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Latour-de-Carol

Latour-de-Carol (La Tor de Querol en catalan) est une commune française, situĂ©e en Cerdagne, dans le sud-ouest du dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Orientales en rĂ©gion Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la Cerdagne, une haute plaine Ă  une altitude moyenne de 1 200 m d'altitude, qui s'Ă©tend d'est en ouest sur une quarantaine de kilomĂštres entre Mont-Louis et Bourg-Madame.

Latour-de-Carol
Latour-de-Carol
Début de la ligne ferroviaire de Cerdagne et de ses « petits trains jaunes » à Latour-de-Carol.
Blason de Latour-de-Carol
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Prades
Intercommunalité Communauté de communes Pyrénées Cerdagne
Maire
Mandat
CĂ©cile Houyau
2020-2026
Code postal 66760
Code commune 66095
DĂ©mographie
Gentilé Carolans
Population
municipale
450 hab. (2020 en augmentation de 6,64 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 36 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 42° 27â€Č 57″ nord, 1° 53â€Č 23″ est
Altitude Min. 1 209 m
Max. 2 080 m
Superficie 12,63 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Pyrénées catalanes
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Latour-de-Carol
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Latour-de-Carol
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Latour-de-Carol
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Latour-de-Carol

    ExposĂ©e Ă  un climat de montagne, elle est drainĂ©e par le Riu de Querol, Riu de Salit, Riu de TarterĂšs et par un autre cours d'eau. Incluse dans le parc naturel rĂ©gional des PyrĂ©nĂ©es catalanes, la commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« Capcir, Carlit et Campcardos ») et deux zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Latour-de-Carol est une commune rurale qui compte 450 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu un pic de population de 1 635 habitants en 1836. Ses habitants sont appelĂ©s les Carolans ou Carolanes.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Latour-de-Carol se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie et est frontaliÚre avec l'Espagne (Catalogne)[I 1].

    Elle se situe Ă  86 km Ă  vol d'oiseau de Perpignan[1], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  47 km de Prades[2], sous-prĂ©fecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Enveitg (2,2 km), Ur (4,0 km), Dorres (4,6 km), Angoustrine-Villeneuve-des-Escaldes (5,4 km), Bourg-Madame (5,7 km), Palau-de-Cerdagne (8,4 km), Porta (8,5 km), Estavar (8,9 km).

    Sur le plan historique et culturel, Latour-de-Carol fait partie de la rĂ©gion de la Cerdagne, une haute plaine Ă  une altitude moyenne de 1 200 m d'altitude, qui s'Ă©tend d'est en ouest sur une quarantaine de kilomĂštres entre Mont-Louis et Bourg-Madame[4].

    Communes limitrophes de Latour-de-Carol[5] - [6]
    Porta
    Latour-de-Carol Enveitg
    Guils de Cerdanya
    (Espagne)
    Situation de la commune.

    GĂ©ologie et relief

    L'altitude de la commune varie de 1 209 Ă  2 080 mĂštres[7].

    La commune est classée en zone de sismicité 4, correspondant à une sismicité moyenne[8].

    Hydrographie

    Le Carol, affluent en rive droite du SĂšgre, traverse la commune du nord au sud.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroßt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[10].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[9].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 8,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 11,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 684 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[12] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[13] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Ste LĂ©ocadie », sur la commune de Sainte-LĂ©ocadie, mise en service en 1981[14] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[15] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 9,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 567,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[16]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et Ă  86 km[17], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 15,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[18], Ă  15,7 °C pour 1981-2010[19], puis Ă  16,1 °C pour 1991-2020[20].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[21] - [22]. Dans ce cadre, la commune fait partie[23]. Un espace protĂ©gĂ© est prĂ©sent sur la commune : le parc naturel rĂ©gional des PyrĂ©nĂ©es catalanes, crĂ©Ă© en 2004 et d'une superficie de 139 062 ha, qui s'Ă©tend sur 66 communes du dĂ©partement. Ce territoire s'Ă©tage des fonds maraĂźchers et fruitiers des vallĂ©es de basse altitude aux plus hauts sommets des PyrĂ©nĂ©es-Orientales en passant par les grands massifs de garrigue et de forĂȘt mĂ©diterranĂ©enne[24] - [25].

    RĂ©seau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 5].

    Le site Natura 2000 Capcir-Carlit-Campcardos couvre une superficie de 39 760 ha sur le territoire de quinze communes du dĂ©partement dont celle-ci, Ă  la fois au titre de la directive habitats et de la directive oiseaux. Cette zone prĂ©sente de nombreux habitats naturels alpins (pelouses, landes) et des milieux rocheux majoritairement siliceux et hĂ©berge certaines espĂšces d'intĂ©rĂȘt communautaire : Botrychium simplex, Ligularia sibirica pour les plantes, Desman des PyrĂ©nĂ©es et Loche pour les animaux. Au titre de la directive oiseaux, elle recĂšle une grande diversitĂ© d'habitats naturels se traduisant par un patrimoine ornithologique remarquable puisqu'elle accueille la plupart des espĂšces caractĂ©ristiques des zones de montagne, que ce soit parmi les rapaces (GypaĂšte barbu, CircaĂšte Jean-le-Blanc, aigle royal, Faucon pĂšlerin), les galliformes (LagopĂšde, grand TĂ©tras) ou les espĂšces forestiĂšres (Pic noir) et d'autres de milieux plus ouverts[27] - [28].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 6] est recensĂ©e sur la commune[29] : la « vallĂ©e du Carol » (2 929 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[30] et une ZNIEFF de type 2[Note 7] - [29] : la « Basse Cerdagne » (3 916 ha), couvrant 12 communes du dĂ©partement[31].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Latour-de-Carol.
    • Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Latour-de-Carol est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [32] - [I 2] - [33]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3] - [I 4].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (67,5 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (68,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (35,3 %), forĂȘts (24,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (13,5 %), prairies (11 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (7,6 %), mines, dĂ©charges et chantiers (4,1 %), zones urbanisĂ©es (3,3 %), terres arables (0,6 %)[34].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Morphologie urbaine

    Latour-de-Carol est divisé en plusieurs hameaux, tous situés à proximité de la vallée du Carol. Ceux-ci sont, du nord au sud : Quers, RiutÚs, Latour-de-Carol et Iravals. On trouve également des hameaux plus isolés : San Pere de Sedret, au sud-ouest d'Iravals, et Salit au nord-est de RiutÚs[5].

    Logement

    La commune de Latour-de-Carol compte, en 2009, 486 logements. Parmi ceux-ci, 40,2 % sont des rĂ©sidences principales, 48,6 % sont des rĂ©sidences secondaires et 11,2 % sont vacants. 63,4 % des mĂ©nages de Latour-de-Carol sont propriĂ©taires de leur rĂ©sidence principale[I 5].

    Voies de communication et transports

    Le train jaune s’arrĂȘte en gare de Latour-de-Carol - Enveitg, gare internationale, entre les rĂ©seaux français et espagnol, situĂ©e sur la commune voisine d'Enveitg. Elle possĂšde trois Ă©cartements de voie diffĂ©rents : 1 000 mm (Ligne de Cerdagne), 1 435 mm (SNCF) et 1 668 mm (RENFE)[35].

    De nombreuses lignes du réseau régional liO desservent la commune : la 560 (Porté-Puymorens - Perpignan), la 562 (Latour-de-Carol - Puyvalador) et la 566 (Latour-de-Carol - Porté-Puymorens).

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Latour-de-Carol est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et la rupture d'un barrage, et Ă  un risque particulier, le risque radon[36] - [37].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin du SĂšgre[38].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs[39]. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaßtre les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomÚne[40].

    • Carte des zones inondables.
      Carte des zones inondables.
    • Carte des zones d'alĂ©a retrait-gonflement des argiles.
      Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des argiles.

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par une route Ă  fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bĂąti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[41].

    Sur le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Orientales, on dĂ©nombre sept grands barrages susceptibles d’occasionner des dĂ©gĂąts en cas de rupture. La commune fait partie des 66 communes susceptibles d’ĂȘtre touchĂ©es par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture d’un de ces barrages, le barrage de Lanoux sur le ruisseau de Font Vive, un ouvrage de 42,5 m de hauteur construit en 1962[42].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Latour-de-Carol est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[43].

    Toponymie

    En catalan, le nom de la commune est la Tor de Querol[44] ; les habitants sont els Querolans.

    Le hameau de Carol qui a donné son nom à la tour (aujourd'hui disparue) se situe plus haut dans la vallée, au nord-ouest sur la commune de Porta[5].

    Histoire

    Les premiÚres traces d'habitation datent de 600 av. J.-C. et se trouvent à l'emplacement du hameau d'Iravals. Le peuplement s'est déplacé à partir du XIIIe siÚcle autour du hameau de Latour-de-Carol, délaissant en partie Iravals[45].

    Le , la commune de Porta est créée par détachement de Latour-de-Carol[46].

    Politique et administration

    La mairie.

    À compter des Ă©lections dĂ©partementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton des PyrĂ©nĂ©es catalanes.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[47]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1790 28 août 1793 Bonaventure Moreno Vigo
    28 août 1793 1795 Gil Duran
    1795 1799 Étienne Rabat
    1799 1800 Paul Garreta
    1800 décembre 1807 Laurent Vigo
    janvier 1808 janvier 1810 François Garreta
    janvier 1810 juin 1811 Augustin Vernis
    juin 1811 janvier 1816 Étienne Rabat
    janvier 1816 décembre 1819 Quentin Isern
    décembre 1819 4 mars 1831 Bonaventure Vigo Grau
    4 mars 1831 aoĂ»t 1831 Étienne Rabat
    août 1831 22 décembre 1831 Jacques Vernis
    22 dĂ©cembre 1831 21 fĂ©vrier 1838 Étienne Garreta
    21 février 1838 10 avril 1848 Paul Duran
    10 avril 1848 22 juillet 1849 Quentin Yzern
    22 juillet 1849 25 avril 1852 Paul Puig
    25 avril 1852 8 juin 1858 Paul Duran
    8 juin 1858 4 septembre 1870 Laurent Vigo
    4 septembre 1870 20 septembre 1877 Augustin Garreta
    20 septembre 1877 31 dĂ©cembre 1877 Étienne Vernis
    31 décembre 1877 21 janvier 1878 Thomas VivÚs
    21 janvier 1878 20 juin 1880 Augustin Garreta
    20 juin 1880 18 mai 1884 Jean BarrĂšre
    18 mai 1884 7 avril 1910 Adolphe Ramonatxo
    7 avril 1910 17 mai 1925 Jacques Vernis
    17 mai 1925 8 novembre 1942 Joseph Naudon
    8 novembre 1942 18 mai 1945 Pierre Monné
    18 mai 1945 31 octobre 1947 François Marti
    31 octobre 1947 21 mars 1964 Antoine Astor
    21 mars 1964 19 mars 1971 Jacques Churet
    19 mars 1971 11 mars 1983 Charles Churet
    11 mars 1983 29 février 1984 Jean Delcor
    29 février 1984 25 mars 1989 Francis Bosom
    25 mars 1989 23 juin 1995 René Fourcade
    23 juin 1995 2008 Albert Truno
    mars 2008 21 février 2014 Marcel Peytavi[48] - [49] Ancien proviseur du lycée Joffre (Montpellier)
    mars 2014 En cours CĂ©cile Houyau[50]

    Population et société

    DĂ©mographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1359 1365 1378 1515 1553 1709 1720 1765 1774
    90 f91 f26 f8 f3 f81 f95 f1 122 H1 156 H
    1789 - - - - - - - -
    223 f--------
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Notes :

    • 1365 : dont 8 f pour Sainte-Eulalie et 5 f pour Yravals ;
    • 1378 : dont 4 f pour Ques, 5 f pour RuitĂšs, 3 f pour Sainte-Eulalie et 6 f pour Yravals ;
    • 1515 : dont 2 f pour Ques, 1 f pour RuitĂšs et 1 f pour Yravals ;
    • 1553 : pour Sainte-Eulalie ;
    • 1720 : pour la vallĂ©e de Carol ;
    • 1774 : 1156 H ou 109 f, dont 71 f pour Latour-de-Carol seulement, 33 f pour Carols et 5 f pour Iravals.

    Le hameau de Sainte-Eulalie est aujourd'hui sur la commune d'Enveitg et celui de Carol sur la commune de Porta[5].

    DĂ©mographie contemporaine

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[52].

    En 2020, la commune comptait 450 habitants[Note 9], en augmentation de 6,64 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Orientales : +3,52 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0731 2951 3181 4631 5011 635660761661
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    695704734776631574615602540
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    548556529538554627570474383
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    359359381390364367386410421
    2020 - - - - - - - -
    450--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[7] puis Insee Ă  partir de 2006[53].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[54] 1975[54] 1982[54] 1990[54] 1999[54] 2006[55] 2009[56] 2013[57]
    Rang de la commune dans le département 95 104 99 112 117 118 115 116
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Enseignement

    L'Ă©cole communale.

    L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre Latour-de-Carol et Enveitg. Latour possÚde une école primaire avec section maternelle et élémentaire entre le CE2 et le CM2, et Enveitg accueille l'école élémentaire pour le CP et CE1[58]. L'école est située au sud du bourg.

    Le secteur du collĂšge est Bourg-Madame[59].

    Manifestations culturelles et festivités

    • FĂȘte patronale : 26 dĂ©cembre[45] ;
    • FĂȘte communale : 15 aoĂ»t[45].

    Sports

    Latour-de-Carol a vu le passage de la 15e Ă©tape du Tour de France 2021 (CĂ©ret-Andorre-la-Vieille) Ă  114,1 km aprĂšs le dĂ©part de CĂ©ret[60].

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 185 mĂ©nages fiscaux[Note 10], regroupant 426 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 20 490 â‚Ź[I 6] (19 350 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 7]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 8]3 %4,3 %7,8 %
    DĂ©partement[I 9]10,3 %12,9 %13,3 %
    France entiĂšre[I 10]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  250 personnes, parmi lesquelles on compte 78,3 % d'actifs (70,5 % ayant un emploi et 7,8 % de chĂŽmeurs) et 21,7 % d'inactifs[Note 11] - [I 8]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 2] - [I 11]. Elle compte 138 emplois en 2018, contre 116 en 2013 et 135 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 183, soit un indicateur de concentration d'emploi de 75,1 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 57,2 %[I 12].

    Sur ces 183 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 62 travaillent dans la commune, soit 34 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 79,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,7 % les transports en commun, 13,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

    Secteurs d'activités

    55 établissements[Note 12] sont implantés à Latour-de-Carol au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13] - [I 15].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble55
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    712,7 %(8,7 %)
    Construction1425,5 %(14,3 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    1527,3 %(30,5 %)
    Activités financiÚres et d'assurance11,8 %(3 %)
    Activités immobiliÚres59,1 %(6,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    59,1 %(13 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    610,9 %(13,9 %)
    Autres activités de services23,6 %(8,5 %)

    Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 27,3 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (15 sur les 55 entreprises implantĂ©es Ă  Latour-de-Carol), contre 30,5 % au niveau dĂ©partemental[I 16].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations7876
    SAU[Note 14] (ha)424355454688

    La commune est dans la Cerdagne, une petite rĂ©gion agricole situĂ©e Ă  l'extrĂȘme ouest du dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Orientales[61]. En 2020, l'orientation technico-Ă©conomique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est l'Ă©levage de bovins, pour la viande[Carte 3]. Six exploitations agricoles ayant leur siĂšge dans la commune sont dĂ©nombrĂ©es lors du recensement agricole de 2020[Note 16] (sept en 1988). La superficie agricole utilisĂ©e est de 688 ha[63] - [Carte 4] - [Carte 5].

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    • L'ancienne Ă©glise Saint-Fructueux d'Iravals (Logo monument historique ClassĂ© MH (1963)), ou chapelle d'Iravals, est situĂ©e au hameau Ă©ponyme.
    • L'Ă©glise paroissiale Saint-Étienne est situĂ©e sur une lĂ©gĂšre hauteur au sud du bourg. Elle date du XVe siĂšcle. Il y fut dĂ©couvert un panneau de bois au dĂ©but du XXe siĂšcle en rĂ©emploi, servant Ă  fermer le cĂŽtĂ© gauche de l'autel de saint SĂ©bastien qui s'avĂ©ra provenir d'un retable rĂ©alisĂ© par Antoine Peytavi (v.1540-1592) pour la chapelle Saint-Fructueux de Latour-de-Carol. Il fut restaurĂ© et classĂ© aux monuments historiques le
    • Un oratoire, situĂ© Ă  la sortie nord du bourg.
    • Église Saint-Fructueux d'Iravals.
      Église Saint-Fructueux d'Iravals.
    • L'Ă©glise Saint-Étienne.
      L'Ă©glise Saint-Étienne.

    HĂ©raldique

    Blason de Latour-de-Carol Blason
    ÉcartelĂ©: aux 1er et 4e d'or Ă  quatre pals de gueules, aux 2e et 3e de sable Ă  la tour d'or, maçonnĂ©e du champ, ouverte et ajourĂ©e d'argent.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Culture populaire

    • La gare de Latour-de-Carol a Ă©tĂ© popularisĂ©e par Brigitte Fontaine dans sa chanson Lettre Ă  monsieur le chef de gare de La Tour de Carol.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Association pour la protection du patrimoine et de la mĂ©moire collective de Latour de Carol, AndrĂ© Balent et Bernadette Truno (photogr. Pierre Vinche), Latour-de-Carol, Latour-de-Carol, Mairie de Latour-de-Carol, , 39 p. (BNF 37168542)
    • AndrĂ© Balent, « Les empreintes de Sant QuintĂ­ (Latour-de-Carol). Limites paroissiales au Moyen Âge et conflits territoriaux lors de la partition politique de la vallĂ©e de Carol (Cerdagne) en 1836-1838 », dans Roches ornĂ©es, roches dressĂ©es : Aux sources des arts et des mythes. Les hommes et leur terre en PyrĂ©nĂ©es de l'Est. Actes du colloque en hommage Ă  Jean AbĂ©lanet, Perpignan, Presses universitaires de Perpignan, (ISBN 9782354123192, DOI 10.4000/books.pupvd.4273)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[11].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[26].
    6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    10. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    12. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    14. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    15. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[62].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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    Site de l'Insee

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    6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Latour-de-Carol » (consulté le ).
    7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Latour-de-Carol » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
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    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
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    14. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Latour-de-Carol » (consulté le ).
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    Autres sources

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