Auterrive
Auterrive (en béarnais Autarriba ou Autarribe) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Auterrive | |||||
La mairie | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Oloron-Sainte-Marie | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Béarn des Gaves | ||||
Maire Mandat |
Philippe Labache 2020-2026 |
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Code postal | 64270 | ||||
Code commune | 64082 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Auterrivois | ||||
Population municipale |
141 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 46 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 43° 28âČ 02âł nord, 0° 59âČ 51âł ouest | ||||
Altitude | Min. 16 m Max. 35 m |
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Superficie | 3,08 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Salies-de-BĂ©arn (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | auterrive.fr | ||||
GĂ©ographie
Localisation
La commune d'Auterrive se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 72 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 52 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture, et à 26 km d'Orthez[4], bureau centralisateur du canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Salies-de-Béarn[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Carresse-Cassaber (1,3 km), Carresse-Cassaber (1,4 km), Saint-Dos (2,0 km), Escos (2,2 km), Labastide-Villefranche (2,3 km), OraĂ s (3,3 km), Saint-PĂ©-de-LĂ©ren (4,3 km), Arancou (4,9 km).
Sur le plan historique et culturel, Auterrive fait partie de la province du BĂ©arn, qui fut Ă©galement un Ătat et qui prĂ©sente une unitĂ© historique et culturelle Ă laquelle sâoppose une diversitĂ© frappante de paysages au relief tourmentĂ©[6].
Hydrographie
La commune est drainée par le gave d'Oloron, un bras du gave d'Oloron, le ruisseau de la Pounte et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 5 km de longueur totale[8] - [9].
Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, aprÚs avoir traversé 64 communes[10].
Au sud-ouest de la commune, s'Ă©tend le lac de Dumirail[7].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[12].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[14] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[15] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Bellocq-Puyoo », sur la commune de Bellocq, mise en service en 1987[16] et qui se trouve Ă 9 km Ă vol d'oiseau[17] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 181,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[18]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et Ă 42 km[19], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[20], Ă 14,3 °C pour 1981-2010[21], puis Ă 14,6 °C pour 1991-2020[22].
Urbanisme
Typologie
Auterrive est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [23] - [24] - [25].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Salies-de-Béarn, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 6 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[26] - [27].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (81,6 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (81,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (41,8 %), terres arables (39,8 %), forĂȘts (12,8 %), eaux continentales[Note 8] (5,6 %)[28].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Lieux-dits et hameaux
Voies de communication et transports
La commune est desservie par les routes départementales 28, 29 et 277[7].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Auterrive est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e)[30]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[31].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par une crue torrentielle ou Ă montĂ©e rapide de cours d'eau, notamment le gave d'Oloron. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 2009, 2014, 2018 et 2021[32] - [30].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[33]. 3,5 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [34].
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme Auterrive apparaßt sous les formes Autarribe (XIIIe siÚcle[29], cartulaire de Bayonne[35]), Autaribe (vers 1360[29], titres de Came[36]), Sent-Miqueu d'Autarribe (1442[29], notaires de Labastide-Villefranche[37]), Autarrive en France (1675[29], réformation de Béarn[38]) et Hauterive sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siÚcle[39]).
Ătymologie
Pour Michel Grosclaude[39], lâĂ©tymologie est sans conteste gasconne (auta arriba, du latin alta ripa) et signifie « rive haute ». Son nom bĂ©arnais est Autarriba.
On notera que aute arribe /autÉriÎČÉ/ signifie en gascon aussi bien « haute rive » que « autre rive ». Toutefois cette derniĂšre interprĂ©tation, sans attestation historique, n'a pas de vraisemblance toponymique.
Autres toponymes
Dumirail désigne un hameau et un lac de la commune, déjà mentionnés en 1863[29], par le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque.
Histoire
Paul Raymond[29] note qu'Auterrive dépendait de la subdélégation de Dax.
Politique et administration
Situation administrative
Auterrive a fait partie de l'arrondissement de Pau jusqu'au . à cette date, elle appartient désormais à celui d'Oloron-Sainte-Marie[42].
Liste des maires
Intercommunalité
Auterrive fait partie de sept structures intercommunales[43] :
- la communauté de communes de Salies-de-Béarn ;
- le SIGOM ;
- le SIVU des cinq villages ;
- le SIVU pour le regroupement pédagogique des communes de Léren, Saint-Pé-de-Léren, Saint-Dos et Auterrive ;
- le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal dâalimentation en eau potable du Saleys et des gaves ;
- le syndicat intercommunal des gaves et du Saleys.
Population et société
DĂ©mographie
Le gentilé est Auterrivains[44].
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[46].
En 2020, la commune comptait 141 habitants[Note 10], en augmentation de 12,8 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
Au pied du gave se dresse une enceinte fortifiée, dite du Barry, poste d'observation et poste frontiÚre entre la Navarre, le Béarn et la Gascogne. Cette petite enceinte eut une garnison de trois soldats jusqu'en 1682. Les ruines actuelles, bien que reposant sur des bases beaucoup plus anciennes, semblent remonter à la guerre de Cent Ans quand Auterrive fut occupée par les Anglais et rattachée au sénéchalat de Hastingues.
La maison Maisonnabe date de 1661 au quartier des Mirails ; la maison Pouey est une ancienne justice seigneuriale et la maison Haû, une ancienne dépendance de l'abbaye de Sorde.
Une petite plaque émaillée mentionne « juin 1875 » et rappelle la crue qui emporta le pont du village en faisant deux morts.
Il existe une minoterie qui n'est plus en activitĂ© construite sur un ancien moulin qui figure sur la carte de Cassini. Cette minoterie est en train de tomber en ruine. Une centrale hydroĂ©lectrique a Ă©tĂ© construite Ă cĂŽtĂ© de la minoterie sur le canal existant avec de nombreux dĂ©boires au fil des annĂ©es ayant conduit Ă lâarasement du barrage. Elle fait l'objet en 2014 de gros travaux de mise aux normes demandĂ©s par l'administration avec une rĂ©habilitation complĂšte des dispositifs de montaison et de dĂ©valaison.
Patrimoine religieux
L'église date du XVIe siÚcle. On notera un retable du XVIII°, un tableau de saint Michel terrassant le dragon. Fonts baptismaux datés (XVIIIe siÚcle), Vierge espagnole (XIXe siÚcle) peinte par un réfugié carliste Cornelio Galindo. Quelques vieilles sépultures autour de l'église dont celles de deux victimes du choléra.
Il existe plusieurs calvaires dont la croix de Saint-Michel (restaurée en 1992) qui marquait les limites de l'abbaye de Sorde.
La chapelle Saint-Jean des Mirailhs, appelĂ©e autrefois chapelle du CabĂ©, a Ă©tĂ© dĂ©truite vers 1990. Cette chapelle a servi de lieu de culte pour le quartier des Mirailhs et est signalĂ©e depuis le XIVe siĂšcle. Les actes BMS d'Escos prouvent que cette chapelle a servi pour des baptĂȘmes et des mariages de la famille Dumirailh, propriĂ©taire. On ne trouve plus mention de cĂ©rĂ©monies aprĂšs 1750. En 1790, l'abbĂ© Manesca, curĂ© de Labastide, y cĂ©lĂšbre la messe clandestinement. Une prĂ©bende y Ă©tait attachĂ©e (maison PrĂ©bendĂ© en face) signalĂ©e en 1739. Il devait y exister un petit cimetiĂšre puisqu'une inhumation y a eu lieu en 1792. TransformĂ©e en pressoir au XIXe siĂšcle, on conserve encore la croix de pierre qui se trouvait au faĂźte de l'Ă©difice ainsi que le bĂ©nitier.
Personnalités liées à la commune
La marquise de Montehermoso[49] (1784-1869), nĂ©e comtesse MarĂa del Pilar Acedo y SarriĂĄ, comtesse d'Echauz, veuve du marquis du mĂȘme nom et maĂźtresse de Joseph Bonaparte, roi d'Espagne, s'est mariĂ©e au village avec AmĂ©dĂ©e de CarabĂšne, titulaire de nombreuses dĂ©corations françaises et Ă©trangĂšres, futur conseiller gĂ©nĂ©ral et officier supĂ©rieur des campagnes napolĂ©oniennes. Elle Ă©tait Ă©galement propriĂ©taire du Barry, site fortifiĂ© du village.
HĂ©raldique
Blasonnement :
ĂcartelĂ© : au premier et au quatriĂšme de gueules au geai d'argent, au deuxiĂšme et au troisiĂšme d'argent au lion de gueules.
Commentaires : Auterrive porte un geai dans ses armoiries pour symboliser le site défensif du Barry. Le geai est réputé donner l'alarme quand un intrus pénÚtre dans un bois. |
Pour approfondir
Bibliographie
- Alexis Ichas, Historial d'Auterrive : Tomes I & II, Ăditions Atlantica 1992 et 1995
- Alexis Ichas Madame de Montehermoso, Ăditions Atlantica, 2001
- Alexis Ichas, Historial des gaves, Ăditions Atlantica 2008
- Alexis Ichas, Chroniques bĂ©arnaises du gave et du Saleys, Ăditions Atlantica, 2006.
- Alexis Ichas, Portraits bĂ©arnais, Ăditions Gascogne 2015
- Alexis Ichas, Dictionnaire historique du gave d'Oloron, Ăditions Gascogne 2020.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[13].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Métadonnées de la commune d'Auterrive », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Auterrive et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Auterrive et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Auterrive et Orthez », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Auterrive », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
- « Fiche communale d'Auterrive », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- « Carte hydrographique d'Auterrive » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- Sandre, « le gave d'Oloron ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
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- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- Cartulaire de Bayonne ou Livre d'Or - Manuscrit du XIVe siÚcle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Titres de Came - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Notaires de Labastide-Villefranche - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siÚcle ».
- Michel Grosclaude (prĂ©f. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du BĂ©arn, Pau, EscĂČla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059)..
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- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- Gentilé sur habitants.fr
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Alexis Ichas, Madame de Montehermoso, Atlantica-SĂ©guier, (ISBN 978-2-84394-389-8).