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Lavérune

LavĂ©rune [la.ve.'ʁy.nə] (en occitan La Veruna [la ÎČe.'ry.no̞]) est une commune française situĂ©e dans l'est du dĂ©partement de l'HĂ©rault en rĂ©gion Occitanie.

Lavérune
Lavérune
HĂŽtel de ville
Blason de Lavérune
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement HĂ©rault
Arrondissement Montpellier
Intercommunalité Montpellier Méditerranée Métropole
Maire
Mandat
Roger Caizergues
2020-2026
Code postal 34880
Code commune 34134
DĂ©mographie
Gentilé Lavérunois
Population
municipale
3 330 hab. (2020 en augmentation de 17,92 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 464 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 35â€Č 11″ nord, 3° 48â€Č 22″ est
Altitude 30 m
Min. 17 m
Max. 72 m
Superficie 7,18 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Montpellier
(banlieue)
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Lattes
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Lavérune
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Lavérune

    ExposĂ©e Ă  un climat mĂ©diterranĂ©en, elle est drainĂ©e par le Mosson, le ruisseau de LassedĂ©ron et par un autre cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable composĂ© d'une zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique. Proche de Montpellier, elle fait partie de Montpellier MĂ©diterranĂ©e MĂ©tropole.

    LavĂ©rune est une commune urbaine qui compte 3 330 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomĂ©ration de Montpellier et fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelĂ©s les LavĂ©runois ou LavĂ©runoises.

    GĂ©ographie

    Lavérune est située à l'ouest de Montpellier, sur la rive droite du cours d'eau de la Mosson.

    Le territoire de Lavérune est mitoyen de Saint-Jean-de-Védas à l'est dont elle est séparée par la Mosson, de Saussan au sud, de Pignan à l'ouest, de Saint-Georges-d'Orques au nord-ouest et de Juvignac au nord-est.

    Le territoire de Lavérune est situé dans la plaine alluviale de la Mosson et de son affluent, le ruisseau de Lassedéron. Le relief est plat au plus prÚs de la Mosson et comprend plus de collines à l'ouest.

    La ville est à proximité des axes occidentaux menant ou contournant Montpellier grùce à la départementale 5 qui dessert également les communes du nord du canton de Pignan avec lesquelles Lavérune a des relations intercommunales. En effet, le canton de Pignan et Lavérune ont appartenu au canton de Montpellier-8 jusqu'à son démembrement pendant les années 1990, et Lavérune appartient au Syndicat intercommunal à vocations multiples (SIVOM) Entre VÚne et Mosson auquel appartiennent les communes de ce canton voisin.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Juvignac, Pignan, Saint-Georges-d'Orques, Saint-Jean-de-VĂ©das et Saussan.

    Lavérune est située à l'ouest de Montpellier, au nord de Saint-Jean-de-Védas, au sud de Saint-Georges-d'Orques et à l'ouest de Pignan et Saussan.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[1].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 14,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 14,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 691 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 5,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 2,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[4] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[5] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Villeneuve-les-Mag-Inra », sur la commune de Villeneuve-lĂšs-Maguelone, mise en service en 1980[6] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[7] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 15 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 592,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[8]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Montpellier-AĂ©roport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et Ă  17 km[9], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[10], Ă  15,1 °C pour 1981-2010[11], puis Ă  15,5 °C pour 1991-2020[12].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensĂ©e sur la commune[13] : la « vallĂ©e de la Mosson de Grabels Ă  St-Jean-de-VĂ©das » (114 ha), couvrant 5 communes du dĂ©partement[14].

    Urbanisme

    Typologie

    LavĂ©rune est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [15] - [I 1] - [16]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Montpellier, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 22 communes[I 2] et 465 950 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[I 3] - [I 4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 5] - [I 6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (79,9 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (86,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (48,1 %), cultures permanentes (31,8 %), zones urbanisĂ©es (16,2 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (2,7 %), forĂȘts (1,2 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de LavĂ©rune est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© faible)[18]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[19].

    La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) de Montpellier-Lunel-Maugio-Palavas, regroupant 49 communes du bassin de vie de Montpellier et s'Ă©tendant sur les dĂ©partements de l'HĂ©rault et du Gard, un des 31 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s fin 2012 sur le bassin RhĂŽne-MĂ©diterranĂ©e[20], retenu au regard des risques de submersions marines et de dĂ©bordements du Vistre, du Vidourle, du Lez et de la Mosson. Parmi les Ă©vĂ©nements significatifs antĂ©rieurs Ă  2019 qui ont touchĂ© le territoire, peuvent ĂȘtre citĂ©es les crues de septembre 2002 et de septembre 2003 (Vidourle) et les tempĂȘtes de novembre 1982 et dĂ©cembre 1997 qui ont touchĂ© le littoral. Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă  30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă  300 ans) et extrĂȘme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout systĂšme de protection)[21]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1997, 2001, 2002, 2003, 2014 et 2015[22] - [18].

    LavĂ©rune est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt du fait de la prĂ©sence sur son territoire. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en juin 2013 et court jusqu'en 2022, oĂč il doit ĂȘtre renouvelĂ©. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par deux arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et s’appliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă  moins de 200 mĂštres de celles-ci. L’arrĂȘtĂ© du rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 7] - [23].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lavérune.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 99,3 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59,3 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 987 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 987 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 85 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[25].

    Histoire

    Usuel du compoix (1592)

    Le vieux village de LavĂ©rune est installĂ© depuis le Ier siĂšcle, au carrefour de la voie domitienne et du sentier sud nord des marchands de coquillages qui portaient les produits de leur pĂȘche aux Romains du fort de Murviel (Oppidum d'Altimurium), entoure l’église du XIIIe siĂšcle et se serre contre le chĂąteau du XVIe siĂšcle.

    Politique et administration

    Lavérune a été une ville dite de consulat qui possédait des consuls élus par leur pairs pour administrer la communauté locale au sein d'un conseil politique.

    Liste des consuls
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1748 1749 Jacques Triaire Premier consul, ménager
    1749 1750 Jacques Guizard Premier consul, ménager
    1773 1775 André Guizard Premier consul, ménager
    1775 1779 Jacques Guizard Premier consul, ménager

    Avec l'instauration de la république ce sont des maires élus qui administrent la commune. Lavérune est dotée d'un conseil municipal depuis 1790.

    Liste des maires
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    07/02/1790 1791 Fulcrand Rouvier
    1791 1794 Pierre Arnaud
    1795 1802 Philibert Triaire
    1802 1804 Rouvier
    1804 1808 Jean Guizard La Treille Propriétaire Foncier
    17/02/1808 1816 Marc Roch Duvergé Propriétaire Foncier
    07/1816 09/09/1830 Jean Guizard La Treille
    09/09/1830 1848 Clément Monestier
    1848 Antoine SĂ©lignac
    1860 1868 Jean Guizard Propriétaire Foncier
    1876 Pierre LavĂšne
    07/12/1919 Astié
    07/12/1919 1940 Pierre Dautun
    Jean Rouvier
    Charles Roques
    Louis Carles
    1949 Pierre Authebon
    1949 1967 Marcel Durand
    1967 1971 Raymond Gleizes RĂ©gisseur domaine viticole
    1971 1977 Michel Courtial
    1977 1985 Jean-Pierre Roques DVG
    1985 juin 1995 Jean-Louis Barral
    juin 1995 En cours Roger Caizergues SE Agriculteur retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[27].

    En 2020, la commune comptait 3 330 habitants[Note 8], en augmentation de 17,92 % par rapport Ă  2014 (HĂ©rault : +7,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    493505554607685659610604588
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    553601597607616477524616665
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    708625591659625646610516553
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    6649541 2541 7522 0902 6032 7302 7022 721
    2014 2019 2020 - - - - - -
    2 8243 3283 330------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee Ă  partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 1 402 mĂ©nages fiscaux[Note 9], regroupant 3 359 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 22 840 â‚Ź[I 7] (20 330 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 8]). 55 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 10] (45,8 % dans le dĂ©partement).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 9]6,5 %9 %11,1 %
    DĂ©partement[I 10]10,1 %11,9 %12 %
    France entiĂšre[I 11]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  2 042 personnes, parmi lesquelles on compte 78,5 % d'actifs (67,4 % ayant un emploi et 11,1 % de chĂŽmeurs) et 21,5 % d'inactifs[Note 11] - [I 9]. En 2018, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui du dĂ©partement, mais supĂ©rieur Ă  celui de la France, alors qu'en 2008 il Ă©tait infĂ©rieur Ă  celui de la France.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 3] - [I 12]. Elle compte 1 051 emplois en 2018, contre 975 en 2013 et 965 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 1 399, soit un indicateur de concentration d'emploi de 75,1 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 59,9 %[I 13].

    Sur ces 1 399 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 209 travaillent dans la commune, soit 15 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 81,8 % des habitants utilisent un vĂ©hicule personnel ou de fonction Ă  quatre roues, 3,8 % les transports en commun, 10,6 % s'y rendent en deux-roues, Ă  vĂ©lo ou Ă  pied et 3,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

    Secteurs d'activités

    491 établissements[Note 12] sont implantés à Lavérune au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13] - [I 16].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble491100 %(100 %)
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    357,1 %(6,7 %)
    Construction9419,1 %(14,1 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    10321 %(28 %)
    Information et communication224,5 %(3,3 %)
    Activités financiÚres et d'assurance193,9 %(3,2 %)
    Activités immobiliÚres224,5 %(5,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    9519,3 %(17,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    6413 %(14,2 %)
    Autres activités de services377,5 %(8,1 %)

    Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 21 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (103 sur les 491 entreprises implantĂ©es Ă  LavĂ©rune), contre 28 % au niveau dĂ©partemental[I 17].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[30] :

    • Carte Noire Operations SAS, transformation du thĂ© et du cafĂ© (25 836 k€)
    • Electroniq System Informatiq Industriels - Esii, fabrication d'ordinateurs et d'Ă©quipements pĂ©riphĂ©riques (12 155 k€)
    • SA Esteban, fabrication de savons, dĂ©tergents et produits d'entretien (11 848 k€)
    • Paindor Montpellier, fabrication industrielle de pain et de pĂątisserie fraĂźche (4 991 k€)
    • Societe D Integration De Reseaux De Telecommunications, construction de rĂ©seaux Ă©lectriques et de tĂ©lĂ©communications (2 334 k€)

    Agriculture

    La commune est dans la « Plaine viticole », une petite région agricole occupant la bande cÎtiÚre du département de l'Hérault[31]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la viticulture[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations58261618
    SAU[Note 15] (ha)360240130212

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 58 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] Ă  26 en 2000 puis Ă  16 en 2010[33] et enfin Ă  18 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 69 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 67 % de ses exploitations[34] - [Carte 6]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 360 ha en 1988 Ă  212 ha en 2020[Carte 7]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 6 Ă  12 ha[33].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    un vitrail de l'église de Lavérune
    Les vitraux de l'église de Lavérune créés par l'artiste verrier Carlo Roccella.
    Portail d'entrée nord du chùteau de Lavérune.
    Usine de torréfaction de café Jacques Vabre/Carte Noire.
    • Le chĂąteau de LavĂ©rune et son parc au sud du village ancien. Le parc du chĂąteau est inscrit Ă  l’inventaire des monuments historiques, ouvert en permanence aux piĂ©tons, un des plus beaux parc du midi de la France ;
    • le musĂ©e Hofer Bury, musĂ©e de peinture contemporaine ;
    • L'Ă©glise de l'Assomption-de-Notre-Dame-et-Saint-Pierre-Ăšs-Liens de LavĂ©rune des XIVe et XVIIIe siĂšcles ;
    • La salle capitulaire du XIVe siĂšcle jouxtant l'Ă©glise, (vestiges des bĂątiments du chapitre de Montpellier) ;
    • Le Domaine de Biar est situĂ© Ă  proximitĂ© de l'antique voie Dominitienne, son origine remonte au XIIe siĂšcle. C'est une folie MontpelliĂ©raine, aujourd'hui rĂ©novĂ©e dans le respect de l'environnement afin d'y accueillir hommes et chevaux. Au-delĂ  des chambres d’hĂŽtes de charme, des appartements meublĂ©s, de la suite et de la salle de sĂ©minaire pour des sĂ©jours en pleine harmonie avec la nature, Biar a Ă©galement retrouvĂ© son activitĂ© originelle : l’élevage et le dressage de chevaux de Camargue ;
    • Le chĂąteau de l'Engarran, au nord sur la route vers Juvignac, est une des « folies » montpelliĂ©raines, un de ses domaines viticoles dont la rĂ©sidence principale fut reconstruite Ă  grands frais au XVIIIe siĂšcle par la bourgeoisie et la noblesse de robe locale. Le domaine de l'Engarran, fondĂ© par Henry d'Engarran, voit sa folie construite par Jean Vassal. La grille du chĂąteau est classĂ©e monument historique. Jean Vassal acheta ces grilles en 1785 Ă  la ville de Montpellier qui s'en servait pour clore la place de la ComĂ©die, aprĂšs les avoir elle-mĂȘme achetĂ©es Ă  la famille Bonnier de la Mosson, ruinĂ©e par la construction du chĂąteau de la Mosson, autre folie situĂ©e sur la rive gauche de la Mosson ;
    • L'usine de torrĂ©faction de cafĂ© de l'entreprise Jacques Vabre, produisant Ă©galement les cafĂ©s Carte Noire[35], marque depuis 1970 le paysage : son principal bĂątiment est maquillĂ© comme un paquet de cafĂ© en poudre. L'usine se trouve au nord de la ville, sur la route menant Ă  Saint-Georges-d'Orques.

    Un village sans publicité

    DĂ©but 2014, un arrĂȘtĂ© municipal permet de protĂ©ger les bĂątiments architecturaux pittoresques, artistiques ou historiques qui, Ă  LavĂ©rune, sont donc dĂ©sormais Ă  l’abri de toutes publicitĂ©s dans un pĂ©rimĂštre de 100 m autour du bĂątiment concernĂ©. « Ce qui n’inclut pas les enseignes commerciales Â», tient Ă  prĂ©ciser le maire[36].

    Personnalités liées à la commune

    • Pierre Viala (1859-1936). NĂ© Ă  LavĂ©rune dans une famille de viticulteurs. Professeur Ă  l'Ecole Nationale d'Agriculture. Membre de l'AcadĂ©mie des Sciences de Montpellier. Commandeur de la LĂ©gion d'Honneur. Il s'illustra notamment dans la reconstitution du vignoble français aprĂšs la crise du phylloxĂ©ra[37].
    • Artus (1987-), humoriste originaire de la commune.
    • BĂ©ranger FrĂ©dol l’Ancien († 1323), cardinal.

    HĂ©raldique

    Les armoiries de Lavérune se blasonnent ainsi : d'azur à la fasce d'argent[38].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mĂštres de part et d’autre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    10. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impÎt à acquitter au titre de l'impÎt sur le revenu des personnes physiques. L'impÎt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impÎts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    12. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    15. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[32].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
    2. « Unité urbaine 2020 de Montpellier » (consulté le ).
    3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », (consultĂ© le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Lavérune » (consulté le ).
    8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Lavérune » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Lavérune » (consulté le ).
    14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Lavérune » (consulté le ).
    17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Villeneuve-les-Mag-Inra - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Lavérune et Villeneuve-lÚs-Maguelone », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Villeneuve-les-Mag-Inra - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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    10. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    13. « Liste des ZNIEFF de la commune de Lavérune », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « ZNIEFF la « vallée de la Mosson de Grabels à St-Jean-de-Védas » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    20. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 », sur https://www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr (consulté le )
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    23. « Les risques majeurs dans l'HĂ©rault », sur www.herault.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Lavérune », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    30. « Entreprises à Lavérune », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    31. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    32. PrĂ©sentation des premiers rĂ©sultats du recensement agricole 2020, MinistĂšre de l’agriculture et de l’alimentation, 10 dĂ©cembre 2021
    33. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Lavérune - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    34. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans le département de l'Hérault » (consulté le ).
    35. « A l’occasion des 30 ans de la marque Carte Noire, Kraft Foods France crĂ©e le plus grand paquet de cafĂ© Carte Noire au monde », Kraft Foods.
    36. http://www.reporterre.net/spip.php?article5179 - 6 janvier 2014
    37. « Pierre VIALA - Academie des sciences et lettres de Montpellier », sur www.ac-sciences-lettres-montpellier.fr (consulté le )
    38. Blason de « Lavérune (Hérault) », sur armorialdefrance.fr, (consulté le ).

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Pierre Carles, « Parmi les traditions de gestion locale : la conduite du tirage au sort pour la milice, le cas de la communautĂ© de LavĂ©rune au diocĂšse de Montpellier, 1780-1788 », Études hĂ©raultaises, Montpellier, Association Études sur l'HĂ©rault, no 5,‎ , p. 9-12 (lire en ligne)
    • Louis Secondy et Xavier AzĂ©ma, Entre Coulazou et Mosson : 10 villages, 10 visages, NĂźmes, C. Lacour, , 419 p.
    • AndrĂ© Soutou, « Toponymie archĂ©ologique : le Palais et le Bain de la Reine Ă  LavĂ©rune (HĂ©rault) », ArchĂ©ologie en Languedoc, no 43132,‎ , p. 17-19

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    Articles connexes

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