AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Vendargues

Vendargues est une commune française située dans l'est du département de l'Hérault en région Occitanie. La ville est située à l'est de Montpellier en direction de Lunel.

Vendargues
Vendargues
La mairie.
Blason de Vendargues
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement HĂ©rault
Arrondissement Montpellier
Intercommunalité Montpellier Méditerranée Métropole
Maire
Mandat
Guy Lauret
2020-2026
Code postal 34740
Code commune 34327
DĂ©mographie
Gentilé Vendarguois
Population
municipale
6 771 hab. (2020 en augmentation de 9,46 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 754 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 39â€Č 30″ nord, 3° 58â€Č 12″ est
Altitude Min. 25 m
Max. 86 m
Superficie 8,98 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Montpellier
(banlieue)
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du CrĂšs
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Vendargues
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Vendargues
GĂ©olocalisation sur la carte : HĂ©rault
Voir sur la carte topographique de l'HĂ©rault
Vendargues
GĂ©olocalisation sur la carte : Occitanie
Voir sur la carte administrative d'Occitanie
Vendargues

    ExposĂ©e Ă  un climat mĂ©diterranĂ©en, elle est drainĂ©e par le Salaison, la Cadoule, le ruisseau de la Balaurie. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable composĂ© d'une zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Vendargues est une commune urbaine qui compte 6 771 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomĂ©ration de Montpellier et fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelĂ©s les Vendarguois ou Vendarguoises.

    GĂ©ographie

    Carte

    SituĂ©e Ă  12 km Ă  l'est de Montpellier au croisement des routes nationales 110 (vers SommiĂšres) et 113 (vers Lunel et NĂźmes), cette commune a appartenu au district, puis Ă  la communautĂ© d'agglomĂ©ration de la prĂ©fecture hĂ©raultaise.

    Le territoire communal comprend une zone de garrigues au nord des routes principales. La ville elle-mĂȘme et l'importante zone industrielle sont situĂ©es dans les secteurs Est et Ouest d'un « X » formĂ© par les deux nationales et une importante route dĂ©partementale (en direction du nord de l'agglomĂ©ration de Montpellier). Le village s'est Ă©tendu aux limites d'un triangle formĂ© de la N 113, la N 110 et la Liaison intercantonale d'Ă©vitement nord (Lien) pour en occuper tout l'espace.

    Hydrographie

    Le Salaison coule à l'ouest de la ville, il sert de limite communale avec la ville du CrÚs. Ses affluents, le Routous, le Teyron et le Bourbouisse traversent également le territoire de la commune, ainsi que la Cadoule qui va, comme le Salaison, se jeter dans l'étang de l'Or à Mauguio. D'ordinaire trÚs calmes ces ruisseaux peuvent sortir de leurs lits lors des orages cévenols, provoquant ainsi des inondations essentiellement dans la partie occidentale de la commune. L'autre partie de la commune est protégée des inondations car elle est construite sur une butte[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[2].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 14,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 16,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 699 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 5,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 2,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Montpellier-AĂ©roport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[9], Ă  15,1 °C pour 1981-2010[10], puis Ă  15,5 °C pour 1991-2020[11].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensĂ©e sur la commune[12] : la « riviĂšre de la Cadoule Ă  Castries et Vendargues » (6 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Vendargues est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [14] - [I 1] - [15]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Montpellier, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 22 communes[I 2] et 440 997 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3] - [I 4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 5] - [I 6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (43 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (33,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (22,1 %), cultures permanentes (22 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (20,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (18,9 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (8,2 %), forĂȘts (7,9 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Vendargues est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et le risque industriel[17]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[18].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) de Montpellier-Lunel-Maugio-Palavas, regroupant 49 communes du bassin de vie de Montpellier et s'Ă©tendant sur les dĂ©partements de l'HĂ©rault et du Gard, un des 31 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s fin 2012 sur le bassin RhĂŽne-MĂ©diterranĂ©e[19], retenu au regard des risques de submersions marines et de dĂ©bordements du Vistre, du Vidourle, du Lez et de la Mosson. Parmi les Ă©vĂ©nements significatifs antĂ©rieurs Ă  2019 qui ont touchĂ© le territoire, peuvent ĂȘtre citĂ©es les crues de septembre 2002 et de septembre 2003 (Vidourle) et les tempĂȘtes de novembre 1982 et dĂ©cembre 1997 qui ont touchĂ© le littoral. Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă  30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă  300 ans) et extrĂȘme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout systĂšme de protection)[20]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1994, 2003, 2006, 2014 et 2015[21] - [17].

    Vendargues est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en juin 2013 et court jusqu'en 2022, oĂč il doit ĂȘtre renouvelĂ©. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par deux arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et s’appliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă  moins de 200 mĂštres de celles-ci. L’arrĂȘtĂ© du rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 7] - [22].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Vendargues.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 84,3 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59,3 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 016 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1 592 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 79 %, Ă  comparer aux 85 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[24].

    Risques technologiques

    La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[25].

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[26].

    Toponymie

    La légende veut que le premier habitant de Vendargues fut un vétéran de la légion romaine d'Auguste qui aurait reçu des terres sur lesquelles se trouve le village actuel. Ce vétéran se serait appelé Venerianicus, ce qui aurait donné par évolution phonétique le nom actuel du village.

    C'est en 924, que pour la premiĂšre fois, il est fait mention du village dans un Ă©crit sous la forme Venerianicus[27], puis dans le cartulaire de Gellone en 961[28], le village est mentionnĂ© sous la forme villa que vocant Venranichos. Au dĂ©but du IIe millĂ©naire, en 1005, il est fait mention du nom de Venraneges[29]. Plus tard, en 1051, sous la forme villa que dicitur Venranicus[30], puis au milieu du XIVe siĂšcle Vendranicis. À partir de 1536, on parle de Vendrargues[31] qui Ă©volue en Vendargues dĂšs 1626[32].

    Il s'agit d'un composé en -anicum, suffixe latin qui explique les terminaisons en -argues du sud est de la France, précédé d'un nom de personne latine Venerius[33] - [34] qui peut avoir été porté aussi bien par un indigÚne. On retrouve cet anthroponyme à de nombreuses reprises en Gaule, généralement suivi du suffixe d'origine gauloise -acum cf. Venarey, Vénérieu[33].

    Histoire

    Époque gallo-romaine

    École : carte postale (1912).

    Avant la création des premiÚres habitations à Vendargues, le territoire de l'actuelle commune était traversé par la voie Domitienne. Cette route rectiligne servait de référence aux géomÚtres romains pour découper les terres en parcelles appelées « centuries ». C'est sur l'une de ces centuries que Vénérianicus aurait fait construire une villa. D'autre part, des découvertes archéologiques dans l'actuel Jardin Serre tendent à prouver que les premiÚres habitations se trouvaient à proximité de cet endroit. Au sud du village, on trouvait des cultures de blé, de seigle et d'avoine mais aussi de vigne ou d'olivier. La garrigue était dévolue aux chÚvres. Enfin, des moulins se trouvaient sur les différents cours d'eau autour du village.

    Actuellement, une partie de la voie Domitienne Ă  Vendargues s'appelle le chemin de la Monnaie.

    Époque carolingienne

    À la fin du Xe siĂšcle, l'ensemble du territoire Ă©tait divisĂ© en pagi, eux-mĂȘmes appartenant Ă  un comtĂ©. Vendargues et les bourgs environnants appartenaient au pagus de Septantio (qui deviendra Castelnau-le-Lez) plus tard. Ce pagus Ă©tait une partie du comtĂ© de Melgueil (l'ancien Mauguio).

    Le christianisme se répand dans la région à l'aube du IIe millénaire alors que le comté est sous domination gothe et ce malgré les invasions des Sarrasins.

    À cette Ă©poque, Vendargues n'est qu'un domaine agricole composĂ© d'une villa gallo-romaine et de quelques maisons autour. Le hameau comporte Ă©galement une chapelle.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires depuis 1944.
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    septembre 1944 mars 1977 LĂ©opold Olivier
    mars 1977 mars 1989 Jean Chalier
    mars 1989 mars 2020 Pierre DudieuzÚre[35] UMP puis LR Retraité. Suppléant du député de la
    troisiĂšme circonscription de l'HĂ©rault (1993-1997)
    mars 2020 en cours[36] Guy Lauret LDVD[36]

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[38].

    En 2020, la commune comptait 6 771 habitants[Note 8], en augmentation de 9,46 % par rapport Ă  2014 (HĂ©rault : +7,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    426417432530574663708801862
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9138839731 1131 0069059251 0561 093
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1641 1191 0681 0621 0451 1861 1409131 080
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 1961 4111 8712 6014 2575 2285 4345 4916 181
    2018 2020 - - - - - - -
    6 2876 771-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee Ă  partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Vie locale

    Enseignement

    • Halte-garderie ;
    • École maternelle La Ribambelle ;
    • École primaire Saint-Joseph (privĂ©e) ;
    • Écoles primaires publiques (Les Garrigues, Les AsphodĂšles et Cosso).

    Sports

    Le complexe sportif (stade) Guillaume-Dides, un ancien maire qui fit don du terrain Ă  la commune, qui accueillit l'Ă©quipe de France de football en 2004 au stade du Point-d'Interrogation vendarguois, le club de football local.

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 2 639 mĂ©nages fiscaux[Note 9], regroupant 6 466 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 23 640 â‚Ź[I 7] (20 330 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 8]). 57 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 10] (45,8 % dans le dĂ©partement).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 9]6,8 %9,2 %8,3 %
    DĂ©partement[I 10]10,1 %11,9 %12 %
    France entiĂšre[I 11]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  4 009 personnes, parmi lesquelles on compte 77,6 % d'actifs (69,3 % ayant un emploi et 8,3 % de chĂŽmeurs) et 22,4 % d'inactifs[Note 11] - [I 9]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 3] - [I 12]. Elle compte 4 425 emplois en 2018, contre 4 031 en 2013 et 3 817 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 2 809, soit un indicateur de concentration d'emploi de 157,5 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 60,8 %[I 13].

    Sur ces 2 809 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 567 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 86,4 % des habitants utilisent un vĂ©hicule personnel ou de fonction Ă  quatre roues, 4,6 % les transports en commun, 6,4 % s'y rendent en deux-roues, Ă  vĂ©lo ou Ă  pied et 2,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

    Secteurs d'activités

    1 051 Ă©tablissements[Note 12] sont implantĂ©s Ă  Vendargues au . Le tableau ci-dessous en dĂ©taille le nombre par secteur d'activitĂ© et compare les ratios avec ceux du dĂ©partement[Note 13] - [I 16].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble1 051100 %(100 %)
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    10510 %(6,7 %)
    Construction17616,7 %(14,1 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    28026,6 %(28 %)
    Information et communication333,1 %(3,3 %)
    Activités financiÚres et d'assurance333,1 %(3,2 %)
    Activités immobiliÚres595,6 %(5,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    19018,1 %(17,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    11310,8 %(14,2 %)
    Autres activités de services625,9 %(8,1 %)

    Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 26,6 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (280 sur les 1051 entreprises implantĂ©es Ă  Vendargues), contre 28 % au niveau dĂ©partemental[I 17].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[41] :

    • Privatesportshop, vente Ă  distance sur catalogue spĂ©cialisĂ© (117 671 k€)
    • Kawneer France SA, commerce de gros (commerce interentreprises) de minerais et mĂ©taux (57 580 k€)
    • Info.u, location et location-bail de machines de bureau et de matĂ©riel informatique (48 966 k€)
    • Mialanes SA, fabrication d'Ă©lĂ©ments en bĂ©ton pour la construction (28 807 k€)
    • Aer Trading, commerce de gros (commerce interentreprises) de boissons (17 585 k€)

    La zone industrielle est active, mais handicapée par l'éloignement relatif de l'échangeur autoroutier de Baillargues-Vendargues : les camions doivent longer la ville par la nationale 113 pour parvenir à la zone. Elle comprend néanmoins une des centrales d'achat des supermarchés U.

    Agriculture

    La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[42]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la viticulture[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations75342616
    SAU[Note 15] (ha)489449273150

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 75 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] Ă  34 en 2000 puis Ă  26 en 2010[44] et enfin Ă  16 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 79 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 67 % de ses exploitations[45] - [Carte 6]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 489 ha en 1988 Ă  150 ha en 2020[Carte 7]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 7 Ă  9 ha[44].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-ThĂ©odorit de Vendargues, construite sur l'emplacement d'une ancienne Ă©glise, date de 1886[46]. Saint ThĂ©odorit, PrĂȘtre et martyr Ă  Antioche (✝ 362)[47].
    • Chapelle de Vendargues.
    • Chapelle des Chevaliers de Malte de Meyrargues.
    • Le hameau de Meyrargues surplombe le village. Ce lieu historique est signalĂ© en 981, 1111 et 1248, sur des actes relatifs Ă  la chapelle Saint-SĂ©bastien. Cet Ă©difice, toujours visible, fait partie d'un domaine appelĂ© le chĂąteau de Meyragues qui fut autrefois une vaste ferme plus ou moins fortifiĂ©e. Son premier propriĂ©taire connu fut Jean de Saint-Ravy, ancien maĂźtre d'hĂŽtel ordinaire du roi Henri IV, qui se faisait appeler seigneur de Meyrargues ;
    • La maison du gĂ©nĂ©ral Pierre BerthezĂšne est situĂ©e sur la place du village ;
    • Le bois de Saint-Antoine.

    Personnalités liées à la commune

    Galerie

    • Vue aĂ©rienne de Vendargues.
      Vue aérienne de Vendargues.
    • Vue du complexe sportif.
      Vue du complexe sportif.
    • Vue de l'Ă©glise Saint-ThĂ©odorit et de la Mairie.
      Vue de l'église Saint-Théodorit et de la Mairie.
    • Vue de l'HĂŽtel de Ville.
      Vue de l'HĂŽtel de Ville.
    • Vue de l'Ă©glise Saint-ThĂ©odorit.
      Vue de l'église Saint-Théodorit.

    HĂ©raldique

    Les armoiries de Vendargues se blasonnent ainsi : d'azur à un saint Théodorit d'argent, au chef d'or chargé d'une croisette de gueules.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mĂštres de part et d’autre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    10. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impÎt à acquitter au titre de l'impÎt sur le revenu des personnes physiques. L'impÎt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impÎts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    12. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    15. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[43].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
    2. « Unité urbaine 2020 de Montpellier » (consulté le ).
    3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », (consultĂ© le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Vendargues » (consulté le ).
    8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Vendargues » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Vendargues » (consulté le ).
    14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Vendargues » (consulté le ).
    17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

    Autres sources

    1. [PDF] « Dossier Communal d'Information », sur http://www.herault.equipement.gouv.fr, Direction départementale des territoires et de la mer de l'Hérault (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Montpellier-Aéroport - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Vendargues et Mauguio », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Liste des ZNIEFF de la commune de Vendargues », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. « ZNIEFF la « riviÚre de la Cadoule à Castries et Vendargues » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    17. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Vendargues », sur Géorisques (consulté le )
    18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    19. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 », sur https://www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr (consulté le )
    20. « cartographie des risques d'inondations du TRI de Montpellier-Lunel-Maugio-Palavas », sur https://www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr/ (consulté le )
    21. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur www.herault.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    22. « Les risques majeurs dans l'HĂ©rault », sur www.herault.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Vendargues », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    25. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur www.herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
    26. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur www.herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
    27. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France (Larousse 1963, épuisé, réimpression Librairie Guénégaud 1979), p. 704a sous Vénarey.
    28. (la) Paul Alaus, Abbé Cassan et E. Meynial, Cartulaires des abbayes d'Aniane et de Gellone : Cartulaire de Gellone, Montpellier, Jean Martel, , p. 12 Cartulaires des abbayes d'Aniane et de Gellone sur Gallica.
    29. Cartulaire de Gellone p.7 Cartulaires des abbayes d'Aniane et de Gellone sur Gallica.
    30. Cartulaire de Gellone p.277 Cartulaires des abbayes d'Aniane et de Gellone sur Gallica.
    31. Gallia christiana t VI c. 391
    32. Jean De Beins, Carte du Bas-Languedoc, 1626 Carte du Bas-Languedoc sur Gallica.
    33. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Op. cit.
    34. Frank R. Hamlin et abbĂ© AndrĂ© Cabrol, Les noms de lieux du dĂ©partement de l'HĂ©rault : Dictionnaire Topographique et Étymologique, , 415 p. (ISBN 2-904624-00-7, lire en ligne), p. 327
    35. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (Résultat MN2014) (consulté le ).
    36. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 à Vendargues, publié le sur le site du Conseil départemental de l'Hérault (consulté le ).
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    41. « Entreprises à Vendargues », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    42. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    43. PrĂ©sentation des premiers rĂ©sultats du recensement agricole 2020, MinistĂšre de l’agriculture et de l’alimentation, 10 dĂ©cembre 2021
    44. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Vendargues - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    45. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans le département de l'Hérault » (consulté le ).
    46. [PDF] La paroisse Saint Théodorit de Vendargues, 55 pages, publié le par Richard Pouget, sur le site de la mairie de Vendargues (consulté le 3 juillet 2019)
    47. https://nominis.cef.fr/contenus/saint/8715/Saint-Theodorit.html

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Manlius Boucassert, Sainte Restitute (patronne de Vendargues), Montpellier, Ă©d. impr. Hamelin, , 48 p.
    • Richard Pouget, « L'histoire locale autour de Montpellier (HĂ©rault), Vendargues et Castries, seigneur, manans et habitants », Cercle gĂ©nĂ©alogique de Languedoc, no 129,‎ , p. 19-45
    • Richard Pouget, « la Baronnie de Castries de 1530 Ă  1560 sous Henry de la Croix dit d'Ussel, Seigneur Baron de Castries (d'aprĂšs les actes relevĂ©s dans les minutes de MaĂźtre Bertrand de Vergnes, notaire Royal de Castries) », Cercle gĂ©nĂ©alogique de Languedoc, no 118,‎ , p. 30-31
    • Richard Pouget, Histoire du domaine de Salaison, Vendargues, Richard Pouget, , 145 p.

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.