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Cublac

Cublac est une commune française située dans le département de la Corrèze, en région Nouvelle-Aquitaine.

Cublac
Cublac
Le bourg de Cublac.
Blason de Cublac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Brive-la-Gaillarde
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Bassin de Brive
Maire
Mandat
Jean-Marc Brut
2020-2026
Code postal 19520
Code commune 19066
Démographie
Gentilé Cublacois
Population
municipale
1 727 hab. (2020 en augmentation de 3,41 % par rapport à 2014)
Densité 86 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 08′ 38″ nord, 1° 18′ 21″ est
Altitude 300 m
Min. 88 m
Max. 326 m
Superficie 20,18 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Terrasson-Lavilledieu
(banlieue)
Aire d'attraction Brive-la-Gaillarde
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Pantaléon-de-Larche
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Cublac
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Cublac
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Cublac
Liens
Site web cublac.correze.net

    La commune est connue pour son ancienne exploitation de charbon entre 1781 et 1914, celle-ci a laissé plusieurs vestiges.

    Ses habitants sont appelés les Cublacois.

    Géographie

    Localisation

    Comprise dans l'unité urbaine de Terrasson-Lavilledieu[1] et limitrophe du département de la Dordogne, la commune de Cublac est située dans le quart sud-ouest du département de la Corrèze, dans le bassin de Brive, en région Nouvelle-Aquitaine.

    Communes limitrophes

    Cublac est limitrophe de cinq autres communes, dont trois dans le département de la Dordogne. À l'ouest, Beauregard-de-Terrasson n'est limitrophe que par un simple quadripoint.

    Géologie et relief

    L'altitude minimale, 82 mètres, se trouve au sud, là où la Vézère quitte la commune et entre sur celle de Terrasson-Lavilledieu. L'altitude maximale avec 326 mètres est localisée au nord-ouest, près du lieu-dit la Valette-Basse, en limite de la commune de Brignac-la-Plaine.

    Au Carbonifère, la région de Cublac est traversée par plusieurs cours d'eau qui forment des deltas où des végétaux se sont fait recouvrir par des sédiments. Plusieurs couches de charbon s'intercalent alors entre les micaschistes, grès triasique et du calcaire du Jurassique. Le gisement est entrecoupé par des failles post-permienne[2].

    Hydrographie

    La Logne en limites de Mansac et Cublac.

    La commune de Cublac est bordée au sud sur plus de quatre kilomètres par la Vézère, et à l'est sur plus de trois kilomètres par les méandres de son affluent, la Logne, ainsi qu'à l'ouest par le Ribeyrol, affluent de l'Elle.

    Voies de communication et transports

    À l'intersection des routes départementales (RD) 2 et 3, le bourg de Cublac se situe, en distances orthodromiques, à moins de deux kilomètres au nord-nord-est du centre-ville de Terrasson et dix-huit kilomètres à l'ouest de Brive-la-Gaillarde.

    Le territoire communal est également desservi par les RD 39 et 147. L'autoroute A89 traverse la partie nord de la commune mais l'échangeur le plus proche (no 18, celui de Terrasson), se trouve sur la commune voisine de Mansac, à sept kilomètres du bourg de Cublac par la route.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 018 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, mise en service en 1987[9] et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Cublac est une commune rurale[Note 5] - [14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Terrasson-Lavilledieu, une agglomération inter-départementale regroupant 2 communes[17] et 7 897 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brive-la-Gaillarde, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (49,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45 %), zones agricoles hétérogènes (25,2 %), prairies (23,6 %), zones urbanisées (4,3 %), terres arables (1,9 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Cublac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Tulle-Brive, regroupant 20 communes concernées par un risque de débordement de la Corrèze et de la Vézère (17 dans la Corrèze et trois dans la Dordogne), un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[25]. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[26]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2001 et 2011[27] - [23]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques (PPR) inondation « Vézère », approuvé le [28].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cublac.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 62,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 838 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 535 sont en en aléa moyen ou fort, soit 64 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[30].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et 2019, par des mouvements de terrain en 1999 et par des glissements de terrain en 1993[23].

    Risques technologiques

    La commune est en outre située en aval du barrage de Monceaux la Virolle, un ouvrage de classe A[Note 7] situé dans le Cantal et disposant d'une retenue de 20,5 millions de mètres cubes[32]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[33].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Cublac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[34].

    Histoire

    En 935, une chapelle annexe de la paroisse de Brignac est édifiée à Cublac[35]. Cublac devient à son tour une paroisse en 1107 et l'église qui y est construite est consacrée en 1131 par l'évêque de Limoges[35]. Détruite lors des guerres de religion, l'église actuelle, dédiée à saint Barthélemy, est reconstruite en 1490, puis modifiée au XIXe siècle par l'ajout du portail et du porche actuels[35].

    Mines

    Du charbon est découvert le grâce à l'initiative de l'intendant de la généralité de Limoges, Anne Robert Jacques Turgot. La houille est exploitée sur le territoire de Cublac entre 1781 et 1914 par plusieurs compagnies. La production est faible, généralement comprise entre 1 000 et 3 500 tonnes par an[2] - [36].

    • Le puits de la Valade.
      Le puits de la Valade.
    • Le puits Festugières.
      Le puits Festugières.
    • Vue générale du puits Festugières.
      Vue générale du puits Festugières.
    • Le criblage au puits Festugières.
      Le criblage au puits Festugières.

    École Bossuet

    À la suite de la loi de séparation des Églises et de l'État de 1905, le petit séminaire de Brive-la-Gaillarde est transféré en 1907 à l'école Bossuet de Cublac sur le site de Notre-Dame-de-la-Cabane[37]. Il compte alors parmi ses professeurs les préhistoriens Jean Bouyssonie et son frère Amédée qui en est directeur[38]. C'est un établissement d’enseignement secondaire ecclésiastique où les élèves, tous internes, rentrent très rarement chez eux. Son isolement et son éloignement de Brive entraînent une baisse des effectifs sous un niveau critique en 1932, ce qui motive son déménagement à Brive dans un nouvel établissement inauguré le [39].

    Les bâtiments abandonnés tombent en ruine. En 2017, un projet de transformation du site en hôtel de luxe est présenté[40].

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981 ? Philippe Mathieu DVG
    mars 2001
    (réélu en mai 2020)
    En cours Jean-Marc Brut UMP-LR Agriculteur

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2009[41].

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[42].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[44].

    En 2020, la commune comptait 1 727 habitants[Note 8], en augmentation de 3,41 % par rapport à 2014 (Corrèze : −0,89 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9761 0679901 0761 0841 0861 1181 1561 188
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1781 2411 2141 1951 1901 1781 2131 3031 278
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2151 0911 1301 0871 1341 0351 1041 0311 026
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 0211 0621 1321 3771 5601 5151 5341 5771 718
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 6701 7361 727------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    • Rugby : Union Sportive Cublac-Terrasson[47]

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Barthélémy.
      L'église Saint-Barthélémy.
    • Sa nef.
      Sa nef.
    • Bâtiment ancien dans le bourg de Cublac.
      Bâtiment ancien dans le bourg de Cublac.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • Notre-Dame de la Cabane.
      Notre-Dame de la Cabane.

    Le lieu-dit la Rochette a des demeures typiques constituées de pierres rouges.

    Les vestiges miniers de l'exploitation du charbon (emplacements de puits, ruines, outils et corons) sont mis en valeur le long de sentiers de découvertes agrémentés de panneaux explicatifs. Cinq grands panneaux consacrés à l'histoire du village et des mines sont installés sous la halle publique[36].

    • Le sentier des mines de charbon de Cublac.
    • La halle publique et les panneaux.
      La halle publique et les panneaux.
    • Le puits de la Valade.
      Le puits de la Valade.
    • Le puits Festugières.
      Le puits Festugières.
    • Le puits Espérance.
      Le puits Espérance.
    • Le puits Vieux.
      Le puits Vieux.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean Bouyssonie (1877-1965) et son frère Amédée, professeurs à l'école Bossuet de Cublac[38].

    Cinéma

    Plusieurs films et séries ont été tournés dans la commune en particulier, en 1990 : Les enfants de Lascaux de Maurice Bunio.

    Héraldique

    Blason de Cublac Blason
    Coupé, au 1er d'azur à une épée haute d'argent posée en pal, accompagnée de deux croissants aussi d'argent, au 2d d'or à l'arbre arraché de sinople.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[31].
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Insee, unité urbaine 2010 de Terrasson-Lavilledieu, consulté le 23 août 2016.
    2. Auteur inconnu, Le patrimoine de notre village : Petra et Ignis : la pierre et le feu, la pierre qui brûle : le charbon, Commune de Cublac (lire en ligne [PDF]).
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station météofrance Brive - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Cublac et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Terrasson-Lavilledieu », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. « Les risques près de chez moi - commune de Cublac », sur Géorisques (consulté le )
    24. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    25. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne », sur https://www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr/ (consulté le )
    26. « cartographie des risques d'inondations du TRI de Tulle-Brive », sur www.nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    28. « PPRI Vézère », sur le site de la préfecture de Corrèze (consulté le )
    29. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    30. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Cublac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    31. Article R214-112 du code de l’environnement
    32. « barrage de Monceaux la Virole », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
    33. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    34. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    35. Notes diverses de la « Société d'Art et d'Histoire de Sarlat et du Périgord Noir », à l'intérieur de l'église, vues le 1er août 2015.
    36. « Les mines de charbon corréziennes ... un patrimoine méconnu » [vidéo], sur France 3 Limousin.
    37. www.artefact.fr, « Histoire et Patrimoine - Ville de Cublac », sur www.cublac.correze.net (consulté le ).
    38. Fanny Defrance-Jublot, « Quand des abbés lèvent le doute sur les néandertaliens », sur Pour la science, (consulté le ).
    39. Aurélie Verlhac, « Du petit séminaire à l'école Bossuet : Petit historique d’une institution », sur http://www.anciensedmichelet.net, (consulté le ).
    40. « Hôtellerie - Les premières images du futur hôtel "cinq étoiles" de Cublac en Corrèze », www.lamontagne.fr, (lire en ligne, consulté le ).
    41. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Cublac, consultée le 26 octobre 2017
    42. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
    43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    47. Benjamin Pécout, « L'US Cublac/Terrasson peut fêter sa montée », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 28.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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