Saint-Maixant (Gironde)
Saint-Maixant (Sent Maxenç, en occitan[1]) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).
Saint-Maixant | |||||
L'hôtel de ville. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Langon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Sud Gironde | ||||
Maire Mandat |
Alain Bernardet 2020-2026 |
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Code postal | 33490 | ||||
Code commune | 33438 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Maixantais | ||||
Population municipale |
2 014 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 262 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 34′ 47″ nord, 0° 15′ 35″ ouest | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 98 m |
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Superficie | 7,68 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Saint-Macaire (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Bordeaux (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de l'Entre-Deux-Mers | ||||
Législatives | Douzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Localisation
- Carte dynamique
- Carte Openstreetmap
- Carte topographique
- Carte avec les communes environnantes
La commune de Saint-Maixant se situe sur la rive droite (nord) de la Garonne à 42 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 4 km au nord de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à 3,5 km au nord-ouest de Saint-Macaire, ancien chef-lieu de canton. Elle constitue avec Saint-Macaire et Verdelais l'unité urbaine de Saint-Macaire.
Les communes limitrophes en sont Verdelais au nord-ouest, Saint-André-du-Bois à l'extrême nord, Le Pian-sur-Garonne à l'est et Saint-Macaire au sud-est.
Sur la rive gauche de la Garonne, se trouvent les communes de Langon au sud-est et de Toulenne au sud-ouest.
Les communes limitrophes sont Saint-André-du-Bois, Langon, Le Pian-sur-Garonne, Saint-Macaire, Semens, Toulenne et Verdelais.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sauternes », sur la commune de Sauternes, mise en service en 1896[9] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 825,2 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 42 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Saint-Maixant est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Macaire, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[19] et 9 390 habitants en 2020, dont elle est ville-centre[20] - [21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[22] - [23].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (59,9 %), zones urbanisées (17,5 %), terres arables (10,2 %), zones agricoles hétérogènes (4,3 %), eaux continentales[Note 7] (4,1 %), forêts (4 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Maixant est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau le Galouchey. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1991, 1992, 1995, 1997, 1999, 2009, 2020 et 2021[27] - [25].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 817 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 817 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2015 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[25].
Histoire
Préhistoire
Pendant le Moustérien, le site de Lavison, dans l'est de la commune à 1,5 km au nord-ouest du centre de Saint-Macaire[29], fournit de l'industrie lithique associée à une faune incluant le mégacéros[30] - [31]. Au Châtelperronien, il est occupé par des hyènes et occasionnellement par l'homme[32].
Ve siècle
La commune tient son nom de Maxentius, abbé au Ve siècle.
Temps modernes
À la Révolution, la paroisse Saint-Maixant forme la commune de Saint-Maixant, à l'exception d'une partie du territoire paroissial qui est réunie à Saint-Macaire[33].
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].
En 2020, la commune comptait 2 014 habitants[Note 8], en augmentation de 9,93 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Maixant, construite au XIIe siècle. L'abside et le chœur ont été classés au titre des monuments historique en 1925[38]. Elle abrite une statue en pierre de Vierge à l'enfant datant du XVIe siècle également classée MH[39].
- Le domaine de Malagar, demeure du XVIIIe siècle, est devenue la propriété de la famille de François Mauriac en 1843 et se situe sur une petite route au nord de la commune, à proximité de Verdelais. Il a été classé monument historique en 1996 pour divers éléments d'architecture[40]. François Mauriac a fait don de sa demeure à l'État français et le conseil régional d'Aquitaine qui en est le gestionnaire y a créé un centre culturel qui se veut, à partir de l'héritage littéraire et culturel de l'académicien, un lieu emblématique de l'action culturelle en Aquitaine[41].
- L'église Saint-Maixant.
- Le chevet de l'église Saint-Maixant.
- Le domaine de Malagar.
- À l'entrée de Saint-Maixant, rond-point annonçant Malagar.
- Le monument aux morts devant la mairie.
Personnalités liées à la commune
- François Mauriac (1885-1970)
Héraldique
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« Coupé au 1) de gueules au château couvert d’un corps carré de deux étages flanqué de deux ailes d’un étage avec communs, le tout d’argent et ajouré de sable, adextré d’un peuplier et senestré de deux cyprès sur un mont terrassé, le tout aussi d’argent, à la divise ondée d’azur brochant en pointe, au soleil d’or mouvant de l’angle dextres au chef, au 2) parti en I d’azur à la bande d’argent chargée de trois grappes de raisin de gueules à plomb, celle du centre d’or tigée et vrillée de sinople, les deux autres tigées et vrillées aussi de sinople, accompagnée de deux verres aussi d’argent, l’un en chef l’autre en pointe et en II coupé au A d’or à la tour de gueules ajourée et maçonnée de sable, accostée de deux croisettes aussi de gueules en chef et au B de gueules au léopard d’or. » Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Site officiel de Saint-Maixant
- Malagar - Centre François-Mauriac
- Malagar sur le site de la route François-Mauriac
- Résultats du recensement de la population de Saint-Maixant sur le site de l'INSEE, consulté le .
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Maixant », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
- Saint-Maixant sur le site de l'Institut géographique national, consulté le .
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Diccionari toponimic occitan de Gironda », sur locongres.org (consulté le ).
- Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 2 avril 2013.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Sauternes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Maixant et Sauternes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Sauternes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Maixant et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Saint-Macaire », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Maixant », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Lavison à Saint-Maixent, carte interactive » sur Géoportail., carte « IGN classiques » et « Hydrologie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir puis bouger la souris), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
- [Bouchud 1965] Jean Bouchud, « Le Cervus megaceros dans le sud et le sud-ouest de la France », Israel Journal of Ecology and Evolution,‎ , p. 24-37 (présentation en ligne).
- [Malvesin-Fabre 1946] G. Malvesin-Fabre, « La grotte de Lavison près de Saint-Macaire », Actes de la Société linnéenne de Bordeaux, t. 93,‎ , p. 196-198 (lire en ligne [PDF] sur wikimedia, consulté en ).
- [Lenoir 2000] Michel Lenoir, « La Préhistoire ancienne en Gironde : apport des recherches récentes », Gallia Préhistoire, no 42,‎ , p. 57-84 (lire en ligne [sur persee]), p. 63.
- Historique des communes, p. 4, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 2 avril 2013.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Classement de l'église », notice no PA00083778, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 6 avril 2011.
- « Classement de la statue », notice no PM33000726, base Palissy, ministère français de la Culture, consulté le 6 avril 2011.
- « Classement du domaine », notice no PA00083896, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 6 avril 2011.
- Site officiel de Malagar, Centre François Mauriac, consulté le 26 septembre 2011.