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Bellocq

Bellocq (en bĂ©arnais BailĂČc ou BĂšyloc) est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.

Bellocq
Bellocq
Le chĂąteau de Bellocq.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes de Lacq-Orthez
Maire
Mandat
Idelette Demaison
2020-2026
Code postal 64270
Code commune 64108
DĂ©mographie
Gentilé Bellocquais
Population
municipale
913 hab. (2020 en augmentation de 1,67 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 72 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 31â€Č 03″ nord, 0° 54â€Č 53″ ouest
Altitude Min. 18 m
Max. 159 m
Superficie 12,65 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Puyoo
(ville-centre)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Bellocq
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Bellocq
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
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Bellocq
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Bellocq

    Le gentilé est Bellocquais[1].

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Bellocq se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe Ă  61 km par la route[Note 1] de Pau[3], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  15 km d'Orthez[4], bureau centralisateur du canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Salies-de-BĂ©arn[2].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : PuyoĂŽ (1,1 km), Ramous (1,7 km), Lahontan (4,4 km), BĂ©renx (5,0 km), Salies-de-BĂ©arn (5,2 km), Ossages (5,3 km), Habas (6,2 km), Baigts-de-BĂ©arn (6,2 km).

    Sur le plan historique et culturel, Bellocq fait partie de la province du BĂ©arn, qui fut Ă©galement un État et qui prĂ©sente une unitĂ© historique et culturelle Ă  laquelle s’oppose une diversitĂ© frappante de paysages au relief tourmentĂ©[6].

    Communes limitrophes de Bellocq[7]
    PuyoĂŽ Ramous
    Lahontan Bellocq BĂ©renx
    Salies-de-BĂ©arn

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Bellocq.

    La commune est drainĂ©e par le gave de Pau, Arriou de Cazaubon, un bras du gave de Pau, un bras du gave de Pau, le ruisseau de GalihĂšre, le ruisseau de l'EspĂ©rance, le ruisseau de LouliĂ©, et par divers petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 16 km de longueur totale[8] - [Carte 1].

    Le gave de Pau, d'une longueur totale de 192,8 km, prend sa source dans la commune de Gavarnie-GĂšdre et s'Ă©coule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour Ă  Saint-Laurent-de-Gosse, aprĂšs avoir traversĂ© 88 communes[9].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique aquitain», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,8 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 13,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 238 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[13] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[14] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et en service de 1987 Ă  2018 permet de connaĂźtre l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[15]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs.

    Statistiques 1981-2010 et records BELLOCQ-PUYOO (64) - alt : 45 m 43° 31â€Č 00″ N, 0° 55â€Č 06″ O
    Statistiques établies sur la période 1987-2010 - Records établis sur la période du 01-02-1987 au 31-12-2018
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2,6 3 5 7,3 11,2 14,1 15,7 15,9 12,9 10 5,7 3,2 8,9
    Température moyenne (°C) 7,3 8,2 10,9 12,7 16,8 19,5 21,4 21,8 18,8 15,3 10,3 7,5 14,2
    Température maximale moyenne (°C) 11,9 13,3 16,7 18,1 22,3 25 27,1 27,6 24,8 20,7 14,9 11,9 19,6
    Record de froid (°C)
    date du record
    −7,5
    27.01.07
    −10,5
    12.02.12
    −9
    01.03.05
    −2,9
    04.04.1996
    1
    02.05.16
    5
    01.06.06
    8
    15.07.16
    6,6
    29.08.1998
    3
    26.09.02
    −2
    16.10.09
    −8,2
    23.11.1988
    −10
    25.12.01
    −10,5
    2012
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    22,5
    13.01.1993
    28
    26.02.1994
    30,1
    21.03.1990
    33
    30.04.05
    36,8
    30.05.1996
    40,1
    21.06.03
    39,5
    18.07.06
    42
    04.08.03
    37,8
    05.09.06
    34,8
    04.10.04
    27
    01.11.09
    24,2
    16.12.1989
    42
    2003
    PrĂ©cipitations (mm) 102,9 96,1 81,5 118,7 97,7 73,9 66,2 72,9 97,8 111,2 156,4 106,6 1 181,9
    Source : « Fiche 64108001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    RĂ©seau Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : le « gave de Pau »[17], d'une superficie de 8 194 ha, un vaste rĂ©seau hydrographique avec un systĂšme de saligues[Note 6] encore vivace[18] - [Carte 2].

    Urbanisme

    Typologie

    Bellocq est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 7] - [19] - [20] - [21]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Puyoo, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 3 communes[22] et 2 534 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[23] - [24]. La commune est en outre hors attraction des villes[25] - [26].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (63,6 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (67 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (33,2 %), forĂȘts (25,3 %), terres arables (23,2 %), zones urbanisĂ©es (8 %), prairies (5 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (3,1 %), cultures permanentes (2,2 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Lieux-dits et hameaux

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par les routes départementales 29 et 430 ainsi que par l'autoroute A64 (sortie 7). De plus, la gare de la commune voisine est située sur la ligne Toulouse -Bayonne.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Bellocq est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[29]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[30].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou Ă  montĂ©e rapide de cours d'eau, notamment le gave de Pau. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1998, 2013, 2014 et 2018[31] - [29].

    La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[32].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bellocq.

    Cet alĂ©a est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[33]. 64,4 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [34].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 1990 et par des mouvements de terrain en 1983, 2014 et 2018[29].

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le toponyme Bellocq apparaßt sous les formes Beitloc (1119-1136[35] et 1150-1167[35], cartulaire de Sorde[36]), Pulcher Locus (1286[28], registres de Bordeaux[37]), Lo loc de Begloc es bastide nueve et Begloc es poblat en la parropia de Salies (1327[28], titres de Came[38]), Lo passadge de Begloc (1442[28], contrats de Carresse[39] - il y avait à cet endroit un bac sur le gave), Nostre Done de Begloc (1472[28], notaires de Labastide-Villefranche[40]), Lo castet de Belloc (1536[28], réformation de Béarn[41]), Betloc (1582[28], aliénations du diocÚse de Dax[42]), Belloc (1793[43] et Bellocq (fin XVIIIe siÚcle[35], carte de Cassini).

    Étymologie

    Pour Michel Grosclaude[35], le toponyme est formĂ© du gascon beg (en orthographe actuelle bĂšth), « beau » et lĂČc, « lieu », pour donner « beau lieu ».

    Autres toponymes

    Cabé est une ferme, citée en 1537[28] dans la réformation de Béarn[41].
    Le Castéra désignait un bois de la commune, déjà mentionné en 1675[28] sous la graphie Castéraa (réformation de Béarn[41]).
    Le Castet était un chùteau et un fief relevant de la vicomté de Béarn[28].
    Peyresaube, ferme de Bellocq, apparaĂźt sous les graphies Peyres-Aubes (1385[28], censier de BĂ©arn[44]) et Peyresaubes (1863[28], dictionnaire topographique BĂ©arn-Pays basque).

    Graphie béarnaise

    Son nom bĂ©arnais est BailĂČc[45] ou BĂšyloc[46].

    Histoire

    Paul Raymond[28] note qu'en 1385, Bellocq comptait quatre-vingt-cinq feux et dĂ©pendait du bailliage de RiviĂšre-Gave, nom d'un archiprĂȘtrĂ© du diocĂšse de Dax qui tirait son nom du gave de Pau.

    Politique et administration

    Le 1er janvier 1973, les communes de PuyoÎ, Bellocq et Ramous sont fusionnées. La nouvelle commune prend le nom de PuyoÎ-Bellocq-Ramous. Elles redeviennent indépendantes le 1er janvier 1984.

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1952 1971 Paul Labau
    1971 2014 Georges Domercq
    2014 En cours Idelette Demaison

    Intercommunalité

    Le 1er janvier 2014, Bellocq intÚgre la communauté de communes de Lacq-Orthez[47].

    Bellocq fait partie de cinq autres structures intercommunales[48] :

    • le syndicat d'assainissement de Puyoo-Bellocq-Ramous ;
    • le syndicat d'Ă©nergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable du Saleys et des gaves ;
    • le syndicat intercommunal de dĂ©fense contre les inondations du gave de Pau ;
    • le syndicat mixte pour la crĂ©ation d'une zone d'activitĂ©s de l'Ă©changeur de Bellocq.

    Bellocq accueille le siÚge du syndicat mixte pour la création d'une zone d'activités de l'échangeur de Bellocq.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[50].

    En 2020, la commune comptait 913 habitants[Note 9], en augmentation de 1,67 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9471 0611 0621 0961 1451 2221 2161 1861 154
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0171 0071 0311 0331 0801 1531 099988972
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    9961 0601 039882871918903862829
    1962 1968 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019
    807836702684788833875898909
    2020 - - - - - - - -
    913--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee Ă  partir de 2006[51].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune fait partie de la zone d'appellation d'origine contrÎlée (AOC) du Béarn. Depuis 1991, l'AOC béarn-bellocq est attribuée aux vins récoltés sur les communes de Bellocq, Lahontan, Orthez et Salies-de-Béarn.

    Bellocq fait Ă©galement partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    • Le temple protestant
      Le temple protestant
    • La mairie
      La mairie
    • L'Ă©cole
      L'Ă©cole
    • Sortie de Bellocq
      Sortie de Bellocq

    Patrimoine civil

    Bellocq - ChĂąteau

    Le chùteau de Bellocq[52] date partiellement du XIIIe siÚcle. Il est classé par les monuments historiques depuis 1997.

    Patrimoine religieux

    L'Ă©glise Notre-Dame de Bellocq
    Le temple protestant

    Cultes

    Équipements

    Enseignement

    Bellocq dispose d'une Ă©cole primaire.

    Personnalités liées à la commune

    NĂ©es au XXe siĂšcle
    • Roger Martine, nĂ© en 1930 Ă  Bellocq et dĂ©cĂ©dĂ© en 2005, est un joueur de rugby français.
    • Robert Cazala, nĂ© en 1934 Ă  Bellocq et dĂ©cĂ©dĂ© en 2023, est un coureur cycliste français.
    • Georges Domercq, nĂ© en 1931 Ă  Bellocq et dĂ©cĂ©dĂ© en 2020, est un arbitre international de rugby français. Il a Ă©tĂ© maire de Bellocq durant 7 mandats, de 1971 Ă  2014.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[12].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[16].
    6. La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Bellocq » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intĂ©rĂȘt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Bellocq », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Gentilé sur habitants.fr
    2. « Métadonnées de la commune de Bellocq », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Bellocq et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Bellocq et Orthez », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Bellocq », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    7. Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
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