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Chanteloup (Ille-et-Vilaine)

Chanteloup est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne.

Chanteloup
Chanteloup (Ille-et-Vilaine)
Mairie de Chanteloup.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Redon
Intercommunalité Bretagne Porte de Loire Communauté
Maire
Mandat
Vincent Minier
2020-2026
Code postal 35150
Code commune 35054
Démographie
Gentilé Canteloupéen
Population
municipale
1 847 hab. (2020 en augmentation de 1,82 % par rapport à 2014)
Densité 105 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 58′ 00″ nord, 1° 36′ 51″ ouest
Altitude 60 m
Min. 38 m
Max. 109 m
Superficie 17,53 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bain-de-Bretagne
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Chanteloup
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Chanteloup
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Chanteloup
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Chanteloup
Liens
Site web www.chanteloup35.fr

    Géographie

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Le bois de Pouez de 355,73 hectares se trouve à l'ouest de la commune.

    Description

    • Carte de la commune de Chanteloup et des communes avoisinantes.
      Carte de la commune de Chanteloup et des communes avoisinantes.
    • Une rue du bourg de Chanteloup (D 41 en direction de Corps-Nuds).
      Une rue du bourg de Chanteloup (D 41 en direction de Corps-Nuds).
    • Autre vue du bourg de Chanteloup (D 82 en direction de Bourgbarré).
      Autre vue du bourg de Chanteloup (D 82 en direction de Bourgbarré).

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]
    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 769 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945[7] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[9], à 12,1 °C pour 1981-2010[10], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Chanteloup est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [12] - [13] - [14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15] - [16].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (40,4 %), zones agricoles hétérogènes (24,8 %), forêts (17,9 %), prairies (12,7 %), zones urbanisées (3,6 %), eaux continentales[Note 7] (0,6 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[18].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Ecclesia de Cantu luppi en 1347, ecclesia de Cantu lupi en 1516[19].

    Selon une tradition qui reste incertaine le nom proviendrait du fait qu'à une date indéterminée du haut Moyen Âge des loups affamés se seraient introduits dans l'église et auraient fait sonner les cloches[20].

    Histoire

    Moyen Âge

    Plan de la butte du Chalonge (ancienne motte féodale).

    La première mention de la paroisse, sous le nom Cantuluppi, date de 1347.

    Une motte féodale, entourée de douves et une grande cour en forme de fer à cheval encerclée par un fossé et un talus, se trouvent au lieu-dit "butte du Chalonge"[21].

    Temps modernes

    Des épidémies de peste sont survenues en 1640 et 1719.

    L'église paroissiale actuelle a été construite en 1750.

    Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Chanteloup en 1778 :

    « Chanteloup ; au bas d'un coteau ; à 3 lieues ½ au Sud-Sud-Est de Rennes, son évêché, sa subdélégation et le siège où ressortit sa haute justice. On y compte 1 200 communiants[Note 8]. La cure est à l'alternative. Son territoire, arrosé des eaux de la rivière d'Izé, qui le traverse, est fertile et abondant en grains, foin et fruits. Ses maisons nobles sont : Beauvais, la Ville-Thebert et Beau-Chêne[22] »

    Le XIXe siècle

    A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Chanteloup en 1843 :

    « Chanteloup (ecclesia de sancta lupi, sous l'invocation de saint Martin) ; commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom, aujourd'hui succursale. (...) Principaux villages : Grée et Haute-Grée de Pouez, la Croix des Sept-Fours, le Cormier, les Landelles, la Cornillère, les Cruaux, le Frèche, la Tremblais, la Regère, Maison-de-Riffray, Caran, Bourg-du-Petit-Fougeray, la Sauvagère, le Haut et le Bas-Val, la Basse et Haute-Chauvière, le Pouez. Superficie totale 2 648 hectares 89 ares 06 centiares, dont (...) terres labourables 1 226 ha, prés et pâturages 305 ha, bois 309 ha, vergers et jardins 56 ha, mares et canaux 47 ha, landes et incultes 588 ha (...). Moulins : 3 (du Rocher, du Bois-Marchais, du Morihan, à vent). Cette commune est traversée de l'est au nord et limitée dans une faible partie nord [faux, dans une faible partie Est] par la rivière d'Ize. Le château de Chanteloup est la principale habitation de cette commune. Il y a foire le premier mardi de septembre ; le lendemain si ce mardi est le premier du mois, à cause de la foire de Rennes. Le Petit-Fougeray, section de cette commune, a été érigé desservance en 1831. Géologie : schiste argileux. On parle le français [en fait le gallo][23]. »

    La Belle Époque

    Une ligne de tramway des TIV (Transports d'Ille-et-Vilaine) allant de Rennes au Grand-Fougeray en passant par Chartres, Noyal-sur-Seiche, Pont-Péan, Orgères, Chanteloup, Le Sel, Saulnières, Pancé, Bain et La Dominelais fut construite à partir de 1909[24] ; mise en service en 1910, la ligne était longue de 64 km ; elle ferma en 1937 ; les tramways y circulaient à environ 25 km/h[25].

    La Première Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Chanteloup.

    Le monument aux morts de Chanteloup porte les noms de 31 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; la plupart sont décédés sur le sol français, à l'exception d'Aristide Pairain, soldat au 176e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi en 1916 en Grèce dans le cadre de l'expédition de Salonique[26].

    L'Entre-deux-guerres

    Le Petit-Fougeray, qui dépendait jusque-là de Chanteloup, est devenu une commune indépendante en 1936.

    • Chanteloup au début du XXe siècle (collection personnelle P. Delahaye).
    • Place de l'Église.
      Place de l'Église.
    • Arrivée route de Corps-Nuds.
      Arrivée route de Corps-Nuds.
    • Église Saint-Martin.
      Église Saint-Martin.
    • L'école.
      L'école.
    • Sortie de l'école.
      Sortie de l'école.
    • La Retenue.
      La Retenue.
    • Étang de Venon.
      Étang de Venon.
    • Étang de Venon.
      Étang de Venon.
    • Château du Riffray.
      Château du Riffray.
    • Château du Riffray.
      Château du Riffray.
    • Château du Riffray.
      Château du Riffray.

    La Seconde Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Chanteloup porte les noms de 3 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale ; parmi elles Lucien Fraleux, sous-officier au 270e régiment d'infanterie, décédé le à Bruges (Belgique)[26].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1971 mars 1989 Pierre de Saint-Hénis Ancien dirigeant d'une société de transports
    mars 1989 mars 2008 Rémi Bignon UDF Agriculteur retraité
    mars 2008 mars 2014 Patrick Thélohan DVG Cadre France Télécom
    mars 2014 En cours Vincent Minier[27] LREM Consultant, Président de la Communauté de communes
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

    En 2020, la commune comptait 1 847 habitants[Note 9], en augmentation de 1,82 % par rapport à 2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1931 4561 4611 5251 5541 5101 5101 6621 602
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5231 5381 5221 4331 5711 5421 5711 5761 537
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4911 4341 4461 2391 2601 264838775800
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    7607728239399431 1091 4381 5161 788
    2018 2020 - - - - - - -
    1 8001 847-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    • La P'tite Auberge, restaurant de Chanteloup.
      La P'tite Auberge, restaurant de Chanteloup.

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église paroissiale Saint-Martin (elle date des XIe, XVIIe et XVIIIe siècles) [32].
    • L'église paroissiale Saint-Martin.
      L'église paroissiale Saint-Martin.
    • L'église paroissiale Saint-Martin.
      L'église paroissiale Saint-Martin.
    • L'église Saint-Martin : vue intérieure.
      L'église Saint-Martin : vue intérieure.
    • Chanteloup : calvaire.
      Chanteloup : calvaire.
    • Le bois de Pouez, avec ses belles promenades le long des chemins de randonnées traversant la forêt.
    • Le bois de Pouez avec Rennes en arrière plan.
      Le bois de Pouez avec Rennes en arrière plan.
    • Chemin de randonnée dans le bois de Pouez.
      Chemin de randonnée dans le bois de Pouez.
    • L'étang près du hameau du Pouez.
      L'étang près du hameau du Pouez.

    Personnalités liées à la commune

    • Bélom, auteur de bandes dessinées françaises.

    Voir aussi

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Personnes en âge de communier.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station météofrance Rennes-Saint-Jacques - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Chanteloup et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    19. « Etymologie et Histoire de Chanteloup », infobretagne (consulté le ).
    20. « Etymologie et Histoire de Chanteloup », infobretagne (consulté le ).
    21. Varia, « La Motte du Chalonge », Bulletin de la Société archéologique d'Ille-et-Vilaine,‎ , pages 300-304 (lire en ligne, consulté le ).
    22. Jean-Baptiste Ogée, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", 1778, consultable https://archive.org/stream/dictionnairehist01og#page/184/mode/2up
    23. A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, t. 1, Nantes, Vatar Fils Aîné, (lire en ligne), page 163.
    24. « Tramway de Rennes au Grand-Fougeray », La Dépêche bretonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    25. « TIV Rennes Le-Grand-Fougeray », sur e-monsite.com (consulté le ).
    26. « Chanteloup. Monument aux Morts (Relevé n° 32903) », sur MémorialGenWeb, (consulté le ).
    27. « Vincent Minier entouré de cinq adjoints pour diriger la commune », Ouest-France, 2 avril 2014.
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. « http://inventaire-patrimoine.region-bretagne.fr/gertrude-diffusion/dossier/eglise-paroissiale-saint-martin-chanteloup/da4eba80-bf28-494d-8386-0dd5785f0f37 ».

    Archives

    • Registre historique de la paroisse de Chanteloup... livre de paroisse... table BMS 1600 à 1823. (Archives I&V - Cote 1 J 713.)
    • Seigneurie de Chanteloup (1450 - 1787), baronnie de Poligné (bailliage de Fougeray). (Archives I&V - Cote 1 J 557-558.)

    Bibliographie

    • Thomas Cassigneul, Paroisse et communauté dans le pays de Rennes. La vie religieuse à Chanteloup aux XVIIe et XVIIIe siècles (1613-1791), 2003, (Archives d'I&V - Mémoire 2 J 847).

    Liens externes

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