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Laillé

Laillé est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne.

Laillé
Laillé
La mairie.
Blason de Laillé
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Rennes Métropole
Maire
Mandat
Françoise Louapre (DVG)
2020-2026
Code postal 35890
Code commune 35139
DĂ©mographie
Gentilé Lailléens
Population
municipale
5 162 hab. (2020 en augmentation de 2,54 % par rapport Ă  2014en augmentation de 2,54 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 161 hab./km2
Population
agglomération
24 984 hab.
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 58â€Č 42″ nord, 1° 43â€Č 12″ ouest
Altitude Min. 5 m
Max. 110 m
Superficie 32,04 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Laillé
(ville isolée)
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Bruz
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Laillé
Liens
Site web laille.fr

    GĂ©ographie

    Localisation

    LaillĂ© est situĂ©e Ă  environ 15 kilomĂštres au Sud du centre de Rennes. Depuis le , LaillĂ© fait partie de Rennes MĂ©tropole.

    La route nationale 137-Route europĂ©enne 3, dite route des Estuaires, traverse la commune et passe Ă  l’est du bourg de LaillĂ©. La Vilaine coule Ă  l’ouest de la commune et en constitue la limite communale. La commune s'Ă©tend sur 3 204 ha.

    Carte de la commune de Laillé.

    GĂ©ologie et relief

    La gĂ©ologie de LaillĂ© est typique du massif armoricain et n’appartient donc pas au bassin sĂ©dimentaire rennais qui s’arrĂȘte Ă  la cluse du BoĂ«l. Le sol est constituĂ© de grĂšs et de schiste.

    Selon l'Institut national de l'information gĂ©ographique et forestiĂšre, la superficie de la commune est de 3 204 hectares ; son altitude varie entre 5 et 110 mĂštres[1].

    Selon la base Corine Land Cover du ministĂšre de l’Écologie (qui utilise une superficie lĂ©gĂšrement diffĂ©rente de 3 212 ha), en 2006 LaillĂ© compte 233 hectares de territoires artificialisĂ©s, 2 398 hectares de territoires agricoles, 581 hectares de forĂȘts et milieux semi-naturels et il n’y a ni zones humides, ni surfaces en eau. Ces trois derniers chiffres n’ont pas changĂ©s depuis 1990 tandis que les territoires artificialisĂ©s ont augmentĂ© de 48 hectares au dĂ©triment des territoires agricoles[2].

    Le point le plus bas de la commune se trouve Ă  une altitude d’environ cinq mĂštres et est localisĂ© au sud-ouest, lĂ  oĂč la Vilaine sort du territoire, Ă  l’ouest du lieu-dit la PoissonniĂšre.

    Le point le plus Ă©levĂ© est situĂ© Ă  l'altitude de 110 mĂštres, au nord-ouest (entre la Ferdeusais et le Nid) et sud-est (la Reculais, la Gaudinais, au chĂąteau d'eau) du bourg. Une autre crĂȘte dĂ©passant les 100 mĂštres se trouve au sud de la commune (la ville ThĂ©bault, bois du Haut-Gourdel, interfluve des ruisseaux du DĂ©sert et de la PochetiĂšre).

    • Fontaine de la Gautrais.
      Fontaine de la Gautrais.
    • Vestiges d'un puits Ă  Traviguel.
      Vestiges d'un puits Ă  Traviguel.
    • Campagne laillĂ©enne.
      Campagne lailléenne.

    Hydrographie

    La Vilaine coule du nord vers le sud et constitue la frontiĂšre ouest de la commune de LaillĂ©. Les affluents sont tous des affluents de rive gauche. Du nord au sud et donc d’amont en aval ce sont :

    • un ruisseau sans nom sur les cartes IGN et qui constitue une partie de la frontiĂšre entre LaillĂ© et Bruz ;
    • le ruisseau du DĂ©sert qui passe Ă  la chapelle du DĂ©sert[3] ;
      • son affluent, le ruisseau du Rachat (qui prend sa source au sud du bourg)[4] ;
    • et le ruisseau de l’HodeillĂ© prenant sa source Ă  Crevin, il forme une partie de la frontiĂšre sud de la commune[5] ;
      • ses affluents : le ruisseau de LoiseliĂšre[6] qui forme une partie de la frontiĂšre avec Crevin, le ruisseau de la Lande[7], un ruisseau sans nom indiquĂ© passant au nord de la BossardiĂšre[8] et le ruisseau de la PochetiĂšre (qui prend sa source Ă  la Gautrais)[9].

    Plusieurs affluents et sous-affluents de la Seiche traversent Laillé :

    • le ruisseau de la DouettĂ©e prend sa source Ă  LaillĂ© (au nord-est de la Roche-qui-ChĂŽme, au sud de MartignĂ©) avant de couler vers le nord pour se jeter directement dans la Seiche[10] ;
    • le ruisseau des Hamonais constitue une partie de la frontiĂšre entre LaillĂ© et OrgĂšres avant de se jeter dans le ruisseau de TellĂ©, affluent de la Seiche[11]. Il est longĂ© Ă  l'ouest par la route Nantes-Rennes ;
      • le ruisseau des Bignons prend sa source Ă  l'est du bourg (Ă  l'est de la Touche) et coule vers le nord[12], rejoignant la route Nantes-Rennes avant d’alimenter le ruisseau des Hamonais.

    La commune se situe intĂ©gralement dans le bassin versant de la Vilaine. La gestion de l’eau est assurĂ©e par l’agence de l’eau Loire-Bretagne.

    Voies routiĂšres

    La route nationale 137, route europĂ©enne 3, passe Ă  l’est de la commune et relie Rennes Ă  Nantes. Le bourg se trouve au croisement des routes dĂ©partementales D39 (est-ouest) et D77 (nord-sud).

    Transport routier

    À la suite de l’intĂ©gration de LaillĂ© dans Rennes MĂ©tropole, la commune bĂ©nĂ©ficie depuis le 9 juillet 2012 de deux lignes[13] du rĂ©seau STAR : les lignes 72 et 79. Depuis le , une troisiĂšme ligne dessert la commune : la ligne 80.

    Jusqu'au 5 juillet 2012, LaillĂ© Ă©tait desservie par la ligne 21 « Rennes − Saint-Senoux » du service de transport rĂ©gional BreizhGo.

    Transport ferroviaire

    Gare de Laillé.

    La Compagnie des chemins de fer de l'Ouest met en service, en 1882[14], un arrĂȘt de trains sur sa ligne de Rennes Ă  Redon. Bien que se trouvant sur la commune voisine de Guichen cet arrĂȘt prend le nom de gare de LaillĂ©, il est situĂ© sur la rive droite de la Vilaine Ă  la sortie du pont qu'emprunte la route entre LaillĂ© et Guichen. Aujourd'hui, c'est une halte SNCF desservie par les TER Bretagne.

    Voies pédestres

    Le sentier de grande randonnĂ©e 39 (Mont-Saint-Michel − GuĂ©rande) passe sur la rive gauche de la Vilaine.

    Quatre circuits de randonnées sont balisés sur le territoire de la commune :

    • Circuit de la Chapelle (en jaune).
    • Circuit de La Roche qui ChĂŽme (en bleu).
    • Circuit les VallĂ©es (en vert).
    • Circuit du bourg (en blanc).

    Le départ des circuits est fixé au complexe de L'Archipel.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[15]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[16].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[15]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 779 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[19] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[20] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945[21] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[22] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[23], Ă  12,1 °C pour 1981-2010[24], puis Ă  12,4 °C pour 1991-2020[25].

    Urbanisme

    Typologie

    LaillĂ© est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [26] - [27] - [28]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de LaillĂ©, une unitĂ© urbaine monocommunale[29] de 5 026 habitants en 2017, constituant une ville isolĂ©e[30] - [31].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[32] - [33].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (73,7 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (76,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (39,3 %), terres arables (22,7 %), forĂȘts (18,1 %), prairies (11,7 %), zones urbanisĂ©es (7,1 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (1,1 %)[34].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[35].

    Logement

    Le tableau ci-dessous présente une comparaison de quelques indicateurs chiffrés du logement pour Laillé et l'ensemble de l'Ille-et-Vilaine en 2017[I 1] - [I 2].

    Le logement à Laillé en 2017
    Laillé Ille-et-Vilaine
    Parc immobilier total (en nombre d'habitations) 2 168 546 440
    Part des résidences principales (en %) 91,5 86,2
    Part des résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,1 6,9
    Part des logements vacants (en %) 7,4 6,9
    Part des ménages propriétaires de leur logement (en %) 77,0 59,8

    Morphologie urbaine

    Laillé dispose d'un plan local d'urbanisme intercommunal approuvé par délibération du conseil métropolitain du 19 décembre 2019[36]. Il divise l'espace des 43 communes de Rennes Métropole en zones urbaines, agricoles ou naturelles.

    Toponymie

    Au cours des siĂšcles, Lalliacum est devenue Laliacensis en 850[37], Lalleio en 1240, puis l'Alleio en 1330 Ă  la suite d'une faute de copie[38], L'Alleium au XIIIe siĂšcle et Lalleyum en 1516[39].

    LaillĂ© vient de Lallius, d’un nom de famille (datant de l'Ă©poque gallo-romaine) plus le suffixe -acum[39], indiquant un domaine, donnant Lalliacum. Le territoire du dĂ©nommĂ© Lallius (le fundus Lallius) fut notĂ© dans le cartulaire de Redon, Lalliacum. Selon Guy Souillet, le nom de la commune est issu du breton lae, laeze, « haut », LaillĂ© se serait appelĂ© Ă  l'origine Laezek[38]. L'apport breton se confirme par deux noms de lieu (la RenhoĂ«t et Talhouet).

    La forme bretonne proposĂ©e par l'Office public de la langue bretonne est Lalieg[37] bien que ce nom ne soit pas attestĂ© historiquement, LaillĂ© Ă©tant situĂ© hors de la zone de pratique traditionnelle du breton. En gallo, la commune est appelĂ©e LĂąillĂ«[40] prononcĂ© [lɑjə][41].

    Histoire

    Préhistoire

    Les traces les plus anciennes de la prĂ©sence humaine sur le territoire de LaillĂ© remontent Ă  4000 avant JĂ©sus-Christ. Le menhir de la Roche-qui-ChĂŽme a Ă©tĂ© Ă©rigĂ© par les premiers agriculteurs, cultivant le blĂ©, Ă©levant le bƓuf et le mouton et fabriquant des poteries en argile. Ce menhir aurait Ă©tĂ© abattu en 1868 par un fabricien, dĂ©nommĂ© Radoux, qui cherchait un trĂ©sor Ă  son pied[42].

    Antiquité

    La voie romaine de Condate (Rennes) Ă  Condivincum (Nantes) est un cardo (axe nord-sud) le long duquel se trouvaient des fundi gallo-romains (ancĂȘtres de nos villages), dont quelques-uns composent aujourd'hui la commune de LaillĂ©[43].

    Une reconstitution des domaines Ă  l'Ă©poque gallo-romaine, effectuĂ©e grĂące aux premiĂšres photos aĂ©riennes de LaillĂ© prises par l'IGN le , donne une esquisse de cadastre avec le domaine de MartignĂ© en partie nord de la commune qui offrait un quadrillage et le tracĂ© nord-sud de deux voies antiques. Nombre de ces parcelles possĂšdent des dimensions sous-multiples d'une centurie romaine (surface d'environ 710 m de cĂŽtĂ©). De nos jours ce quadrillage disparaĂźt progressivement au fur et Ă  mesure de la construction des lotissements.

    Moyen-Âge

    Au IXe siĂšcle, les textes ne parlent pas encore d'une paroisse de LaillĂ© mais d'une viguerie ou centaine, subdivision du pagus de Rennes dans laquelle le comte convoque au cours de ses tournĂ©es les hommes libres pour rendre la justice et oĂč il est reprĂ©sentĂ© par un vicaire. Au XIe siĂšcle LaillĂ© fait partie du DĂ©sert, soit tout le territoire de l'Ă©vĂȘchĂ© au sud de Rennes, la ville Ă©piscopale et les premiers dĂ©frichements importants sont l’Ɠuvre des moines et l'essor agricole est matĂ©rialisĂ© par les noms de lieux en -iĂšre (douze noms sur la commune) et en -ais (quatorze noms). Au XIVe siĂšcle, au cours de la guerre de Cent Ans, LaillĂ©, trop exposĂ©e sur la voie, se vide et disparaĂźt (la derniĂšre mention d'une Ă©glise est de 1330 et Ă  l'emplacement du bourg s'Ă©tend un pĂątis. La population s'est repliĂ©e dans la vallĂ©e du ruisseau du DĂ©sert avec un Ă©difice religieux au champ du Haut-Morin.

    Temps modernes

    Les écrits de l'historien Amédée Guillotin de Corson, concernant une querelle entre la ville Thébaud et le seigneur de Laillé, Jacques Busnel, témoignent de l'existence d'un hÎtel dans le bourg de Laillé en 1580. Laillé aurait donc été démoli puis reconstruit, puisque la plus ancienne maison du bourg date de 1830. La plupart des maisons du bourg ont été construites avec des pierres provenant des carriÚres de Laillé, de schiste bleu et rouge.

    En 1635 la petite chapelle du PĂątis prend rang d'Ă©glise paroissiale.

    En 1636, le seigneur de LaillĂ©, Jacques Busnel, se voit accorder par Louis XIII le droit de tenir deux foires : « l’une le premier lundi aprĂšs les fĂ©riĂ©s de PĂąques, l’autre le jour de la feste saint Michel » : la foire de la Saint-Jean et la foire Saint-Michel.

    L'Entre-deux-guerres

    Jusqu'en 1930, le champ de foire de Laillé accueille des courses de cyclisme au cours de la foire. Les quatre angles du champ de foire étaient remontés en buttes pour construire des parcours de vélos, notamment des courses en circuit fermé.

    La Seconde Guerre mondiale

    En 1942, un film montrant notamment le pont de Laillé sur la Vilaine servit de photo de propagande pour les nazis ; il fut présenté comme étant une preuve de la prise de Moscou par l'armée allemande.. ce qui n'eût jamais lieu[44].

    En 1943 une centaine de bombes est larguée sur Laillé, environ un mois avant les bombardements de Bruz. Un camp militaire allemand, construit en bois, ainsi qu'une mitrailleuse sont installés prÚs de la ferme du Bout du Chemin. Une DCA est postée en face, en hauteur de maniÚre à surveiller Rennes.

    L'aprĂšs Seconde Guerre mondiale

    Dans les années 1950 la foire Saint-Michel, prend de l'importance et accueille de nombreuses personnes. On peut y retrouver des expositions de bestiaux, de matériels agricoles, des marchands de vin, etc., mais aussi des divertissements, notamment un bal.

    La foire de la Saint-Jean disparaßt dans les années 1960[45].

    Politique et administration

    Circonscriptions de rattachement

    Laillé appartient à l'arrondissement de Rennes et au canton de Bruz depuis le redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, elle était rattachée au canton de Guichen.

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la quatriÚme circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis par Mathilde Hignet (LFI-NUPES). Elle appartenait à la circonscription de Montfort-Redon sous le Second Empire puis à la circonscription de Redon sous la IIIe République.

    Intercommunalité

    La commune a intégré Rennes Métropole le 1er juillet 2012. Auparavant, elle était rattachée à la communauté de communes du canton de Guichen ou Association des communes du Sud-Ouest de Rennes (ACSOR).

    Laillé fait aussi partie du Pays de Rennes.

    Institutions judiciaires

    Sur le plan des institutions judiciaires, la commune relĂšve du tribunal judiciaire (qui a remplacĂ© le tribunal d'instance et le tribunal de grande instance le 1er janvier 2020), du tribunal pour enfants, du conseil de prud’hommes, du tribunal de commerce, de la cour d’appel et du tribunal administratif de Rennes et de la cour administrative d'appel de Nantes.

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement Ă©tant compris entre 5 000 et 9 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 29[46].

    Conseil municipal actuel

    Les 29 siĂšges composant le conseil municipal ont Ă©tĂ© pourvus le lors du premier tour de scrutin. Actuellement, il est rĂ©parti comme suit :

    GroupeEffectifStatut
    « Ensemble, partageons demain » (DVG)29majorité

    LaillĂ© fait partie des communes membres de Rennes MĂ©tropole oĂč aucune opposition ne siĂšge au conseil municipal.

    Liste des maires

    Mairie de Laillé
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1919 1958 Constant Moquet[47] - [48] RG Cultivateur
    Conseiller d'arrondissement (1925 → 1940)
    Les données manquantes sont à compléter.
    ? mars 1971 Valentin Guiheux Maçon
    RĂ©Ă©lu en 1965
    mars 1971 mars 1983 Pierre Delourmel[49] Marchand de machines retraité, maire honoraire
    Chevalier du MĂ©rite agricole
    mars 1983 mars 1989 Jean Poilly DVD Chef de chantier
    SupplĂ©ant du dĂ©putĂ© Alain Madelin (1981 → 1986)
    mars 1989 mars 2008 Loïc Chesnel DVG Enseignant retraité
    mars 2008 mai 2020 Pascal Hervé[50] - [51] DVG Agriculteur
    12e vice-président de Rennes Métropole
    (2014 → 2020)
    mai 2020 En cours Françoise Louapre[52] DVG Agricultrice
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[54].

    En 2020, la commune comptait 5 162 habitants[Note 7], en augmentation de 2,54 % par rapport Ă  2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4261 5751 4391 6511 7681 7501 7061 8121 855
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8151 9051 9952 0411 9252 0252 0432 1152 019
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 9351 6521 6501 4881 4441 4171 3461 3631 330
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 2671 3361 4972 4112 9733 5584 2924 3664 348
    2015 2020 - - - - - - -
    5 1175 162-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[55] puis Insee Ă  partir de 2006[56].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Écoles publiques de LaillĂ©.

    La commune de LaillĂ© est situĂ©e dans l’acadĂ©mie de Rennes.

    En 2019, on trouve trois Ă©coles :

    Au niveau de l’enseignement secondaire, le collĂšge public d'affectation des Ă©lĂšves de LaillĂ© est situĂ© sur la commune d'OrgĂšres. Il s'agit du collĂšge AndrĂ©e RĂ©cipon. Le lycĂ©e public d'affectation des Ă©lĂšves de LaillĂ© est situĂ© Ă  Bruz. Il s'agit du lycĂ©e Anita Conti.
    Un collÚge pouvant accueillir jusqu'à 800 élÚves, en cours de construction à Laillé, ouvrira ses portes à la rentrée scolaire de .

    CrĂšche

    Entrée de la crÚche Chamboul'tout à Laillé décorée par le centre de loisirs Méli-Mélo.

    Depuis le , Laillé permet la garde d'enfants au sein de la crÚche Chamboul'tout[57]. Initialement montée en crÚche parentale, Chamboul'tout est transformée en association loi 1901 (donc sans obligation pour les parents de réaliser des permanences) en . Sa capacité d'accueil en crÚche proprement-dite ou en halte-garderie est de 20 enfants de 2 mois et demi à 5 ans.

    Centre de loisirs

    MĂ©li-MĂ©lo est un centre de loisirs qui accueille les enfants de 3 Ă  12 ans les mercredis aprĂšs-midi et une partie des vacances scolaires. Les enfants de 3 Ă  9 ans sont accueillis dans le bĂątiment MĂ©li-MĂ©lo, accolĂ© Ă  l’école maternelle publique, tandis que les enfants de 10 Ă  12 ans sont accueillis au centre socio-culturel Point 21 dans le cadre du dispositif La Passerelle. La Passerelle propose des activitĂ©s adaptĂ©es aux prĂ©-adolescents afin de permettre une transition en douceur de l’enfance Ă  l’adolescence.

    Centre socio-culturel

    Le Point 21 : Centre socio-culturel multigénérationnel.

    Le Point 21 est un centre socio-culturel multigĂ©nĂ©rationnel qui accueille des activitĂ©s de type loisir, culture, forums ou rĂ©unions publiques. Le complexe comporte une salle possĂ©dant une scĂšne (salle ScĂšne), trois salles de musique (Édith Piaf, Peter Gabriel et DĂ©cibels), deux salles de travaux manuels (Camille Claudel et L’Atelier des Artistes), un atelier bois et quatre autres salles (Ikebana, Of Course, François Truffaut et Robert Doisneau).
    Les spectacles proposés sont variés : théùtre, spectacles pour enfants, concerts, soirées cabaret, expositions, bals, conférences.
    La mĂ©diathĂšque l'Intermed' propose l'emprunt de livres, de DVD et un accĂšs Ă  Internet. Elle renouvelle ses ouvrages Ă  raison de 20 Ă  25 par mois. Il est possible d'emprunter des ouvrages ou de les lire sur place. Un espace petite enfance (de 0 Ă  3 ans) est amĂ©nagĂ© afin de proposer des ouvrages appropriĂ©s ainsi que des animations d’éveil musical.

    Le Point 21 est animé par plusieurs associations :

    • L'association Animation Point du Jour (APJ) gĂšre les salles, organise le Forum des Associations, propose des animations culturelles, soutient des projets associatifs Ă  vocation culturelle.
    • L’association BibliothĂšque Pour Tous gĂšre la mĂ©diathĂšque.
    • L'association Le ComitĂ© des FĂȘtes organise les animations festives de la commune.
    • La commune organise l'accueil les prĂ©-adolescents les mercredis aprĂšs-midi et une partie des vacances scolaires.

    RĂ©sidence seniors

    Depuis , la rĂ©sidence services seniors L’Arbre d’Or[58] accueille les personnes ĂągĂ©es dans un complexe comprenant 124 appartements, restaurant, animations, espaces de mise en forme, piscine et autres.

    Incroyables comestibles

    Affiche Incroyables Comestibles Laillé

    Cultivé et entretenu par les Lailléens volontaires (tout le monde peut participer), au profit de tous les Lailléens; le jardin situé 3 rue de l'hÎtel de ville s'inscrit dans la démarche mondiale des Incroyables Comestibles (Incredible Edible en anglais), à la devise : Si chacun fait un geste, on change la ville ; si on s'y met tous, on change le monde !

    Par la mise à disposition de tous, de nourriture gratuite à picorer; son fonctionnement repose sur le bénévolat, la bienveillance et le partage.

    Situé à cÎté de l'aire de jeu rue du Chùteau Noble, il permet d'apprendre aux enfants à jardiner en se reconnectant avec la Terre nourriciÚre, et leur faire découvrir l'origine des fruits et légumes.

    Les habitants mettent en culture, arrosent, entretiennent de façon écologique, et ce qui est produit est mis gratuitement à disposition de tout le monde.

    Équipements

    L'Archipel : complexe sportif et festif de 3 660 m2.
    Stade municipal de Laillé.

    Laillé possÚde un complexe sportif et festif (L'Archipel), un stade municipal, une salle et un court extérieur de tennis, une salle omnisports et un skate park. Ces espaces sont regroupés au nord de la commune.

    Le dernier bĂątiment construit se nomme L'Archipel. C'est un complexe sportif et festif de 3 660 m2 conçu dans une dĂ©marche environnementale : il possĂšde une double isolation, un Ă©clairage naturel optimal et des dĂ©tecteurs de prĂ©sence assurent l'allumage et l'extinction de l'Ă©clairage artificiel. De plus, le bĂątiment est Ă©quipĂ© d'une surface de 10 m2 de panneaux solaires pour la production d’eau chaude, d'une surface de 220 m2 de panneaux photovoltaĂŻques amorphes (10,88 kW de puissance d’installation) et d'une cuve de rĂ©cupĂ©ration d’eau de pluie de 30 m3.

    Le complexe comporte une salle multisports (L’Arena, 1 300 m2), une salle de danse (La Mezzanine, 270 m2), une salle des fĂȘtes (Claude Nougaro, 350 m2) divisible en deux ainsi qu'un boulodrome (Henri Salvador, 480 m2) et une surface extĂ©rieure dĂ©diĂ©s Ă  la pĂ©tanque. Un parking de 131 places est Ă  proximitĂ© immĂ©diate du complexe.

    La salle multisports est dotée de neuf terrains de badminton. Elle peut accueillir des compétitions au niveau régional et des week-ends de formation pour les clubs du département.

    Pour la construction du complexe, LaillĂ© a reçu une subvention CNDS (ComitĂ© National Du Sport) de 270 000 â‚Ź du ministĂšre des Sports via la fĂ©dĂ©ration française de badminton.

    Le bùtiment a été livré en , inauguré le et a reçu le Prix Architecture Bretagne 2013, dans la catégorie « Apprendre / Se divertir », le .

    Le stade municipal se dĂ©compose en deux espaces. L'un, ouvert aux LaillĂ©ens, est composĂ© d'un mini terrain en herbe et d'un terrain stabilisĂ©. L'autre est composĂ© d'un terrain d’honneur synthĂ©tique rĂ©servĂ© Ă  l'USL Football, aux Ă©coles et aux activitĂ©s de l’Animation Enfance Jeunesse et d'un terrain d’entraĂźnement en herbe rĂ©servĂ© Ă  l’USL Football.

    La salle de tennis est réservée aux adhérents de l'USL Tennis. Par contre, le court de tennis extérieur est ouvert aux Lailléens à condition de ne pas excéder une heure de jeu afin de permettre au plus grand nombre de jouer.

    La salle omnisports possĂšde, en fait, deux salles : La salle omnisports proprement dite (Salle des sports) et une salle de danse (Carolyn Carlson).

    Le skate park est ouvert au skateboard mais aussi au roller et BMX. Il est Ă©quipĂ© d’un quater et de plans inclinĂ©s.

    Activités sportives

    L’Union Sportive de LaillĂ© (USL) fut crĂ©Ă©e en 1942 avec la section Football. L’USL compte aujourd'hui plusieurs sections :

    • Section Badminton[59].
    • Section Basket.
    • Section Courir Ă  LaillĂ©.
    • Section Football[60].
    • Section PĂ©tanque[61].
    • Section Roller-Hockey[62].
    • Section Tennis[63].
    • Section Tennis de table.
    • Section Volley-ball.

    Laillé compte aussi des associations sportives extérieures à l'USL :

    • Tir Ă  l'arc (lieu de pratique : Salle des Boulais).
    • VĂ©lo Club LaillĂ© Vallons de Vilaine

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Chapelle Notre-Dame-du-DĂ©sert.

    Il n’y a pas de monument historique Ă  LaillĂ©. On trouve cependant plusieurs Ă©difices prĂ©sentant un intĂ©rĂȘt patrimonial.

    • La chapelle Saint-Pierre[64] - [65] qui fait office d’église paroissiale.
    • La chapelle frairienne Notre-Dame-du-DĂ©sert[66] - [67] citĂ©e dĂšs 1681 par le seigneur de LaillĂ©. Elle est dĂ©truite en partie sous la RĂ©volution et reconstruite en 1833 Ă  la demande de l’abbĂ© Bazouge et des de la Bourdonnaye. Elle est dĂ©truite par le feu en 2006 et reconstruite peu aprĂšs. Elle est situĂ©e au sud-est du bourg, Ă  l'intersection de la route de Mandon et de la route de la Roche.
    • Le chĂąteau du Bout de Lande[68], construit Ă  la fin du XIXe siĂšcle.
    • Le chĂąteau de LaillĂ©[69] a Ă©tĂ© construit en 1779 par Philippe Binet et dĂ©truit depuis 1913.
    • Quatre manoirs du XVIIe siĂšcle inventoriĂ©s, situĂ©s Ă  la Calliorne[70], la DouettĂ©e[71], Merol[72], et la Saudrais[73].
    • La Roche-qui-ChĂŽme, menhir renversĂ© en 1867 ou 1870 lors de la recherche d'un trĂ©sor[43].
    • Église Saint-Pierre.
      Église Saint-Pierre.
    • La croix de l'Ă©glise Saint-Pierre.
      La croix de l'Ă©glise Saint-Pierre.
    • La Roche-qui-ChĂŽme.
      La Roche-qui-ChĂŽme.

    Patrimoine naturel

    On trouve trois zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) sur le territoire de la commune :

    • « Bois de Pouez et Ferchaud », sur 356 ha[74] et « Bois de Ferchaud » sur 36 ha au sud-est de la commune[75],
    • « Landes de la Connelais », sur 14 ha au sud-ouest[76].

    Enfin, le site du Boël se situe le long de la Vilaine, à proximité de Laillé.

    Patrimoine culturel

    Logo de Radio Celtic Lands.

    Née à Laillé en , la webradio Radio Celtic Lands (RCL)[77] diffuse (sur internet uniquement) des programmes liés à la culture celtique. Initialement nommée Océane Radio Celte, la webradio change de nom en pour éviter les confusions avec d'autres radios. En , Radio Celtic Lands se monte en association loi de 1901.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de la ville de Laillé

    Le blason de Laillé se blasonne ainsi :

    « D’azur aux deux Ă©pĂ©es versĂ©es d’argent garnies d’or, passĂ©es en sautoir, au chef Ă©chiquetĂ© de gueules et d’argent de deux tires. »

    « D’azur Ă  deux Ă©pĂ©es d’argent garnies d’or et passĂ©es en sautoir, les pointes en bas » sont les armes de la famille de Marbeuf, seigneur de LaillĂ©[78].

    Logotype

    Logotype de la ville de Laillé

    Logotype de la ville de Laillé.

    Galerie photos

    • Pomme ornementale dans un pommier blessĂ©
      Pomme ornementale dans un pommier blessé

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[17].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[18].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestiÚre, [lire en ligne].
    2. MinistĂšre de l’Environnement, CORINE Land Cover, service statistique, MinistĂšre de l’Écologie, du dĂ©veloppement durable et de l’énergie, 2006.
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau du Désert (J7504700) ».
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau du Rachat (J7504750) ».
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de l’HodeillĂ© (J7505300) ».
    6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de LoiseliÚre (J7505400) ».
    7. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de la Lande (J7505700) ».
    8. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau sans nom (J7505800) ».
    9. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de la PochetiÚre (J7506000) ».
    10. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de la Douettée (J7485000) ».
    11. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau des Hamonais (J7484500) ».
    12. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau des Bignons (J7484700) ».
    13. Site de la STAR concernant les lignes de bus de Laillé
    14. Site Pays des vallons de Vilaine, Balades en Pays des Vallons : La halte de Laillé document (consulté le 29 novembre 2010)
    15. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    16. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    17. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    18. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    19. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    20. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    21. « Station météofrance Rennes-Saint-Jacques - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    22. « Orthodromie entre Laillé et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    23. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    24. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    25. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    26. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    28. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    29. « Unité urbaine 2020 de Laillé », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    30. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    31. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    32. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    33. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    34. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    35. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    36. Un Plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi) pour 43 communes, sur metropole.rennes.fr
    37. « Résultats concernant « Laillé » », sur la base KerOfis, Office public de la langue bretonne (consulté le ).
    38. Guy Souillet - Pays et paysans de la Haute-Bretagne - Page 26.
    39. « Etymologie et Histoire de La Fresnais », infobretagne (consulté le ).
    40. RĂ©gis AUFFRAY, Le Petit Matao, Rennes, Rue des Scribes, , 1000 p. (ISBN 2-906064-64-5), p. 772
    41. Chubri, « ChubEndret »
    42. Adolphe Orain, CuriositĂ©s, croyances, superstitions, chansons et coutumes de l’Ille-et-Vilaine, Rennes, Oberthur, , 16 p. (lire en ligne), p. 6
    43. Dominique Egu, André Corre, « Prospection sur Laillé - Le Boël le 25 octobre », Le Grattoir, Centre de recherches archéologiques du pays de Rennes, no 13, 2008, p. 10.
    44. Philippe Camby, "La Libération de la Bretagne", éditions Ouest-France, 1980 et http://www.wiki-rennes.fr/Film_en_URSS...tourn%C3%A9_en_Ille-et-Vilaine
    45. Articles Laillé et Foires de Laillé sur Wiki-Rennes.
    46. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    47. « Connaissez-vous bien Laillé ? »
    48. « Marcelle et Jean Gauchard fĂȘtent 60 ans de mariage », Ouest-France, 11 novembre 2014
    49. « Six élus de l'ancienne équipe municipale distingués », Ouest-France, 6 octobre 2014
    50. « Les maires Ă©lu du 1er tour », Dimanche Ouest-France, no 534,‎ , p. 10-11 (ISSN 1285-7688).
    51. Municipales 2014 - Résultats Laillé (35890)
    52. « Le maire et les adjoints »
    53. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    54. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    55. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    56. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    57. Site de la crÚche Chamboul'tout de Laillé
    58. Site de la rĂ©sidence sĂ©nior L’Arbre d’Or
    59. USL Badminton : Site de la section Badminton de l'US Laillé
    60. USL Football : Site officiel de la section Football de l'US Laillé
    61. USL Pétanque : Site de la section Pétanque de l'US Laillé
    62. USL Roller-Hockey : Site de la section Roller-Hockey de l'US Laillé
    63. USL Tennis : Site de la section Tennis de l'US Laillé
    64. « chapelle Saint-Pierre, église paroissiale », notice no IA00007442, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    65. Chapelle Saint-Pierre, Ă©glise paroissiale, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la rĂ©gion Bretagne..
    66. « Chapelle Notre-Dame (chapelle frairienne) », notice no IA00007444, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    67. Chapelle Notre-Dame (chapelle frairienne), sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la rĂ©gion Bretagne..
    68. ChĂąteau du Bout de Lande, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la rĂ©gion Bretagne..
    69. « chùteau de Laillé », notice no IA00007441, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    70. « Manoir, la Calliorne », notice no IA00007440, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    71. « Manoir, la Douettée », notice no IA00007439, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    72. « Manoir, Merol », notice no IA00007438, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    73. « Manoir, la Saudrais », notice no IA00007437, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    74. ZNIEFF 530008158 - Bois de Pouez et Ferchaud sur le site de l’INPN..
    75. ZNIEFF 530008161 - Bois de Ferchaud sur le site de l’INPN..
    76. ZNIEFF 530013336 - Landes de la Connelais sur le site de l’INPN..
    77. Site de la webradio Radio Celtic Lands
    78. Pol Potier de Courcy, Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 2, p. 229, entrée Marbeuf.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Extrait des « MĂ©moires de la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique d’Ille-et-Vilaine », t. 19, 1889, pp. 27 Ă  95, lire en ligne.
    • Guy Souillet, Pays et paysans de la Haute-Bretagne, Rennes, impr. Simon, , 69 p. (prĂ©sentation en ligne)
    • Jacky Bertonneau, Vivre Ă  LaillĂ© au XIXe siĂšcle, Ă©tude dĂ©mographique. La formation et la structure des familles au milieu du XIXe siĂšcle, Rennes,

    Articles connexes

    Liens externes

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