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Auterrive

Auterrive (en béarnais Autarriba ou Autarribe) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Auterrive
Auterrive
La mairie
Blason de Auterrive
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Béarn des Gaves
Maire
Mandat
Philippe Labache
2020-2026
Code postal 64270
Code commune 64082
DĂ©mographie
Gentilé Auterrivois
Population
municipale
141 hab. (2020 en augmentation de 12,8 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 46 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 28â€Č 02″ nord, 0° 59â€Č 51″ ouest
Altitude Min. 16 m
Max. 35 m
Superficie 3,08 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Salies-de-BĂ©arn
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Auterrive
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Auterrive
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
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Auterrive
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Auterrive
Liens
Site web auterrive.fr

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune d'Auterrive se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

    Elle se situe Ă  72 km par la route[Note 1] de Pau[2], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  52 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-prĂ©fecture, et Ă  26 km d'Orthez[4], bureau centralisateur du canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Salies-de-BĂ©arn[1].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Carresse-Cassaber (1,3 km), Carresse-Cassaber (1,4 km), Saint-Dos (2,0 km), Escos (2,2 km), Labastide-Villefranche (2,3 km), OraĂ s (3,3 km), Saint-PĂ©-de-LĂ©ren (4,3 km), Arancou (4,9 km).

    Sur le plan historique et culturel, Auterrive fait partie de la province du BĂ©arn, qui fut Ă©galement un État et qui prĂ©sente une unitĂ© historique et culturelle Ă  laquelle s’oppose une diversitĂ© frappante de paysages au relief tourmentĂ©[6].

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier d'Auterrive.

    La commune est drainée par le gave d'Oloron, un bras du gave d'Oloron, le ruisseau de la Pounte et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[8] - [9].

    Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'Ă©coule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau Ă  Sorde-l'Abbaye, aprĂšs avoir traversĂ© 64 communes[10].

    Au sud-ouest de la commune, s'Ă©tend le lac de Dumirail[7].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[12].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[11]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 13,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 314 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[14] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[15] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Bellocq-Puyoo », sur la commune de Bellocq, mise en service en 1987[16] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[17] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 181,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[18]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et Ă  42 km[19], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[20], Ă  14,3 °C pour 1981-2010[21], puis Ă  14,6 °C pour 1991-2020[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Auterrive est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [23] - [24] - [25].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Salies-de-BĂ©arn, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 6 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[26] - [27].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (81,6 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (81,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (41,8 %), terres arables (39,8 %), forĂȘts (12,8 %), eaux continentales[Note 8] (5,6 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Lieux-dits et hameaux

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par les routes départementales 28, 29 et 277[7].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Auterrive est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e)[30]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[31].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou Ă  montĂ©e rapide de cours d'eau, notamment le gave d'Oloron. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 2009, 2014, 2018 et 2021[32] - [30].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Auterrive.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[33]. 3,5 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [34].

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le toponyme Auterrive apparaßt sous les formes Autarribe (XIIIe siÚcle[29], cartulaire de Bayonne[35]), Autaribe (vers 1360[29], titres de Came[36]), Sent-Miqueu d'Autarribe (1442[29], notaires de Labastide-Villefranche[37]), Autarrive en France (1675[29], réformation de Béarn[38]) et Hauterive sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siÚcle[39]).

    Étymologie

    Pour Michel Grosclaude[39], l’étymologie est sans conteste gasconne (auta arriba, du latin alta ripa) et signifie « rive haute Â». Son nom bĂ©arnais est Autarriba.

    On notera que aute arribe /autəriÎČə/ signifie en gascon aussi bien « haute rive Â» que « autre rive Â». Toutefois cette derniĂšre interprĂ©tation, sans attestation historique, n'a pas de vraisemblance toponymique.

    Autres toponymes

    Dumirail désigne un hameau et un lac de la commune, déjà mentionnés en 1863[29], par le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque.

    Graphie béarnaise

    Son nom béarnais est Autarriba[40] ou Autarribe[41].

    Histoire

    Paul Raymond[29] note qu'Auterrive dépendait de la subdélégation de Dax.

    Politique et administration

    Situation administrative

    Auterrive a fait partie de l'arrondissement de Pau jusqu'au . À cette date, elle appartient dĂ©sormais Ă  celui d'Oloron-Sainte-Marie[42].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1995 2014 Josette de Caumia-Baillenx
    2014 En cours Philippe Labache

    Intercommunalité

    Auterrive fait partie de sept structures intercommunales[43] :

    • la communautĂ© de communes de Salies-de-BĂ©arn ;
    • le SIGOM ;
    • le SIVU des cinq villages ;
    • le SIVU pour le regroupement pĂ©dagogique des communes de LĂ©ren, Saint-PĂ©-de-LĂ©ren, Saint-Dos et Auterrive ;
    • le syndicat d'Ă©nergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable du Saleys et des gaves ;
    • le syndicat intercommunal des gaves et du Saleys.

    Population et société

    DĂ©mographie

    Le gentilé est Auterrivains[44].

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[46].

    En 2020, la commune comptait 141 habitants[Note 10], en augmentation de 12,8 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    245255287298300301287313345
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    320311302309289284281253265
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    240230248200202205212226201
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    195195163151146137128120129
    2020 - - - - - - - -
    141--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee Ă  partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    Au pied du gave se dresse une enceinte fortifiée, dite du Barry, poste d'observation et poste frontiÚre entre la Navarre, le Béarn et la Gascogne. Cette petite enceinte eut une garnison de trois soldats jusqu'en 1682. Les ruines actuelles, bien que reposant sur des bases beaucoup plus anciennes, semblent remonter à la guerre de Cent Ans quand Auterrive fut occupée par les Anglais et rattachée au sénéchalat de Hastingues.

    La maison Maisonnabe date de 1661 au quartier des Mirails ; la maison Pouey est une ancienne justice seigneuriale et la maison Haû, une ancienne dépendance de l'abbaye de Sorde.

    Une petite plaque Ă©maillĂ©e mentionne « juin 1875 Â» et rappelle la crue qui emporta le pont du village en faisant deux morts.

    Il existe une minoterie qui n'est plus en activitĂ© construite sur un ancien moulin qui figure sur la carte de Cassini. Cette minoterie est en train de tomber en ruine. Une centrale hydroĂ©lectrique a Ă©tĂ© construite Ă  cĂŽtĂ© de la minoterie sur le canal existant avec de nombreux dĂ©boires au fil des annĂ©es ayant conduit Ă  l’arasement du barrage. Elle fait l'objet en 2014 de gros travaux de mise aux normes demandĂ©s par l'administration avec une rĂ©habilitation complĂšte des dispositifs de montaison et de dĂ©valaison.

    Patrimoine religieux

    L'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste.

    L'église date du XVIe siÚcle. On notera un retable du XVIII°, un tableau de saint Michel terrassant le dragon. Fonts baptismaux datés (XVIIIe siÚcle), Vierge espagnole (XIXe siÚcle) peinte par un réfugié carliste Cornelio Galindo. Quelques vieilles sépultures autour de l'église dont celles de deux victimes du choléra.

    Il existe plusieurs calvaires dont la croix de Saint-Michel (restaurée en 1992) qui marquait les limites de l'abbaye de Sorde.

    La chapelle Saint-Jean des Mirailhs, appelĂ©e autrefois chapelle du CabĂ©, a Ă©tĂ© dĂ©truite vers 1990. Cette chapelle a servi de lieu de culte pour le quartier des Mirailhs et est signalĂ©e depuis le XIVe siĂšcle. Les actes BMS d'Escos prouvent que cette chapelle a servi pour des baptĂȘmes et des mariages de la famille Dumirailh, propriĂ©taire. On ne trouve plus mention de cĂ©rĂ©monies aprĂšs 1750. En 1790, l'abbĂ© Manesca, curĂ© de Labastide, y cĂ©lĂšbre la messe clandestinement. Une prĂ©bende y Ă©tait attachĂ©e (maison PrĂ©bendĂ© en face) signalĂ©e en 1739. Il devait y exister un petit cimetiĂšre puisqu'une inhumation y a eu lieu en 1792. TransformĂ©e en pressoir au XIXe siĂšcle, on conserve encore la croix de pierre qui se trouvait au faĂźte de l'Ă©difice ainsi que le bĂ©nitier.

    Personnalités liées à la commune

    La marquise de Montehermoso[49] (1784-1869), nĂ©e comtesse MarĂ­a del Pilar Acedo y SarriĂĄ, comtesse d'Echauz, veuve du marquis du mĂȘme nom et maĂźtresse de Joseph Bonaparte, roi d'Espagne, s'est mariĂ©e au village avec AmĂ©dĂ©e de CarabĂšne, titulaire de nombreuses dĂ©corations françaises et Ă©trangĂšres, futur conseiller gĂ©nĂ©ral et officier supĂ©rieur des campagnes napolĂ©oniennes. Elle Ă©tait Ă©galement propriĂ©taire du Barry, site fortifiĂ© du village.

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    ÉcartelĂ© : au premier et au quatriĂšme de gueules au geai d'argent, au deuxiĂšme et au troisiĂšme d'argent au lion de gueules.
    Commentaires : Auterrive porte un geai dans ses armoiries pour symboliser le site défensif du Barry. Le geai est réputé donner l'alarme quand un intrus pénÚtre dans un bois.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Alexis Ichas, Historial d'Auterrive : Tomes I & II, Éditions Atlantica 1992 et 1995
    • Alexis Ichas Madame de Montehermoso, Éditions Atlantica, 2001
    • Alexis Ichas, Historial des gaves, Éditions Atlantica 2008
    • Alexis Ichas, Chroniques bĂ©arnaises du gave et du Saleys, Éditions Atlantica, 2006.
    • Alexis Ichas, Portraits bĂ©arnais, Éditions Gascogne 2015
    • Alexis Ichas, Dictionnaire historique du gave d'Oloron, Éditions Gascogne 2020.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[13].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Métadonnées de la commune d'Auterrive », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Auterrive et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Auterrive et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Auterrive et Orthez », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches d'Auterrive », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    7. Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
    8. « Fiche communale d'Auterrive », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    9. « Carte hydrographique d'Auterrive » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    10. Sandre, « le gave d'Oloron ».
    11. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
    12. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    13. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    14. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    15. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Bellocq-Puyoo - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Auterrive et Bellocq », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station Météo-France Bellocq-Puyoo - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr.
    19. « Orthodromie entre Auterrive et Anglet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    22. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    23. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    25. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Salies-de-Béarn », sur insee.fr (consulté le ).
    27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le ).
    29. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
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