AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Trémouilles

Trémouilles est une commune française située dans le département de l'Aveyron en région Occitanie.

Trémouilles
Trémouilles
Blason de Trémouilles
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Aveyron
Arrondissement Millau
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Salars
Maire
Mandat
Joël Vidal
2020-2026
Code postal 12290
Code commune 12283
DĂ©mographie
Gentilé Trémouillais
Population
municipale
476 hab. (2020 en diminution de 5,93 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 17 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 14â€Č 43″ nord, 2° 38â€Č 42″ est
Altitude Min. 533 m
Max. 871 m
Superficie 28,83 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Rodez
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Raspes et LĂ©vezou
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Trémouilles
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Trémouilles
GĂ©olocalisation sur la carte : Aveyron
Voir sur la carte topographique de l'Aveyron
Trémouilles
GĂ©olocalisation sur la carte : Occitanie
Voir sur la carte administrative d'Occitanie
Trémouilles

    GĂ©ographie

    Localisation

    Site

    Au sud-est de Rodez, son territoire s'Ă©tend sur la bordure est du plateau du SĂ©gala.

    Principaux hameaux et lieux-dits :

    • TrĂ©mouilles : Les CarriĂšres, BonuĂ©jouls, Frayssinous, PrĂ©viala, Paulhe (partie), Sarlit ;
    • Ancienne commune de St Hilaire : St Hilaire, Le BastiĂ©, Le Grand Mas, FrĂ©jamayoux, Le Pouget, Carbasse, Restapau, Catusse.

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Trémouilles.

    La commune est drainée par le Viaur, le Vioulou, le ruisseau de Clauzelles, le Vioulette, le ravin de la Nauq, le ravin du Pré Sec, le ruisseau de caliÚres, le ruisseau de Connes, le ruisseau du LandounÚs, par divers petits cours d'eau[1].

    Le Viaur prend sa source Ă  1 086 m d’altitude dans la rĂ©gion naturelle du LĂ©vĂ©zou qui prĂ©sente un relief vallonnĂ©, dans la commune de VĂ©zins-de-LĂ©vĂ©zou pour confluer, aprĂšs avoir parcouru environ 168 km, avec l'Aveyron Ă  146 m d’altitude en limite de LaguĂ©pie (Tarn-et-Garonne) et Saint-Martin-LaguĂ©pie (Tarn), aprĂšs avoir arrosĂ© 30 communes[2].

    Le Vioulou, d'une longueur totale de 33,1 km, prend sa source dans la commune de Castelnau-PĂ©gayrols et se jette dans le Viaur Ă  TrĂ©mouilles, aprĂšs avoir arrosĂ© 9 communes[3].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon Ă©tat des eaux imposĂ© par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intĂ©grĂ©e s’articulent Ă  diffĂ©rentes Ă©chelles pour dĂ©finir et mettre en Ɠuvre un programme d’actions de rĂ©habilitation et de gestion des milieux aquatiques : le SDAGE (SchĂ©ma directeur d'amĂ©nagement et de gestion des eaux), Ă  l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE (SchĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux), Ă  l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Trois SAGE sont mis en oeuvre dans le dĂ©partement de l'Aveyron[4].

    La commune fait partie du SAGE du bassin versant du Viaur, approuvĂ© le , au sein du SDAGE Adour-Garonne. Le pĂ©rimĂštre de ce SAGE couvre 89 communes, sur trois dĂ©partements (Aveyron, Tarn et Tarn-et-Garonne)[5] - [6]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurĂ©s par l’établissement public d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (EPAGE) du bassin du Viaur, une structure qui regroupe les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale Ă  fiscalitĂ© propre (EPCI-FP) dont le territoire est inclus (en totalitĂ© ou partiellement) dans le bassin hydrographique du Viaur et les structures gestionnaires de l’alimentation en eau potable des populations et qui disposent d’une ressource sur le bassin versant du Viaur. Il correspond Ă  l’ancien syndicat mixte du Bassin versant du Viaur[7] - [8].

    Climat

    ParamÚtres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 9,8 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 5,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 048 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,3 j

    La commune bĂ©nĂ©ficie d’un « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats en France dĂ©finie en 2010. Ce type, qui concerne la moitiĂ© ouest du dĂ©partement de l'Aveyron, constitue une transition entre le climat ocĂ©anique franc et le climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ©. La tempĂ©rature moyenne annuelle est assez Ă©levĂ©e (12,5 °C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8 par an)[9].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[9]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales[11]. Cette Ă©volution peut ĂȘtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Rodez-Marcillac, qui se trouve Ă  13 km Ă  vol d'oiseau de la commune[12], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă  10,7 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  11,1 °C pour 1991-2020[15].

    Sites Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d’intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce rĂ©seau est constituĂ© de Zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spĂ©ciale (ZPS). Dans les zones de ce rĂ©seau, les États Membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[16].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[17] :

    • Les « VallĂ©es du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou », d'une superficie de 17 144 ha, s'Ă©tendent sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles prĂ©sentent une trĂšs grande diversitĂ© d'habitats et d'espĂšces dans ce vaste rĂ©seau de cours d'eau et de gorges. La prĂ©sence de la Loutre d'Europe et de la moule perliĂšre d'eau douce est Ă©galement d'un intĂ©rĂȘt majeur[18] ;

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Le territoire communal de TrĂ©mouilles comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 3] - [19], les « Pentes de la ForĂȘt des Brunes » (185,3 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[20] ; et la « RiviĂšre du Viaur » (697,7 ha), couvrant 18 communes dont 14 dans l'Aveyron et 4 dans le Tarn[21] et deux ZNIEFF de type 2[Note 4] - [19] :

    • le « Ruisseau du Vioulou et lac de Pareloup » (1 684 ha), qui s'Ă©tend sur 6 communes de l'Aveyron[22] ;
    • la « VallĂ©e du Viaur et ses affluents » (27 587 ha), qui s'Ă©tend sur 56 communes dont 45 dans l'Aveyron, 10 dans le Tarn et 1 dans le Tarn-et-Garonne[23].
    • Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Trémouilles est une commune rurale[Note 5] - [24]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1] - [25].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rodez, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[I 2] - [I 3].

    Infrastructures et occupation des sols de la commune de Trémouilles.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (78,6 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (77,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (65,2 %), forĂȘts (20,4 %), prairies (9,3 %), terres arables (4,1 %), zones urbanisĂ©es (1 %)[26].

    Planification

    La loi SRU du a incitĂ© fortement les communes Ă  se regrouper au sein d’un Ă©tablissement public, pour dĂ©terminer les partis d’amĂ©nagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratĂ©gique des politiques publiques Ă  une grande Ă©chelle. La commune est dans le territoire du SCoT du LĂ©vĂ©zou, prescrit en juin 2018. La structure porteuse est le PĂŽle d'Ă©quilibre territorial et rural du LĂ©vĂ©zou, qui associe deux communautĂ©s de communes, notamment la communautĂ© de communes du Pays de Salars, dont la commune est membre[27]

    La commune disposait en 2017 d'une carte communale approuvée[28].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de TrĂ©mouilles est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, et la rupture d'un barrage, et Ă  deux risques particuliers, les risques radon et minier[29] - [30].

    Risques naturels

    Le Plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies dĂ©coupe le dĂ©partement de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et dĂ©finit une sensibilitĂ© des communes Ă  l’alĂ©a feux de forĂȘt (de faible Ă  trĂšs forte). La commune est classĂ©e en sensibilitĂ© faible[31].

    Risques technologiques

    Sur le dĂ©partement de l’Aveyron on dĂ©nombre huit grands barrages susceptibles d’occasionner des dĂ©gĂąts en cas de rupture. La commune fait partie des 64 communes susceptibles d’ĂȘtre touchĂ©es par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture d’un de ces barrages[32].

    Risques particuliers

    La commune est concernĂ©e par le risque minier, principalement liĂ© Ă  l’évolution des cavitĂ©s souterraines laissĂ©es Ă  l’abandon et sans entretien aprĂšs l’exploitation des mines[33].

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon le dossier dĂ©partemental des risques majeurs du dĂ©partement Ă©tabli en 2013, la commune de TrĂ©mouilles est classĂ©e Ă  risque moyen Ă  Ă©levĂ©[34]. Un dĂ©cret du a modifiĂ© la terminologie du zonage dĂ©finie dans le code de la santĂ© publique[35] et a Ă©tĂ© complĂ©tĂ© par un arrĂȘtĂ© du portant dĂ©limitation des zones Ă  potentiel radon du territoire français. La commune est dĂ©sormais en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[36].

    Histoire

    HĂ©raldique

    Blason de Trémouilles Blason
    D’argent, Ă  un pairle rĂ©duit d’azur, accompagnĂ© en chef d’un lion issant de gueules et accostĂ© de deux peupliers de sinople[37].
    DĂ©tails
    Les peupliers traduisent le nom de la commune.

    Le pairle symbolise la confluence du Viaur et du Vioulou qui a lieu sur le territoire de Trémouilles.

    L’argent et le lion de gueules proviennent des armes de la famille de Barrau, co-seigneurs du village. Le blason exact de cette famille est « d’argent, Ă  un chevron d’azur, accompagnĂ© en pointe d’un lion rampant de gueules ; au chef d’azur, chargĂ© d’un croissant d’argent, accostĂ© de deux Ă©toiles de mĂȘme Â». La reprise intĂ©grale des armes de famille Ă©tant interdite pour les municipalitĂ©s, il suffit d’en emprunter un ou plusieurs Ă©lĂ©ments et de les intĂ©grer dans un dessin plus vaste pour respecter les rĂšgles.

    Les ornements sont deux gerbes de blĂ© d’or, mises en sautoir par la pointe et liĂ©es d’azur afin d’honorer l’activitĂ© agricole.

    Le listel d’argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

    La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien Ă  voir avec des fortifications.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Sous l'Ancien RĂ©gime

    La seigneurie de TrĂ©mouilles[38] a Ă©tĂ© infĂ©odĂ©e en 1282 par le comte Guillaume de Rodez Ă  Hugues de Landorre, baron d'Arvieu. À cette Ă©poque le village est entourĂ© de fossĂ©s[38].
    En 1471 Bernard de Landorre, aprÚs avoir rompu avec sa famille et donné tous ses biens au bùtard de Bourbon, se retire dans une tour à Tremouilles[38]. Cette tour existait déjà au XIIIe siÚcle, elle servit de grenier au seigneur avant la Révolution française, puis ce qu'il en restait au XIXe siÚcle fut vendu à des habitants du village[38].
    Le , Arnaud IV de Landorre, sans enfants, lÚgue la seigneurie de Trémouilles avec la baronnie de Landorre à son beau-pÚre, Guilhot d'Estaing, vicomte d'Estaing, baron de Salmiech, etc. En 1520, il revend les seigneuries de Trémouilles, Landorre et d'Arvieu à Antoine Brenguier, conseiller au Parlement de Bordeaux, secrétaire du roi. Son fils cadet Brenguier de Brenguier, sans enfants, vend la seigneurie de Trémouilles le à Antoine Cat, marchand de Rodez. Sa fille Jeanne de Cat, héritiÚre en partie de Trémouilles, se marie en 1566 avec François Vedel qui est marchand à Rodez. Elle lui apporte le fief de Trémouilles. La famille Vedel dont le nom deviendra de Vedelly ou de Védelly[39], garde jusqu'à la Révolution française la seigneurie de Trémouilles[40] en partage à partir de 1656 avec la famille de Barrau du lieu de Carcenac. En effet, la petite fille de François Vedel, Anne de Vedelly, apporte la moitié de la seigneurie de Trémouilles à Guion de Barrau avec lequel elle se marie en 1656[41].

    À l'Ă©poque de la RĂ©volution française

    Affaire de Calmont[42] : le , un bataillon de la garde nationale venu arrĂȘter Ă  TrĂ©mouilles deux prĂȘtres rĂ©fractaires Jean-Antonin Sadous et Pierre-Jean Sadous, doit se retirer face Ă  l'opposition de la population. Sur le chemin du retour, prĂšs de Carcenac et Lagranville ils sont talonnĂ©s par une garde nombreuse avec un chef nommĂ© de Barrau[43] qui fait tirer sur eux et ils prennent la fuite. Deux jours aprĂšs le maire de TrĂ©mouilles, le procureur et le juge de paix sont assignĂ©s Ă  comparaitre devant le Conseil gĂ©nĂ©ral du dĂ©partement pour expliquer leur conduite. Le conseil gĂ©nĂ©ral suspend provisoirement la garde nationale de TrĂ©mouilles, ordonne le dĂ©sarmement des citoyens jugĂ©s suspects et ordonne que la force armĂ©e se rende Ă  TrĂ©mouilles pour arrĂȘter les auteurs des troubles, mais les deux prĂȘtres rĂ©ussirent Ă  Ă©chapper Ă  toutes les recherches[42].

    Politique et administration

    DĂ©coupage territorial

    La commune de Trémouilles est membre de la communauté de communes du Pays de Salars[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siÚge est à Pont-de-Salars. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[44].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Millau, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 4]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Raspes et Lévezou pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la troisiÚme circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[45].

    Élections de 2020

    Le conseil municipal de TrĂ©mouilles, commune de moins de 1 000 habitants, est Ă©lu au scrutin majoritaire plurinominal Ă  deux tours[46] avec candidatures isolĂ©es ou groupĂ©es et possibilitĂ© de panachage[47]. Compte tenu de la population communale, le nombre de siĂšges Ă  pourvoir lors des Ă©lections municipales de 2020 est de 15. Sur les trente candidats en lice[48], onze sont Ă©lus dĂšs le premier tour, le , avec un taux de participation de 82,65 %. Les quatre conseillers restant Ă  Ă©lire sont Ă©lus au second tour, qui se tient le du fait de la pandĂ©mie de Covid-19, avec un taux de participation de 83,07 %[49]. JoĂ«l Vidal est Ă©lu nouveau maire de la commune le [50].

    Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont dĂ©signĂ©s parmi les conseillers municipaux Ă©lus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de siĂšges attribuĂ©s Ă  la commune au sein du conseil communautaire[51]. Un siĂšge est attribuĂ© Ă  la commune au sein de la communautĂ© de communes du Pays de Salars[52].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 2001 2008 Arthur Capoulade
    mars 2008 2020 Jean-Marie Daures MoDem puis RES Agriculteur
    juin 2020 En cours Joël Vidal
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[54].

    En 2020, la commune comptait 476 habitants[Note 7], en diminution de 5,93 % par rapport Ă  2014 (Aveyron : +0,33 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1831 1836 1841 1846 1851 1856 1861
    4165121 0109841 1041 1131 1451 1081 076
    1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    1 1011 0791 1161 1081 1221 1011 1211 1381 123
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    1 094953946903907900851759709
    1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020
    626546503504517521512505476
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[55] puis Insee Ă  partir de 2006[56].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018 (donnĂ©es Insee publiĂ©es en ), la commune compte 192 mĂ©nages fiscaux[Note 8], regroupant 443 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 18 900 â‚Ź[I 5] (20 640 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 6]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    Division200820132018
    Commune[I 7]4,5 %3,9 %7,4 %
    DĂ©partement[I 8]5,4 %7,1 %7,1 %
    France entiĂšre[I 9]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  283 personnes, parmi lesquelles on compte 79,8 % d'actifs (72,4 % ayant un emploi et 7,4 % de chĂŽmeurs) et 20,2 % d'inactifs[Note 9] - [I 7]. En 2018, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui du dĂ©partement, mais infĂ©rieur Ă  celui de la France, alors qu'il Ă©tait infĂ©rieur Ă  celui du dĂ©partement et de la France en 2008.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Rodez, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 1] - [I 10]. Elle compte 121 emplois en 2018, contre 113 en 2013 et 142 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 211, soit un indicateur de concentration d'emploi de 57,3 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 55,9 %[I 11].

    Sur ces 211 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 104 travaillent dans la commune, soit 49 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 69 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 11,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 19,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

    Secteurs d'activités

    35 établissements[Note 10] sont implantés à Trémouilles au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11] - [I 14].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble35100 %(100 %)
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    822,9 %(17,7 %)
    Construction720 %(13 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    822,9 %(27,5 %)
    Information et communication12,9 %(1,5 %)
    Activités financiÚres et d'assurance12,9 %(3,4 %)
    Activités immobiliÚres12,9 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    514,3 %(12,4 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    25,7 %(12,7 %)
    Autres activités de services25,7 %(7,8 %)

    Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 22,9 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (8 sur les 35 entreprises implantĂ©es Ă  TrĂ©mouilles), contre 27,5 % au niveau dĂ©partemental[I 15].

    Entreprises

    Les deux entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[57] :

    • EURL Loubiere Charpentes SARL, fabrication de charpentes et d'autres menuiseries (1 916 k€)
    • Transport Christophe Boissonnade - TCB, transports routiers de fret de proximitĂ© (388 k€)

    Agriculture

    La commune est dans le Levezou, une petite région agricole située dans le centre de l'Aveyron et constituée d'un haut plateau cristallin[58]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage d'équidés et/ou d' autres herbivores[Carte 2].

    1988200020102020
    Exploitations89666053
    SAU[Note 13] (ha)2 1912 2692 4102 386

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 89 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] Ă  66 en 2000 puis Ă  60 en 2010[60] et enfin Ă  53 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 40 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 51 % de ses exploitations[61] - [Carte 4]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a quant Ă  elle augmentĂ©, passant de 2 191 ha en 1988 Ă  2 386 ha en 2020[Carte 5]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 25 Ă  45 ha[60].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • Famille de Landorre, seigneurs de TrĂ©mouilles au Moyen Âge.
    • Guilhot d'Estaing, seigneur de TrĂ©mouilles de 1502 Ă  1520.
    • Famille Brenguier, seigneurs de TrĂ©mouilles de 1520 Ă  1560.
    • Famille Cat, marchands de Rodez, seigneurs de TrĂ©mouilles de 1560 Ă  1566.
    • Famille Vedel puis de Vedelly ou de VĂ©delly[40], au dĂ©part marchands de Rodez puis famille bourgeoise possĂ©dant fief, seigneurs de TrĂ©mouilles de 1566 Ă  1656 puis co-seigneurs jusqu'Ă  la RĂ©volution française.
    • Famille de Barrau, co-seigneurs de TrĂ©mouilles de 1656 jusqu'Ă  la RĂ©volution Française
    • Jean-Antonin Sadous et Pierre-Jean Sadous, prĂȘtes rĂ©fractaires, objets de « l'affaire de Calmont » en 1792[42]

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Amans-Claude (AbbĂ©) SabatiĂ©, La RĂ©volution et l'Église en province. Debertier, Ă©vĂȘque constitutionnel, et le clergĂ© de Rodez, avec... documents inĂ©dits et l'Ă©tat gĂ©nĂ©ral de l'Ă©piscopat constitutionnel, Paris, G. Beauchesne, , 518 p., In-8°, portrait (BNF 31273661), p. 225-227
    • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (prĂ©f. Alain Pichon), Lo PĂČnt : Agenh, Arcas, Canet, Flavinh, Pradas, Tremolhas, Lo Vibal / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton del PĂČnt, Rodez, Mission dĂ©partementale de la culture, coll. « Al canton », , 239 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-20-3, ISSN 1151-8375, BNF 36688567)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[10].
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[59].
    • Cartes
    1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    2. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    4. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Trémouilles » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Trémouilles » (consulté le ).
    6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Trémouilles » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Trémouilles » (consulté le ).
    12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Trémouilles » (consulté le ).
    15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aveyron » (consulté le ).

    Autres sources

    1. « Fiche communale de Trémouilles », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    2. Sandre, « le Viaur »
    3. Sandre, « le Vioulou »
    4. « Les outils de gestion de la riviÚre », sur le site du Conseil départemental de l'Aveyron (consulté le )
    5. « SAGE du Viaur - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    6. « SAGE du bassin du Viaur - synthÚse de l'état des lieux », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    7. « Le syndicat mixte du bassin versant du Viaur reconnu EPAGE du bassin du Viau », sur https://www.epage-viaur.com/ (consulté le )
    8. « EPAGE du bassin du Viaur - actions sur le terrain », sur https://www.epage-viaur.com/ (consulté le )
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    10. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    11. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    12. « Orthodromie entre Trémouilles et Rodez », sur https://fr.distance.to/ (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Rodez-Marcillac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Rodez-Marcillac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Rodez-Marcillac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Réseau européen Natura 2000 », sur le site du MinistÚre de la transition écologique et solidaire (consulté le )
    17. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Trémouilles », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « site Natura 2000 FR7301631 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    19. « Liste des ZNIEFF de la commune de Trémouilles », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF les « Pentes de la ForĂȘt des Brunes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consultĂ© le )
    21. « ZNIEFF la « RiviÚre du Viaur » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    22. « ZNIEFF le « Ruisseau du Vioulou et lac de Pareloup » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    23. « ZNIEFF la « Vallée du Viaur et ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    24. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    27. « ArrĂȘtĂ© du 7 juin 2018 prescrivant l’élaboration du SCOT du LĂ©vĂ©zou », sur https://scot.levezou.fr/ (consultĂ© le )
    28. « Etat par commune des POS, PLU et cartes communales », sur https://www.observatoire-des-territoires.gouv.fr/ (consulté le )
    29. [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) de l'Aveyron - Liste des risques par commune », sur http://www.aveyron.gouv.fr/ (consulté le )
    30. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Trémouilles », sur Géorisques (consulté le )
    31. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de l’Aveyron - Le risque feu de forĂȘt », sur le site de la prĂ©fecture dĂ©partementale (consultĂ© le )
    32. [PDF]« Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de l'Aveyron - le risque de rupture de barrage », sur le site de la prĂ©fecture de l’Aveyron (consultĂ© le )
    33. [PDF]« Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de l'Aveyron - le risque minier », sur le site de la prĂ©fecture de l’Aveyron (consultĂ© le )
    34. [PDF]« Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de l'Aveyron - le risque radon », sur le site de la prĂ©fecture de l’Aveyron (consultĂ© le )
    35. « Article R1333-29 du code de la Santé publique », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le )
    36. « ArrĂȘtĂ© du 27 juin 2018 portant dĂ©limitation des zones Ă  potentiel radon du territoire français », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consultĂ© le )
    37. Blason créé par Jean-Claude Molinier, héraldiste amateur, et adopté par la municipalité de Trémouilles en juillet 2009.
    38. Hippolyte de Barrau, Documents historiques et généalogiques sur les familles et les hommes remarquables du Rouergue dans les temps anciens et modernes, tome 1er, pages 455 à 456, Rodez, 1853-1860 (lire en ligne).
    39. Cette famille restera bourgeoise, elle appartient de nos jours à l'ancienne bourgeoisie française.
    40. André Colomb, Flavin, Subervie, (lire en ligne), p. 155.
    41. Hippolyte de Barrau, Documents historiques et généalogiques sur les familles et les hommes remarquables du Rouergue dans les temps anciens et modernes, tome 4, page 96 de Barrau.
    42. Amans-Claude SabatiĂ© (abbĂ©), Debertier, Ă©vĂȘque constitutionnel, et le clergĂ© de Rodez : avec... documents inĂ©dits et l'Ă©tat gĂ©nĂ©ral de l'Ă©piscopat constitutionnel, G. Beauchesne, (lire en ligne), p. 225-231.
    43. Affaire de Calmont, Debertier, Ă©vĂȘque constitutionnel, et le clergĂ© de Rodez : avec... documents inĂ©dits et l'Ă©tat gĂ©nĂ©ral de l'Ă©piscopat constitutionnel, par Amans-Claude SabatiĂ©, page 227.
    44. « communauté de communes du Pays de Salars - fiche descriptive au 10 octobre 2020 », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le )
    45. « Découpage électoral de l'Aveyron (avant et aprÚs la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    46. Article L. 252 du Code Ă©lectoral
    47. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1000 habitants », sur https://www.vie-publique.fr/, (consulté le )
    48. « Candidatures au 1er tour pour Trémouilles », sur site du ministÚre de l'Intérieur (consulté le ).
    49. « Résultats du 1er tour pour Trémouilles », sur le site du MinistÚre de l'Intérieur (consulté le )
    50. « Répertoire national des élus - version du 3 septembre 2020 », sur https://www.data.gouv.fr/ (consulté le )
    51. « Conseillers communautaires : les rÚgles de l'élection », sur https://www.vie-publique.fr/ (consulté le )
    52. « Les élus de l'intercommunalité », sur https://www.levezou.fr/ (consulté le )
    53. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    54. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    55. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    56. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    57. « Entreprises à Trémouilles », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    58. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    59. PrĂ©sentation des premiers rĂ©sultats du recensement agricole 2020, MinistĂšre de l’agriculture et de l’alimentation, 10 dĂ©cembre 2021
    60. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Trémouilles - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    61. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans le département de l'Aveyron » (consulté le ).
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.