Autobus de Montpellier

Les premiers autobus apparaissent dans les années 1930 avec un premier réseau mis en place par la ville de Montpellier pour concurrencer les compagnies d'autocars[2].

Une première ligne est exploité par le Central Garage de juillet 1930 à juillet 1931, formant un "8"[3].

La ligne unique de Central Garage est remplacé par 2 lignes exploitées par la Compagnie montpelliéraine des Tramways électriques, qui exploite également le réseau de tramway.

Le réseau en 1932 se compose de 2 lignes :

• A: Les Aubes ↔ La Soufrière
• B: La Pompignane ↔ Maison de l'Agriculture

La ligne A est remplacée par une ligne desservant le Plan des Quatre seigneurs le 5 février 1932[3].

La Compagnie montpelliéraine des Tramways électriques ne renouvelle pas sa convention avec la Ville de Montpellier et cette dernière choisit l'entreprise de Monsieur Benavenq le 28 janvier 1938 pour exploiter les autobus. Le réseau se compose des lignes suivantes :

• Comédie ↔ Plan des 4 seigneurs
• Comédie
• Comédie ↔ Maison de l'Agriculture

L'entreprise de Monsieur Benavenq est remplacée par l'entreprise de Monsieur Apure le 1^er juin 1940, mais ce dernier n'exploitera que le réseau d'autobus durant 1 mois et 6 jours, car le 7 juillet 1940, un arrêté préfectoral suspend tous les transports urbains[3].

Le 13 mars 1947, la gestion du réseau est confiée à la Régie municipale des transports, en remplacement de la Compagnie montpelliéraine des Tramways électriques[2]. Le réseau de tramway ferme en 1949 et seules les quatre lignes de bus subsistent[2].

En 1964, le réseau se compose de dix lignes A à K[2] :

• A : École d'Agriculture ↔ Zone industrielle (dépôt de la RMT)
• B : Font d'Aurelle ↔ Croix d'Argent
• C : Comédie ↔ Castelnau-le-Lez
• D : Comédie ↔ Lycée Agricole
• E : Comédie ↔ Pompignane
• F : Comédie ↔ Notre-Dame-de-la-Paix
• G : Comédie ↔ Rimbaud
• H : Comédie ↔ Plan des 4 Seigneurs
• J : Comédie ↔ Celleneuve
• K : Comédie ↔ Lemasson

Le réseau passe à 13 lignes en 1966[2].

En 1968, la CTM (Compagnie montpelliéraine des transports), entreprise privée, remplace l'ancienne régie et hérite d'un réseau de 13 lignes remontant à 1966[2]. Le réseau sera progressivement modifié et en 1973, le réseau se compose de 9 lignes indicées de 1 à 9[2].

En 1977, le réseau reçoit ses premiers articulés, des Setra SG 180[4].

La même année, le réseau se composait de 11 lignes desservant Montpellier et Castelnau-le-Lez[2] :

• 1 : Gare ↔ Z.U.P. La Paillade ;
• 2 : Pas du Loup ↔ Mosson ;
• 3 : Cévennes ↔ Zone industrielle ;
• 4 : Notre-dame-de-la-Paix ↔ Castelnau-le-Lez ;
• 5 : Lemasson ↔ Plan des 4 seigneurs ;
• 6 : Prés d'Arènes ↔ Font d'Aurelle ;
• 7 : La Chamberte ↔ Aiguelongue ;
• 8 : Les Aubes ↔ Chemin Moularès ;
• 9 : Gare ↔ Petit Bard ;
• 10 - Mini-bus : Celleneuve ↔ St-Lazare ;
• 11 : Père Soulas ↔ La Pompignane ;

Le 31 décembre 1977, la CTM disparaît[4].

Le 1^er janvier 1978, la Société montpelliéraine des transports urbains est créée, la création de la SMTU s'accompagne d'une nouvelle livrée blanche à bandes vertes, accompagnée de la croix occitane[2].

En 1982, le réseau se dote d'une navette de centre-ville gratuite, le « Guilhem »[2]. Entre 1982 et 1985, le réseau est étendu aux communes limitrophes du district de Montpellier, ces lignes sont indicées de 17 à 29[2].

En 1986, le réseau se compose de 28 lignes desservant Montpellier, Baillargues, Castelnau-le-Lez, Clapiers, Grabels, Jacou, Juvignac, Lattes, Le Crès, Montferrier-sur-Lez, Palavas-les-Flots, Pérols, Saint-Jean-de-Védas et Vendargues[2] :

• 1 : Gare ↔ La Paillade (Gênes) ;
• 2 : Pas du Loup ↔ La Paillade (Piscine) ;
• 3 : Cévennes ↔ Jeune Parque ;
• 4 : Bouisses ↔ Castelnau le Lez (Place de la Monnaie) / Castelnau le Lez (Devois) ;
• 5 : Agropolis Lycée Agricole / Agropolis CNEARC ↔ Cave Coopérative / Marquerose ;
• 6 : Plan des 4 Seigneurs ↔ Zone Industrielle ;
• 7 : Croix de Lavit / Mas de Neuville ↔ Martelle ;
• 8 : Pompignane Cité Rimbaud ↔ Moularès ;
• 9 : Gare ↔ LEP La Paillade ;
• 10 : Gare ↔ Leclerc ;
• 11 : Enclos des Lys / Aiguelongue ↔ Pinville ;
• 12 : Gare ↔ St Martin ;
• 14 : Les Sabines ↔ Albert 1^er ;
• 15 : Gare ↔ Château de Grammont ;
• 16 : Le Guilhem ↔ Le Guilhem (navette de centre-ville circulaire) ;
• 17 : Gare Routière ↔ Palavas (Roquille) ;
• 18 : Gare Routière ↔ Lattes (La Courgoulude) ;
• 19 : Gare ↔ La Paillade ;
• 20 : Gare routière ↔ Le Crès (Baléares) ;
• 21 : Gare routière ↔ Vendargues (Devèze - C.Coopérative) ;
• 22 : Gare routière ↔ Clapiers (Centre Aéré) - Jacou (Les Fournigues) ;
• 23 : Gare routière ↔ Montferrier sur Lez (Le Grand Font) ;
• 24 : Gare routière ↔ Grabels ;
• 25 : Gare routière ↔ Juvignac (Rte de St Georges) ;
• 26 : Gare routière ↔ Saint-Jean de Védas (Les Cigaliers) ;
• 27 : Gare routière ↔ Lattes - Maurin (Crédit Agricole) ;
• 28 : Gare routière ↔ Pérols (Port de Pérols - Pont de Carnon) ;
• 29 : Gare routière ↔ Baillargues (CES) ;

Du 30 octobre au 7 novembre 1987, le prototype Renault Mégabus a été testé sur la ligne 1[2].

En 1989, le réseau se dote d'un service de nuit, nommé «Le Rabelais», composé de 4 lignes desservant tout Montpellier[2].

En 1991, la livrée verte laisse place à une livrée blanche à carreaux bleus, cette livrée sera vite surnommée «Lustucru»[2]. Les premiers bus à recevoir la livrée seront les Renault R312, reçus à cette époque.

En 1992, le réseau est restructuré, la navette «Le Guilhem» est remplacée par le «PetitBus»[2] :

• 1 : Gare ↔ Paillade Coubertin / Les Hauts de la Paillade ;
• 2 : Mosson ↔ Port Juvénal ;
• 3 : Tournezy ↔ Alco ;
• 4 : Val de Crozes ↔ Castelnau les Aires / Palais des sports ;
• 5 : Garosud / Mas de Bagnères ↔ Agropolis Lavalette / Lycée Agricole ;
• 6 : Pas du Loup ↔ Plan des 4 Seigneurs ;
• 7 : St-Priest ↔ Les Bouisses / La Martelle ;
• 8 : La Rauze ↔ Mas de Rochet / Les Aubes ;
• 9 : Pompignane ↔ Paillade Blayac ;
• 10 : Gare ↔ Celleneuve ;
• 11 : Aiguelongue ↔ IBM Blaise Pascal ;
• 12 : Prés d'Arènes ↔ Grammont ;
• 14 : Port Juvenal ↔ Les Hauts de la Paillade (renfort express de la ligne 1) ;
• PetitBus : Antigone ↔ Ecusson ↔ Gare (circulaire) ;
• 17 : Gare routière ↔ Palavas ;
• 18 : Gare routière ↔ Lattes ;
• 20 : Le Crès ↔ St Jean de Vedas ;
• 21 : Gare routière ↔ Vengargues ;
• 22 : Gare routière ↔ Clapiers / Jacou ;
• 23 : Gare routière ↔ Prades le Lez ;
• 24 : Gare routière ↔ Grabels ;
• 25 : Gare routière ↔ Juvignac ;
• 26 : Gare routière ↔ Saint Jean de Vedas ;
• 27 : Gare routière ↔ Maurin ;
• 28 : Gare routière ↔ Pérols / Palavas ;
• 29 : Gare routière ↔ Baillargues ;

En 1994, le réseau reçoit des Renault PR112 (standards) et PR118 (articulés)[2]. Le réseau est encore modifié[2] :

• ligne 1 : suppression de la desserte des hauts de Paillade ;
• ligne 2 : prolongement à la Fac de Droit de Science Eco et de Gestion ;
• ligne 8 : abandon de la desserte des Aubes ;
• ligne PetitBus : Séparation en deux lignes :
  • PetitBus Vert : Antigone ↔ Place de la Comédie ↔ Préfecture ↔ Albert 1^er ↔ Peyrou ↔ Antigone ;
  • PetitBus Bleu : Antigone ↔ Place de la Comédie ↔ Préfecture ↔ Corum ↔ Esplanade ↔ Antigone ;

Entre 1997 et 1998, le réseau reçoit 31 Man NL222[2]. En 2000, la SMTU disparaît et le réseau prend le nom commercial « TaM ».

Un bus de la ligne 6, à son arrêt Saint-Denis.

Le 3 juillet 2000, le tramway est mis en service et la SMTU change nom et devient TAM (Transports de l'agglomération de Montpellier). Une nouvelle livrée grise et bleue (grise et rouge pour la ligne La Ronde) est mise en place et le réseau est restructuré comme suit[5] :

• 1 : Renommée ligne 15, l'indice 1 étant repris par le Tramway ;
• 2 : Supprimée et remplacée par la ligne 1 du Tramway ;
• 3 : Supprimée ;
• 4 : Prolongée du Palais des sports aux Bouisses ;
• 5 : Réduite au trajet Gare ↔ Garosud / Mas de Bagnères ;
• 6 : Réduite au tronçon Pas du Loup ↔ Prof J. Blayac ;
• 7 : Terminus Saint-Priest reporté à Celleneuve :
• 8 : Inchangée ;
• 9 : Reprise de la desserte d'Aiguelongue à la suite de la suppression du 11, desserte de la Paillade reprise par le 7 ;
• 10 - La Ronde : Création d'une ligne circulaire effectuant le tour de la ville, l'ancienne ligne 10 est supprimée ;
• 11 : Supprimée ;
• 12 : Inchangée ;
• 13 - La navette : Création de la ligne pour desservir Agropolis à la suite de la réduction de trajet de la ligne 5 ;
• 14 : Limité au tronçon Gare ↔ Mosson, la ligne fut rapidement supprimée en raison d'une baisse de fréquentation ;
• 15 : Nouvel indice de la ligne 1 ;
• 16 : Nouvelle ligne reprenant globalement la ligne 3, reliant Tournézy à Euromédecine ;
• 17 : Inchangée ;
• 18 : Suppression de la section Gare routière ↔ Port Marianne ;
• 19 : Nouvelle ligne Corum ↔ Clapiers ;
• 20 : Inchangée ;
• 21 : Suppression de la section Gare routière ↔ Corum ;
• 22 : Suppression de la section Gare routière ↔ Léon Blum ;
• 23 : Suppression de la section Gare routière ↔ Occitanie ;
• 24 : Suppression de la section Gare routière ↔ Occitanie ;
• 25 : Inchangée ;
• 26 : Inchangée ;
• 27 : Inchangée ;
• 28 : Suppression de la section Gare routière ↔ Port Marianne ;
• 29 : Suppression de la section Gare routière ↔ Odysseum ;
• 30 : Nouvelle ligne Léon Blum ↔ Le Crès ;

En 2001, la section Sud de La Ronde est supprimée il s'agit de la section Les Bouisses ↔ Pré d'Arènes ↔ Odysseum et Le Rabelais est réduit au rôle de Navette entre Mosson et le Mas de Bagnères[6].

En 2002, la ligne de nuit « L'Amigo » est créée. Elle dessert les boîtes de Nuit de l'avenue de la mer de minuit à 5 heures du matin[2].

En 2003, Montpellier Agglomération (actuelle Montpellier Méditerranée Métropole) et passe de 15 à 38 communes[2]. Quatre nouvelles lignes sont créées[2] :

• 31 : Montpellier ↔ Saint-Aunès
• 32 : Montpellier ↔ Villeneuve-lès-Maguelone
• 33 : Montpellier ↔ Fabrègues
• Navette Aéroport

L'année suivante, en 2004, sept communes quittent la métropole : La Navette Aéroport est supprimée et la ligne 31 devient une ligne reliant Montpellier à Castries[2], la navette Le Guilhem est recrée pour desservir le centre-ville devenu piéton.

Palavas-les-Flots quitte la métropole en 2005, la ligne 17 est alors supprimée[2].

Avec l'arrivée de la ligne 2 de tramway le 16 décembre 2006 le réseau est restructuré[7] :

• 5 : Nouvelle Ligne Boutonnet ↔ Aiguelongue (Jussieu)

• 6 : Prof J. Blayac ↔ Gare ↔ Pas du Loup (inchangée)
• 7 : Celleneuve ↔ Gare ↔ La Martelle/Les Bouisses (inchangée)
• 8 : Gare ↔ La Rauze
• 9 : La Pompignange (Sémard) ↔ Grammont
• La Ronde : Place de France ↔ Garosud (Changement de parcours)
• 11 : Nouvelle Ligne Gare ↔ Les Bouisses (Ancienne partie sud de la ligne 4)
• 12 : Gare ↔ Garosud
• La Navette : (Circulaire) Saint Éloi ↔ Agropolis
• 14 : Nouvelle Ligne Léon Blum ↔ Saint Maur
• 15 : Gare ↔ Pierre de Coubertin (inchangée)
• 16 : Euromédecine ↔ Gare ↔ Tournezy (inchangée)
• 18 : Place de l'Europe ↔ Lattes ↔ Maurin ↔ Sabines
• 20 : Saint Jean de Védas (Saint Hubėry) ↔ Saint Jean de Védas (Centre) ↔ Saint Jean de Védas (La Lauze)
• 21 : Notre Dame de Sablassou ↔ Vendargues (Paul Gauguin)
• 22 : Saint Éloi ↔ Clapiers ↔ Jacou ↔ Jacou (Pont de la Draye)
• 23 : Occitanie ↔ Montferrier-sur-Lez (La Grand Font) ↔ Prades-le-Lez (Les Baronnes) (inchangée)
• 24 : Grabels (Le Pradas) ↔ Euromédecine ↔ Grabels (La Valsière)
• 25 : Juvignac (Fontcaude) ↔ Mosson ↔ Gare (inchangée)
• 26 : Supprimée
• 27 : Supprimée
• 28 : Place de l'Europe ↔ Pérols (Cabanes)
• 29 : Notre Dame de Sablassou ↔ Baillargues (Collège) / Baillargues (Golf) / Saint Brès
• 30 : Notre Dame de Sablassou ↔ Le Crès (Sauvagine)
• 31 : Nouvelle Ligne Notre Dame de Sablassou ↔ Castrie (Collège) ↔ Beaulieu (Mairie)
• 32 : Nouvelle Ligne St-Cléophas ↔ Villeneuve-lès-Maguelone (Avenue de la Gare) ↔ Villeneuve-lès-Maguelone (Maison d'Arrêt)
• 33 : Saint Jean de Védas (Centre) ↔ Saussan (Pascaou) ↔ Fabrègues (Lou Paillas)
• 34 : Mosson ↔ Juvignac ↔ St-Georges-D'Orques ↔ Pignan ↔ Cournonterral ↔ Cournesec (Les Clavoux)
• 35 : Castelnau le Lez (Mas de Rochet) ↔ Georges Pompidou

À noter que le nouveau réseau ne prend place qu'en janvier 2007[7].

Entre 2007 et 2015, le réseau de bus connaît des modifications mineures.

Fin 2015, les Transports de l'agglomération de Montpellier ont vendu des Renault PR 112 et PR 100.2 qui ont depuis rejoint le Portugal ainsi que 4 Renault R312 qui ont rejoint la Pologne. Cette vente s'inscrit dans le cadre de la radiation du parc roulant des bus à motorisation Diesel pour des moteurs GNV entamée en 2000[8].

Depuis l'aménagement de la promenade du Peyrou, par temps de pluie, le trafic des bus des lignes 6 et 7 était dévié entre les arrêts Saint-Guilhem Courreau et Doria dans le sens Euromédecine / Hôtel du Département. Dans les sens Pas du loup / La Martelle - Les Bouisses, par temps de pluie, les arrêts La Pile, Saint-Roch, Saint-Jaumes, Peyrou, Saint-Guilhmem Courreau n'étaient pas desservis. Face à l'ensemble des désagréments, il a été décidé fin 2017 de modifier pendant un certain temps le tracé des lignes dans ce secteur. Ainsi, jusqu'à nouvel ordre, dans le sens Euromédecine / Hôtel du Département, les bus passent sous le pont Vialleton et ne desservent pas l'arrêt situé Rue Pitot. Dans le sens inverse, les lignes 6 et 7 desservent deux nouveaux arrêts : Auguste Broussonnet et Albert I^er - Cathédrale, ce qui permet d'assurer les correspondances entre les lignes 1 et 4 de tramway. Ensuite, les bus remontent dans ce sens le boulevard Henri IV pour rejoindre le pont Vialleton.

Enfin le 2 septembre 2019 plusieurs modifications sont faites[9] - [10] : la ligne 9 est scindée en trois lignes 9, 16 et 52, la ligne 37 et est remplacée, la Ronde devient la ligne 15 avec un nouvel itinéraire et de nouvelles lignes périurbaines sont créées, les lignes 43, 44 et 46, la ligne 20 obtient un nouvel itinéraire : elle part de Saint-Jean-de-Védas Centre jusqu'au nouvel arrêt La Fermaude, la ligne 21 est prolongée de Paul Gauguin jusqu'à la gare de Baillargues, où passent également les lignes 27, 29 et 31, la ligne 22 est prolongée jusqu'au collège Pierre Mendès France de Jacou, la ligne 23 effectue son terminus à l'arrêt Moulin Neuf, l'arrêt Pont Vert est détruit et un nouvel arrêt est créé : Gaspard Monge, la 25 ne dessert plus l'arrêt Mosson et dessert 3 nouveaux arrêts : Saturne et Courpouyran, le nouveau terminus de la ligne, et le terminus de la ligne 3, Juvignac, la ligne 26 se sépare en 2 branches à l'arrêt « Picadous », l'une vers « Cirad de Baillarguet » (arrêt existant) et une autre vers un nouveau terminus intitulé Olympe, la ligne 28 est prolongée de Parc Expo jusqu'à Boirargues, la ligne 32 est prolongée de la Maison d'Arrêt jusqu'à Saint-Jean-le-Sec, la ligne 33 est prolongée de Saint-Jean-de-Védas jusqu'à Rondelet, la ligne 35 ne dessert plus l'arrêt Mas de Rochet et effectue son terminus à l'arrêt Charles de Gaulle, la ligne 36 ne dessert plus le stade de Montaud et effectue son terminus au collège Pierre Mendès France de Jacou et la ligne 39 est fusionnée avec l'existante ligne 22 qui dessert l'ancien terminus La Draye.

Le 24 février 2020, des modifications sont faites : nouveaux itinéraires pour les lignes 20, 21, 9, 15, 50 et 52. La Ronde est scindée en deux : le tronçon Sabines - Odysseum reste ligne 15 mais le tronçon Sabines - Saint-Cléophas devient la ligne 53[11]. Un nouveau pôle d'échange « Place de France-Odysseum » est créée pour les bus des lignes 9, 15, 50 et 52. La ligne 20 est prolongée de Saint-Jean-de-Védas-Centre jusqu'à l'arrêt Saint-Jean-le-Sec, la ligne 29 est fusionnée avec la ligne 21 qui dessert l'ancien terminus Versant, situé à Saint-Brès, la ligne 9 situe son point de départ au pôle d'échange Place de France-Odysseum ainsi que les lignes 50, 52 et 15. Et enfin, la ligne 44 dessert un nouvel arrêt « Mas Crespy » et les arrêts « Domenoves » et « Vignes Vierges » seront exclusivement desservis par la ligne 32.

À l'occasion des travaux de la ligne 5 de tramway sur l'Avenue Georges Clemenceau, plusieurs modifications sont faites: les lignes 6 et 7 passées Peyrou-Arc de Triomphe ne desservent plus leurs branches sud et sont remplacées par les lignes 11 et 17. La 12 (Gare Saint-Roch Pont de Sète à Catalpas) est supprimée et remplacée en partie par la 8, qui est prolongée de Cité de l'Arme à Centrayrargues en octobre 2022. Une navette autobus provisoire est mise en place au départ de Sabines pour desservir le quartier Ovalie à partir de mars 2023[12].

Ces lignes assurent une partie ou la totalité de leurs services sur réservation.

Des navettes qui relient la station de tramway Sabines de la ligne 2 au stade de rugby Yves du Manoir opèrent lors des matchs de Rugby. Des navettes exceptionnelles sont mises en place à l'occasion de manifestations culturelles (Zénith, navette du Théâtre des Treize Vents...) ou lors de travaux sur les lignes de tramway.

L'Amigo est un bus circulant de nuit les jeudis, vendredis et samedis (minuit - 5 heures du matin ou 6 heures en juillet/août) reliant les principaux lieux de vie nocturne (boites de nuit...) de la métropole de Montpellier, afin de ramener les noctambules en toute sécurité. Les départs se font à partir de minuit jusqu'à 1h40 du matin et les retours de 2h40 à 5h10 du matin. La desserte des arrêts retour se fait à la demande[15].

Les Minibus du soir sont des navettes composées de véhicules de 9 places (minibus) circulant à partir de 22h/22h15 7j/7 avec 2 ou 3 départs pour chaque ligne. Elle permet de rejoindre les communes de la métropole de Montpellier au départ d'une station de tramway au-delà des horaires de fonctionnement des lignes suburbaines classiques (qui s'arrêtent vers 21 heures).

Ce service a été lancé en 2007, avec une première ligne vers Lattes, suivi en janvier 2010 par la ligne vers Cournonsec, le 15 mars 2010 par la ligne vers Castries et le 29 août 2011 vers Clapiers et Prades-le-Lez. Depuis, d'autres dessertes ont été ouvertes.

En cas de grande affluence, un deuxième véhicule est appelé en renfort. La desserte des arrêts se fait à la demande[16].

Voici un aperçu du matériel roulant des lignes urbaines de la TAM :

Voici un aperçu du matériel roulant des lignes suburbaines de la TAM :

Voici un aperçu des minibus circulant sur le réseau TAM :

• Transports de l'agglomération de Montpellier
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• Ligne 1 du tramway de Montpellier
• Ligne 2 du tramway de Montpellier
• Ligne 3 du tramway de Montpellier
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• Ligne 5 du tramway de Montpellier (ouverture en 2025)
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