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Miramont-de-Comminges

Miramont-de-Comminges est une commune française située dans l'ouest du département de la Haute-Garonne en région Occitanie. Ses habitants sont appelés les Miramontais.

Miramont-de-Comminges
Miramont-de-Comminges
Vue depuis la Chapelle Notre-Dame des sept douleurs sur Miramont de Comminges.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Saint-Gaudens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur et Coteaux du Comminges
Maire
Mandat
Laure Vigneaux
2020-2026
Code postal 31800
Code commune 31344
Démographie
Gentilé Miramontais
Population
municipale
759 hab. (2020 en diminution de 2,19 % par rapport à 2014)
Densité 94 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 05′ 40″ nord, 0° 44′ 51″ est
Altitude Min. 338 m
Max. 564 m
Superficie 8,09 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Gaudens
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Gaudens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Gaudens
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Miramont-de-Comminges
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Miramont-de-Comminges
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Miramont-de-Comminges
Liens
Site web http://www.miramont-de-comminges.fr/

    Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Garonne, le ruisseau d'Angeles et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »), un espace protégé (« la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Miramont-de-Comminges est une commune urbaine qui compte 759 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 1 857 habitants en 1851. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Gaudens et fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Gaudens. Ses habitants sont appelés les Miramontais ou Miramontaises.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : une croix de cimetière, inscrite en 2010.

    Géographie

    Localisation

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    4. Carte avec les communes environnantes

    La commune de Miramont-de-Comminges se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 80 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à km de Saint-Gaudens[2], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Rieucazé (2,1 km), Saint-Gaudens (2,5 km), Lespiteau (3,2 km), Valentine (3,4 km), Estancarbon (3,4 km), Aspret-Sarrat (3,8 km), Encausse-les-Thermes (5,1 km), Landorthe (5,2 km).

    Sur le plan historique et culturel, Miramont-de-Comminges fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[4].

    Miramont-de-Comminges est limitrophe de sept autres communes. Les communes limitrophes sont Aspret-Sarrat, Encausse-les-Thermes, Estancarbon, Pointis-Inard, Rieucazé et Saint-Gaudens.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 809 hectares ; son altitude varie de 338 à 564 mètres[6].

    Miramont de Comminges possède un espace forestier riche de 292 ha de forêt mixte[7], typique du piémont pyrénéen. Cet espace culmine à 578 m au Cap de Lastodet, frontière communale entre Miramont-de-Comminges, Rieucazé, Aspret-Sarrat et Encausse-les-thermes. Au pied de ce cap naît le ruisseau d'Angèles qui traverse le village. Le ruisseau de Gardesse le traverse plus brièvement et alimente la Garonne près du pont. Il naît à 460 m d'altitude et ruisselle le long du thalweg entre les cantons forestiers de Mélères et Pilate. Un ruisseau (de Mélères ou Pedesclop selon les époques) prend également naissance dans l'espace forestier miramontais entre le bois de Montaut (limite communale) et le canton forestier de Mélères (interfluve avec le thalweg du ruisseau de Gardesse). Il aboutit au lieu-dit du « pont blanc » après une succession de charmantes petites cascades. Passant sous la route, il se jette dans la Garonne après avoir créé un méandre, sur le sentier du fond du bois[8] menant à Miramont de Comminges. Un autre sentier partant lui de la chapelle du calvaire (ND des 7 douleurs), parallèle à la Garonne, permet de rallier le pont blanc créant ainsi une boucle de promenade favorable à de multiples observations environnementales.

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Miramont-de-Comminges.

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[9]. Elle est drainée par la Garonne, le ruisseau d'Angeles, Canal de la Gentille, le ruisseau de Gardesse, le ruisseau du gué d'ambès et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[10] - [Carte 1].

    La Garonne est un fleuve principalement français prenant sa source en Espagne et qui coule sur 529 km avant de se jeter dans l’océan Atlantique[11].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[13].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[12]

    • Moyenne annuelle de température : 12,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 999 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Labarthe-Rivière », sur la commune de Labarthe-Rivière, mise en service en 1975[17] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[18] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 745,9 mm pour la période 1981-2010[19]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, dans le département de l'Ariège, mise en service en 1949 et à 32 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[21], à 12,3 °C pour 1981-2010[22], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[23].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[24] - [25].

    Un espace protégé est présent sur la commune : « la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 1 658,7 ha[26].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »[28], d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs (zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[29].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensées sur la commune[30] : « la Garonne de Montréjeau jusqu'à Lamagistère » (5 075 ha), couvrant 92 communes dont 63 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[31] et le « massifforestier du Mont-Jammes » (253 ha), couvrant 3 communes du département[32] et une ZNIEFF de type 2[Note 7] - [30] : « la Garonne et milieux riverains, en aval de Montréjeau » (6 874 ha), couvrant 93 communes dont 64 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[33].

    Urbanisme

    Typologie

    Miramont-de-Comminges est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [34] - [I 2] - [35]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Gaudens, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[I 3] et 16 101 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[I 4] - [I 5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Gaudens, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 85 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 6] - [I 7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (47,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (47,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,1 %), zones agricoles hétérogènes (31,2 %), terres arables (11 %), zones urbanisées (8,6 %), prairies (2,1 %)[36].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Voies de communication et transports

    Accès par l'autoroute A64 sortie no 18 en prenant la route départementale 905. Miramont-de-Comminges est desservi par le réseau Arc-en-ciel. La gare de Saint-Gaudens est à moins de 5 minutes en voiture.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Miramont-de-Comminges est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, et le risque industriel et la rupture d'un barrage[37]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[38].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Garonne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1999, 2007, 2009, 2013 et 2022[39] - [37].

    Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral du 25 septembre 2006. Miramont-de-Comminges est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du massif des piémonts des Pyrénées. Il est ainsi défendu aux propriétaires de la commune et à leurs ayants droit de porter ou d’allumer du feu dans l'intérieur et à une distance de 200 mètres des bois, forêts, plantations, reboisements ainsi que des landes. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[40] - [41]

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Miramont-de-Comminges.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 62,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 410 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 410 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[42] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[43].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2002 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[37].

    Risques technologiques

    La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[44].

    La commune est en outre située en aval du barrage de Naguilhes sur le Gnoles (affluent de l'Ariège, département de l'Ariège). À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[45].

    Toponymie

    Miramont ne s'appelle Miramont-de-Comminges que depuis un décret datant du [46]. En occitan le nom de la commune est Miramont de Comenge. Un miramont, en occitan gascon, est un endroit avec vue sur les montagnes.

    Histoire

    Miramont est très tôt devenu un point de passage de la Garonne. Sur le promontoire du Castéra, un poste de douane fut installé lors du passage de Pompée, général romain, vers 77 av notre ère. Des médailles impériales comme des débris de poteries en attestent (cf ouvrages de M.de Juillac-Vignoles). Des vestiges de cimetière romain sont également indiqués dans le secteur du Pouran non loin de la statue de Sainte-Germaine. Ce poste de douane surplombant la Garonne, devint un château gallo-romain puis féodal avant d'être détruit sur ordre royal en 1627, comme toutes les forteresses de France qui n'étaient pas situées sur une frontière (déclaration de Nantes). Cet ordre de Louis XIII qui datait du , visait à mater une noblesse conspiratrice plutôt hostile à son endroit comme à celui du Cardinal de Richelieu. Quelques pans de murs (architecture militaire romaine) sont cependant encore bien sur pied ainsi qu'une partie du donjon sur les vestiges duquel se dresse aujourd'hui la chapelle Notre-Dame des sept douleurs ou chapelle du calvaire. La voûte du donjon constitue le sanctuaire de la chapelle.

    Sous l'ancien régime, Miramont constituait avec Saint-Gaudens l'une des quatre châtellenies du Nébouzan. Les deux communautés ont, de tous temps, été très étroitement liées, Miramont possédant localement l'un des trois seuls points de passage de la Garonne avec Montréjeau et Valentine. Cette dernière, certes proche, ne faisait pas partie du Nébouzan mais des états du Languedoc qui en avaient financé le pont, les droits de passage ne rentraient donc pas dans les coffres de la châtellenie de Saint-Gaudens. La voie de communication passant par Miramont-de-Comminges était officiellement nommée la "route de Saint-Gaudens en Catalogne".

    Miramont, comme en témoigne son tunnel[47] - [48], était également une halte ferroviaire de la ligne de Saint-Gaudens à Aspet[49], active entre 1906 et 1936. Ce tunnel possède la particularité d'être le seul de l'ancien réseau ferré des Chemins de fer du Sud-Ouest. Le réseau est quant à lui resté actif jusqu'en 1949.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[50] - [51].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes Cœur et Coteaux de Comminges et du canton de Saint-Gaudens. Avant le , Miramont-de-Comminges faisait partie de la communauté de communes du Saint-Gaudinois.

    La commune est également membre du SIVOM de Saint-Gaudens Montréjeau Aspet Magnoac.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    2004 2014 François Pacheco
    2014 En cours Laure Vigneaux PS Fonctionnaire
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[53]. En 2020, la commune comptait 759 habitants[Note 10], en diminution de 2,19 % par rapport à 2014 (Haute-Garonne : +7,44 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0061 0381 0911 2661 4971 6361 6701 7691 857
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6541 5861 6501 6151 5601 3561 4041 1431 064
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    9719899367937901 0018971 0431 031
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 0291 0931 1231 008922784854851793
    2015 2020 - - - - - - -
    775759-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[54] puis Insee à partir de 2006[55].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[56] 1975[56] 1982[56] 1990[56] 1999[56] 2006[57] 2009[58] 2013[59]
    Rang de la commune dans le département 68 79 105 135 160 172 181 196
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Enseignement

    Miramont-de-Comminges fait partie de l'académie de Toulouse.

    Feu de la Saint-Jean 2014 à Miramont-de-Comminges.
    Feu de la Saint-Jean 2014 à Miramont-de-Comminges.

    L'éducation est assurée par un groupe scolaire qui prend les enfants en charge et enseigne de la maternelle au primaire. Les activités péri-scolaires sont assurées par l'ALAE (accueils de loisirs associés à l'école) de l'intercommunalité[60].

    Culture et festivités

    Une association d'art, Art Pyrénéen, permet l'apprentissage de la peinture. Elle est également impliquée dans des activités de valorisation et de préservation du patrimoine.

    Chaque , la fête de la Saint-Jean donne lieu à de joyeuses réunions autour d'un magnifique feu sur la place Saint-Jean.

    Les journées du patrimoine, fin septembre, rassemblent également de plus en plus de visiteurs autour des nombreux sites du patrimoine miramontais. L'office de tourisme du Saint-Gaudinois propose également des balades découvertes de ce patrimoine.

    Activités sportives

    De nombreuses infrastructures sportives permettent la pratique de sports en vogue comme le tennis, la gymnastique, le football ou la pétanque.

    Kayak Garonne Miramont-de-Comminges.
    Arrivée de kayakistes à Miramont-de-Comminges.

    La Garonne se descend aussi en canoë ou en kayak. Le parcours situé entre Valentine et Miramont-de-Comminges est très apprécié avec mise à l'eau aisée et accostage facile. Le parcours offre des vues splendides et permet l'observation d'oiseaux d'eau comme le cincle-plongeur ou la bergeronnette des ruisseaux.

    Écologie et recyclage

    Aigle botté survolant la rue Dauphine en 2015
    Aigle botté survolant la rue Dauphine en 2015
    Machaon butinant une lunaire ou "monnaie de pape"
    Machaon butinant une lunaire ou "monnaie de pape"

    Le territoire de Miramont-de-Comminges est un sanctuaire pour de nombreuses espèces végétales et animales. Sa position piémontaise entre Garonne amont et Pyrénées en fait un emplacement assez unique. Le massif du Mont-Jammes a d'ailleurs été classé Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF du Mounjaïmes)). Se trouvent sur le territoire communal le lis martagon (lys ou lis sont admis), la fritillaire pintade ou encore le scirpe des marais mais aussi l'aigle botté, le cyrcaète jean le blanc, le torcol fourmilier, le milan (royal ou noir), la cigogne blanche ou la grenouille verte. La zone est un lieu de passage pour de nombreuses espèces d'oiseaux migrateurs. Plus discrets sont les agrions de mercure, les demoiselles et libellules ainsi que les innombrables papillons dont le majestueux machaon. La liste n'est pas exhaustive et constitue un solide indicateur de bonne santé environnementale. Un joli hôtel à insectes et son panneau pédagogique ont été installés sur le chemin des berges de Garonne. Un grand nombre des espèces présentes à Miramont-de-Comminges sont protégées.

    Le village se situe sur la partie du fleuve appelée "Garonne Amont". Huit espèces de poissons amphihalins sont emblématiques de ce fleuve, le plus court de France avec ses 575 kilomètres. Tous ne remontent pas jusqu'aux Pyrénées mais ils bénéficient d'une attention toute particulière pour faciliter leur migration et leur reproduction par la surveillance de la qualité des eaux et l'aménagement des obstacles artificiels. Le saumon, la truite, la lamproie fluviatile et marine, l'anguille, la grande alose, la petite alose et l'esturgeon en forment la liste (source SMEAG). Une espèce protégée de moule perlière, la mulette (Margaritifera margaritifera) est en cours d'extinction. Elle a la particularité de devoir parasiter quelques semaines les branchies d'un salmonidé (saumon ou truite). Les passes à poisson revêtent ainsi une importance capitale pour beaucoup plus d'espèces que la seule liste des huit sur tout le parcours de la Garonne. Miramont-de-Comminges avec barrage et centrale hydro-électrique y est très sensible.

    La forêt miramontaise s'étend sur 292 ha. Elle joue un important rôle dans le filtrage des eaux et se compose d'une grande mixité d'essences comme le chêne pédonculé, le chêne rouvre, le hêtre ou le douglas, l'aricio et l'épicéa. Le socle géologique de cette forêt est de type "flysch noir albo-cénomanien" (roche sédimentaire terrigène - source ONF). Elle fournit un vaste habitat à de très nombreuses espèces certaines plutôt rares comme la genette. Cet espace est bien visible depuis Saint-Gaudens.

    De nombreux points de collecte et de recyclage pour les emballages usuels sont présents sur le territoire de la commune. Une déchetterie gérée par le SIVOM-sgma est également située à proximité pour collecter d'autres déchets comme les déchets verts ou plus volumineux.

    Miramont-de-Comminges ne fait partie d'aucun PPRT (Plan de prévention des risques technologiques) de Haute-Garonne.

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 338 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 728 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 810 â‚¬[I 8] (23 140 â‚¬ dans le département[I 9]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 10]11,3 %15,8 %12,6 %
    Département[I 11]7,7 %9,6 %9,3 %
    France entière[I 12]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 Ã  64 ans s'élève à 438 personnes, parmi lesquelles on compte 71,4 % d'actifs (58,8 % ayant un emploi et 12,6 % de chômeurs) et 28,6 % d'inactifs[Note 12] - [I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Gaudens, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4] - [I 13]. Elle compte 101 emplois en 2018, contre 86 en 2013 et 93 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 263, soit un indicateur de concentration d'emploi de 38,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48,3 %[I 14].

    Sur ces 263 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 34 travaillent dans la commune, soit 13 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 95,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,6 % les transports en commun, 2,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 0,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].

    Secteurs d'activités

    48 établissements[Note 13] sont implantés à Miramont-de-Comminges au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14] - [I 17].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble48
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    1327,1 %(5,7 %)
    Construction918,8 %(12 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    1327,1 %(25,9 %)
    Activités financières et d'assurance12,1 %(3,8 %)
    Activités immobilières12,1 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    510,4 %(19,8 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    24,2 %(16,6 %)
    Autres activités de services48,3 %(7,9 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 27,1 % du nombre total d'établissements de la commune (13 sur les 48 entreprises implantées à Miramont-de-Comminges), contre 25,9 % au niveau départemental[I 18].

    Entreprises et commerces

    Miramont de Comminges dispose, en centre village, de tous les commerces du quotidien mais également d'une Zone d'Activités regroupant des productions plus spécifiques[61].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations231166
    SAU[Note 15] (ha)296151188209

    La commune est dans « La Rivière », une petite région agricole localisée dans le sud du département de la Haute-Garonne, consituant la partie piémont au relief plus doux que les Pyrénées centrales la bordant au sud et où la vallée de la Garonne s’élargit[62]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 16] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 5]. Six exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 17] (23 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 209 ha[64] - [Carte 6] - [Carte 7].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Croix de fer, située dans le cimetière du village, est classée au titre des Monuments Historiques[65]. Elle porte les instruments de la Passion du Christ et était située jusque dans les années cinquante sur la place de l'église. Son socle a été démoli au moment du transfert. Protection MH par arrêté du .
    • Église Saint-Martin (anciennement Saint-Exupère), fresque du baptistère (Nicolas Greschny avec Pierre.Sicre-St-Paul).
    • Chapelle Notre-Dame des sept Douleurs, fresques de style byzantin de Nicolas Greschny avec Pierre.Sicre-St-Paul, Piéta de la manufacture Virebent de Launaguet, pique-nique, départ de promenades en forêt ou de randonnées, Vue panoramique sur le Saint-Gaudinois. Renseignements en Mairie de Miramont-de-Comminges ou près de l'Office de Tourisme du Saint-Gaudinois.
    • Chapelle Saint-Roch : construite au XVIIe siècle (contre la peste), elle fut maintes fois emportée par la Garonne. Rebâtie au XIXe siècle plus près du rocher du Castéras. Ses vitraux sont issus des ateliers Gesta de Toulouse, célèbres pour leurs moirés. Une police de caractères porte également ce nom. Le père adoptif de Louis-Victor Gesta était fondeur de caractères.
    • Chapelle du Bédiau (Saint-Pé).
    • Pont en pierre, Napoléon III.
    • Chemin des berges de la Garonne, promenades, canoë, pique-nique, pêche, hôtel à insectes.
    • Anciennes filatures.
    • Château de Tembal (privé, fenêtres à meneau et traverse de pierre, tourelles)
    • Forêt communale mixte, promenades, randonnées.
    • Site Massif forestier du Mont-Jammes. (ZNIEFF)
    • Norbert Casteret, natif de Saint-Martory, qui avait entendu parler de la "Grotte de la sorcière" de Miramont-de-Comminges est venu en son temps, explorer cette singulière cavité du massif miramontais.
    • Miramont-de-Comminges ; Panorama Garonne et Saint-gaudinois depuis la chapelle Notre Dame des sept Douleurs.
      Miramont-de-Comminges ; Panorama Garonne et Saint-gaudinois depuis la chapelle Notre Dame des sept Douleurs.
    • Église Saint-Martin de Miramont-de-Comminges.
      Église Saint-Martin de Miramont-de-Comminges.
    • Pic de Cagire depuis Miramont de Comminges
      Pic de Cagire depuis Miramont de Comminges
    • Chapelle Notre Dame des 7 douleurs. Fresques uniques, pique-nique et promenade en forêt.
      Chapelle Notre Dame des 7 douleurs. Fresques uniques, pique-nique et promenade en forêt.
    • La façade avec fresques de la chapelle Notre Dame des 7 douleurs
      La façade avec fresques de la chapelle Notre Dame des 7 douleurs
    • Chapelle Saint-Roch à Miramont-de-Comminges
      Chapelle Saint-Roch à Miramont-de-Comminges
    • Pont sur la Garonne, Miramont-de-Comminges
      Pont sur la Garonne, Miramont-de-Comminges
    • Arrivée à Miramont de Comminges depuis Saint-Gaudens. Pont Napoleon III sur la Garonne, Chapelle Saint-Roch sur la droite, tunnel du petit train d'Aspet au centre, Chapelle Notre-Dame des sept douleurs sur le massif rocheux, Miramont de Comminges.
      Arrivée à Miramont de Comminges depuis Saint-Gaudens. Pont Napoleon III sur la Garonne, Chapelle Saint-Roch sur la droite, tunnel du petit train d'Aspet au centre, Chapelle Notre-Dame des sept douleurs sur le massif rocheux, Miramont de Comminges.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    « Sur une petite esplanade, une terrasse au bord du fleuve, je me changerai derrière la haute stèle brute, un bloc de granit intact, où s'adossera le monument aux morts de Miramont de Comminges. De l'autre côté, une allée d'obus verts, luisant humides, récemment repeints, s'avancera entre deux maigres bordures de buis tailles, À l'extrémité, devant cinq majestueux platanes alignés face à l'église, s'allongera la place du village. Un coude sur la route. Sur la gauche, au-dessus d'un palmier dont les feuilles pendront en éventail, s'élèvera le bâtiment de l'Auberge [...] » Pierre Patrolin : "La traversée de la France à la nage" Éditions P.O.L. - 2012

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[14].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[27].
    6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    11. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    12. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    13. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    14. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    15. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    16. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    17. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[63].
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Miramont-de-Comminges » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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    17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Miramont-de-Comminges » (consulté le ).
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    Autres sources

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    2. Stephan Georg, « Distance entre Miramont-de-Comminges et Saint-Gaudens », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
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    4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
    5. Carte IGN sous Géoportail
    6. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    7. « Site non activé », sur miramont-de-comminges.fr (consulté le ).
    8. « tourisme-stgaudens.com/circuit… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
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    60. inscriptions
    61. détails économie
    62. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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    64. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Miramont-de-Comminges - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    65. Liste "Mérimée")
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