André Bettencourt
André Bettencourt est un journaliste, homme d'affaires et homme politique français, né le à Saint-Maurice-d'Ételan et mort le à Neuilly-sur-Seine.
André Bettencourt | |
André Bettencourt en 1967. | |
Fonctions | |
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Sénateur français | |
– (17 ans, 11 mois et 28 jours) |
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Élection | 25 septembre 1977 |
RĂ©Ă©lection | 28 septembre 1986 |
Circonscription | Seine-Maritime |
Groupe politique | RI |
Ministre des Affaires étrangères (intérim) | |
– (18 jours) |
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Président | Georges Pompidou |
Premier ministre | Pierre Messmer |
Gouvernement | Messmer I |
Prédécesseur | Maurice Schumann |
Successeur | Michel Jobert |
Ministre délégué auprès du ministre des Affaires étrangères | |
– (8 mois et 9 jours) |
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Président | Georges Pompidou |
Premier ministre | Pierre Messmer |
Ministre | Maurice Schumann |
Gouvernement | Messmer I |
Prédécesseur | Yvon Bourges |
Successeur | Jean de Lipkowski |
Ministre des Affaires culturelles (intérim) | |
– (2 mois et 19 jours) |
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Président | Georges Pompidou |
Premier ministre | Jacques Chaban-Delmas |
Gouvernement | Chaban-Delmas |
Prédécesseur | Edmond Michelet |
Successeur | Jacques Duhamel |
Ministre délégué chargé du Plan et de l'Aménagement du territoire | |
– (3 ans et 15 jours) |
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Président | Georges Pompidou |
Premier ministre | Jacques Chaban-Delmas |
Gouvernement | Chaban-Delmas |
Prédécesseur | Olivier Guichard |
Successeur | Olivier Guichard |
Ministre de l'Industrie | |
– (11 mois et 10 jours) |
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Président | Charles de Gaulle Alain Poher (intérim) |
Premier ministre | Maurice Couve de Murville |
Gouvernement | Couve de Murville |
Prédécesseur | Albin Chalandon |
Successeur | François-Xavier Ortoli |
Ministre des Postes et Télécomunications | |
– (1 mois et 9 jours) |
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Président | Charles de Gaulle |
Premier ministre | Georges Pompidou |
Gouvernement | Pompidou IV |
Prédécesseur | Yves Guéna |
Successeur | Jean Chamant |
Secrétaire d'Etat chargé des Affaires étrangères | |
– (1 an, 1 mois et 26 jours) |
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Président | Charles de Gaulle |
Premier ministre | Georges Pompidou |
Ministre | Maurice Couve de Murville |
Gouvernement | Pompidou IV |
Prédécesseur | Jean de Broglie |
Successeur | Yvon Bourges |
Secrétaire d'Etat chargé des Transports | |
– (1 an, 2 mois et 24 jours) |
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Président | Charles de Gaulle |
Premier ministre | Georges Pompidou |
Gouvernement | Pompidou III |
Prédécesseur | Marc Jacquet |
Successeur | Jean Chamant |
Député français | |
– (4 ans, 6 mois et 13 jours) |
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Circonscription | 5e de la Seine-Maritime |
Législature | Ve (Cinquième République) |
Successeur | Charles Revet |
– (1 mois et 20 jours) |
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Circonscription | 5e de la Seine-Maritime |
Législature | IVe (Cinquième République) |
Successeur | Georges Chedru |
– (1 mois et 2 jours) |
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Circonscription | 5e de la Seine-Maritime |
Législature | IIIe (Cinquième République) |
Successeur | Georges Chedru |
– (7 ans, 2 mois et 9 jours) |
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Circonscription | 5e de la Seine-Maritime |
Législature | Ire et IIe (Cinquième République) |
Successeur | Georges Chedru |
– (6 ans, 5 mois et 21 jours) |
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Circonscription | 5e de la Seine-Maritime |
Législature | IIe et IIIe (Quatrième République) |
Maire de Saint-Maurice-d'Ételan | |
– (24 ans et 5 jours) |
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Élection | 14 mars 1965 |
Prédécesseur | Victor Bettencourt |
Conseiller général de la Seine-Maritime | |
– (29 ans, 11 mois et 23 jours) |
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Circonscription | Canton de Lillebonne |
Prédécesseur | Victor Bettencourt |
Successeur | Paul Dhaille |
Biographie | |
Nom de naissance | André Marie Joseph Bettencourt |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Saint-Maurice-d'Ételan (France) |
Date de décès | |
Lieu de décès | Neuilly-sur-Seine (France) |
Sépulture | Cimetière ancien de Neuilly-sur-Seine |
Nationalité | Française |
Parti politique | FNRI |
Conjoint | Liliane Schueller |
Enfants | Françoise Bettencourt Meyers |
Fondateur des journaux La France agricole et Le Courrier cauchois, dirigeant de L'Oréal, il est député puis sénateur de la Seine-Maritime entre 1951 et 1995 et membre du gouvernement sous les présidences de René Coty, Charles de Gaulle et Georges Pompidou.
Biographie
André Marie Joseph Bettencourt[1] naît dans une vieille famille bourgeoise catholique normande ; selon Bruno Abescat, il s'agirait de la famille du navigateur Jean de Béthencourt[2]. Son père, Victor, est avocat à la Cour d'appel de Paris et conseiller général de la Seine-Inférieure[3] ; sa mère se nomme Marie-Jeanne de Chalendar[4]. Son frère aîné, Pierre (1917–2006), deviendra artiste.
Étudiant en droit dans les années 1935–1937, résidant à l’internat des pères maristes situé au 104 rue de Vaugirard à Paris, il fréquente des membres de la Cagoule en compagnie de ses amis Pierre de Bénouville, Claude Roy et François Mitterrand[5]. Il rencontre aussi Eugène Schueller, fondateur de L'Oréal et père de sa future épouse, Liliane[6].
C'est le début d'une longue carrière politique et d'une longue carrière dans le groupe L'Oréal.
Le , il épouse Liliane Schueller dont il a eu une fille unique, Françoise Bettencourt Meyers.
Il est élu membre de l'Académie des beaux-arts de l'Institut de France (section VI, membres libres) le , au fauteuil de Michel Faré.
Il meurt en 2007.
Collaboration
Il dirige entre 1940 et 1942 l'hebdomadaire collaborationniste La Terre française, dans lequel il rédige la chronique « Ohé ! les Jeunes ! » Dans un article intitulé « La dénonciation serait-elle un devoir ? », il affirme que « les jeunes doivent être, dans chaque village, les agents du Maréchal, la police de la révolution[2] - [7] » Le , il y écrit « Les juifs, les pharisiens hypocrites n’espèrent plus. Pour eux l’affaire est terminée. Ils n’ont pas la foi. Ils ne portent pas en eux la possibilité d’un redressement. Pour l’éternité leur race est souillée par le sang du juste[8]. »
Résistance inventée
Ses mémoires mentionneront en fait de faux états de service dans la Résistance[9]. Au début de 1943, il serait entré dans la Résistance, au sein du Rassemblement national des prisonniers de guerre. Dans la nuit du 15 au , il aurait aidé François Mitterrand à rejoindre Londres en avion. Il aurait été arrêté la même année par la Gestapo à Nancy et aurait été incarcéré, il se serait évadé et serait devenu agent de liaison du CNR en Suisse[10] - [11], puis membre de la délégation à Berne du gouvernement d'Alger[3]. Cependant, son rôle à Genève a été contesté par le député suisse Charles Poncet, de même Serge Klarsfeld déclare n'avoir trouvé aucune preuve de l'engagement de Bettencourt avant [12].
À la Libération, il rejoint le Mouvement national des prisonniers de guerre et déportés (MNPG, issu de la fusion entre le RNPG et les autres réseaux de résistance de prisonniers et déportés)[13], et reçoit la Croix de guerre 1939-1945, la rosette de la Résistance et la Croix de chevalier de la Légion d'honneur[3]. Grâce à son témoignage et celui de son ami François Mitterrand, Eugène Schueller son beau-père, fondateur de L'Oréal, évite l'épuration[12]. Ces témoignages n'ont pas de valeur de par leur subjectivité, puisqu'il s'agit tous d'anciens membres de la Cagoule, une organisation d'extrême-droite.
Député
André Bettencourt s'engage en politique : il échoue aux législatives de 1946 mais succède à son père comme conseiller général de Lillebonne à la mort de celui-ci en 1947 et entre au conseil municipal de Saint-Maurice-d'Ételan. Élu à l'Assemblée nationale en 1951 sous l'étiquette de l'Union des indépendants paysans et des républicains nationaux, il siège à la commission de la presse et à celle des territoires d'outre-mer, intervenant particulièrement sur le conflit indochinois en demandant la mise en place de négociations. Cette position le rapproche de Pierre Mendès France qui le fait entrer dans son cabinet comme secrétaire d'État à la Présidence du Conseil chargé de la coordination des services de l'information en [3].
Réélu en 1956 sur la liste des indépendants paysans avec Pierre Courant, il participe à la Commission de la marine marchande. Il soutient les derniers gouvernements de la IVe république, approuve les traités créant la Communauté économique européenne et Euratom et vote les pouvoirs spéciaux en Algérie le , puis les pleins pouvoirs à De Gaulle et la révision constitutionnelle[3].
Réélu à l'Assemblée nationale jusqu'en 1977, dont il est vice-président de la commission des Affaires étrangères entre 1962 et 1965, puis sénateur de 1977 à 1995, il intègre la Fédération nationale des républicains indépendants dont il est vice-président de 1966 à 1971.
Le , André Bettencourt vote la loi dépénalisant l'avortement dite « loi Veil »[14].
Ministre
Il est nommé ministre sans interruption de 1966 à 1973, étant en particulier simultanément ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé du Plan et de l'Aménagement du territoire (cabinet de Jacques Chaban-Delmas) et chargé de l'intérim du ministre des Affaires culturelles, à la mort d'Edmond Michelet. Grâce à ce double mandat ministériel, il a pu autoriser l'exploitation d'une mine de bauxite à ciel ouvert par Pechiney, dans le site naturel classé des Baux-de-Provence[15]. Ministre délégué auprès du ministre des Affaires étrangères, il organise en septembre 1973 pour Georges Pompidou, la première visite présidentielle française en Chine depuis la prise de pouvoir par les communistes[16], et fut à ce titre l'un des rares hommes politiques français à avoir dialogué en direct avec Mao-Tsé Toung[17].
Maire
Localement, il devient maire de Saint-Maurice-d'Ételan en 1965, conserve son mandat de conseiller général de Seine-Maritime jusqu'en 1979, et préside le conseil régional de Haute-Normandie de 1974 à 1981. Il participe à la création du district Lillebonne-Notre-Dame-de-Gravenchon[18], et du syndicat départemental de l'eau. Il est également l'initiateur du parc naturel régional de Brotonne, du prolongement de l'autoroute de Normandie et du développement du port du Havre[19].
En 1986, il est très brièvement cité comme premier ministre possible de François Mitterrand dans le cadre du premier gouvernement de cohabitation du fait de leur ancienne amitié[19].
Les mémoires, qu'il dicte entre 1998 à 1999 à Diane de Clairval, ex-directrice de la Fondation Bettencourt Schueller[20], sont le témoignage d'un homme défait au passé terni par de sombres révélations. Ses Souvenirs tentent d'effacer l'accusation d'antisémitisme dont il fait alors l'objet, notamment aux yeux de son gendre Jean-Pierre Meyers, juif dont une partie de la famille a disparu dans les camps de concentration[9].
Dans les affaires
À la fin de la guerre, il reprend sa carrière journalistique en fondant et dirigeant, aux côtés de Paul Desbruyères, Le Journal agricole devenu plus tard Journal de la France agricole puis La France agricole. Il fusionne le Petit-Cauchois et le Réveil d’Yvetot pour créer Courrier cauchois le , dans lequel il publie jusqu'à sa mort, des éditoriaux lors des événements importants et des échéances électorales[17].
André Bettencourt intègre la direction de L'Oréal, en 1950 (année de son mariage avec Liliane), travaillant au sein du groupe Nestlé. Il quitte le groupe en 1995[21].
En 1989, Jean Frydman, administrateur israélien de Paravision, filiale audiovisuelle de L'Oréal, est évincé par François Dalle, sous la pression de la Ligue arabe[22]. Frydman révèle alors le passé fasciste du milliardaire ainsi que celui de plusieurs autres dirigeants de L'Oréal sous l'Occupation, contraignant André Bettencourt à quitter la vice-présidence du groupe en [22], et à exprimer ses regrets pour ce qu'il qualifie d'« erreur de jeunesse[12]. »
Il finance les campagnes d'hommes politiques, notamment ceux affiliés au Parti républicain, une formation de droite soutenant Valéry Giscard d'Estaing. Il aurait également contribué à la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007[23].
Mandats et fonctions
Conseiller général de la Seine-Maritime
- 1946–1979 (canton de Lillebonne ).
Maire de Saint-Maurice-d'Ételan
- 1965–1989.
Président du conseil régional de Haute-Normandie
- 1974–1981.
Député de la Seine-Inférieure puis de la Seine-Maritime
- – (Indépendants et paysans d'action sociale) ;
- – (Indépendants et paysans d'action sociale) ;
- – (Indépendants et paysans d'action sociale) ;
- – (Républicains indépendants) ;
- – (Républicains indépendants) ;
- – (Républicains indépendants) ;
- – (Républicains indépendants).
SĂ©nateur de la Seine-Maritime
- – ;
- – .
Fonctions gouvernementales
- secrétaire d'État à la présidence du Conseil, dans le gouvernement Pierre Mendès France (du au ) ;
- secrétaire d’État aux Transports, dans le gouvernement Georges Pompidou (3) (du au ) ;
- secrétaire d’État aux Affaires étrangères, chargé de la coopération, dans le gouvernement Georges Pompidou (4) (du au ) ;
- ministre des Postes et Télécommunications, dans le gouvernement Georges Pompidou (4) (du au ) ;
- ministre de l'Industrie, dans le gouvernement Maurice Couve de Murville (du au ) ;
- ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé du Plan et de l'Aménagement du territoire, dans le gouvernement Jacques Chaban-Delmas (du au ) ;
- ministre des Affaires culturelles (par intérim), dans le gouvernement Jacques Chaban-Delmas (du au ) ;
- ministre délégué auprès du ministre des Affaires étrangères, dans le gouvernement Pierre Messmer (1) (du au ) ;
- ministre des Affaires étrangères (par intérim), dans le gouvernement Pierre Messmer (1) (du au ).
DĂ©corations
Notes et références
- www.assemblee-nationale.fr
- Bruno Abescat, Liliane Bettencourt. Les secrets de la première fortune de France, L'Express no 2578, .
- Biographie d'André Bettencourt sur le site de l'Assemblée nationale
- Acte de naissance à Saint-Germain-en-Laye, du , de Marie Jeanne Clémence Françoise de Chalendar, née ce jour, fille de Ferdinand de Chalendar, major au 11e régiment de chasseurs à cheval, âgé de quarante ans, et de Esther Adèle Marie Alexandrine Roguin, âgée de vingt-six ans ; mariés à Valenciennes (Nord) le - Archives départementales en ligne - Saint-Germain-en-Laye (1883-1883 ; vue 66/77).
- Pierre Péan, Une jeunesse française, François Mitterrand 1934-1947, Fayard 1998, p. 229
- Sébastian SEIBT, « André Bettencourt, un puissant donateur au passé trouble », sur france24.com,
- Article publié le 11 octobre 1941, dans La Terre française, cité par Charles Poncet, Nestlé, Bettencourt & les nazis, L'Aire, 1996. (ISBN 9782881083211)
- « Propos insupportables » L'Humanité, 14 février 1995
- Ian Hamel, L'Affaire Bettencourt : derniers secrets, Archipel, (lire en ligne), p. 23-29.
- Belot et Karpman 2009.
- Franz-Olivier Giesbert, François Mitterrand : une vie, Éditions du Seuil, , 762 p. (ISBN 978-2-02-029760-8, lire en ligne)
- (en) « André Bettencourt », Telegraph, 23 novembre 2007.
- Jean Lacouture, Mitterrand, une histoire de français, éd. du Seuil, « Points », p. 85 et 100
- http://www.assemblee-nationale.fr/histoire/interruption/1974-12-20s.pdf
- , Michel Beaud, Pierre Danjou et Jean David, Une multinationale française, Seuil, 1975 p. 240
- « Décès d'André Bettencourt, ancien ministre du général de Gaulle » brève AFP, LeMonde.fr, 19 novembre 2007, 18 h 45
- Étienne Banzet « André Bettencourt est décédé à l’âge de 88 ans » Fil-fax, 20 novembre 2007
- « La courtoisie du “grand parrain” » Paris Normandie, 20 novembre 2007
- Christophe dupuis, « Un homme de projet », Le Courrier cauchois, 23 novembre 2007, p. 5
- Ils sont, selon sa volonté, non publiés mais distribués à ses proches au lendemain de sa mort en 2007.
- Nestlé : Liliane Bettencourt, la sombre fin de vie d'une héritière, zonebourse, le 21/09/2017.
- Nicole Vulser, « Un siècle de beauté trouble », Le Monde, 8 juillet 2010.
- « André Bettencourt, un puissant donateur au passé trouble », sur France 24,
- « Base des médaillés de la résistance »
- (it) « Le onorificenze della Repubblica Italiana », sur quirinale.it (consulté le ).
Annexe
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives Ă la vie publique :
- Ressource relative Ă la recherche :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Biographie sur le site de l'Académie des Beaux-Arts
- Article du magazine Forbes sur le passé de L'Oréal
Bibliographie
- Michel Bar-Zohar, écrit en collaboration avec Olivier Stupp, Une histoire sans fard. L'Oréal, des années sombres au boycott arabe, Fayard, 1996. Bitter Scent: The Case of L'Oréal, Nazis, and the Arab Boycott (Londres, Dutton Books : 1996)
- Jean-Pierre Chaline, « André Bettencourt (1919-2007) », dans Études normandes (ISSN 0014-2158), 2008-1
- Robert Belot et Gilbert Karpman, L'Affaire suisse : La RĂ©sistance a-t-elle trahi de Gaulle ?, Armand Colin, , 436 p. (ISBN 978-2-200-24381-4, lire en ligne)
- (en) Tom Sancton. The Bettencourt Affair. The World's Richest Woman and the Scandal That Rocked Paris. Dutton, 2018. (ISBN 9781101984482), (ISBN 9781101984475), (ISBN 9781101984499)
- Sébastien Le Fol, En bande organisée : Mitterrand, le pacte secret, Paris, Albin Michel, 2023, 288 p. (ISBN 978-2-22647-387-5).