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Manduel

Manduel est une commune française située dans le sud-est du département du Gard, en région Occitanie.

Manduel
Manduel
façade de l'église Saint-Genest de Manduel
Blason de Manduel
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Nîmes
Intercommunalité Communauté d'agglomération Nîmes Métropole
Maire
Mandat
Jean-Jacques Granat
2020-2026
Code postal 30129
Code commune 30155
Démographie
Gentilé Manduellois
Population
municipale
7 092 hab. (2020 en augmentation de 8,41 % par rapport à 2014)
Densité 268 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 49′ 10″ nord, 4° 28′ 27″ est
Altitude Min. 50 m
Max. 77 m
Superficie 26,46 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Manduel
(ville-centre)
Aire d'attraction Nîmes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Marguerittes
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Manduel
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Manduel
Liens
Site web http://www.manduel.fr/

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Buffalon, la Roubine. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « costières nîmoises »), un espace protégé (les « Costières de Nimes ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Manduel est une commune urbaine qui compte 7 092 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est ville-centre de l'agglomération de Manduel et fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Manduellois ou Manduelloises.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : la borne milliaire, classée en 1973, et l'église, classée en 2016.

    Géographie

    Localisation

    Manduel est située à environ 10 km au sud-est de Nîmes et se trouve à une distance, à vol d'oiseau, d'environ 110 km de Marseille, 240 km de Lyon et Toulouse et 625 km de Paris. Les communes de Rodilhan, Marguerittes, Redessan, Beaucaire, Bellegarde et Bouillargues sont limitrophes de la commune de Manduel. Elle est la ville-centre d'une unité urbaine de l'aire urbaine de Nîmes. Les communes limitrophes sont Beaucaire, Bellegarde, Bouillargues, Marguerittes, Redessan et Rodilhan.

    Hydrographie et relief

    La commune est proche du Rhône et de la Provence, non loin du plateau des Costières contre lequel elle s'appuie.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 13,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 17,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 671 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922[6] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7] - [Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[8], à 15,1 °C pour 1981-2010[9], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[10].

    Axes ferroviaires

    Un TER entre en gare (2011).

    Manduel est desservie par des trains TER Languedoc-Roussillon qui circulent entre les gares d'Avignon-Centre et de Narbonne, ou Montpellier-Saint-Roch, ou Nîmes.

    Axes routiers

    La commune jouxte la route départementale 999, reliant Nîmes à Beaucaire.

    Transports en commun

    Le village est desservi par la ligne 32 du réseau de bus Tango qui relie Nîmes et Manduel en passant par Rodilhan. De plus, la ligne 33 qui fait la navette entre les deux gares (Nîmes et Pont du Gard) dessert également Manduel avec un arrêt sur la route de Beaucaire, tout comme la ligne 31 qui relie le village voisin de Redessan et Nîmes.

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[11] - [12].

    Un espace protégé est présent sur la commune : les « Costières de Nimes », un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels, d'une superficie de 2 027 ha[13].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « costières nîmoises »[15], d'une superficie de 13 479 ha, qui accueillait, en 2004, 300 mâles chanteurs, soit 60% des mâles reproducteurs de la région et près du quart des mâles reproducteurs en France[16].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[17] : la « plaine de Manduel et Meynes » (9 783 ha), couvrant 15 communes du département[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Manduel est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [19] - [I 1] - [20].

    Elle appartient à l'unité urbaine de Manduel, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[I 2] et 10 929 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[I 3] - [I 4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 5] - [I 6].

    Manduel est l'une des 79 communes membres du Schéma de Cohérence Territoriale SCOT du Sud du Gard (voir lien) et fait également partie des 41 communes du Pays Garrigues Costières.

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (62,7 %), zones agricoles hétérogènes (18,9 %), zones urbanisées (10,2 %), prairies (5,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %), terres arables (0,7 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Manduel est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Nîmes, regroupant 20 communes soumises aux aléas de ruissellement pour la commune de Nîmes et de débordements de cours d’eau, notamment du Vistre, d'un de ses affluents, le Rhôny, et plus à la marge du Rhône, à l’aval, un des 31 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée[24]. Les événements significatifs passés relatifs à la Vistre sont des crues rapides et violentes, qui causent d’importants dégâts, voire des pertes humaines (octobre 1988, septembre 2002, décembre 2003, septembre 2005 notamment). Concernant le Rhôny, les principales crues recensées à Codognan ont eu lieu en 1845, 1933, 1945, 1958, 1963, 1976, 1987 et en octobre 1988. Cette dernière est la plus importante et marquante pour la population nîmoise. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[25] - [26]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987, 1988, 1990, 1999, 2002, 2003, 2005, 2011 et 2021[27] - [22].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Manduel.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 539 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 2539 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[30].

    Toponymie

    Le nom officiel en français est une francisation du nom occitan Manduèlh. Il provient du latin Mandolium[31].

    Ses habitants sont les Manduellois et Manduelloises.

    Histoire

    Préhistoire

    Le territoire de la commune est occupé depuis des temps forts reculés. Des silex taillés rapportés au Gravettien (25 000 ans environ) ont été retrouvés lors de fouilles de sauvetages menées par F. Bazile du CNRS (Vauvert) et son équipe durant l'été 2000. L'emplacement d'un campement de chasseurs gravettiens était matérialisé par plusieurs structures en galet de la costière, dont un foyer nettement circonscrit. Les ossements n'ont malheureusement pas été conservés. En revanche, les nombreux outils taillés en silex, grattoirs, burins, lamelles à dos et surtout pointes de la Gravette évoquent un temps d'occupation d'au moins plusieurs jours en relation avec la chasse et les activités qui y sont liées (découpe, tannage ?). De plus la présence de fragments de coquillages (parures) et d'ocre témoignent de préoccupations autres que la simple prédation[32].

    D'autres occupations préhistoriques sont également connues près de l'étang de Campuget, toujours sur le territoire communal. On trouve enfin les traces des premiers agriculteurs datant d'environ 4 000 ans avant notre ère et qui cultivaient de la vigne[33].

    Antiquité

    Mais c'est au IVe siècle av. J.-C. qu'un gaulois nommé Manduos s'y installe, fuyant alors Nîmes, déjà important centre régional. Il nomme l'endroit « Mandolios », littéralement « La clairière de Manduos ».

    Moyen Âge

    Le village est mentionné en 943 In terminium de villa Mandolio dans le cartuaire du chapitre cathédral de Notre-Dame de Nîmes[34]. Au XIIe siècle, le territoire appartenait aux puissants Comtes de Toulouse. Il passa au XIVe siècle sous la domination de Guillaume de Nogaret, seigneur de Calvisson, et resta aux mains de ses héritiers jusqu'à la Révolution française.

    Vue panoramique.

    Époque contemporaine

    En 1849 le chemin de fer traverse la commune avec l'ouverture de la section de Nîmes à Beaucaire, de la future ligne de Tarascon à Sète-Ville. Sur la commune se situe la gare de Manduel - Redessan.

    L'engouement pour le sud-est de la France et l'arrivée en 2001 de la ligne à grande vitesse Méditerranée, mettant la région nîmoise à 2 h 52 de Paris en TGV, ont contribué à l'essor démographique de la commune. Sa population a quadruplé en trente ans pour atteindre aujourd'hui près de 6?000 habitants.

    Le , Doria Carillo, Manduelloise de dix-huit ans et porte-drapeau de la section locale de l'UNC, invitée aux commémorations de la fête nationale à Paris, assiste au défilé et participe au ravivage de la flamme du soldat inconnu[35].

    Politique et administration

    Mairie de Manduel

    Liste des maires

    Liste des maires successifs depuis 1945
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1947 Joseph Funel
    1947 1959 Léonce Fabre
    1959 1965 David Guiot
    1965 1971 Joseph Thibaut
    1971 1977 Michel Brun
    1977 1996 André Mazoyer
    1996 2001 Michel Gaini
    2001 2014 Marie-Louise Sabatier PS Vice-présidente de Nîmes Métropole
    avril 2014 En cours Jean-Jacques Granat UMP puis LR Agent technique
    Vice-président de Nîmes Métropole
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].

    En 2020, la commune comptait 7 092 habitants[Note 8], en augmentation de 8,41 % par rapport à 2014 (Gard : +2,1 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0551 1581 2281 3961 4601 4711 5191 6171 707
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 9082 0532 1002 1162 0371 9261 9491 9111 630
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6401 6201 5581 5021 4801 4761 4591 0961 314
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 5731 6492 3893 5545 5795 7485 7295 7216 346
    2018 2020 - - - - - - -
    6 8717 092-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • La fête votive (de dévotion, fête dédiée au saint patron du village) honore saint Genest et se déroule chaque année le premier dimanche suivant le 26 août. Elle est l'occasion de festivités durant plusieurs jours. C'est une des principales attractions touristiques de la ville de Manduel.
    • À côté de célébrations à caractère national (Fête du travail, commémoration du 8 mai 1945, Fête de la musique…) la commune organise également chaque été entre mai et juin une semaine du patrimoine.

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 2 837 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 7 018 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 070 â‚¬[I 7] (20 020 â‚¬ dans le département[I 8]). 47 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 10] (43,9 % dans le département).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 9]6,4 %10,2 %10,4 %
    Département[I 10]10,6 %12 %12 %
    France entière[I 11]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 Ã  64 ans s'élève à 4 153 personnes, parmi lesquelles on compte 75,6 % d'actifs (65,2 % ayant un emploi et 10,4 % de chômeurs) et 24,4 % d'inactifs[Note 11] - [I 9]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3] - [I 12]. Elle compte 1 090 emplois en 2018, contre 1 097 en 2013 et 1 053 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 2 749, soit un indicateur de concentration d'emploi de 39,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56,6 %[I 13].

    Sur ces 2 749 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 535 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 88 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,6 % les transports en commun, 6,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

    Secteurs d'activités

    461 établissements[Note 12] sont implantés à Manduel au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13] - [I 16].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble461100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    398,5 %(7,9 %)
    Construction11324,5 %(15,5 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    9821,3 %(30 %)
    Information et communication71,5 %(2,2 %)
    Activités financières et d'assurance102,2 %(3 %)
    Activités immobilières204,3 %(4,1 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    6413,9 %(14,9 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    7716,7 %(13,5 %)
    Autres activités de services337,2 %(8,8 %)

    Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 24,5 % du nombre total d'établissements de la commune (113 sur les 461 entreprises implantées à Manduel), contre 15,5 % au niveau départemental[I 17].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[42] :

    • Bert Nimes, transports routiers de fret de proximité (10 537 k€)
    • SAS Gernel, supermarchés (8 779 k€)
    • Transports Gentes Jacky, transports routiers de fret de proximité (4 405 k€)
    • Chateau De Campuget, culture de la vigne (2 958 k€)
    • SARL Entreprise Bedos, travaux de menuiserie métallique et serrurerie (2 286 k€)

    Agriculture

    La commune est dans la « Plaine Viticole », une petite région agricole occupant le sud-est du département du Gard[43]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations170836961
    SAU[Note 15] (ha)2 0031 4201 1791 083

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 170 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 83 en 2000 puis à 69 en 2010[45] et enfin à 61 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 64 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[46] - [Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 2 003 ha en 1988 à 1 083 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 12 à 18 ha[45].

    Produits labellisés

    Bien que diversifiée (abricotiers, pêchers, bananiers, oliviers), l'essentiel de l'économie agricole repose sur la vigne.

    Située dans le terroir de l'AOC « Costières de Nîmes » (anciennement appelées « Costières du Gard »), la commune possède sa propre cave coopérative depuis 1926[47]. Elle abrite également un domaine d'environ 160 ha, dénommé « Château de Campuget », où un exploitant privé produit principalement des vins rouges et rosés, dont 70 % sont destinés à l'exportation.et bananeraies importantes

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    Borne milliaire d'Antonin-le-Pieux, situé sur la place de la mairie de Manduel
    • La borne milliaire d'Antonin le Pieux Logo monument historique Classé MH (1973)[48], élevée en 145 apr. J.-C., est l’une des bornes que les Romains posaient sur les routes principales, tous les mille pas. Provenant de la Voie Domitienne qui reliait Narbonne à Arles, elle porte une inscription en latin. Très lisiblement, on apprend que c’est Antonin le Pieux qui l’érigea lors des réparations de la Via Domitia. Le chiffre VII qui se trouve à la dernière ligne nous indique qu’elle marquait le 7e mille entre Nîmes et Beaucaire. Ce milliaire fut découvert en 1861, lors de la démolition de la vieille église de Manduel, sous le pavé de l’édifice. Par sa conservation presque parfaite et pour assurer sa protection, cette borne a fait l’objet d’un classement aux monuments historiques. Elle se trouve actuellement face à l’hôtel de ville.
    • Le château de Campuget.

    Édifices religieux

    L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 2016[49].

    L'église actuelle du village, de style romano-byzantin, résulte de la décision du conseil municipal du 11 mai 1856, décidant de la construction d'un nouvel édifice religieux sur l'emplacement de l'ancienne église, alors détruite. Construite durant les années 1855-1860 par l'architecte Henri Révoil, l'église trône désormais au centre du village, comptant plusieurs tableaux et objets mobiliers inscrits à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques : grilles latérales du chœur et Banc des Marguilliers (1862), L’Arrestation de saint Genest patron de la paroisse, de J.-B. Lacroix (1842) et enfin La Mort de saint Joseph, œuvre anonyme dont la datation pourrait remonter au XVIIe siècle.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason de Manduel Blason
    D’or à la cotice d’argent fuselée de trois pièces de sinople[34].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Autrefois les armoiries de Manduel représentaient une main ouverte et deux yeux. Ces armoiries étaient peintes sur le drapeau des consuls. Il s'agissait d'un rébus héraldique : Man-d'ieulx, le nom du village aux XVe et XVIe siècles étant Mandueil[34].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[14].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    10. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    12. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    15. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[44].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
    2. « Unité urbaine 2020 de Manduel » (consulté le ).
    3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Manduel » (consulté le ).
    8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Manduel » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Manduel » (consulté le ).
    14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Manduel » (consulté le ).
    17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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    8. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    9. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    12. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    13. « les « Costières de Nimes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    15. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Manduel », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « site Natura 2000 FR9112015 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
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    18. « ZNIEFF la « plaine de Manduel et Meynes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    45. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Manduel - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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    47. Maurice Milhaud, La coopération dans une commune viticole (Manduel, Gard). Influence des institutions d'entr'aide et de coopération sur le développement économique et social. Thèse présentée à la Faculté des Sciences économiques et sociales de l'Université de Genève. Thèse n°28. Presses universitaires de France, Paris, 1931. 132 p. + une carte., p. 27.
    48. Notice no PA00103071, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    49. « Eglise paroissiale », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

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