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Michel Ciry

Biographie

Peintre et graveur

Élève à l'École des Arts appliqués Duperré à Paris de 1934 à 1937[2], Michel Ciry grave son premier cuivre en 1935 et débute à l'exposition « Artistes de ce Temps » au Petit Palais en 1938.

Il est nommé sociétaire à la Société des peintres-graveurs français en 1941.

Pendant l'Occupation, il fait partie du milieu officiel des artistes proches du régime de Vichy[3]. Pourtant, il participe aux concerts de la Pléiade[4].

Parallèlement à son œuvre gravé personnel, il produit de nombreuses illustrations pour des éditions de bibliophilie. À partir des années 1960, il vit et travaille en Normandie à Varengeville-sur-Mer. Il fut un hôte assidu de Sainte-Maxime, dans sa villa du quartier du Sémaphore.

En 2000, Michel Ciry a créé avec ses amis le prix international de gravure Michel-Ciry, qui récompense les graveurs de talent amateurs ou professionnels[5].

Son frère Jacques Ciry (1914-1982) est également artiste peintre.

Mort le 26 décembre 2018, Michel Ciry est inhumé le 2 janvier 2019 au cimetière marin de Varengeville-sur-Mer[6] - [7] - [8] - [9].

Philatélie

Pour les postes françaises, Michel Ciry a dessiné quatre timbres-poste[10] :

Compositeur

Élève de Nadia Boulanger[14], Michel Ciry compose jusqu'en 1958 des œuvres musicales essentiellement religieuses, dont une Symphonie sacrée pour voix d'alto et orchestre (1958), Concerto pour 15 instruments à vent et percussion (1956), Stèle pour un héros (1949), Pieta (1950), Mystère de Jésus (1953), Deux ballades (1949-1956), Préludes et Quatuor à cordes (1955) et des cycles de mélodies (1941-1950). Il fut interprété au festival de Darmstadt en 1951 et 1952, au festival de Donaueschingen en 1957[15].

Écrivain

À partir de 1942, Michel Ciry tient son journal dont le premier volume est publié en 1971. Les 36 tomes parus du Journal se présentent sous forme de notes rédigées au jour le jour. Dans un style souvent ampoulé, il y expose ses goûts et dégoûts esthétiques, notamment son exécration de l'art contemporain[16]. Faute d'éditeur, la parution s'interrompt en 2011. Michel Ciry fut plusieurs fois et sans succès candidat à l'Académie française[17].

Publications

Journal

  • Le Temps des promesses, 1er janvier 1942 - 14 juillet 1949, Plon 1979.
  • La vie est une ombre, 1945-1952, Buchet / Chastel, 1992.
  • Pour l'amour de vous, 1953-1956, Buchet / Chastel, 1992.
  • Les RĂ©alitĂ©s impalpables, 20 juin 1956 - 16 mars 1959, Buchet / Chastel, 1993.
  • D'Assise Ă  Manhattan, 18 mars 1959 - 12 mars 1963, Buchet / Chastel, 1994.
  • Le Temps du refus, 1er janvier 1968 - 30 dĂ©cembre 1969, Plon, 1971[18].
  • Le Buisson ardent, 1er janvier 1970 - 31 dĂ©cembre 1970, Plon, 1973.
  • Les Armes de lumière, 1er janvier 1971 - 31 dĂ©cembre 1971, Plon, 1974.
  • Amour et Colère, 1er janvier 1972 - 29 dĂ©cembre 1973, Plon, 1976.
  • DĂ©truire la nuit, 1er janvier 1974 - 31 juillet 1975, Plon, 1977.
  • L'Approche du soir, 31 juillet 1975 - 14 fĂ©vrier 1978, Plon, 1978.
  • Mon beau souci, 16 fĂ©vrier 1978 - 29 septembre 1979, Plon, 1981.
  • La Meilleure Part, 29 septembre 1979 - 7 dĂ©cembre 1980, Plon, 1982.
  • Puisque tout est grâce, 8 dĂ©cembre 1980 - 2 mai 1982, Plon, 1983.
  • Au plaisir de Satan, 3 mai 1982 - 9 aoĂ»t 1983, Plon, 1984.
  • Le Temps des faux dieux, 5 aoĂ»t 1983 - 12 juin 1984, Plon, 1985.
  • La Chute des âmes, 14 juin 1984 - 14 juin 1985, Plon, 1986[16].
  • Les Nourritures cĂ©lestes, 15 juin 1985 - 31 mars 1986, Plon, 1987.
  • La Passion de l'amitiĂ©, 1er avril 1986 - 11 fĂ©vrier 1987, Plon, 1987.
  • Vive Don Quichotte, 12 fĂ©vrier 1987 - 24 novembre 1987, Buchet / Chastel, 1992.
  • Brisons nos fers, 26 novembre 1987 - 27 aoĂ»t 1988, Buchet / Chastel, 1992.
  • Soyons des guetteurs, 27 aoĂ»t 1988 - 9 aoĂ»t 1989, Buchet / Chastel, 1994.
  • Alceste avait raison, 12 aoĂ»t 1989 - 7 dĂ©cembre 1990, Buchet / Chastel, 1994..
  • Il se fait tard, 8 dĂ©cembre 1990 - 4 avril 1992, Buchet / Chastel, 1995.
  • Regardons les Ă©toiles, 5 avril 1992 - 29 juillet 1993, Éditions Bertout, Luneray, 1998.
  • Le Creux de la vague, 30 juillet 1993 - 31 aoĂ»t 1994, Éditions Bertout, Luneray, 1999.
  • Contre vents et marĂ©es, 1er septembre 1994 - 13 juillet 1995, Éditions Bertout, Luneray, 2000.
  • Le Temps des naufrages, juillet-1995 - aoĂ»t 1996, Éditions Bertout, Luneray, 2001.
  • GuĂ©rir ce qui est blessĂ©, 20 aoĂ»t 1996 - 9 septembre 1997, Éditions Bertout, Luneray, 2002.
  • Ne pensons plus au passĂ©, 30 septembre 1997 - 10 septembre 1998, Éditions Bertout, Luneray, 2003.
  • Le Temps des pardons, 11 septembre 1998 - 8 dĂ©cembre 1999, Éditions Bertout, Luneray, 2004.
  • Les FlambĂ©es crĂ©pusculaires, 9 dĂ©cembre 1999 - 27 fĂ©vrier 2001, Éditions Bertout, Luneray, 2005.
  • Soyons des rebelles, 28 fĂ©vrier 2001 - 28 juillet 2002, EllĂ©bore Ă©ditions, 2009.
  • En toute indĂ©pendance, 29 juillet 2002 - 9 septembre 2003, EllĂ©bore Ă©ditions, 2009.
  • Veillons Ă  ne jamais ĂŞtre nĂ©gligeable, 11 septembre 2003, 28 septembre 2004, EllĂ©bore Ă©ditions, 2010.
  • Un train d'enfer, 28 septembre 2004 - 14 novembre 2005, EllĂ©bore Ă©ditions, 2011.

Ouvrages illustrés par Michel Ciry

Collections publiques

Drapeau de l'Australie Australie

Drapeau de l'Autriche Autriche

États-Unis

France

Drapeau de la Suisse Suisse

Collections privées

Expositions

Expositions collectives

Expositions personnelles

RĂ©ception critique

  • « Sensible aux lieux, Ă©crira Pierre Mazars[37], au sortilège, au pourrissement malsain qui Ă©mane de quelque demeure Ă  l'abandon, d'une maison du Pendu, d'un site maudit, sensible Ă  la souffrance, Ă  la vie recluse, Ă  l'abandon des fins de vie, sensible comme seuls le sont les esprits nourris de l'Écriture, impressionnĂ©s par le drame de la Passion, allant et venant entre le besoin de montrer que les façades les plus majestueuses sont dĂ©vorĂ©es par derrière, prĂŞtes Ă  tomber en poudre, et le dĂ©sir de rendre Ă  la vie des objets fossilisĂ©s, Michel Ciry s'affirme, par son Ĺ“uvre Ă  la fois puissante et sincère, comme l'un des plus importants peintres d'inspiration religieuse depuis la disparition de Georges Rouault. » - Les Muses, encyclopĂ©die des arts[28]
  • « Un art austère, exigeant, une gravitĂ©, un rĂ©alisme dur, un art rĂ©solument classique et pourtant moderne par l'isolement su sujet, par la froideur du graphisme. La composition est souvent sombre, en accord avec la sĂ©vĂ©ritĂ© jansĂ©niste du thème traitĂ©. » - GĂ©rald Schurr[38]
  • « Portraitiste au style incisif, il marque cepe,da,t une prĂ©dilection pour les sujets religieux, ce qui ne l'empĂŞche pas d'ĂŞtre sensible aux sujets qu'il visite et qu'il peint, notamment la Normandie Ă Ăą il s'est fixĂ© depuis 1964... Michel Ciry reste l'un des peintres d'inspiration religieuse les plus importants du XXe siècle. » - Dictionnaire BĂ©nĂ©zit[2]
  • « Dans l'Ĺ“uvre de Michel Ciry, on connaĂ®t la face religieuse : elle apparaĂ®t dans ses huiles. Mais surgit aussi de l'autre cĂ´tĂ© de la toile une face plus solaire, romaine, presque sudiste. D'ailleurs la Grèce, l'Italie, l'Espagne, la Syrie et la Jordanie, terres brĂ»lĂ©es par le soleil et sources de nos civilisations, n'ont cessĂ© de le retenir. Michel Ciry dans ses huiles comme dans ses aquarelles est un peintre de la lumière, Ă  la recherche de la clartĂ© divine et du soleil paĂŻen. Il excelle aussi dans les paysages normands hivernaux, quand la blancheur recouvre la terre des hommes. Il a parfaitement saisi la force sombre du Pays de Caux. Comme Georges Braque, il a transformĂ© notre vision du ciel normand. » - Olivier FrĂ©bourg[5]
  • « Dès les annĂ©es cinquante, les thèmes religieux l'inspirent plus que tous autres. Michel Ciry donne Ă  travers son Ĺ“uvre une lecture du Nouveau Testament dont il a choisi d'illustrer la Passion plutĂ´t que l'image du Christ en gloire. On assiste peu Ă  peu Ă  la crĂ©ation de types de personnages, vĂ©ritables leitmotiv d'un univers intime fĂ©cond. Le visage de la vieille femme incarne tour Ă  tour la Vierge Ă  la fin de sa vie et GĂ©nitrix, tout comme les portraits des moines du Barroux s'apparentent aux pèlerins d'EmmaĂĽs ou aux prĂŞtres des Hommages Ă  Bernanos. Si ces ĂŞtres ont tous une signification religieuse, incarnant des saints ou des croyants, ils demeurent des hommes issus de notre quotidien et de notre temps. » - Luc Pinson[39]

DĂ©corations

RĂ©compenses et distinctions

  • 1941 : SociĂ©taire des peintres-graveurs français.
  • 1945 : Prix national des arts[28].
  • 1956 : membre du conseil supĂ©rieur de l'enseignement des beaux-arts.
  • 1957 : Vice-prĂ©sident du ComitĂ© national de la gravure.
  • 1958 : Prix Eugène-Carrière[2].
  • 1962 : Grand Prix du Conseil gĂ©nĂ©ral de la Seine.
  • 1963 :
    • Grande MĂ©daille de vermeil de la ville de Paris[2].
    • Membre de l'AcadĂ©mie des Beaux-Arts de Florence.
  • 1964 : Prix de l'ĂŽle-de-France.
  • 1965 : Grand Prix de Montrouge.
  • 1968 : Prix Wildenstein de l'AcadĂ©mie des beaux-arts[2].
  • 1972 : mĂ©daille d'or Ă  la biennale de Florence.
  • 1984 : prix LĂ©on-Georges Baudry de la Fondation Taylor.
  • 1988 : membre de l'AcadĂ©mie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique.
  • 1993 : prix international du Gemmail pour Adieu de JĂ©sus Ă  Marie.

Références

  1. « Varengeville-sur-Mer : le peintre Marcel Ciry s'est éteint à son domicile », sur actu.fr, (consulté le )
  2. Dictionnaire Bénézit, Gründ, 1999, vol.3, p. 657.
  3. Laurence Bertrand Dorléac, L'art de la défaite, 1940-1944, Seuil, 2010, (ISBN 2020121255), p. 125, note 48.
  4. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k76540541/f4.item.r=%22ensemble%20hewitt%22.zoom#
  5. > Olivier Frébourg (préface d'André Bettencourt), Michel Ciry - Aquarelles, Les Amis de Michel Ciry, 2004.
  6. France 3 Normandie, L'artiste Michel Ciry est décédé à l'âge de 99 ans, décembre 2018
  7. Maurizio Cecchetti, « Art et sacré - Adieu à Michel Ciry, peintre au pied de la Croix », Avvenire, 28 décembre 2018
  8. Franck Boitelle, « Michel Ciry, imagier de Dieu, en chemin vers l'au-delà », Paris-Normandie, 28 décembre 2018
  9. Raphaël Gaudriot, « Michel Ciry, de la solitude à la présence », Terre de compassion, 31 décembre 2018
  10. Liste des timbres dessinés par Michel Ciry, Phil-Ouest ; page consultée le 14 avril 2009.
  11. Catalogue de cotations de timbres de France, Dallay, 2007-2008, page 219.
  12. Catalogue de cotations de timbres de France, Dallay, 2007-2008, page 283.
  13. Catalogue de cotations de timbres de France, Dallay, 2007-2008, page 399.
  14. Sous la direction de Marc Vignal, Dictionnaire de la musique, Larousse, 2005
  15. Médiathèque Nadia-Boulanger, Lyon, Michel Ciry
  16. Pierre Aube, « Écrivains normands - Le journal de Michel Ciry », Études normandes, 35e année, n°2, 1986
  17. traces-ecrites.com.
  18. « Michel Ciry : "Le Temps du refus" - André Bourin reçoit Michel Ciry », Archives INA, 31 janvier 1972 (durée : 9'33")
  19. National Gallery of Victoria, Michel Ciry dans les collections
  20. National Gallery of Art, Michel Ciry dans les collections
  21. « Michel Ciry - Une de ses œuvres entre au musée Fournaise », La Gazette des amis de la maison Fournaise, no 2, 1er semestre 2007, p. 1
  22. Françoise Woimant, Marie-Cécile Miessner et Anne Mœglin Delcrois, De Bonnard à Baselitz - Estampes et livres d'artistes; B.N.F., 1992, p. 113.
  23. Éric Mercier, Années 50 - La Jeune Peinture, tome II : Panorama de la Jeune Peinture, ArtAcatos, 2010, « Michel Ciry » pp. 110-113.
  24. Film 2 min 15 s, Michel Ciry présente le musée sur YouTube.
  25. Diaporama de la collection, site musée Michel Ciry.
  26. Bruno Roquigny, Saint-Valery-en-Caux, catalogue de la collection Roger BĂ©sus, 27 mars 2021.
  27. François Mauriac, Nouveaux mémoires intérieurs, Flammarion, 1965, pp. 192-203.
  28. Les Muses, Grange Batelière, 1971, tome 5, pp. 1502-1503.
  29. Patrick-F. Barrer, L'histoire du Salon d'automne de 1903 Ă  nos jours, Arts et Images du monde, 1992, p. 308.
  30. René Salmon (préface), Panorama de la peinture contemporaine, catalogue d'exposition, éditions de la ville de Sotteville-lès-Rouen.
  31. Musée d'art de Pully, De Cuno Amiet à Zao Wou-Ki - Le fonds d'estampes Cailler, dossier de presse, 2013
  32. Musée Baron-Martin, La Jeune Peinture, présentation de l'exposition, 2017
  33. « Les expositions à Paris - Les premières peintures de Michel Ciry », Connaissance des arts, n°74, avril 1958, p. 105.
  34. Gabor Szilasi, Le monde de l'art à Montréal, 1960-1980, McCord Museum of Canadian History, 2019.
  35. Michel Ciry, « interview à propos de son exposition à la galerie de Paris », émission Arts d'aujourd'hui, France Culture, 6 novembre 1966.
  36. « Invitation aux voyages au musée Michel-Ciry de Varengeville-sur-Mer », Les Informations dieppoises, 15 juin 2020
  37. Pierre Mazars, Michel Ciry, Éditions Pierre Cailler, 1966.
  38. Gérald Schurr, Le Guidargus de la peinture, Les Éditions de l'Amateur, 1996, pp. 182-183.
  39. Luc Pinson, « Deux écrivains normands contemporains : Michel Ciry, Jean-Pierre Amette », Études normandes, 56e année, no 4, 2007, pp. 42-64

Voir aussi

Bibliographie

  • Nane Bettex-Cailler, Michel Ciry, collection « Arts et documents », Éditions Pierre Cailler, Genève, 1958.
  • Raymond Nacenta, The School of Paris - The painters and the artistic climate of Paris since 1910, Oldbourne Press, Londres, 1960.
  • Pierre Mazars, Michel Ciry, Éditions Pierre Cailler, Genève, 1966.
  • François Daulte, Michel Ciry, Paris, Bibliothèque des arts, 1966.
  • RenĂ© Huyghe et Jean Rudel, L'Art et le mode moderne, Larousse, 1970.
  • Pierre Bain, Michel Ciry, Éditions du musĂ©e-château de Dieppe, 1970.
  • Michel Droit, Michel Ciry, Ides et Calendes, 1998 (ISBN 2825800872).
  • Roger Passeron, L'Ĺ’uvre gravĂ© de Michel Ciry (vol.1 : 1949-1954, prĂ©face de Jean AdhĂ©mar ; vol.2 : 1955-1963, prĂ©face d'AndrĂ© Dunoyer de Segonzac ; vol.3 : 1964-1970, prĂ©face de Jacques Guignard), Paris, Bibliothèque des arts, 1968, 1970, 1971.
  • Les Muses, encyclopĂ©die des arts, tome 5, Grange Batelière, 1971.
  • Dictionnaire universel de la peinture, Le Robert, 1975.
  • Roger Passeron, Michel Ciry, Paris, Bibliothèque des arts, 1977.
  • Georges Daniel, L'Ĺ“uvre sacrĂ©e de Michel Ciry, Éditions du Centre culturel Thibaud-de-Champagne, Troyes, 1982.
  • Jacques de Bourbon Busset, Michel Ciry - Dessins, Paris, Bibliothèque des arts, 1982.
  • Françoise Woimant, Marie-CĂ©cile Miessner et Anne MĹ“glin-Delcroix, De Bonnard Ă  Baselitz - Estampes et livres d'artistes, B.N.F., 1992.
  • Lydia Harambourg, L'École de Paris, 1945-1965, Dictionnaires des peintres, Ides et Calendes, 1993.
  • Jacques de Givry, Lumières de Varengeville et Solange Louvet, MĂ©moire de Varengeville, 2 vol., Les Loges-en-Josas, JDG Publications, 1994.
  • Ouvrage collectif, Peintres en Normandie, Éditions Normandie-Magazine, 1995.
  • Marie-Jeanine Solvit, La gravure contemporaine, Paris, Éditions Le Temps ApprivoisĂ©, 1996.
  • GĂ©rald Schurr, Le Guidargus de la peinture,, Les Éditions de l'Amateur, 1996.
  • Emmanuelle Tenailleau (avant-propos de StĂ©phane Cochepain, photographies d'Alain Dovifat), Michel Ciry, Association « Les amis de Michel Ciry » / Imprimerie Caplain S.A., Dieppe, 1997.
  • Emmanuel BĂ©nĂ©zit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, GrĂĽnd, 1999.
  • Jean-Pierre Delarge, Dictionnaire des arts plastiques modernes et contemporains, GrĂĽnd, 2001.
  • Olivier FrĂ©bourg (prĂ©face d'AndrĂ© Bettencourt), Michel Ciry, aquarelles, Ă©ditĂ© par l'Association des amis de Michel Ciry, 2004.
  • Sous la direction de Marc Vignal, Dictionnaire de la musique, Larousse, 2005.
  • Luc Pinson, « Deux Ă©crivains contemporains, Michel Ciry, Jacques-Pierre Amette », dans Études normandes, (ISSN 0014-2158).
  • Jeannine Burny, « Chez Michel Ciry », chapitre du livre "Le jour s'en va toujours trop tĂ´t" - Sur les pas de Maurice CarĂŞme, Éditions Racine, 2007 (lire en ligne).
  • Éric Mercier, AnnĂ©es 50 - La Jeune Peinture, tome I : L'alternative figurative ; tome II : Panorama de la Jeune Peinture, ArtAcatos, 2010.

Liens externes

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