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Canet-de-Salars

Canet-de-Salars est une commune française, située dans le département de l'Aveyron en région Occitanie.

Canet-de-Salars
Canet-de-Salars
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Aveyron
Arrondissement Millau
Intercommunalité Communauté de communes de Lévézou Pareloup
Maire
Mandat
Francis Bertrand
2020-2026
Code postal 12290
Code commune 12050
DĂ©mographie
Gentilé Canetols
Population
municipale
447 hab. (2020 en augmentation de 4,93 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 15 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 14â€Č 11″ nord, 2° 45â€Č 18″ est
Altitude Min. 713 m
Max. 870 m
Superficie 29,97 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Rodez
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Raspes et LĂ©vezou
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Canet-de-Salars
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Canet-de-Salars
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Canet-de-Salars

    Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-Pierre et l'oratoire, inscrite en 1976.

    GĂ©ographie

    Localisation et communes limitrophes

    La commune de Canet-de-Salars se trouve au centre du département de l'Aveyron, dans la petite région agricole du Lévézou[1].

    Elle se situe Ă  27 km par la route[Note 1] de Rodez[2], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  46 km de Millau[3], sous-prĂ©fecture, et Ă  km de Pont-de-Salars[4], bureau centralisateur du canton de Raspes et LĂ©vezou dont dĂ©pend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Pont-de-Salars[I 1].

    Les communes les plus proches sont[5] - [Note 2] : Prades-Salars (3,9 km), Pont-de-Salars (5,5 km), Salles-Curan (6,5 km), TrĂ©mouilles (8,8 km), Le Vibal (8,8 km), Curan (8,9 km), Arvieu (8,9 km), SĂ©gur (9,0 km), Arques (9,8 km).

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Canet-de-Salars.
    Le lac de Pareloup vers Le Caussanel.

    La commune est drainée par le Vioulou, le Rieutord, le Ruisseau de Bage, le ruisseau de Buscaylet, le ruisseau de Sauganne, le ruisseau de la Gourde, le ruisseau de Lestang, le ruisseau de VernhiÚres, le ruisseau du Malpas, le ruisseau du Roucan et par divers petits cours d'eau[6].

    Le Vioulou, d'une longueur totale de 33,1 km, prend sa source dans la commune de Castelnau-PĂ©gayrols et se jette dans le Viaur Ă  TrĂ©mouilles, aprĂšs avoir arrosĂ© 9 communes[7].

    Le Rieutord, d'une longueur totale de 10,3 km, prend sa source dans la commune de Salles-curan et se jette dans le Vioulou Ă  Canet-de-Salars, aprĂšs avoir arrosĂ© 4 communes[8].

    Le Ruisseau de Bage, d'une longueur totale de 12,2 km, prend sa source dans la commune de Prades-Salars et se jette dans lale Viaur Ă  Pont-de-Salars, aprĂšs avoir arrosĂ© 3 communes[9].

    Deux lacs complÚtent le réseau hydrographique :

    • Le lac de Pareloup fait partie de l'ensemble dit des lacs du LĂ©vĂ©zou et est la 5e plus grande retenue d'eau artificielle de France et la deuxiĂšme du sud de la France. Il prĂ©sente deux plages amĂ©nagĂ©es, la plage de Pareloup et la plage des Vernhes[10] - [11].
    • Le lac de Bage est un lac de retenue liĂ© au barrage du Bage, prĂ©sentant une superficie de 53 ha[12].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon Ă©tat des eaux imposĂ© par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intĂ©grĂ©e s’articulent Ă  diffĂ©rentes Ă©chelles pour dĂ©finir et mettre en Ɠuvre un programme d’actions de rĂ©habilitation et de gestion des milieux aquatiques : le SDAGE (SchĂ©ma directeur d'amĂ©nagement et de gestion des eaux), Ă  l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE (SchĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux), Ă  l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Trois SAGE sont mis en oeuvre dans le dĂ©partement de l'Aveyron[13].

    La commune fait partie du SAGE du bassin versant du Viaur, approuvĂ© le , au sein du SDAGE Adour-Garonne. Le pĂ©rimĂštre de ce SAGE couvre 89 communes, sur trois dĂ©partements (Aveyron, Tarn et Tarn-et-Garonne)[14] - [15]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurĂ©s par l’établissement public d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (EPAGE) du bassin du Viaur, une structure qui regroupe les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale Ă  fiscalitĂ© propre (EPCI-FP) dont le territoire est inclus (en totalitĂ© ou partiellement) dans le bassin hydrographique du Viaur et les structures gestionnaires de l’alimentation en eau potable des populations et qui disposent d’une ressource sur le bassin versant du Viaur. Il correspond Ă  l’ancien syndicat mixte du Bassin versant du Viaur[16] - [17].

    Climat

    ParamÚtres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 9,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 6,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 083 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,7 j

    La commune bĂ©nĂ©ficie d’un « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats en France dĂ©finie en 2010. Ce type, qui concerne la moitiĂ© ouest du dĂ©partement de l'Aveyron, constitue une transition entre le climat ocĂ©anique franc et le climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ©. La tempĂ©rature moyenne annuelle est assez Ă©levĂ©e (12,5 °C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8 par an)[18].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[18]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales[20]. Cette Ă©volution peut ĂȘtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Rodez-Marcillac, qui se trouve Ă  19 km Ă  vol d'oiseau de la commune[21], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[22], Ă  10,7 °C pour 1981-2010[23], puis Ă  11,1 °C pour 1991-2020[24].

    Sites Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d’intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce rĂ©seau est constituĂ© de Zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spĂ©ciale (ZPS). Dans les zones de ce rĂ©seau, les États Membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[25].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[26]. Les « TourbiÚres du Lévezou », d'une superficie de 487 ha, sont un ensemble de hauts plateaux qui, avec l'Aubrac et les grands causses, fait partie des hautes terres de l'Aveyron. Il est bordé à l'ouest par le Ségala, à l'Est par les grands causses, au Sud par le pays de Roquefort et au Nord par le pays Ruthénois et la vallée de l'Aveyron. Il a toutefois aujourd'hui en partie été détruit[27].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Le territoire communal de Canet-de-Salars comprend quatre ZNIEFF de type 1[Note 5] - [28] :

    • le « Bocage de Trappes » (63,10 ha, couvrant 2 communes du dĂ©partement[29])
    • la « TourbiĂšre du viala du frontin » (3,3 ha[30]);
    • la « TourbiĂšre et zone humide de Douach » (33 ha[31]);
    • la « Zone tourbeuse des Pendaries » (24,4 ha[32]).

    et une ZNIEFF de type 2[Note 6] - [28], le « Ruisseau du Vioulou et lac de Pareloup » (1 684 ha), qui s'Ă©tend sur 6 communes de l'Aveyron[33].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 de la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 de la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Canet-de-Salars est une commune rurale[Note 7] - [34]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2] - [35].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rodez, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[I 3] - [I 4].

    La commune, bordĂ©e par un plan d’eau intĂ©rieur d’une superficie supĂ©rieure Ă  1 000 hectares, le lac de Pareloup, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[36]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[37] - [38].

    Infrastructures et occupation des sols de la commune de Canet-de-Salars.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (76,3 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (78,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (38 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (35,1 %), forĂȘts (10,8 %), eaux continentales (10,8 %), terres arables (3,2 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (1,4 %), zones urbanisĂ©es (0,8 %)[39].

    Planification

    La loi SRU du a incitĂ© fortement les communes Ă  se regrouper au sein d’un Ă©tablissement public, pour dĂ©terminer les partis d’amĂ©nagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratĂ©gique des politiques publiques Ă  une grande Ă©chelle. La commune est dans le territoire du SCoT du LĂ©vĂ©zou, prescrit en juin 2018. La structure porteuse est le PĂŽle d'Ă©quilibre territorial et rural du LĂ©vĂ©zou, qui associe deux communautĂ©s de communes, notamment la communautĂ© de communes de LĂ©vĂ©zou Pareloup, dont la commune est membre[40]

    La commune ne disposait pas en 2017 de document d'urbanisme opérationnel et le rÚglement national d'urbanisme s'appliquait donc pour la délivrance des permis de construire[41].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Canet-de-Salars est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et la rupture d'un barrage, et Ă  un risque particulier, le risque radon[42] - [43].

    Risques naturels

    Le Plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies dĂ©coupe le dĂ©partement de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et dĂ©finit une sensibilitĂ© des communes Ă  l’alĂ©a feux de forĂȘt (de faible Ă  trĂšs forte). La commune est classĂ©e en sensibilitĂ© faible[44].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par une route Ă  fort trafic et une canalisation de transport de gaz. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bĂąti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[45].

    Sur le dĂ©partement de l’Aveyron on dĂ©nombre huit grands barrages susceptibles d’occasionner des dĂ©gĂąts en cas de rupture. La commune fait partie des 64 communes susceptibles d’ĂȘtre touchĂ©es par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture d’un de ces barrages[46].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. La commune de Canet-de-Salars est classĂ©e Ă  risque moyen Ă  Ă©levĂ©[47].

    Histoire

    Politique et administration

    DĂ©coupage territorial

    La commune de Canet-de-Salars est membre de la communauté de communes de Lévézou Pareloup[I 5], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siÚge est à Salles-Curan. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[48].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Millau, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 5]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Raspes et Lévezou pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 5], et de la troisiÚme circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[49].

    Élections de 2020

    Le conseil municipal de Canet-de-Salars, commune de moins de 1 000 habitants, est Ă©lu au scrutin majoritaire plurinominal Ă  deux tours[50] avec candidatures isolĂ©es ou groupĂ©es et possibilitĂ© de panachage[51]. Compte tenu de la population communale, le nombre de siĂšges Ă  pourvoir lors des Ă©lections municipales de 2020 est de 11. La totalitĂ© des onze candidats en lice[52] est Ă©lue dĂšs le premier tour, le , avec un taux de participation de 69,7 %[53]. Francis Bertrand, maire sortant, est rĂ©Ă©lu pour un nouveau mandat le [54].

    Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont dĂ©signĂ©s parmi les conseillers municipaux Ă©lus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de siĂšges attribuĂ©s Ă  la commune au sein du conseil communautaire[55]. Deux siĂšges sont attribuĂ©s Ă  la commune au sein de la communautĂ© de communes de LĂ©vĂ©zou Pareloup[56].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1970 1995 Louis Fontes
    1995 2014 Patrick Geraud
    avril 2014 en cours Francis Bertrand[57] - [58] Ancien agriculteur exploitant

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[59]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[60].

    En 2020, la commune comptait 447 habitants[Note 9], en augmentation de 4,93 % par rapport Ă  2014 (Aveyron : +0,33 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    4875081 3951 219576427704652831
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    803777749707725763749798784
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    785822801725739748724684631
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    601510485440440379394396421
    2015 2020 - - - - - - -
    431447-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[61] puis Insee Ă  partir de 2006[62].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018 (donnĂ©es Insee publiĂ©es en ), la commune compte 186 mĂ©nages fiscaux[Note 10], regroupant 436 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 19 980 â‚Ź[I 6] (20 640 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 7]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    Division200820132018
    Commune[I 8]3,7 %4,5 %7,3 %
    DĂ©partement[I 9]5,4 %7,1 %7,1 %
    France entiĂšre[I 10]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  256 personnes, parmi lesquelles on compte 83,6 % d'actifs (76,3 % ayant un emploi et 7,3 % de chĂŽmeurs) et 16,4 % d'inactifs[Note 11] - [I 8]. En 2018, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui du dĂ©partement, mais infĂ©rieur Ă  celui de la France, alors qu'il Ă©tait infĂ©rieur Ă  celui du dĂ©partement et de la France en 2008.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Rodez, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 1] - [I 11]. Elle compte 83 emplois en 2018, contre 107 en 2013 et 91 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 200, soit un indicateur de concentration d'emploi de 41,7 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 59,6 %[I 12].

    Sur ces 200 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 60 travaillent dans la commune, soit 30 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 79 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 9,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 11,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

    Secteurs d'activités

    36 établissements[Note 12] sont implantés à Canet-de-Salars au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13] - [I 15].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre%%
    Ensemble36
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    513,9 %(17,7 %)
    Construction719,4 %(13 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    1233,3 %(27,5 %)
    Activités financiÚres et d'assurance12,8 %(3,4 %)
    Activités immobiliÚres513,9 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    25,6 %(12,4 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    12,8 %(12,7 %)
    Autres activités de services38,3 %(7,8 %)

    Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 33,3 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (12 sur les 36 entreprises implantĂ©es Ă  Canet-de-Salars), contre 27,5 % au niveau dĂ©partemental[I 16].

    Entreprises

    L' entreprise ayant son siÚge social sur le territoire communal qui génÚre le plus de chiffre d'affaires en 2020 est[63] :

    • Le Caussanel Loisirs, autres activitĂ©s rĂ©crĂ©atives et de loisirs (k€)

    Agriculture

    La commune est dans le Levezou, une petite région agricole située dans le centre de l'Aveyron et constituée d'un haut plateau cristallin[64]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est l'élevage d'équidés et/ou d' autres herbivores[Carte 2].

    1988200020102020
    Exploitations55403432
    SAU[Note 15] (ha)2 3782 3212 1292 188

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 55 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] Ă  40 en 2000 puis Ă  34 en 2010[66] et enfin Ă  32 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 42 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 51 % de ses exploitations[67] - [Carte 4]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 2 378 ha en 1988 Ă  2 188 ha en 2020[Carte 5]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 43 Ă  68 ha[66].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Pierre et son oratoire Logo monument historique Inscrit MH (1976)[68], considĂ©rĂ©e comme la cathĂ©drale du LĂ©vĂ©zou.
    • PrĂšs du Caussanel existe un alignement mĂ©galithique.
    • Église Saint-Pierre.
      Église Saint-Pierre.
    • Église Saint-Pierre.
      Église Saint-Pierre.
    • Église Saint-Pierre(Oratoire).
      Église Saint-Pierre
      (Oratoire).
    • MĂ©galithes du Caussanel.
      MĂ©galithes du Caussanel.
    • Lac de Pareloup.
      Lac de Pareloup.

    Bibliographie

    • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (prĂ©f. Alain Pichon), Lo PĂČnt : Agenh, Arcas, Canet, Flavinh, Pradas, Tremolhas, Lo Vibal / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton del PĂČnt, Rodez, Mission dĂ©partementale de la culture, coll. « Al canton », , 239 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-20-3, ISSN 1151-8375, BNF 36688567)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes.
    2. Les distance sont mesurées ici à vol d'oiseau entre chefs-lieux de communes.
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[19].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    10. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    12. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    15. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[65].
    • Cartes
    1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
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    Site de l'Insee

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    Autres sources

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