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Pont-de-Salars

Pont-de-Salars [pɔ̃ də salaʁ] est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement de l'Aveyron en rĂ©gion Occitanie. Elle fait donc partie de l'ancienne province du Rouergue.

Pont-de-Salars
Pont-de-Salars
L'Ă©glise Saint-Martin.
Blason de Pont-de-Salars
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Aveyron
Arrondissement Millau
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Salars
(siĂšge)
Maire
Mandat
Daniel Julien
2020-2026
Code postal 12290
Code commune 12185
DĂ©mographie
Gentilé Salarsipontain(e)
Population
municipale
1 632 hab. (2020 en diminution de 1,33 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 36 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 16â€Č 55″ nord, 2° 43â€Č 42″ est
Altitude Min. 570 m
Max. 883 m
Superficie 44,9 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Rodez
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Raspes et LĂ©vezou
(bureau centralisateur)
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Pont-de-Salars
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Pont-de-Salars
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Pont-de-Salars

    Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : le pont de Saint-Georges de Camboulas, inscrit en 1978, et l'église Saint-Georges, inscrite en 1987.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Le territoire de la commune de Pont-de-Salars matérialise une fraction sud du Massif central. Il s'étend à la périphérie du Ségala, au Nord-Ouest du plateau du Lévézou, et est traversé par la riviÚre Viaur.

    Les communes limitrophes sont Canet-de-Salars, Flavin, Prades-Salars, Ségur, Trémouilles et Le Vibal.

    Hameaux

    Les hameaux les plus importants, notamment sur le plan historique sont MĂ©janĂšs, le Puech Ventoux et surtout Saint-Georges et Camboulas.

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Pont-de-Salars.

    La commune est drainée par le Viaur, le Vioulou, le Ruisseau de Bage, le ruisseau de Buscaylet, le ruisseau de Cadousse, le ruisseau de Ferrieu, le ruisseau de la FranquÚze, le ruisseau de Lestang, le ruisseau des catous, le ruisseau des Combes, le ruisseau des Salses, le ruisseau de VernhiÚres, par divers petits cours d'eau[1].

    Le Viaur prend sa source Ă  1 086 m d’altitude dans la rĂ©gion naturelle du LĂ©vĂ©zou qui prĂ©sente un relief vallonnĂ©, dans la commune de VĂ©zins-de-LĂ©vĂ©zou pour confluer, aprĂšs avoir parcouru environ 168 km, avec l'Aveyron Ă  146 m d’altitude en limite de LaguĂ©pie (Tarn-et-Garonne) et Saint-Martin-LaguĂ©pie (Tarn), aprĂšs avoir arrosĂ© 30 communes[2].

    Le Vioulou, d'une longueur totale de 33,1 km, prend sa source dans la commune de Castelnau-PĂ©gayrols et se jette dans le Viaur Ă  TrĂ©mouilles, aprĂšs avoir arrosĂ© 9 communes[3].

    Le Ruisseau de Bage, d'une longueur totale de 12,2 km, prend sa source dans la commune de Prades-Salars et se jette dans lale Viaur Ă  Pont-de-Salars, aprĂšs avoir arrosĂ© 3 communes[4].

    Deux lacs complÚtent le réseau hydrographique :

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon Ă©tat des eaux imposĂ© par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intĂ©grĂ©e s’articulent Ă  diffĂ©rentes Ă©chelles pour dĂ©finir et mettre en Ɠuvre un programme d’actions de rĂ©habilitation et de gestion des milieux aquatiques : le SDAGE (SchĂ©ma directeur d'amĂ©nagement et de gestion des eaux), Ă  l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE (SchĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux), Ă  l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Trois SAGE sont mis en oeuvre dans le dĂ©partement de l'Aveyron[7].

    La commune fait partie du SAGE du bassin versant du Viaur, approuvĂ© le , au sein du SDAGE Adour-Garonne. Le pĂ©rimĂštre de ce SAGE couvre 89 communes, sur trois dĂ©partements (Aveyron, Tarn et Tarn-et-Garonne)[8] - [9]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurĂ©s par l’établissement public d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (EPAGE) du bassin du Viaur, une structure qui regroupe les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale Ă  fiscalitĂ© propre (EPCI-FP) dont le territoire est inclus (en totalitĂ© ou partiellement) dans le bassin hydrographique du Viaur et les structures gestionnaires de l’alimentation en eau potable des populations et qui disposent d’une ressource sur le bassin versant du Viaur. Il correspond Ă  l’ancien syndicat mixte du Bassin versant du Viaur[10] - [11].

    Climat

    ParamÚtres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 9,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 5,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 071 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,8 j

    La commune bĂ©nĂ©ficie d’un « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats en France dĂ©finie en 2010. Ce type, qui concerne la moitiĂ© ouest du dĂ©partement de l'Aveyron, constitue une transition entre le climat ocĂ©anique franc et le climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ©. La tempĂ©rature moyenne annuelle est assez Ă©levĂ©e (12,5 °C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8 par an)[12].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[12]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales[14]. Cette Ă©volution peut ĂȘtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Rodez-Marcillac, qui se trouve Ă  14 km Ă  vol d'oiseau de la commune[15], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[16], Ă  10,7 °C pour 1981-2010[17], puis Ă  11,1 °C pour 1991-2020[18].

    Sites Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d’intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce rĂ©seau est constituĂ© de Zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spĂ©ciale (ZPS). Dans les zones de ce rĂ©seau, les États Membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[19].

    Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[20] : Les « VallĂ©es du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou », d'une superficie de 17 144 ha, s'Ă©tendent sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles prĂ©sentent une trĂšs grande diversitĂ© d'habitats et d'espĂšces dans ce vaste rĂ©seau de cours d'eau et de gorges. La prĂ©sence de la Loutre d'Europe et de la moule perliĂšre d'eau douce est Ă©galement d'un intĂ©rĂȘt majeur[21].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Le territoire communal de Pont-de-Salars comprend quatre ZNIEFF de type 1[Note 3] - [22] :

    • le « Bocage de Trappes » (63,10 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[23] ;
    • la « RiviĂšre du Viaur » (697,7 ha), couvrant 18 communes dont 14 dans l'Aveyron et 4 dans le Tarn[24] ;
    • la « TourbiĂšre du Bial » (12,3 ha)[25] ;
    • la « Zone humide de Vernet » (17 ha)[26] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 4] - [22] :

    • le « Ruisseau du Vioulou et lac de Pareloup » (1 684 ha), qui s'Ă©tend sur 6 communes de l'Aveyron[27] ;
    • la « VallĂ©e du Viaur et ses affluents » (27 587 ha), qui s'Ă©tend sur 56 communes dont 45 dans l'Aveyron, 10 dans le Tarn et 1 dans le Tarn-et-Garonne[28].
    • Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Pont-de-Salars est une commune rurale[Note 5] - [29]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1] - [30].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rodez, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[I 2] - [I 3].

    Infrastructures et occupation des sols de la commune de Pont-de-Salars.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (75,9 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (76,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (40,6 %), prairies (28,5 %), forĂȘts (18,9 %), terres arables (6,8 %), eaux continentales (2,8 %), zones urbanisĂ©es (2,4 %)[31].

    Planification

    La loi SRU du a incitĂ© fortement les communes Ă  se regrouper au sein d’un Ă©tablissement public, pour dĂ©terminer les partis d’amĂ©nagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratĂ©gique des politiques publiques Ă  une grande Ă©chelle. La commune est dans le territoire du SCoT du LĂ©vĂ©zou, prescrit en juin 2018. La structure porteuse est le PĂŽle d'Ă©quilibre territorial et rural du LĂ©vĂ©zou, qui associe deux communautĂ©s de communes, notamment la communautĂ© de communes du Pays de Salars, dont la commune est membre[32]

    La commune disposait en 2017 d'un plan local d'urbanisme approuvĂ©[33]. Le zonage rĂ©glementaire et le rĂšglement associĂ© peuvent ĂȘtre consultĂ©s sur le GĂ©oportail de l'urbanisme[34].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Pont-de-Salars est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et la rupture d'un barrage, et Ă  un risque particulier, le risque radon[35] - [36].

    Risques naturels

    Le Plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies dĂ©coupe le dĂ©partement de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et dĂ©finit une sensibilitĂ© des communes Ă  l’alĂ©a feux de forĂȘt (de faible Ă  trĂšs forte). La commune est classĂ©e en sensibilitĂ© faible[37].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés à la présence de cavités souterraines localisées sur la commune[38] - [39].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par une route Ă  fort trafic et une canalisation de transport de gaz. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bĂąti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[40].

    Sur le dĂ©partement de l’Aveyron on dĂ©nombre huit grands barrages susceptibles d’occasionner des dĂ©gĂąts en cas de rupture. La commune fait partie des 64 communes susceptibles d’ĂȘtre touchĂ©es par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture d’un de ces barrages[41].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon le dossier dĂ©partemental des risques majeurs du dĂ©partement Ă©tabli en 2013, la commune de Pont-de-Salars est classĂ©e Ă  risque moyen Ă  Ă©levĂ©[42]. Un dĂ©cret du a modifiĂ© la terminologie du zonage dĂ©finie dans le code de la santĂ© publique[43] et a Ă©tĂ© complĂ©tĂ© par un arrĂȘtĂ© du portant dĂ©limitation des zones Ă  potentiel radon du territoire français. La commune est dĂ©sormais en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[44].

    Toponymie

    L'origine du mot Salars est inconnue, cependant plusieurs hypothĂšses circulent comme celle le faisant dĂ©river du mot sel, le bourg Ă©tant connu au Moyen Âge pour la route du Sel (salars) avec droit de passage (sur le pont).

    Histoire

    Le bourg chef-lieu de Pont-de-Salars est le plus important du LĂ©vĂ©zou (au sens restreint) en nombre d'habitants. Il doit son dĂ©veloppement au fait qu'il se situe sur un passage du Viaur facilitĂ© par la construction de la route militaire (D911) de Montauban Ă  Millau au XVIIIe siĂšcle. En fait, le bourg initial correspondait au village de Salars, sur la butte, dont il ne reste aujourd'hui que sa chapelle (XIe siĂšcle). Avec la construction de la route D911, le bourg s'est dĂ©veloppĂ© autour du pont le long de la route d'oĂč son nom actuel.

    HĂ©raldique

    Blason de la commune de Pont-de-Salars

    La commune de Pont-de-Salars porte :
    De sinople Ă  un pont de une arche d'argent sur une riviĂšre fascĂ©e ondĂ©e d'argent et d'azur, surmontĂ© d'un Ă©cusson d'or chargĂ© d'un mors de sable Ă  l’antique et au chef de gueules chargĂ© de trois tiercefeuilles d'argent, ledit Ă©cusson accostĂ© de deux truites adossĂ©es d'argent et courbĂ©es en pal..

    Politique et administration

    DĂ©coupage territorial

    La commune de Pont-de-Salars est membre de la communauté de communes du Pays de Salars[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siÚge est à Pont-de-Salars. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[45].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Millau, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 4]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Raspes et Lévezou pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la troisiÚme circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[46].

    Élections de 2020

    TĂȘte de listeSuffragesPourcentageCMCC
    Daniel Julien63373,34 %175
    Christel Sigaud-Laury23026,65 %20

    Le conseil municipal de Pont-de-Salars, commune de plus de 1 000 habitants, est Ă©lu au scrutin proportionnel de liste Ă  deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[47], pour un mandat de six ans renouvelable[48]. Compte tenu de la population communale, le nombre de siĂšges Ă  pourvoir lors des Ă©lections municipales de 2020 est de 19[49]. Les dix-neuf conseillers municipaux sont Ă©lus au premier tour avec un taux de participation de 70,39 %, se rĂ©partissant en dix-sept issus de la liste conduite par Daniel Julien et deux issus de celle de Christel Sigaud-Laury[50]. Daniel Julien, maire sortant, est rĂ©Ă©lu pour un nouveau mandat le [51].

    Les cinq siÚges attribués à la commune au sein du conseil communautaire de la communauté de communes du Pays de Salars sont alloués à la liste de Daniel Julien[50].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1792 Labit
    1792 An VIII Jean François de Monmotton
    An VIII An XIII Hilaire Fabre
    An XIII 1816 Joseph Viala
    1816 1828 Jean Joseph Dornes
    1828 1832 Antoine de Monmotton
    1832 1837 Joseph Viala
    1837 1852 François Viala
    1852 1864 Antoine Devic
    1864 1871 Hippolyte Durand
    1871 1879 Joseph Caunac
    1879 1892 Henri Jaoul
    1892 1912 Germain Durand
    1912 1919 Emile Vidal
    1919 1925 Germain Durand
    1925 1942 Léon Julié
    1942 1944 Jean Amans
    1944 1945 délégation spéciale
    1945 1977 Jean Amans conseiller général
    1977 1994 Gilbert Privat UDF conseiller général
    1994 2001 Alain Pichon SE conseiller général
    2001 2008 Anne Privat-Douls
    2008 2014 Alain Pichon DVD conseiller général
    2014 En cours Daniel Julien DVG Cadre
    mars 2014 en cours Daniel Julien[52] - [53] Employé de commerce
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[55].

    En 2020, la commune comptait 1 632 habitants[Note 7], en diminution de 1,33 % par rapport Ă  2014 (Aveyron : +0,33 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1342351 7401 7541 2581 2111 2151 4271 457
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3561 4041 2441 2841 3101 2881 3101 2571 229
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2151 2281 2601 1111 0851 1341 1841 1101 111
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 2121 2291 3001 3911 4221 4141 5251 5421 635
    2015 2020 - - - - - - -
    1 6611 632-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[56] puis Insee Ă  partir de 2006[57].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018 (donnĂ©es Insee publiĂ©es en ), la commune compte 624 mĂ©nages fiscaux[Note 8], regroupant 1 467 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 21 020 â‚Ź[I 5] (20 640 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 6]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    Division200820132018
    Commune[I 7]4 %4 %3,7 %
    DĂ©partement[I 8]5,4 %7,1 %7,1 %
    France entiĂšre[I 9]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  979 personnes, parmi lesquelles on compte 73,9 % d'actifs (70,2 % ayant un emploi et 3,7 % de chĂŽmeurs) et 26,1 % d'inactifs[Note 9] - [I 7]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Rodez, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 1] - [I 10]. Elle compte 673 emplois en 2018, contre 718 en 2013 et 646 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 697, soit un indicateur de concentration d'emploi de 96,6 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 52,7 %[I 11].

    Sur ces 697 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 313 travaillent dans la commune, soit 45 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 80,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,9 % les transports en commun, 10,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

    Secteurs d'activités

    126 établissements[Note 10] sont implantés à Pont-de-Salars au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11] - [I 14].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre%%
    Ensemble126100 %(100 %)
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    2721,4 %(17,7 %)
    Construction1511,9 %(13 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    3225,4 %(27,5 %)
    Information et communication10,8 %(1,5 %)
    Activités financiÚres et d'assurance43,2 %(3,4 %)
    Activités immobiliÚres43,2 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    118,7 %(12,4 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    2116,7 %(12,7 %)
    Autres activités de services118,7 %(7,8 %)

    Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 25,4 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (32 sur les 126 entreprises implantĂ©es Ă  Pont-de-Salars), contre 27,5 % au niveau dĂ©partemental[I 15].

    Entreprises

    Les trois entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[58] :

    • Cecalex, supermarchĂ©s (8 261 k€) ;
    • Etablissements Baulez Freres, fabrication d'aliments pour animaux de ferme (5 968 k€) ;
    • Brezel, production d'Ă©lectricitĂ© (47 k€).

    Bien que le bourg ait profité du passage de la route royale (D 911), son économie est surtout basée sur l'agriculture. Soixante-douze fermes d'exploitation agricole contribuent grandement à faire vivre la commune (élevage de bovins pour la production de lait et de viande de vache mais aussi de brebis pour la transformation en fromage de roquefort et autres mais aussi sylviculture). Cependant depuis les années soixante, l'essor du tourisme rural, avec l'atout qu'offrent les retenues d'eau EDF, a permis de diversifier l'économie et de contribuer à maintenir une population dans une région subissant alors un exode rural.

    Agriculture

    La commune est dans le Levezou, une petite région agricole située dans le centre de l'Aveyron et constituée d'un haut plateau cristallin[59]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage d'équidés et/ou d' autres herbivores[Carte 2].

    1988200020102020
    Exploitations72555952
    SAU[Note 13] (ha)3 1313 0533 0532 887

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 72 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] Ă  55 en 2000 puis Ă  59 en 2010[61] et enfin Ă  52 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 28 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 51 % de ses exploitations[62] - [Carte 4]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 3 131 ha en 1988 Ă  2 887 ha en 2020[Carte 5]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 43 Ă  56 ha[61].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    ChĂąteau de Camboulas

    Surplombant un méandre du Viaur se dressent les ruines d'un ancien chùteau fort, à km à l'ouest de Pont-de-Salars. Ce chùteau, déjà occupé au XIe siÚcle, aurait été le siÚge d'une vicomté qui comprenait 107 villages. Il a été en partie réparé en 1625 puisque cinq gabions y furent construits et des meurtriÚre refaites. En 1646 il y avait encore un capitaine au chùteau, le sieur de Montel. Au XVIIIe siÚcle, il ne restait que des ruines.

    Église Notre-Dame du Poujol

    Logo monument historique Inscrit MH (1987)[63]

    Église Saint-Georges

    Logo monument historique Inscrit MH (1987)[63]

    Pont de Saint-Georges

    Logo monument historique Inscrit MH (1978)[64]

    Chapelle Notre-Dame-de-Salars

    La chapelle Notre-Dame-de-Salars est trùs chùre au cƓur des salarsipontains et certains viennent y prier la Vierge Marie.

    Lacs de Pont-de-Salars et de Bage

    Le lac de Pont-de-Salars et le lac de Bage attirent de nombreux estivants liĂ©s Ă  l'importance du bourg (marchĂ©, commerces, banques). Le lac de Pont-de-Salars est bordĂ© de deux campings, d'une base nautique ainsi que d'une plage municipale (Les Rouselleries). Le lac de Bage Ă©tant interdit Ă  la baignade (pompage important d'EDF) est prisĂ© des pĂȘcheurs.

    Personnalités liées à la commune

    • Joseph Dornes (1760-1812), gĂ©nĂ©ral des armĂ©es de la RĂ©publique et de l'Empire, nĂ© au hameau de St Georges de Camboulas et mort Ă  Vilnius lors de la retraite de Russie.
    • Émile Pouget : rĂ©volutionnaire et syndicaliste
    • Jean Amans, ancien maire de Pont-de-Salars et conseiller gĂ©nĂ©ral. Lors de la seconde Guerre mondiale, le , maire, il sauva ses villageois, alignĂ©s contre le mur de l'Ă©glise par les soldats allemands sous les ordres du chef de la Gestapo Böttger, en disant : « Je suis le chef responsable de la commune, le burmeister, je vous donne ma parole d'honneur que je ne sais pas oĂč est le maquis. Je me porte garant de l'innocence de tous mes administrĂ©s. Prenez-moi comme otage, faites de moi ce que vous voudrez, mais ne mettez pas le feu au village ». Le collĂšge public de Pont-de-Salars porte son nom et une place de la ville porte l'odonyme Place du 29-Juin-1944.

    Bibliographie

    • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (prĂ©f. Alain Pichon), Lo PĂČnt : Agenh, Arcas, Canet, Flavinh, Pradas, Tremolhas, Lo Vibal / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton del PĂČnt, Rodez, Mission dĂ©partementale de la culture, coll. « Al canton », , 239 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-20-3, ISSN 1151-8375, BNF 36688567)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[13].
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[60].

    [65]

    • Cartes
    1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    2. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    4. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Pont-de-Salars » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Pont-de-Salars » (consulté le ).
    6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Pont-de-Salars » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Pont-de-Salars » (consulté le ).
    12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Pont-de-Salars » (consulté le ).
    15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aveyron » (consulté le ).

    Autres sources

    1. « Fiche communale de Pont-de-Salars », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    2. Sandre, « le Viaur »
    3. Sandre, « le Vioulou »
    4. Sandre, « le ruisseau de Bage »
    5. « Lac de Bages », sur https://www.tourisme-aveyron.com/ (consulté le )
    6. « Monts et lacs du Lévézou - guide des plages », sur https://www.tourisme-aveyron.com/ (consulté le )
    7. « Les outils de gestion de la riviÚre », sur le site du Conseil départemental de l'Aveyron (consulté le )
    8. « SAGE du Viaur - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    9. « SAGE du bassin du Viaur - synthÚse de l'état des lieux », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    10. « Le syndicat mixte du bassin versant du Viaur reconnu EPAGE du bassin du Viau », sur https://www.epage-viaur.com/ (consulté le )
    11. « EPAGE du bassin du Viaur - actions sur le terrain », sur https://www.epage-viaur.com/ (consulté le )
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    13. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    14. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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    57. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    58. « Entreprises à Pont-de-Salars », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
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    60. PrĂ©sentation des premiers rĂ©sultats du recensement agricole 2020, MinistĂšre de l’agriculture et de l’alimentation, 10 dĂ©cembre 2021
    61. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Pont-de-Salars - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    62. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans le département de l'Aveyron » (consulté le ).
    63. Notice no PA00094102, base Mérimée, ministÚre français de la Culture
    64. Notice no PA00094103, base Mérimée, ministÚre français de la Culture
    65. Jean AMANS, Le jeudi 29 juin 1944 - Récit d'une journée peu ordinaire (lire en ligne)
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