Escos
Escos est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Escos | |||||
Le chĂąteau. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Oloron-Sainte-Marie | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Béarn des Gaves | ||||
Maire Mandat |
Pierre Villenave 2020-2026 |
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Code postal | 64270 | ||||
Code commune | 64205 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Escossois | ||||
Population municipale |
237 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 42 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 43° 26âČ 52âł nord, 0° 59âČ 48âł ouest | ||||
Altitude | Min. 23 m Max. 162 m |
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Superficie | 5,61 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | http://www.escos.fr | ||||
GĂ©ographie
Localisation
La commune d'Escos se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 75,2 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 48,1 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture, et à 29,1 km d'Orthez[4], bureau centralisateur du canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Sauveterre-de-Béarn[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : CastagnĂšde (0,9 km), OraĂ s (1,3 km), Labastide-Villefranche (2,0 km), Auterrive (2,2 km), Abitain (3,0 km), Carresse-Cassaber (3,5 km), Saint-Dos (3,6 km), Athos-Aspis (4,1 km).
Sur le plan historique et culturel, Escos fait partie de la province du BĂ©arn, qui fut Ă©galement un Ătat et qui prĂ©sente une unitĂ© historique et culturelle Ă laquelle sâoppose une diversitĂ© frappante de paysages au relief tourmentĂ©[6].
Hydrographie
La commune est drainée par le gave d'Oloron, un bras du gave d'Oloron, le Crabé, le ruisseau de Laclau, le ruisseau de la Pounte, le ruisseau de Massariou, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[8] - [Carte 1].
Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, aprÚs avoir traversé 64 communes[9].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroßt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[11].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[13] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[14] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Gladie », sur la commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein, mise en service en 1986[15] et qui se trouve Ă 9 km Ă vol d'oiseau[16] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 293,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[17]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et Ă 42 km[18], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[19], Ă 14,3 °C pour 1981-2010[20], puis Ă 14,6 °C pour 1991-2020[21].
RĂ©seau Natura 2000
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[23], d'une superficie de 2 547 ha, une riviĂšre Ă saumon et Ă©crevisse Ă pattes blanches[24] - [Carte 2].
Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 7] est recensée sur la commune[25] - [Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[26].
Urbanisme
Typologie
Escos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [27] - [28] - [29]. La commune est en outre hors attraction des villes[30] - [31].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (85,6 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (85,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (68,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (9,3 %), prairies (7,9 %), forĂȘts (6,8 %), eaux continentales[Note 9] (4,5 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (3,1 %)[32].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 4].
Lieux-dits et hameaux
- Les Bordes.
Voies de communication et transports
La commune est desservie par les routes départementales 28 et 936.
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Escos est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque particulier : le risque de radon[33]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[34].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par une crue Ă dĂ©bordement lent de cours d'eau, notamment le gave d'Oloron. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 2009 et 2021[35] - [33].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[36]. 27,6 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 10] - [37].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative dâexposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune d'Escos est classĂ©e en zone 2, Ă savoir zone Ă potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs gĂ©ologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bĂątiments[38].
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme Escos apparaßt sous les formes Escos (1105[39]), sanctus johannes de escos (1160[39]), escoz (1305[39]), Escos (1309[39]), Escaut (1352[40], titres de Came[41]), Sent-Johan d'Escos et Escoos (respectivement 1439[40] et 1440[40], notaires de Labastide-Villefranche[42]), Ecos (1582[40], aliénations du diocÚse de Dax[43]) et Escos en Navarre (1675[40], réformation de Béarn[44]).
Ătymologie
Escos provient de la racine botanique basque ezk-[39] qui a donné ezkurr (« gland ») ou ezki ('« tilleul ») et du suffixe aquitain os.
Autres toponymes
Le hameau des Bordes est mentionné en 1863 dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[40].
Histoire
Paul Raymond[40] note qu'Escos était une dépendance du diocÚse de Dax et du duché de Gramont.
Escos est un village navarrais[45], malgré son appartenance aujourd'hui au canton de Salies. (Escos ne rejoindra d'ailleurs ce canton qu'en 1819). Une trace administrative ténue demeure de l'ancienne appartenance d'Escos à la Basse-Navarre : de nos jours, la commune est toujours membre de la Commission syndicale du Bois de Mixe, comme copropriétaire de terres indivises situées en pays de Mixe, entre Bidache et Saint-Palais[46].
Toutefois un quartier du village n'appartenait pas au mĂȘme royaume que le centre du bourg : « Lagarde d'Escos » dĂ©pend lui en effet de la juridiction d'Hastingues et, Ă ce titre, Ă©tait en « France », en l'espĂšce sur le territoire de la sĂ©nĂ©chaussĂ©e de Dax. ReliĂ© continĂ»ment au reste de la Gascogne, ce hameau en est donc un avant-poste avancĂ© vers le sud[47].
Par ailleurs, alors que la commune est aujourd'hui sĂ©parĂ©e d'Ilharre par les bois de Lahire, sur le territoire de la commune d'Abitain, les limites paroissiales n'Ă©taient pas les mĂȘmes sous l'Ancien RĂ©gime, et la Basse-Navarre Ă©tait bien d'un seul tenant, tandis qu'au contraire Labastide-Villefranche Ă©tait sĂ©parĂ© du reste du BĂ©arn : la carte de l'Atlas historique du BĂ©arn, semblable sur ce point Ă la carte de Hubert Jaillot de la Basse-Navarre de 1689[48] fait clairement apparaĂźtre une continuitĂ© entre Escos et Ilharre. Les dĂ©tails du tracĂ© sont prĂ©cisĂ©s par la carte annexĂ©e Ă l'article de Pierre Tucoo-Chala : la commune d'Abitain n'Ă©tait pas aussi Ă©tendue qu'aujourd'hui et la frontiĂšre entre BĂ©arn et Navarre se situait au Moyen Ăge le long de la « horse d'Abitain », qui Ă©tait un fossĂ© qu'on peut encore, paraĂźt-il, deviner non loin de la route au sud d'Escos ; les bois aujourd'hui sur le territoire d'Abitain, au sud de TachouĂšres, sont navarrais sur la carte dressĂ©e par Pierre Tucoo-Chala[49].
Escos a fait partie du canton de Bidache jusqu'au 14 juillet 1819.
Politique et administration
Situation administrative
Escos a fait partie de l'arrondissement de Pau jusqu'au . à cette date, elle appartient désormais à celui d'Oloron-Sainte-Marie[50].
Liste des maires
Intercommunalité
Escos fait partie de sept structures intercommunales[51] :
- la communauté de communes de Salies-de-Béarn ;
- le SIGOM ;
- le SIVU des cinq villages ;
- le syndicat dâĂ©nergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques ;
- le syndicat de regroupement pédagogique de Carresse-Cassaber, Escos et Labastide-Villefranche ;
- le syndicat intercommunal dâalimentation en eau potable Luy - Gabas - LĂ©es ;
- le syndicat intercommunal des gaves et du Saleys.
Escos accueille le siĂšge du SIVU des cinq villages.
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[53].
En 2020, la commune comptait 237 habitants[Note 11], en diminution de 2,07 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
Le chĂąteau d'Escos Ă Escos
Patrimoine religieux
L'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste[56] date partiellement du XVe siĂšcle.
Ăquipements
- Enseignement
Escos dispose d'une Ă©cole primaire.
Notes et références
Alexis Ichas - Dictionnaire historique du gave d'Oloron - Ăditions Gascogne 2020.
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les Ătats membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[22].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Carte hydrographique d'Escos » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intĂ©rĂȘt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Escos », sur www.geoportail.gouv.fr.
- « ZNIEFF de type II sur la commune d'Escos », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Voir aussi
Bibliographie
- Pierre Tucoo-Chala, « Aux frontiÚres du Béarn, de la Navarre et de la Gascogne du XIIe au XVIe siÚcle », dans Bulletin de la société de Borda, 1962, p. 234-250
- Pierre Tucoo-Chala et Christian Delplat, La PrincipautĂ© de BĂ©arn, SociĂ©tĂ© nouvelle d'Ă©ditions rĂ©gionales et de diffusion, Pau, 1980, complĂ©tĂ© par lâAtlas historique du BĂ©arn, cartographie de Monique Morales (mĂȘme Ă©diteur)
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative Ă la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- « Métadonnées de la commune d'Escos », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Escos et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Escos et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Escos et Orthez », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Escos », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- « Fiche communale d'Escos », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le gave d'Oloron ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Gladie - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Station Météo-France Saint-Gladie - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Escos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Escos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques prÚs de chez moi - commune d'Escos », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur www.pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de lâIRSN, (consultĂ© le )
- Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux (monographie), Pessac, Presses universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », [éd. revue et corrigée] (1re éd. ), 244 p., 21 cm (ISBN 2867813964 et 9782867813962, OCLC 72757865, BNF 40190262, présentation en ligne), p. 103.
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
- Titres de Came - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Notaires de Labastide-Villefranche - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Registres d'aliénations - ancienne bibliothÚque impériale - BibliothÚque nationale de France
- Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siÚcle ».
- EugĂšne Goyheneche, Notre Terre Basque : notions de gĂ©ographie, histoire et culture, Pau, SociĂ©tĂ© Nouvelle d'Ăditions RĂ©gionales et de Diffusion, (1re Ă©d. 1961), 159 p. (OCLC 850881783, lire en ligne), p. 29.
- Odette Bruneau, « Les possessions "navarraises" des Gramont », dans Amikuze-Le Pays de Mixe, Baigorri, Izpegi, (ISBN 2-909262-05-7), p. 98
- Pierre Tucoo-Chala, « Aux frontiÚres du Béarn, de la Navarre et de la Gascogne du XIIe au XVIe siÚcle », dans Bulletin de la société de Borda, 1962, p. 237.
- Carte publiée dans le recueil de Clément Urrutibéhéty La Basse-Navarre héritiÚre du royaume de Navarre, Atlantica, Biarritz, 1999 (ISBN 2843941261) ; une version trÚs réduite est disponible en ligne.
- Ce luxe de frontiĂšres dans le secteur est Ă l'origine de multiples conflits, ainsi ces deux anecdotes relatĂ©es par ClĂ©ment UrritibĂ©hĂ©ty, op. cit. p. 145 : le , faisant fi d'une interdiction prononcĂ©e par le sĂ©nĂ©chal de BĂ©arn le 22 juin prĂ©cĂ©dent faisant dĂ©fense aux Navarrais d'entrer en BĂ©arn, des Basques prennent position dans ce secteur dans l'intention de dĂ©trousser les BĂ©arnais d'Autevielle en route pour Labastide et pillent la « maison TaxoĂšre des bordes de Labastide » ; mais deux ans plus tard le , ce sont au contraire des BĂ©arnais d'Abitain qui pĂ©nĂštrent en pays de Mixe et font prisonniers plusieurs Navarrais de Gabat « qui rentraient paisiblement d'Escos Ă leur domicile », blessant et tuant mĂȘme d'autres paisibles voyageurs.
- « ArrĂȘtĂ© prĂ©fectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de Pau, de Bayonne et d'Oloron-Sainte-Marie du dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques » [PDF], sur un site de la prĂ©fecture des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques, (consultĂ© le ).
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Jean-Baptiste