Redessan
Redessan est une commune française située dans le sud-est du département du Gard, en région Occitanie.
Redessan | |
Mairie. | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Gard |
Arrondissement | Nîmes |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Nîmes Métropole |
Maire Mandat |
Fabienne Richard-Trinquier 2020-2026 |
Code postal | 30129 |
Code commune | 30211 |
Démographie | |
Gentilé | Redessanais / Redessanaises |
Population municipale |
4 135 hab. (2020 ) |
Densité | 266 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 49′ 59″ nord, 4° 29′ 51″ est |
Altitude | 56 m Min. 54 m Max. 76 m |
Superficie | 15,57 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Manduel (banlieue) |
Aire d'attraction | Nîmes (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Redessan (bureau centralisateur) |
Législatives | Sixième circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Buffalon. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « costières nîmoises »), un espace protégé (les « Costières de Nimes ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Redessan est une commune urbaine qui compte 4 135 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération de Manduel et fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Redessanais ou Redessanaises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : la Via Domitienne, inscrite en 1987.
Géographie
Commune située dans l'aire urbaine de Nîmes sur la ligne Tarascon - Sète-Ville et l'ancienne route nationale 99 entre Nîmes et Beaucaire.
Les communes de Bezouce, Marguerittes, Manduel, Jonquières-Saint-Vincent, Beaucaire et Meynes sont limitrophes de la commune de Redessan.
Redessan est l'une des 79 communes membres du Schéma de Cohérence Territoriale (SCOT) du Sud du Gard (voir lien) et fait également partie des 41 communes du pays Garrigues et Costières de Nîmes.
Hydrographie et Relief
La commune est proche du Rhône et de la Provence, non loin du plateau des Costières contre lequel elle s'appuie.
Transports en commun
La commune est desservie par la ligne 31, 33 et 212 du réseau de bus Tango qui relie Nîmes et Redessan.
Axes ferroviaires
Redessan est desservie par des trains TER Occitanie qui circulent entre les gares d'Avignon-Centre et de Narbonne, ou Montpellier-Saint-Roch, ou Nîmes.
La gare TGV (gare de Nîmes-Pont-du-Gard) se situe à cheval sur la commune de Redessan et celle de Manduel.
Le contournement ferroviaire de Nîmes et de Montpellier se situe lui aussi sur une partie de la commune.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Meynes », sur la commune de Meynes, mise en service en 1966[6] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[7] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 15 °C et la hauteur de précipitations de 734,5 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 11 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[12].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13] - [14].
Un espace protégé est présent sur la commune : les « Costières de Nimes », un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels, d'une superficie de 2 027 ha[15].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « costières nîmoises »[17], d'une superficie de 13 479 ha, qui accueillait, en 2004, 300 mâles chanteurs, soit 60% des mâles reproducteurs de la région et près du quart des mâles reproducteurs en France[18].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[19] : la « plaine de Manduel et Meynes » (9 783 ha), couvrant 15 communes du département[20].
Urbanisme
Typologie
Redessan est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [21] - [I 1] - [22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Manduel, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[I 2] et 10 929 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3] - [I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 5] - [I 6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (65,2 %), zones agricoles hétérogènes (23,6 %), zones urbanisées (10,7 %), terres arables (0,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Redessan est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité modérée)[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Nîmes, regroupant 20 communes soumises aux aléas de ruissellement pour la commune de Nîmes et de débordements de cours d’eau, notamment du Vistre, d'un de ses affluents, le Rhôny, et plus à la marge du Rhône, à l’aval, un des 31 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée[26]. Les événements significatifs passés relatifs à la Vistre sont des crues rapides et violentes, qui causent d’importants dégâts, voire des pertes humaines (octobre 1988, septembre 2002, décembre 2003, septembre 2005 notamment). Concernant le Rhôny, les principales crues recensées à Codognan ont eu lieu en 1845, 1933, 1945, 1958, 1963, 1976, 1987 et en octobre 1988. Cette dernière est la plus importante et marquante pour la population nîmoise. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[27] - [28]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1990, 1998, 2002 et 2021[29] - [24].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 407 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1407 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[31].
Toponymie
Attesté sous la forme Villa de Rediciano, in comitatu Nemausense (cartulaire de Notre-Dame de Nîmes, chapitre 197) en 909. Le nom de la localité est issu de l'anthroponyme latin Reticius suivi d’-anum, suffixe latin de propriété[32] ou encore du nom de personne gaulois *Reticianus (non attesté), forme masculine du nom de personne féminin Reticiana, pris absolument[33].
Héraldique
Blason | D'argent à la tour de gueules maçonnée de sable d'où isse un dextrochère armé tenant une épée, le tout de sable, senestré d'un pal de gueules chargé d'ondes d'argent. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Liste des maires
Canton
La commune faisait partie du canton de Marguerittes jusqu'en 2015.
Après 2015, la commune fait partie du Canton de Redessan et de la 6e Circonscription du Gard dont elle est le bureau centralisateur.
Intercommunalité
La commune fait partie de la communauté d'agglomération Nîmes Métropole (CANIM), dont le siège se trouve à Nîmes.
Manifestations culturelles et sociétés
La fête votive se déroule chaque année le week-end suivant le . Elle est l'occasion de festivités durant plusieurs jours. C'est une des principales attractions touristiques du village.
Depuis 2015, Redessan accueille chaque année le "Festival de cinéma argentique en plein air"[35]. Il est organisé par l'association "Jean-Paul Boyer, Culture et Cinéma", en mémoire de ce Redessanais qui fonda en 1959 dans le village un laboratoire cinématographique lié à la Cinémathèque française[36]. L'édition 2019[37] a réuni plus de 1 500 cinéphiles.
La commune organise les célébrations à caractère national (Fête du travail, commémoration des armistices de guerre, Fête de la musique…).
Sports
La ville de Redessan est impliquée dans la vie sportive avec une vingtaine de sports différents (Foot, Tennis, Danse, Boule, Chasse, etc)
Vie associative
De nombreuses associations sont présentes dans le village.
Médias
Un correspondant du journal Midi libre est présent dans le village.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].
En 2020, la commune comptait 4 135 habitants[Note 8], en augmentation de 0,93 % par rapport à 2014 (Gard : +2,1 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économies
Agriculture
Bien que diversifiée (abricotiers, pêchers, oliviers), l'essentiel de l'économie agricole repose sur la vigne. Située dans le terroir de l'AOC « Costières de Nîmes » (anciennement appelées « Costières du Gard »), la commune possède sa propre cave coopérative.
Artisanat et commerces
La commune à plus de 100 dans des domaines différents (santé, alimentation, bâtiment, café, restaurant, etc)
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Via Domitia (tronçon ; également sur communes de Jonquières-Saint-Vincent et Beaucaire, dans le Gard, et Castelnau-le-Lez, dans l'Hérault). Route (Antiquité), inscription MH , propriété de la commune. Adresse : sur le chemin vieux de Jonquières, dit chemin romain. Plusieurs bornes milliaires sont ainsi situé le long de cette voix et sont visibles dans la commune.
- Église Saint-Jean-Baptiste de Redessan.
Personnalités liées à la commune
- Jean-Paul Boyer (1921-1974) est un restaurateur de films cinématographiques et réalisateur français.
- Jean-Marie Marconot vit dans la commune et a écrit un ouvrage à son sujet.
- Mathieu Michel originaire de la commune, il devient footballeur professionnel évoluant notamment au Nîmes Olympique et actuellement à l'AJ Auxerre.
Jumelages
Voir aussi
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[16].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Site de l'Insee
- « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Manduel » (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
Autres sources
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Meynes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Redessan et Meynes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Meynes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Redessan et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « les « Costières de Nimes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Redessan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9112015 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Redessan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « plaine de Manduel et Meynes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Redessan », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 », sur https://www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr (consulté le )
- « cartographie des risques d'inondations du TRI de Nîmes », sur https://www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr/ (consulté le )
- « 0 », sur https://www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr/ (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Redessan », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989 (ISBN 2-85023-076-6), p. 559b.
- Ernest Nègre : Toponymie générale de la France (lire en ligne)
- https://archive.org/stream/EL066L197303030021PFPdfmasterocr/EL066_L_1973_03_030_02_1_PF_pdfmasterocr#page/n7/mode/2up
- « Gard : déjà la 5e édition du festival argentique à Redessan », sur midilibre.fr (consulté le ).
- Bernard Bastide, « « Jean-Paul Boyer : l'urgentiste des images » », La Gazette de Nîmes,‎ , p. 24-27.
- (en) « Home Page », sur Association Jean-Paul Boyer, Festival de cinéma argentique (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :