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RĂ©seau routier de la Dordogne

Cet article présente l'histoire, les caractéristiques et les événements significatifs ayant marqué le réseau routier du département de la Dordogne en France.

RĂ©seau routier de la Dordogne
Carte du réseau routier national (autoroutes et routes nationales) dans le département de la Dordogne
Carte du réseau routier national (autoroutes et routes nationales) dans le département de la Dordogne
GĂ©ographie
Pays France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Superficie 9 060 km2
Population 412 807 hab. (2020)
Caractéristiques générales
Longueur totale 19 633 km (2017) [1]
Densité de réseau 2.2 km/km2
DensitĂ© de rĂ©seau 2 48 km/1 000 hab.
Consistance
Autoroutes 110 km (2017)
Routes nationales 123 km (2017)
Routes dĂ©partementales 4 942 km (2017)
Voies communales 14 458 km (2017)
Accidentalité routière
Nombre d'accidents 224 (2017) [2] - [alpha 1]
dont mortels 28 (2017)
Tués 31 (2017)
-16 % (2017/2010)
(France : - 14 %)
Blessés hospitalisés 189 (2017)
Blessés légers 85 (2017)

Au , la longueur totale du rĂ©seau routier du dĂ©partement de la Dordogne est de 19 633 kilomètres, se rĂ©partissant en 110 kilomètres d'autoroutes, 123 kilomètres de routes nationales, 4 942 kilomètres de routes dĂ©partementales et 14 458 kilomètres de voies communales.

Histoire

Carte Levasseur du département de la Dordogne (1852)

XVIIIe siècle

De 1750 Ă  1784, l’ensemble du rĂ©seau routier est pour la première fois cartographiĂ© Ă  grande Ă©chelle (au 86 400e) et de manière complète par Cassini de Thury[3], Ă  la demande de Louis XV. Ces cartes sont d’une grande richesse toponymique, mais d’une grande pauvretĂ© quant Ă  la figuration du relief et de l’altimĂ©trie. De mĂŞme, les chemins secondaires sont rarement reprĂ©sentĂ©s, du fait d’une part de leur Ă©tat mĂ©diocre, et d’autre part de leur faible importance Ă©conomique.

XIXe siècle

L’Atlas national illustré réalisé par Victor Levasseur[4] est un précieux témoignage du XIXe siècle, les cartes coloriées à la main sont entourées de gravures indiquant statistiques, notes historiques et illustrations caractéristiques des départements. Sur ces cartes sont représentées les routes, voies ferrées et voies d'eau. Par ailleurs, les départements sont divisés en arrondissements, cantons et communes.

RĂ©forme de 1930

Devant l'Ă©tat très dĂ©gradĂ© du rĂ©seau routier au lendemain de la Première Guerre mondiale et l'explosion de l'industrie automobile, l'État, constatant l'incapacitĂ© des collectivitĂ©s territoriales Ă  remettre en Ă©tat le rĂ©seau routier pour rĂ©pondre aux attentes des usagers, dĂ©cide d'en prendre en charge une partie. L'article 146 de la loi de finances du prĂ©voit ainsi le classement d'une longueur de l'ordre de 40 000 kilomètres de routes dĂ©partementales dans le domaine public routier national[5].

En ce qui concerne le département de la Dordogne, ce classement devient effectif à la suite du décret du [6].

RĂ©forme de 1972

En 1972, un mouvement inverse est dĂ©cidĂ© par l'État. La loi de finances du prĂ©voit le transfert dans la voirie dĂ©partementale de près de 53 000 kilomètres de routes nationales[7]. Le but poursuivi est[8] :

  • d'obtenir une meilleure responsabilitĂ© entre l'État et les collectivitĂ©s locales en fonction de l'intĂ©rĂŞt Ă©conomique des diffĂ©rents rĂ©seaux,
  • de permettre Ă  l'État de concentrer ses efforts sur les principales liaisons d'intĂ©rĂŞt national,
  • d'accroĂ®tre les responsabilitĂ©s des assemblĂ©es dĂ©partementales dans le sens de la dĂ©centralisation souhaitĂ©e par le gouvernement,
  • d'assurer une meilleure gestion et une meilleure programmation de l'ensemble des voies.

Le transfert s'est opéré par vagues et par l'intermédiaire de plusieurs décrets publiés au Journal officiel. Après concertation, la très grande majorité des départements a accepté le transfert qui s'est opéré dès 1972. En ce qui concerne le département de la Dordogne, le transfert est acté avec un arrêté interministériel publié au journal officiel le [9].

RĂ©forme de 2005

Une nouvelle vague de transferts de routes nationales vers les départements intervient avec la loi du relative aux libertés et responsabilités locales, un des actes législatifs entrant dans le cadre des actes II de la décentralisation où un grand nombre de compétences de l'État ont été transférées aux collectivités locales. Dans le domaine des transports, certaines parties des routes nationales sont transférées aux départements et, pour une infime partie, aux communes (les routes n'assurant des liaisons d'intérêt départemental)[10].

Le dĂ©cret en Conseil d’État dĂ©finissant le domaine routier national[11] prĂ©voit ainsi que l’État conserve la propriĂ©tĂ© de 8 000 kilomètres d’autoroutes concĂ©dĂ©es et de 11 800 kilomètres de routes nationales et autoroutes non concĂ©dĂ©es et qu'il cède aux dĂ©partements un rĂ©seau de 18 000 kilomètres[12].

Dans le dĂ©partement de la Dordogne, le transfert est dĂ©cidĂ© par arrĂŞtĂ© prĂ©fectoral signĂ© le [13]. 111 kilomètres de routes nationales sont dĂ©classĂ©es. La longueur du rĂ©seau routier national dans le dĂ©partement passe ainsi de 240 kilomètres en 2004 Ă  137 en 2006 pendant que celle du rĂ©seau dĂ©partemental s'accroĂ®t de 4 827 Ă  4 962 kilomètres.

Limitation de vitesse

En , le gouvernement a imposĂ© une limitation de la vitesse Ă  80 km/h pour toutes les routes françaises sans sĂ©parateur central[14]. Fin 2020, la commission dĂ©partementale de la sĂ©curitĂ© routière de la Dordogne a entĂ©rinĂ© un retour possible Ă  90 km/h sur certains tronçons[14]. Dix tronçons sont concernĂ©s Ă  partir du pour une longueur totale de 287 kilomètres hors agglomĂ©rations[14] - [15] :

Caractéristiques

Consistance du réseau

Panneau signalant le point culminant des routes de la Dordogne, sur la route nationale 21.

Le niveau le plus Ă©levĂ© des routes du dĂ©partement est de 436 m sur la RN 21, entre Firbeix et La Coquille[16], en limite des communes de Firbeix et Saint-Pierre-de-Frugie.

Le réseau routier comprend cinq catégories de voies : les autoroutes et routes nationales appartenant au domaine public routier national et gérées par l'État[17], les routes départementales appartenant au domaine public routier départemental et gérées par les conseils généraux[18] et les voies communales[19] et chemins ruraux[20] appartenant respectivement aux domaines public et privé des communes et gérées par les municipalités. Le linéaire de routes par catégories peut évoluer avec la création de routes nouvelles ou par transferts de domanialité entre catégories par classement ou déclassement, lorsque les fonctionnalités de la route ne correspondent plus à celle attendues d'une route de la catégorie dans laquelle elle est classée. Ces transferts peuvent aussi résulter d'une démarche globale de transfert de compétences d'une collectivité vers une autre.

Au , la longueur totale du rĂ©seau routier du dĂ©partement de la Dordogne est de 18 939 kilomètres, se rĂ©partissant en 110 kilomètres d'autoroutes, 123 kilomètres de routes nationales, 4 965 kilomètres de routes dĂ©partementales et 13 741 kilomètres de voies communales. Il occupe ainsi le 4e rang au niveau national sur les 96 dĂ©partements mĂ©tropolitains quant Ă  sa longueur et le 43e quant Ă  sa densitĂ© avec 2,1 kilomètres par km2 de territoire[21].

Trois grandes réformes ont contribué à faire évoluer notablement cette répartition : 1930, 1972 et 2005.

Le réseau de la Dordogne est constitué autour de deux grands axes à intérêt national :

L'évolution du réseau routier entre 2002 et 2016 est donnée dans le tableau ci-après[21] - [22].

Évolution du réseau routier entre 2002 et 2018
Catégorie de route20022003200420052006200720082009201020112016[23]
Autoroutes 3636103102102103103110110110110
Routes nationales 256256240128137129129129129123123
Routes dĂ©partementales 4 8244 8244 8274 8314 9624 9624 9684 9684 9654 9654 944
Voies communales 12 24512 28112 56012 70712 77713 22313 22313 55813 74113 74114 233
TOTAL 17 36117 39717 73017 76817 97818 41718 42318 76518 94518 93919 410

Autoroutes

Autoroute A89, mise en service complètement en par la réalisation du « chainon manquant »[24] au nord de Terrasson-Lavilledieu. Elle traverse le département d'ouest en est. Elle est concédée, donc avec péage, aux Autoroutes du Sud de la France.

Routes nationales actuelles

Thiviers - PĂ©rigueux - Bergerac

Périgueux est contournée par l'est par la RN 221 et l'A89.

Trélissac - Saint-Laurent-sur-Manoire, contournement est de Périgueux.

Réalisations ou événements récents

Réalisations passées

  • Autoroute A89, traversant le dĂ©partement d'ouest en est, dĂ©clarĂ©e d'utilitĂ© publique en 1996 et mise en service entre 2001 et 2008, est la première autoroute en Dordogne. Cette autoroute est concĂ©dĂ©e Ă  la sociĂ©tĂ© Autoroutes du Sud de la France (ASF).
  • DĂ©viation de Pont-Saint-Mamet (commune de Douville), dĂ©clarĂ©e d'utilitĂ© publique en et mise en service en . Cette dĂ©viation fait partie de la RN21.
  • DĂ©viation de Château-l'ÉvĂŞque, dĂ©clarĂ©e d'utilitĂ© publique en et inaugurĂ©e en . Cette dĂ©viation fait partie de la D939[25].
  • DĂ©viation est de Bergerac, dĂ©clarĂ©e d'utilitĂ© publique en . La partie sud-est a Ă©tĂ© mise en service en ; la partie nord-est ayant fait l'objet d'un recours, n'a Ă©tĂ© mise en service qu'en [26]. La dĂ©viation fait partie de la RN21.
  • AmĂ©nagement de la D709 entre Bergerac et Mussidan, dĂ©butĂ© en 2003 et achevĂ© en [27], pour un coĂ»t de 32 millions d'euros partagĂ©s entre le conseil gĂ©nĂ©ral de la Dordogne, l'État et la rĂ©gion Aquitaine, il constitue une part importante dans le dĂ©senclavement de Bergerac et du sud-ouest du dĂ©partement et de son « rapprochement » de l'A89.
  • L'autre tronçon de la D709 entre Mussidan et RibĂ©rac, dont les travaux avaient dĂ©butĂ© en 1998, s'est achevĂ© en [28].
  • DĂ©viation de La Rochebeaucourt mise en service en . Elle facilite la circulation sur l'axe AngoulĂŞme-RibĂ©rac en mettant en relation la D939 et la D12 sans passer Ă  l'intĂ©rieur du bourg de La Rochebeaucourt et en Ă©vitant le passage Ă©troit au-dessus de la Nizonne[29].
  • Contournement ouest de Bergerac[30] d'une longueur de 4,75 km permettant la liaison D936 - D709 (route de Bordeaux - route de Mussidan) en Ă©vitant Bergerac. Les travaux ont commencĂ© en 2008 avec le giratoire sud et se sont poursuivis avec la construction du pont des Nebouts d'une portĂ©e de 126 mètres avec travĂ©e unique pour franchir la Dordogne au niveau d'une zone Natura 2000[31] - [32]. Le tronçon de deux kilomètres entre les routes dĂ©partementales 32 et 936 a Ă©tĂ© mis en service dĂ©but [33]. Sur le site du Bout-des-Vergnes, les sĂ©pultures d'une nĂ©cropole mĂ©rovingienne des Ve et VIe siècles sont mises au jour en novembre 2012 lors du chantier[34]. L'ouverture du tronçon restant entre les RD 32 et RD 709 est effectuĂ©e fin [35].
  • Mis en service en [36], le contournement ouest de Mussidan d'une longueur totale de 4,2 km amĂ©liore la relation entre la route dĂ©partementale 6089 et la route dĂ©partementale 709. Un premier tronçon nord, long de 1,7 km, entre la D 6089 et la D 20 (la route du Fleix) passe sous la voie ferrĂ©e de la ligne de Coutras Ă  Tulle. Les travaux ont commencĂ© en et sa mise en service s'est effectuĂ©e en [37]. Le second tronçon, long de 2,5 km, dont les travaux se sont Ă©chelonnĂ©s jusqu'en 2018[38], met en relation la D 20 avec la D 709 près de l'Ă©changeur no 13 de Mussidan sur l'autoroute A89[39]. Le coĂ»t total du contournement incluant une aire de covoiturage est de 14,4 millions d'euros[36].

RĂ©alisations en cours ou futures

  • La dĂ©viation de Sarlat a Ă©tĂ© mise en service en pour un premier tronçon d'une longueur de 3,6 km, Ă  l'ouest (D6-D46 : route de PĂ©rigueux - route de VĂ©zac)[40]. Un deuxième tronçon en milieu urbain long de 300 mètres est inaugurĂ© au sud en (D 46 - D704 : route de VĂ©zac - route de Souillac)[41]. Une dernière phase de travaux au nord entre la D6 et la D704 (route de PĂ©rigueux - route de Montignac), initialement prĂ©vue Ă  partir de 2015[42], est repoussĂ©e Ă  2022[43].
  • Le contournement sud de Nontron d'une longueur de 4,35 km permettant la liaison D675 - D707 (route de BrantĂ´me-route de Thiviers) en Ă©vitant par le sud le centre-ville de Nontron, envisagĂ© initialement pour 2013[44], est en cours de rĂ©alisation en deux tranches en 2016-2017 pour un coĂ»t total de trois millions d'euros[45].
  • Le contournement nord-ouest de RibĂ©rac entre les routes dĂ©partementales 5 Ă  l'ouest et 708 au nord fera approximativement 3,5 km de long. Les travaux devaient dĂ©marrer en 2016[46] mais sont remis Ă  une date ultĂ©rieure[43].
  • La dĂ©viation de Beynac devait permettre de dĂ©sengorger la route dĂ©partementale 703 dans sa traversĂ©e de Beynac, qui figure parmi Les Plus Beaux Villages de France, oĂą en Ă©tĂ© circulent quotidiennement plus de 10 000 vĂ©hicules entre falaise et Dordogne[47]. Avec la rĂ©alisation d'un passage sous la voie ferrĂ©e et de deux ponts sur la Dordogne, son coĂ»t estimĂ© Ă  trente-deux millions d'euros est particulièrement Ă©levĂ©[47]. Les travaux de ce tronçon, d'une longueur de 3,2 km, auraient dĂ» s'effectuer de 2017 Ă  2020[47]. Le projet a suscitĂ© une forte opposition de diffĂ©rents acteurs de la vallĂ©e[48]. Le , la prĂ©fète de la Dordogne autorise les travaux[49] mais le Conseil d'État dĂ©cide le de suspendre le chantier en cours, alors que cinq piles de pont ont dĂ©jĂ  Ă©tĂ© coulĂ©es et que quinze millions d'euros ont dĂ©jĂ  Ă©tĂ© payĂ©s[50]. Le tribunal administratif de Bordeaux, dans une dĂ©cision rendue le , dĂ©clare que la dĂ©viation « ne rĂ©pond pas Ă  une raison impĂ©rative d'intĂ©rĂŞt public prĂ©sentant un caractère majeur ». Il demande au dĂ©partement de la Dordogne la destruction des piles de pont dĂ©jĂ  mises en chantier et une restauration du site Ă  son Ă©tat d'origine[51]. NĂ©anmoins, le prĂ©sident du Conseil dĂ©partemental persiste Ă  poursuivre le chantier et fait appel du jugement[52]. Le , la cour administrative d'appel de Bordeaux confirme le jugement du tribunal administratif en annulant le projet et ordonnant la dĂ©molition des travaux engagĂ©s et la remise en Ă©tat des lieux[53] sous dĂ©lai d'un an, ce qui Ă  terme devrait reprĂ©senter quarante-cinq millions d'euros de dĂ©penses[54]. Le , le Conseil d'État valide la dĂ©cision de la Cour d'appel et le , la prĂ©fecture de la Dordogne publie un arrĂŞtĂ© prĂ©voyant les conditions de remise en Ă©tat des lieux sur les communes de Castelnaud-la-Chapelle, VĂ©zac et Saint-Vincent-de-Cosse[55]. Le , la cour administrative d'appel de Bordeaux met le dĂ©partement en demeure de commencer les travaux de remise en Ă©tat des sites dans un dĂ©lai de six mois, et de les terminer pour le , avec astreintes journalière des 3 000 euros en cas de non-respect de la première dĂ©cision, et de 5 000 euros si non-respect de la seconde[56]. Le jour mĂŞme, le Conseil dĂ©partemental de la Dordogne annonce qu'il a dĂ©posĂ© auprès du prĂ©fet un nouvel arrĂŞtĂ© d'autorisation des travaux[56]. Le , Le rapporteur public demande Ă  la cour administrative d'appel de Bordeaux d'imposer le paiement de l'astreinte (489 000 euros Ă  ce jour) pour non commencement des travaux de remise en Ă©tat[57]. La cour doit statuer en dĂ©libĂ©rĂ© le [57].
  • Le chantier le 5 juillet 2022.
  • Le chantier du contournement de Beynac, le long du viaduc de Beynac, Ă  VĂ©zac.
    Le chantier du contournement de Beynac, le long du viaduc de Beynac, Ă  VĂ©zac.
  • Idem.
    Idem.
  • Chantier Ă  Saint-Vincent-de-Cosse.
    Chantier Ă  Saint-Vincent-de-Cosse.
  • Idem.
    Idem.

Notes et références

  1. Les statistiques d'accidents recensent les accidents s'étant produits sur les réseaux publics (autoroutes, routes nationales, routes départementales et voies communales) mais aussi hors réseau public, sur les parkings publics et sur les autres voies.
  1. Ministère de la transition écologique et solidaire, « Mémento des transports urbains et routiers 2017 », sur https://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/ (consulté le )
  2. Ministère de la transition écologique et solidaire, « Les accidents corporels de la circulation 2017 - Recueil de données brutes », sur http://www.securite-routiere.gouv.fr/ (consulté le )
  3. Pour la zone de PĂ©rigueux, pour la zone de Bergerac et pour la zone de Sarlat sur Gallica
  4. Carte Levasseur du département de la Dordogne sur Wikimedia Commons
  5. Jacques Borredon, Code de la voirie routière et textes annexes : explicitations et commentaires, Editions du Papyrus, , 645 p. (lire en ligne), p. 22-23-87
  6. Fac-simile du décret signé par le Président de la République Gaston Doumergue, publié au Journal officiel en date du , classant une partie du réseau routier national dans le domaine public routier départemental, sur le site de Wikisara
  7. « Projet de loi relatif aux libertés et aux responsabilités locales - Chapitre 1 - la voirie », sur le site du Sénat (consulté le )
  8. Rapport sur le transfert du réseau de la voirie nationale secondaire dans la voirie départementale, Conseil général du Loiret, séance du 6 décembre 1972
  9. Fac-simile de l'arrêté interministériel publié au Journal officiel en date du , déclassant une partie du réseau routier national dans le domaine public routier départemental, sur le site de Wikisara
  10. « La décentralisation : acte II », sur www.vie-publique.fr, (consulté le )
  11. Décret no 2005-1499 du 5 décembre 2005 relatif à la consistance du réseau routier national
  12. « Rapport d'information sur la mise en application de la loi no 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales. », sur le site de l'Assemblée nationale, (consulté le ) p. 42
  13. Fac-simile de l'arrêté préfectoral signé le , déclassant une partie du réseau routier national dans le domaine public routier départemental, sur le site du Ministère de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement durable et de l’Aménagement du territoire
  14. Clément Bouynet, « La limitation à 90 aussi limitée », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 14-15.
  15. « Dordogne : tout savoir sur le retour aux 90 km/h sur 10 routes du département », sur sudouest.fr, (consulté le ).
  16. Voir panneau sur la RN 21. Le site GĂ©oportail donne le niveau 438 m.
  17. Art. 123-1 du Code de la voirie routière
  18. Art. 131-1 du Code de la voirie routière
  19. Art. 141-1 du Code de la voirie routière
  20. Art. 161-1 du Code de la voirie routière
  21. « Mémento de statistiques des transports, Chapitre 3 : Transports urbains et routiers, 1re partie : 3.3 Réseaux », sur le site Ministère de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement durable et de l’Aménagement du territoire / Économie et statistiques. (consulté le )
  22. Benoît Martin, « Leviers prioritaires », Sud Ouest édition Dordogne, 7 juin 2018, p. 13.
  23. « Statistiques routières - Réseau routier par département - onglets 3.3.2 et 3.3.3.2 », sur http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/ (consulté le )
  24. Autoroutes du Sud de la France, communiqué de presse du 14 janvier 2008
  25. [PDF] Vivre en PĂ©rigord no 5, p. 10, septembre 2006.
  26. [PDF] Vivre en PĂ©rigord no 26, p. 5, juillet 2010.
  27. [PDF] Vivre en PĂ©rigord no 12, p. 5, novembre 2007.
  28. [PDF] Vivre en PĂ©rigord no 18, p. 7, janvier 2009.
  29. [PDF] Vivre en PĂ©rigord no 32, p. 10, janvier 2012.
  30. [PDF] Tracé de la déviation sur Vivre en Périgord no 19, p. 8, mars 2009.
  31. [PDF] Vivre en PĂ©rigord no 21, p. 10, septembre 2009.
  32. [PDF] Vivre en PĂ©rigord no 27, p. 9, octobre 2010.
  33. Pauline Pierri, Un grand pas de 2 km, Sud Ouest Ă©dition Dordogne du 9 juillet 2012.
  34. Retard pour la rocade Ouest de Bergerac, Sud Ouest Ă©dition Dordogne du 23 novembre 2012.
  35. Le dernier tronçon du contournement Ouest de Bergerac ouvert à la circulation sur France Bleu, consulté le 2 juillet 2013.
  36. Hervé Chassain, « Une déviation très attendue », Sud Ouest édition Dordogne, 17 novembre 2018, p. 15.
  37. Hervé Chassain, « Un petit bout de déviation », Sud Ouest édition Dordogne, 22 décembre 2014, p. 10.
  38. Bruno Boucharel, « Déviation : « le plus important chantier » », Sud Ouest édition Périgueux, 21 septembre 2016, p. 19.
  39. [PDF] Vivre en PĂ©rigord no 34, p. 7, juillet 2012.
  40. [PDF] Vivre en PĂ©rigord no 27, p. 8, octobre 2010.
  41. Thierry Dumas, « Déviation sud de Sarlat : vers la fin des bouchons ? », Sud Ouest, 21 décembre 2012, consulté le 22 décembre 2012.
  42. [PDF] Vivre en PĂ©rigord no 25, p. 10, mai 2010.
  43. Hervé Chassain, « Des déviations longtemps attendues », Sud Ouest édition Dordogne, 6 avril 2016, p. 14-15.
  44. [PDF] Vivre en PĂ©rigord no 32, p. 4, janvier 2012.
  45. Jacques Hesault, « Le contournement de Nontron est bien lancé », Sud Ouest édition Périgueux, 2 janvier 2017, p. 16d.
  46. [PDF] « Contournement de Ribérac : présentation publique du projet » dans Vivre en Périgord no 38, p. 4, juillet 2013.
  47. Hervé Chassain, « Plus de recours possible à Beynac », Sud Ouest édition Dordogne, 6 avril 2016, p. 15.
  48. « Dordogne : trois minutes pour comprendre le conflit autour du contournement de Beynac », (article avec lien vers le site des opposants), sur francebleu.fr, (consulté le )
  49. Franck Delage, « La bagarre n'est pas terminée », Sud Ouest édition Dordogne, 30 décembre 2018, p. 10.
  50. Franck Delage, « Les travaux à l'arrêt », Sud Ouest édition Dordogne, 29 décembre 2018, p. 13.
  51. « Dordogne : le chantier de déviation du village médiéval de Beynac annulé », sur Le Point, (consulté le )
  52. « Beynac, Caussade : le tribunal administratif de Bordeaux stoppe des chantiers « sans intérêt public majeur » », (voir aussi liens intra-article), sur rue89bordeaux.com, (consulté le )
  53. Le Monde avec AFP, « La justice confirme l’annulation du contournement routier de Beynac », lemonde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  54. Dominique Richard, « La justice sonne le glas de la déviation », Sud Ouest, 11 décembre 2019, p. 8-9.
  55. [PDF] « Arrêté du 30 juin 2020 n°|DDT/SEER/ portant prescriptions au Conseil départemental de la Dordogne relatives aux travaux de démolition des éléments construits dans le cadre du projet de contournement du bourg de Beynac-et-Cazenac et de remise en état des lieux sur les communes de Castelnaud-la-Chapelle, Vézac et Saint-Vincent-de-Cosse », Préfecture de la Dordogne, Recueil des actes administratifs spécial no 1, .
  56. Franck Delage, « Le Département ne lâche pas », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 13.
  57. Daniel Bozec, « Beynac : « Saga contentieuse » à la cour administrative d'appel », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 11.

Sources

Annexes

Bibliographie

Articles connexes

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