché de Rennes, Rennes, Fougeray, (lire en ligne).
    30. Personnes en âge de communier.
    31. Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, Vatar Fils Aîné, (lire en ligne), p. 432.
    32. Amédée (1837-1905) Auteur du texte Guillotin de Corson, Pouillé historique de l'archevêché de Rennes. [Volume 6] / par l'abbé Guillotin de Corson,..., 1880-1886 (lire en ligne).
    33. A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, t. 2, Rennes, Deniel, (lire en ligne), page 935.
    34. « Tresboeuf. Monument aux Morts (Relevé n° 19628) », sur MémorialGenWeb, (consulté le ).
    35. « Tresboeuf. Livre d'or du ministère des pensions (Relevé n° 102673) », sur MémorialGenWeb, (consulté le ).
    36. « Les maires élu du 1er tour », Dimanche Ouest-France, no 534, , p. 10-11 (ISSN 1285-7688).
    37. « Tresboeuf. Laurence Roux élue maire de la commune », Ouest-France, (lire en ligne).
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    42. « Tresboeuf : Histoire, Patrimoine, Noblesse (commune du canton du Sel-de-Bretagne) », sur www.infobretagne.com (consulté le ).
    43. Notice no IA00007618, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    44. « Tresboeuf : Histoire, Patrimoine, Noblesse (commune du canton du Sel-de-Bretagne) », sur www.infobretagne.com (consulté le ).

    Voir aussi

    Archives

    • Seigneurie des Cours et la Hautais, en Tresbœuf, 15 J 73 à 15 J 78 > Fonds de Langle (15 J), Archives I&V.
    • Seigneurie du Plessix de la Couyère : La Couyère, Tresbœuf, 15 J 37 à 15 J 55 > Fonds de Langle (15 J), Archives I&V.

    Liens externes

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