Accueil🇫🇷Chercher

Puyoô

Puyoô est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Puyoô
Puyoô
La cité Rigoulet.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes de Lacq-Orthez
Maire
Mandat
Michel Labourdette
2020-2026
Code postal 64270
Code commune 64461
Démographie
Population
municipale
1 108 hab. (2020 en diminution de 5,46 % par rapport à 2014)
Densité 119 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 31′ 36″ nord, 0° 54′ 39″ ouest
Altitude Min. 17 m
Max. 155 m
Superficie 9,32 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Puyoo
(ville-centre)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Puyoô
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Puyoô
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Voir sur la carte topographique des Pyrénées-Atlantiques
Puyoô
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Puyoô

    Le gentilé est Puyolais[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune de Puyoô se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe à 63 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 14 km d'Orthez[4], bureau centralisateur du canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Salies-de-Béarn[2].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Bellocq (1,1 km), Ramous (1,5 km), Ossages (4,3 km), Lahontan (4,5 km), Bérenx (5,1 km), Habas (5,3 km), Baigts-de-Béarn (6,1 km), Salies-de-Béarn (6,2 km).

    Sur le plan historique et culturel, Puyoô fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

    Communes limitrophes de Puyoô[7]
    Habas
    (Landes)
    Ossages
    (Landes)
    Lahontan Puyoô Ramous
    Bellocq

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Puyoô.

    La commune est drainée par le gave de Pau, le Lataillade, un bras du gave de Pau, le ruisseau d'Artigue-Bieille, le ruisseau de l'Espérance, le ruisseau de Loulié, le ruisseau de Peyranère, le ruisseau Saubagnac, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 13 km de longueur totale[8] - [Carte 1].

    Le gave de Pau, d'une longueur totale de 192,8 km, prend sa source dans la commune de Gavarnie-Gèdre et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Saint-Laurent-de-Gosse, après avoir traversé 88 communes[9].

    Le Lataillade, d'une longueur totale de 13,7 km, prend sa source dans la commune de Saint-Boès et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau sur le territoire communal, après avoir traversé 7 communes[10].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[11]

    • Moyenne annuelle de température : 13,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 13,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 249 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bellocq-Puyoo », sur la commune de Bellocq, mise en service en 1987[16] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[17] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 14,2 °C et la hauteur de précipitations de 1 181,9 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 41 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[20], à 13,4 °C pour 1981-2010[21], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[22].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : le « gave de Pau »[24], d'une superficie de 8 194 ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 7] encore vivace[25] - [Carte 2].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 8] est recensée sur la commune[26] - [Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave de Pau et ses annexes hydrauliques » (3 000,84 ha), couvrant 71 communes dont 10 dans les Landes, 59 dans les Pyrénées-Atlantiques et 2 dans les Hautes-Pyrénées[27].

    Urbanisme

    Typologie

    Puyoô est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9] - [28] - [29] - [30]. Elle appartient à l'unité urbaine de Puyoo, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[31] et 2 534 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[32] - [33]. La commune est en outre hors attraction des villes[34] - [35].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (45,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (44,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,6 %), zones agricoles hétérogènes (28,1 %), terres arables (11,8 %), zones urbanisées (11,3 %), prairies (5,2 %)[36].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

    Lieux-dits et hameaux

    • le Cout ;
    • Lasserres ;
    • Village.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Puyoô est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée)[37]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[38].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le gave de Pau et le ruisseau de Lataillade. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 1998, 2009, 2013, 2014 et 2018[39] - [37].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Puyoô.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[40]. 72,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10] - [41].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1983 et 2018[37].

    Toponymie

    Le toponyme Puyoô apparaît[42] sous les formes Puyou (1327, titres de Came[43]), Poyou (1385, censier de Béarn[44]), Puyo (1399, titres de Came[43]), Saint-Jean de Puyou (1735, titres de Puyoô[45]) et Puyòo (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[42]).

    Puyoô, Pujòu en béarnais, signifie « monticule, petit puy, petite hauteur », du latin podium, hauteur, avec le suffixe diminutif -olum, réduit à la prononciation en -òu[46].

    Les noms de lieu et de personne Pujol (Occitanie et Catalogne) ont la même origine.

    Histoire

    Paul Raymond[42] note que la commune comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn. Jean de Péfaur, né vers 1732 a été abbé laïque de Puyoô. Sa fille, Suzanne Antoinette de Péfaur, épouse de Paul Desclaux, seigneur de Lescar, a été abbesse laïque à la suite de son père.

    En 1385, Puyoô dépendait du bailliage de Rivière-Gave, nom d'un archiprêtré du diocèse de Dax qui tirait son nom du gave de Pau. On y comptait 24 feux.

    Politique et administration

    Le , les communes de Puyoô, Bellocq et Ramous sont fusionnées. La nouvelle commune prend le nom de Puyoô-Bellocq-Ramous. Elles redeviennent indépendantes le .

    Intercommunalité

    Puyoô était membre de la communauté de communes du canton d'Orthez, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1996 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Celle-ci a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes de Lacq-Orthez dont est désormais membre la ville.

    Puyoô fait également partie en 2020 d'autres structures intercommunales[47] :

    • le syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable du Saleys et des Gaves ;
    • le SIRP de Puyoô Ramous
    • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
    • le syndicat d'assainissement de Puyoô - Bellocq - Ramous ;
    • Agence publique de gestion locale

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1995 En cours
    (au mai 2020)
    Michel Labourdette Parti socialiste (France) Président de la CC du canton d'Orthez (avant 2011[48] → 2013)
    Vice-président de la CC de Lacq-Orthez (2014 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[49] - [50]

    Jumelages

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[52].

    En 2020, la commune comptait 1 108 habitants[Note 11], en diminution de 5,46 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    482474528576616671646704701
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    672649682643642674726693689
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    6846907349381 2191 3001 1781 1771 109
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 1411 1542 2592 2341 0071 0321 1071 1841 136
    2020 - - - - - - - -
    1 108--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee à partir de 2006[54].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lors des recensements de 1975 et 1982 Puyoô était fusionnée avec les communes de Bellocq et Ramous. La population est celle de Puyoô-Bellocq-Ramous, ce qui explique les chiffres nettement supérieurs à ceux des autres recensements.

    Économie

    L'activité est essentiellement tournée vers l'agriculture (élevage, polyculture, vigne).

    La commune fait partie de la zone d'appellation d'origine contrôlée (AOC) du Béarn.

    Culture locale et patrimoine

    • Entrée dans Puyoô.
      Entrée dans Puyoô.
    • La poste de Puyoô.
      La poste de Puyoô.

    La fête communale a lieu fin juin.

    Gare de Puyoô

    Gare de Puyoô.

    La gare actuelle a été construite en 1862 par l'ancienne Compagnie des chemins de fer du Midi. Le bâtiment présente un pavillon central muni de deux ailes construites en maçonnerie enduite et peinte et recouvert d'une toiture en tuiles.
    La construction de la Grande Halle voyageurs de Puyoô a été réalisée en 1920.
    La desserte TER est évaluée à environ 10 300 voyageurs par an (entrée et sortie).

    Patrimoine religieux

    L'église Saint-Jean-Baptiste.
    La chapelle Saint-Jean-Baptiste.

    L’église de Puyoô est dédiée à Jean le Baptiste, tout comme la chapelle dite Saint-Jean-Baptiste de Lescar.

    Équipements

    Enseignement

    La commune dispose d'une école primaire.

    Sports et équipements sportifs

    La commune entretient un stade de rugby et des courts de tennis.

    Vie sociale

    La commune dispose d'un foyer municipal.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[13].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
    7. La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
    8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    10. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Puyoô » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Puyoô », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Puyoô », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Gentilé sur habitants.fr
    2. « Métadonnées de la commune de Puyoô », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Puyoô et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Puyoô et Orthez », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Puyoô », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. « Fiche communale de Puyoô », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    9. Sandre, « le gave de Pau ».
    10. Sandre, « le Lataillade ».
    11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    12. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    13. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    14. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    15. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Bellocq-Puyoo - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Puyoô et Bellocq », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station Météo-France Bellocq-Puyoo - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    19. « Orthodromie entre Puyoô et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    22. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    23. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    24. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Puyoô », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « site Natura 2000 FR7200781 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « Liste des ZNIEFF de la commune de Puyoô », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave de Pau et ses annexes hydrauliques » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    29. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    30. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    31. « Unité urbaine 2020 de Puyoo », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    32. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    33. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    34. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    35. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    36. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    37. « Les risques près de chez moi - commune de Puyoô », sur Géorisques (consulté le )
    38. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    39. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur www.pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    40. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    41. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    42. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
    43. Titres de Came - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    44. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
    45. Titres de Puyoô - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    46. Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059), p. 297..
    47. « Outil de recherche BANATIC » (consulté le ).
    48. N. L., « Michel Labourdette veut rassurer les maires », Sud-Ouest, (lire en ligne, consulté le ).
    49. Jean Masmontet, « Michel Labourdette se représente », Sud-Ouest, (lire en ligne, consulté le ).
    50. « Puyoô 64270 », Résultats aux municipales 2020, sur https://www.lemonde.fr (consulté le ).
    51. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    52. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    53. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    54. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.