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Laguépie

Laguépie est une commune française située dans le nord-est du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le causse de Caylus, au sud du causse de Limogne, occupant une situation de carrefour à la limite du Quercy et du Rouergue.

Laguépie
Laguépie
La Mairie et l'Église Saint-Amans de LaguĂ©pie
Blason de Laguépie
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Tarn-et-Garonne
Arrondissement Montauban
Intercommunalité Communauté de communes du Quercy Rouergue et des gorges de l'Aveyron
Maire
Mandat
Emmanuel Cros
2020-2026
Code postal 82250
Code commune 82088
DĂ©mographie
Gentilé Guépiens
Population
municipale
620 hab. (2020 en diminution de 6,49 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 42 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 08â€Č 43″ nord, 1° 58â€Č 14″ est
Altitude 157 m
Min. 140 m
Max. 387 m
Superficie 14,86 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Quercy-Rouergue
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Laguépie
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Laguépie
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Laguépie
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Laguépie
Liens
Site web laguepie.fr

    ExposĂ©e Ă  un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par l'Aveyron, le Viaur et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (Les « vallĂ©es du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou »), un espace protĂ©gĂ© (le « cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn ») et cinq zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    LaguĂ©pie est une commune rurale qui compte 620 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu un pic de population de 1 520 habitants en 1886. Ses habitants sont appelĂ©s les GuĂ©piens ou GuĂ©piennes.

    Rives du Viaur et chĂąteau

    GĂ©ographie

    Localisation

    Commune située sur l'ancienne route nationale 122 entre Villefranche-de-Rouergue et Gaillac entre le Viaur et l'Aveyron, limitrophe des départements du Tarn et de l'Aveyron.

    Du fait de son positionnement au confluent de deux riviÚres, Laguépie est sujette aux crues. La derniÚre a eu lieu en 2018. La crue historique remonte à 2003 et avait atteint plus de 6 m de hauteur[1].

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Najac, Saint-André-de-Najac, Le Riols, Saint-Martin-Laguépie et Varen.

    Hameaux

    Puech-Mignon...

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Laguépie.

    La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainĂ©e par l'Aveyron, le Viaur, le ruisseau de Bonnaval, le ruisseau de la Fage, le ruisseau de la Grelle, le ruisseau de la Roquette, le ruisseau de lez, le ruisseau de Puech MĂ©ja, le ruisseau de TĂ©ouliĂšre et par deux petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 22 km de longueur totale[4] - [Carte 1].

    L'Aveyron, d'une longueur totale de 291 km, prend sa source dans la commune de SĂ©vĂ©rac d'Aveyron et s'Ă©coule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn Ă  Barry-d'Islemade, aprĂšs avoir traversĂ© 60 communes[5].

    Le Viaur, d'une longueur totale de 168 km, prend sa source dans la commune de VĂ©zins-de-LĂ©vĂ©zou et s'Ă©coule d'est en ouest. Il se jette dans l'Aveyron sur le territoire communal, aprĂšs avoir traversĂ© 30 communes[6].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 12,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 841 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 5,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[11] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[12] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Ginals », sur la commune de Ginals, mise en service en 2000[13] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[14] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 914 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[15]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et Ă  51 km[16], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,6 °C pour 1981-2010[17] Ă  14 °C pour 1991-2020[18].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[19] - [20].

    Un espace protĂ©gĂ© est prĂ©sent sur la commune : le « cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn », objet d'un arrĂȘtĂ© de protection de biotope, d'une superficie de 1 262,3 ha[21].

    RĂ©seau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats : Les « vallĂ©es du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou »[23], d'une superficie de 17 144 ha, s'Ă©tendant sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles prĂ©sentent une trĂšs grande diversitĂ© d'habitats et d'espĂšces dans ce vaste rĂ©seau de cours d'eau et de gorges. La prĂ©sence de la Loutre d'Europe et de la moule perliĂšre d'eau douce est Ă©galement d'un intĂ©rĂȘt majeur[24].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensĂ©es sur la commune[25] :

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 7] - [25] :

    • la « vallĂ©e de l' Aveyron » (14 644 ha), couvrant 68 communes dont 41 dans l'Aveyron, cinq dans le Tarn et 22 dans le Tarn-et-Garonne[29] ;
    • la « vallĂ©e du Viaur et ses affluents » (27 587 ha), couvrant 56 communes dont 45 dans l'Aveyron, dix dans le Tarn et une dans le Tarn-et-Garonne[30].
    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  LaguĂ©pie.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Laguépie est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [31] - [I 1] - [32]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (55,3 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (54,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (41,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (31,9 %), prairies (23,4 %), zones urbanisĂ©es (3,6 %)[33].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    Voies routiĂšres

    Laguépie est traversée par les routes départementales D922 (du Lot prÚs de Figeac jusqu'à Gaillac), D958 (de Montauban à Laguépie) et D106bis (du GrÚs Haut, lieu-dit de la commune de Najac, à Laguépie).

    Une véloroute inachevée, la véloroute « Vallée et gorges de l'Aveyron »[34], doit relier Montauban à Laguépie en 81,9 km. Toutefois, le tronçon des gorges de l'Aveyron (23 km) est difficile et non sécurisé[35].

    Cars

    Quatre lignes de transport scolaire sont gérées par la région Occitanie :

    • de LaguĂ©pie Ă  Caussade, pour les maternelles et primaires
    • de LaguĂ©pie Ă  Caussade, pour les lycĂ©ens
    • Ă  l'intĂ©rieur de LaguĂ©pie
    • de LaguĂ©pie Ă  Montauban.

    Laguépie n'est pas desservie par les lignes de car réguliÚres liO de la région Occitanie.

    De 1938 Ă  1972, un autocar privĂ© reliait Montauban Ă  LaguĂ©pie. Le lundi, l'autocar amenait les usagers au marchĂ© de Caussade; les mardi, mercredi, jeudi, c'Ă©tait Montauban, et le vendredi, Carmaux. Les fins de semaine, l'autocar transportait les jeunes au football, aux fĂȘtes environnantes[36].

    Rail

    La gare de Laguépie est une halte voyageurs du réseau TER Occitanie, desservie par des trains express régionaux des relations : Aurillac - Figeac - Toulouse (ligne 3) et Albi-Ville - Gaillac - Figeac (ligne 4).

    Cette ligne a ouvert (depuis Lexos) en 1858 jusqu'Ă  Capdenac, en 1862 jusqu'Ă  Brive, en 1864 jusqu'Ă  Toulouse.

    De 1858 Ă  1955, la ligne de Lexos Ă  Montauban permettait Ă©galement d'aller en train jusqu'Ă  Montauban.

    Le lundi 28 octobre 1895, vers 10 h 15, une collision a eu lieu entre deux trains sur la voie unique entre Lexos et Laguépie. Les chiffres oscillent entre une quinzaine et une quarantaine de blessés, dont certains gravement. Le train en provenance de Paris contenait notamment trois députés socialistes se rendant à Carmaux (Tarn) pour la grÚve des verriers, dont Jean JaurÚs, député de Carmaux depuis 1893[37].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de LaguĂ©pie est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et la rupture d'un barrage, et Ă  un risque particulier : le risque de radon[38]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[39].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'Aveyron et le Viaur. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-PyrĂ©nĂ©es rĂ©alisĂ©e dans le cadre du XIe Contrat de plan État-rĂ©gion, visant Ă  informer les citoyens et les dĂ©cideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[40]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999, 2003 et 2021[41] - [38].

    LaguĂ©pie est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt du fait de la prĂ©sence sur son territoire . Le dĂ©partement de Tarn-et-Garonne prĂ©sentant toutefois globalement un niveau d’alĂ©a moyen Ă  faible trĂšs localisĂ©, aucun Plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les risques d’incendie de forĂȘt (PFCIF) n'a Ă©tĂ© Ă©laborĂ©. Le dĂ©broussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 9] - [42].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Laguépie.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[43].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 37 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (92 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 493 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 329 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 67 %, Ă  comparer aux 96 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[44] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[45].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 2003, 2005 et 2007 et par des mouvements de terrain en 1999[38].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[46].

    La commune est en outre situĂ©e en aval des barrages de Pareloup et de Pont-de-Salars, des ouvrages de classe A[Note 10], dans l'Aveyron et disposant d'une retenue de respectivement de 169 et 20,6 millions de mĂštres cubes[48] - [49]. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture d'un de ces ouvrages[50].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de LaguĂ©pie est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[51].

    Toponymie

    En occitan, le nom de la commune est La Guépia.

    Histoire

    LaguĂ©pie est un village trĂšs ancien dont les origines remontent peut-ĂȘtre Ă  l'Ă©poque romaine. Le village voit le jour entre 1251 et 1261[52]. LaguĂ©pie s'est considĂ©rablement dĂ©veloppĂ©e au Moyen Âge, sur les deux rives du Viaur, ne formant qu'une seule communautĂ©

    Laguépie faisait partie de la province du Rouergue. Lors de la création des départements français en 1790, elle est rattachée au département de l'Aveyron.

    Avant 1806, l'ancienne commune éphémÚre de Puech-Mignon est rattachée à Laguépie.

    En 1808, la région de Saint-Antonin, Laguépie et Parisot fut détachée de l'Aveyron pour contribuer à la formation du nouveau département de Tarn-et-Garonne.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    vers 1920 1936 ? LĂ©on Mercadier PCF
    puis DVG
    Artisan
    1971 1983 Elie Bories UDF Conseiller général
    avant 1988 ? Marcel Mercadier
    mars 2001 mars 2014 Jacques Alaux
    mars 2014 mai 2020 Ghislaine Martinez
    mai 2020 En cours Emmanuel Cros[53] DVG Conseiller départemental depuis 2021

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[55].

    En 2020, la commune comptait 620 habitants[Note 11], en diminution de 6,49 % par rapport Ă  2014 (Tarn-et-Garonne : +3,86 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    4904851 0031 0211 0991 1961 1781 1651 186
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1541 2091 3501 3801 4611 4711 5201 3501 280
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2081 1621 1229881 0151 0581 0711 1281 084
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    9911 016925872787720727681607
    2020 - - - - - - - -
    620--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[56] puis Insee Ă  partir de 2006[57].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Écologie

    En 2018, la commune a obtenu le label Pavillon bleu, qui récompense la bonne gestion des déchets et la qualité des eaux[58].

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 304 mĂ©nages fiscaux[Note 12], regroupant 557 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 18 680 â‚Ź[I 4] (20 140 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 5]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 6]10,4 %9,8 %9,2 %
    DĂ©partement[I 7]8,4 %10,2 %10,3 %
    France entiĂšre[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  313 personnes, parmi lesquelles on compte 67,3 % d'actifs (58 % ayant un emploi et 9,2 % de chĂŽmeurs) et 32,7 % d'inactifs[Note 13] - [I 6]. En 2018, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement, alors qu'en 2008 la situation Ă©tait inverse.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 4] - [I 9]. Elle compte 279 emplois en 2018, contre 346 en 2013 et 316 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 184, soit un indicateur de concentration d'emploi de 152 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 37,6 %[I 10].

    Sur ces 184 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 120 travaillent dans la commune, soit 65 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 66,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,5 % les transports en commun, 19,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 13 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    80 établissements[Note 14] sont implantés à Laguépie au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 15] - [I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble80
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    1113,8 %(9,6 %)
    Construction1215 %(14,9 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    2835 %(29,7 %)
    Activités financiÚres et d'assurance45 %(3,4 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    1417,5 %(14,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    56,3 %(13,6 %)
    Autres activités de services67,5 %(9,3 %)

    Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 35 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (28 sur les 80 entreprises implantĂ©es Ă  LaguĂ©pie), contre 29,7 % au niveau dĂ©partemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[59] :

    • Societe Annic, fabrication de chaussures (24 375 k€)
    • SARL Concept Sur Mesure, ingĂ©nierie, Ă©tudes techniques (934 k€)
    • SARL Societe Philippe Et Fils, production d'Ă©lectricitĂ© (852 k€)
    • Sicep, ingĂ©nierie, Ă©tudes techniques (528 k€)
    • SARL Le Moulin De Contillou, production d'Ă©lectricitĂ© (79 k€)

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations2511109
    SAU[Note 16] (ha)540601587619

    La commune est dans le Rouergue, une petite région agricole située dans le nord-est du département de Tarn-et-Garonne[60]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 17] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 5]. Neuf exploitations agricoles ayant leur siÚge dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 18] (25 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 619 ha[62] - [Carte 6] - [Carte 7].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • Hugues Colomb, maĂźtre-chirurgien Ă  LaguĂ©pie, dĂ©cĂ©dĂ© en 1619 Ă  Rieupeyroux (Ă©poux de Jeanne Frespuech native de Najac), ancĂȘtre d'une lignĂ©e de mĂ©decins et apothicaires Ă©tablis Ă  Montbazens puis Rodez au XVIIIe siĂšcle. En 1409 et jusqu'en 1469, on connaĂźt Ă  La GuĂ©pie des maĂźtres-verriers du nom de COLOMB, Jean en 1409, Pierre en 1424. Ils Ă©tablissent, en 1469, une verrerie Ă  Lacapelle-Marival dans le Lot[66] - [67].
    • AndrĂ©e Marty-Capgras (1898-1963), enseignante, journaliste et femme politique, nĂ©e Ă  LaguĂ©pie.
    • Didier BienaimĂ© (1961-2004), acteur, mort Ă  LaguĂ©pie.

    HĂ©raldique

    Blason de Laguépie Blason
    D'or Ă  une fasce d'azur
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[10].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[22].
    6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. Le principe d’un dĂ©broussaillement efficace consiste Ă  couper et Ă©liminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sĂšches 50 mĂštres autour des habitations et 2 mĂštres de part et d’autre des voies, Ă©laguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situĂ©s dans la zone Ă  dĂ©broussailler pour Ă©viter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, Ă©liminer les arbustes sous les grands arbres pour Ă©viter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se dĂ©barrasser des vĂ©gĂ©taux coupĂ©s par compostage, par Ă©vacuation en dĂ©charge autorisĂ©e ou par incinĂ©ration en respectant la rĂ©glementation sur le brĂ»lage et entretenir rĂ©guliĂšrement la zone dĂ©broussaillĂ©e, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans Ă  proximitĂ© de l’habitation
    10. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[47].
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    12. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    13. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    14. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    15. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    16. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    17. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    18. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[61].
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Laguépie » sur Géoportail (consulté le 1 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Laguépie » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Laguépie » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Laguépie » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Laguépie » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).

    Autres sources

    1. « Dans le Tarn et Garonne, aprÚs la crue, à Laguépie, l'heure est au nettoyage », sur France 3 Occitanie (consulté le ).
    2. Carte IGN sous GĂ©oportail
    3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    4. « Fiche communale de Laguépie », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    5. Sandre, « l'Aveyron (affluent du Tarn) »
    6. Sandre, « le Viaur »
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    9. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    10. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    11. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    13. « Station Météo-France Ginals - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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    22. Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
    23. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Laguépie », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « site Natura 2000 FR7301631 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
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    52. Historique de Laguépie
    53. Le Tarn libre, 19 juin 2020, p. 16.
    54. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    55. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    56. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    57. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    58. « 3 nouveaux pavillons bleus flottent sur l'Occitanie », sur France 3 Occitanie (consulté le ).
    59. « Entreprises à Laguépie », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    60. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    61. PrĂ©sentation des premiers rĂ©sultats du recensement agricole 2020, MinistĂšre de l’agriculture et de l’alimentation, 10 dĂ©cembre 2021
    62. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Laguépie - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    63. « Eglise de Puech-Mignon », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    64. « Église paroissiale Notre-Dame, puis de la NativitĂ©-Notre-Dame », sur www.pop.culture.gouv.fr (consultĂ© le )
    65. « Église paroissiale Saint-Amans », sur www.pop.culture.gouv.fr (consultĂ© le )
    66. « Les gorges de La CÚre ».
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