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Beauregard-de-Terrasson

Beauregard-de-Terrasson est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Beauregard-de-Terrasson
Beauregard-de-Terrasson
La mairie de Beauregard-de-Terrasson.
Blason de Beauregard-de-Terrasson
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes Terrassonnais Haut Périgord Noir
Maire
Mandat
Lionel Armaghanian
2020-2026
Code postal 24120
Code commune 24030
DĂ©mographie
Gentilé Beauregardiens
Population
municipale
681 hab. (2020 en diminution de 5,68 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 85 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 08â€Č 53″ nord, 1° 13â€Č 43″ est
Altitude Min. 112 m
Max. 291 m
Superficie 7,97 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Le Lardin-Saint-Lazare (banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton du Haut-PĂ©rigord Noir
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Beauregard-de-Terrasson
Liens
Site web beauregard-de-terrasson.fr

    GĂ©ographie

    Généralités

    La commune de Beauregard-de-Terrasson est situéee en limites du Périgord central et du Périgord noir, à l'est du département de la Dordogne. Elle est incluse dans l'unité urbaine du Lardin-Saint-Lazare.

    En bordure de la route départementale (RD) 62, le village de Beauregard-de-Terrasson est situé, en distances orthodromiques, deux kilomÚtres au nord du Lardin-Saint-Lazare et cinq kilomÚtres et demi à l'ouest-nord-ouest de Terrasson-Lavilledieu.

    À l'est, la commune est Ă©galement desservie le long de la vallĂ©e de l'Elle par la RD 64. Au nord, l'autoroute A89 traverse le territoire communal sur environ trois kilomĂštres et demi, dont 355 mĂštres en souterrain par le tunnel de la CrĂȘte[1].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Carte de Beauregard-de-Terrasson et des communes avoisinantes.

    Beauregard-de-Terrasson est limitrophe de cinq autres communes, dont Cublac à l'est, par un simple quadripoint, dans le département de la CorrÚze.

    Communes limitrophes de Beauregard-de-Terrasson
    Villac
    Peyrignac Beauregard-de-Terrasson Cublac
    (CorrĂšze),
    Terrasson-Lavilledieu
    Le Lardin-Saint-Lazare

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Beauregard-de-Terrasson est dans le gradin extrĂȘme nord-est que constitue le dernier contrefort du Massif central, avec des roches cristallines formĂ©es Ă  l’ùre primaire, antĂ©rieurement au CarbonifĂšre[2].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire, de roches sĂ©dimentaires datant pour certaines du CĂ©nozoĂŻque, et pour d'autres du MĂ©sozoĂŻque et du PalĂ©ozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e tfρ3, est constituĂ©e de grĂšs de Thiviers et d'ardoises d'Allassac, des mĂ©tatufs rhyodacitiques Ă  chlorite et mĂ©tagrauwackes, sĂ©ricitoschistes intercalĂ©s (Cambrien moyen Ă  supĂ©rieur). La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatĂ©es de vallons secs : sable limoneux Ă  dĂ©bris calcaires et argile sableuse Ă  dĂ©bris. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « no 784 - Terrasson » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[3] - [4] et sa notice associĂ©e[5].

    Carte géologique de Beauregard-de-Terrasson.

    Relief et paysages

    Vue vers le nord-est depuis le village de Beauregard-de-Terrasson.

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 112 m[6] Ă  l'est, au sud-est de lieu-dit Serre Bru, lĂ  ou l'Elle quitte la commune pour servir de limite entre celles de Terrasson-Lavilledieu et Le Lardin-Saint-Lazare, et 291 m[6] Ă  l'extrĂȘme nord du territoire communal, prĂšs du lieu-dit Renaufie[7] - [8].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [9]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] et 14 sous-unitĂ©s[10]. La commune est dans l'unitĂ© paysagĂšre des « Marges du bassin de Brive », qui correspond Ă  la marge occidentale du bassin de Brive. Elle se caractĂ©rise par une succession d’amples vallĂ©es, dĂ©blayĂ©es dans les grĂšs roses et les argiles rouges. Les altitudes s’échelonnent entre 350 et 150 m[11] - [12].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 7,97 km2[6] - [13] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 8,25 km2[4].

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Beauregard-de-Terrasson.

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[16]. Elle est drainĂ©e par l'Elle, la Nuelle, le Ribeyrol et par divers petits cours d'eau, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 10 km de longueur totale[17] - [Carte 1].

    L'Elle, d'une longueur totale de 19,4 km, prend sa source en CorrĂšze dans la commune d'Ayen et se jette dans la VĂ©zĂšre en rive droite Ă  Terrasson-Lavilledieu[18]. Elle traverse l'est de la commune sur plus d'un kilomĂštre et demi et y reçoit son affluent de rive gauche le Ribeyrol qui sert de limite territoriale trĂšs ponctuellement, sur moins de 100 mĂštres avec Terrasson-Lavilledieu.

    Affluent de rive gauche du Cern et sous-affluent de la VézÚre, la Nuelle traverse le territoire communal du nord-ouest au sud-ouest sur plus de trois kilomÚtres dont prÚs d'un kilomÚtre et demi, en deux tronçons, en limite de Villac et de Peyrignac.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « VĂ©zĂšre-CorrĂšze ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de la VĂ©zĂšre et de la CorrĂšze, d'une superficie de 3 730 km2 est en cours d'Ă©laboration. La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est le conseil dĂ©partemental de la CorrĂšze[19]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [20].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[21]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[22].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[21]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 7,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 1 008 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[25] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[26] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, mise en service en 1987[27] et qui se trouve Ă  24 km Ă  vol d'oiseau[28] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[29], Ă  12,7 °C pour 1981-2010[30], puis Ă  13,0 °C pour 1991-2020[31].

    Urbanisme

    Typologie

    Beauregard-de-Terrasson est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 7] - [32] - [33] - [34]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine du Lardin-Saint-Lazare, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 3 communes[35] et 3 338 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[36] - [37]. La commune est en outre hors attraction des villes[38] - [39].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (57,6 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (54,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (38,1 %), forĂȘts (33,2 %), prairies (19,5 %), zones urbanisĂ©es (9,2 %)[40].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg de Beauregard-de-Terrasson proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[41] :

    • Bancharel
    • le Bois
    • les Bois Verts
    • Cafourche
    • la Chabanne
    • la Chalucie
    • les Combarelles
    • la Combe Souillac
    • les Gannelets
    • les Gannes
    • la Geoffrenie
    • les Grattes-Chats
    • les Guillaumaux
    • Marsoli
    • Mellet
    • Peuch de Cheyrat
    • Peyredaille
    • les Poucaux
    • Renaufie
    • les Rouverolles
    • la Sautellerie
    • Serre Bru
    • Serre Marsal.

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Beauregard-de-Terrasson est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[42]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[43].

    Risques naturels

    Beauregard-de-Terrasson est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[44]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[45] - [46].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Beauregard-de-Terrasson.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[47]. 29,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [48].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999, par la sécheresse en 1989, 1991, 2011, 2018 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[42].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Bellus Regardus en 1346, Bel Regart et Bellus Respectus en 1359.

    Le nom de la commune est la francisation de l'occitan bÚl regart, correspondant à un lieu bien exposé[49], disposant d'une belle vue. La seconde partie du nom s'explique par la proximité de la ville de Terrasson.

    En occitan, la commune porte le nom de Beuregard de Terrasson[50].

    Histoire

    Préhistoire

    Le site de Badegoule[51] - [52] - [53] - [54] - [55] - [56] - [57] est Ă©ponyme pour le Badegoulien.

    Temps modernes

    En 1793, l'ancienne commune de Bersac a fusionnĂ© et a intĂ©grĂ© celle de Beauregard-de-Terrasson avant d'ĂȘtre rĂ©tablie en 1906[58].

    XXe siĂšcle

    La commune a servi de décor à la mini-série télévisée Des grives aux loups tournée en 1984 d'aprÚs le roman de Claude Michelet[59].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de Beauregard-de-Terrasson a, dÚs 1790, été rattachée au canton de la Bachellerie qui dépendait du district de Montignac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviÎse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Terrasson (devenu canton de Terrasson-la-Villedieu en 1963, puis renommé en canton de Terrasson-Lavilledieu en 1997) dépendant de l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[6].

    Intercommunalité

    Fin 2003, Beauregard-de-Terrasson intÚgre la communauté de communes du Terrassonnais. Celle-ci est dissoute au 31 décembre 2013 et remplacée au 1er janvier 2014 par la communauté de communes du Terrassonnais en Périgord noir Thenon Hautefort, renommée communauté de communes Terrassonnais Haut Périgord Noir en .

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[60] - [61].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1938 1940 André Desmond[62] SFIC
    1944 1977 André Desmond PCF
    avant 1995 1995 Robert Bouissou
    1995 2001 Mireille Grandchamp
    mars 2001
    (réélu en mai 2020)
    En cours Lionel Armaghanian SE[63] Enseignant

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2011[64].

    Politique environnementale

    Dans son palmarÚs 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[65].

    Équipements et services publics

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, Beauregard-de-Terrasson relĂšve[66] :

    DĂ©mographie

    Les habitants de Beauregard-de-Terrasson se nomment les Beauregardiens[67].

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[68]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[69].

    En 2020, la commune comptait 681 habitants[Note 9], en diminution de 5,68 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0201 0681 0531 2351 3151 2631 2681 3471 312
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3971 3221 3351 3001 3681 4261 3511 2521 341
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 288587555532498467445414379
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    406436533575653654685694716
    2018 2020 - - - - - - -
    690681-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee Ă  partir de 2006[70].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Remarque

    Au début du XXe siÚcle, la brutale chute démographique s'explique par la séparation de Bersac qui devient une commune indépendante en 1906, commune qui prendra le nom de Le Lardin en 1922.

    Économie

    Emploi

    En 2015[71], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 317 personnes, soit 43,5 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (quarante-quatre) a presque doublĂ© par rapport Ă  2010 (vingt-quatre) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  13,8 %.

    Établissements

    Au , la commune compte vingt-quatre Ă©tablissements[72], dont treize au niveau des commerces, transports ou services, trois dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, trois dans l'industrie, trois dans la construction, et deux relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale[73].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    • ChĂąteau de BĂ©let
    • ChĂąteau de Mellet, XVIIe siĂšcle, inscrit partiellement en 1990 au titre des monuments historiques pour les façades et toitures du chĂąteau ainsi que des communs[74] - [75], visitable du 15 juillet Ă  fin aoĂ»t[76]
    • Ruines du chĂąteau de Potuverie.
    • Ruines du chĂąteau de Muratel[77], Muratellum en 1446[78].
    • Le chĂąteau de Mellet.
      Le chĂąteau de Mellet.
    • Maison Ă  colombages dans le village.
      Maison Ă  colombages
      dans le village.

    Patrimoine religieux

    • L'Ă©glise Saint-Antoine fondĂ©e en 1309 par le vicomte de Limoges, Jean de Bretagne[79] - [80], avec son clocher-peigne.
    • La chapelle Saint-Roch[79].
    • La chapelle privĂ©e de la famille Boissarie.
    • L'Ă©glise Saint-Antoine.
      L'Ă©glise Saint-Antoine.
    • Son portail.
      Son portail.
    • La chapelle Saint-Roch.
      La chapelle Saint-Roch.
    • Croix de Malte sculptĂ©e sur la porte de la chapelle Saint-Roch.
      Croix de Malte sculptée sur la porte de la chapelle Saint-Roch.
    • La chapelle privĂ©e de la famille Boissarie.
      La chapelle privée de la famille Boissarie.

    HĂ©raldique

    Blason de Beauregard-de-Terrasson Blason
    De gueules à la croix pattée d'or ; sur le tout, d'azur au chevronnel alésé, sommé d'un oiseau stylisé becquetant une palme posée en bande et mouvant du chevronnel, et au croissant en pointe, le tout d'argent[81].
    Devise
    Voir plus loin
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[14] - [15]
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[23].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[24].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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