Meyrargues
Meyrargues est une commune française, située dans le département des Bouches-du-Rhône en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Elle fait partie de la métropole d'Aix-Marseille-Provence (AMP) depuis le .
Meyrargues | |||||
Meyrargues vue depuis le sud, au fond la plaine de la Durance et le massif du Luberon. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
DĂ©partement | Bouches-du-RhĂ´ne | ||||
Arrondissement | Aix-en-Provence | ||||
Intercommunalité | Métropole d'Aix-Marseille-Provence | ||||
Maire Mandat |
Fabrice Poussardin 2020-2026 |
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Code postal | 13650 | ||||
Code commune | 13059 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Meyrarguais | ||||
Population municipale |
3 843 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 92 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 43° 38′ 11″ nord, 5° 31′ 45″ est | ||||
Altitude | 206 m Min. 186 m Max. 554 m |
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Superficie | 41,67 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Meyrargues (commune isolée) |
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Aire d'attraction | Marseille - Aix-en-Provence (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Trets | ||||
Législatives | Quatorzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Bouches-du-RhĂ´ne
GĂ©olocalisation sur la carte : Provence-Alpes-CĂ´te d'Azur
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Liens | |||||
Site web | meyrargues.fr | ||||
Ses habitants sont appelés les Meyrarguais[1].
GĂ©ographie
Situation
Meyrargues, entourée par les communes de Venelles, Le Puy-Sainte-Réparade, Pertuis, Peyrolles-en-Provence, Vauvenargues et Saint-Marc-Jaumegarde s'étend sur 41,7 km2. À 247 mètres d'altitude[2], la commune de Meyrargues est traversée par la Durance. Enfin, Meyrargues est à 7 km du parc naturel régional du Luberon.
GĂ©ologie et relief, hydrographie
Le territoire géomorphologiques de la commune de Meyrargues est constitué par trois ensembles :
- au nord, la vallée de la Basse-Durance est une plaine alluviale située à une altitude d’environ 200 m,
- à l’ouest de Meyrargues un ensemble de collines d’âge oligocène culmine vers 350 m d’altitude,
- au sud et à l’est se dressent les reliefs calcaires (Jurassique et Crétacé) formant le versant sud-ouest du massif du Concors. C'est là que se situe la colline de la Caranque, premier relief proche de l'agglomération, ainsi que le point culminant, à 554 m au Terme de Judas, à l'extrémité orientale des limites communales.
Le territoire de la commune est traversé du sud au nord par une rivière temporaire appelée le Grand Vallat, un affluent de la Durance.
RĂ©seau routier
L'autoroute A51 traverse l’Ouest et le Nord de la commune, avec deux points singuliers : un péage pleine voie et une aire de service. Les sorties 14 Meyrargues (demi-échangeur de et vers le sud) et 15 Pertuis desservent la commune.
Plusieurs routes départementales traversent la commune :
- D 96 vers Venelles et Peyrolles ;
- D 15 en direction de Peyrolles, qui a été aménagée entre 2008 et 2010 pour recevoir les convois routiers à très grand gabarit du projet ITER (itinéraire Berre - Cadarache)[3] ;
- D 561 en direction du Puy-Sainte-RĂ©parade ;
- D 556 en direction de Pertuis. La rive gauche du pont de Pertuis est située sur le territoire de Meyrargues.
RĂ©seau ferroviaire
La commune a la particularité de posséder trois gares ferroviaires, gérées par trois compagnies différentes.
La plus ancienne est la gare SNCF (initialement PLM) et reste la seule encore en activité. Elle est desservie par les trains TER PACA des lignes commerciales SNCF FH12 Marseille - Aix-en-Provence - Pertuis et FH13 Marseille - Gap - Briançon d'une part (5 liaisons quotidiennes) et Pertuis d'autre part (7 liaisons quotidiennes en semaine). La liaison vers Pertuis est interrompue depuis le pour une durée prévisionnelle de 4 ans[4].
Elle fut le terminus de la ligne Central-Var, gérée par la Société des Chemins de fer de Provence. Aujourd'hui disparue, elle reliait à Nice via Draguignan. Le bâtiment de cette ancienne gare subsiste toujours[5].
Elle fut également le terminus de la ligne d'Eyguières à Meyrargues, disparue elle aussi et gérée par la Compagnie des chemins de fer régionaux des Bouches-du-Rhône. Le bâtiment est toujours intact[5].
Transports en commun
La commune est desservie par les lignes 120, 150 et 152 du réseau Pays d'Aix mobilité qui permettent de rejoindre notamment Aix-en-Provence et Pertuis (Vaucluse).
Elle est également desservie par la ligne 107 Transvaucluse qui permet de rejoindre Pertuis et le Pays d'Aigues ainsi que par la ligne express régionale (LER) 27 de Marseille à Castellane.
Un projet, associant le département des Bouches-du-Rhône, la Région Sud, SNCF et la métropole d'Aix-Marseille-Provence, tendant à créer un pôle multimodal majeur par la modernisation du site actuel de la gare est en cours.
Climat
Le tableau ci-dessous indique les températures et les précipitations pour la période 1971-2000, puis 1981-2010 :
Période | Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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1971-2000 | Température minimale moyenne (°C) | 3 | 3,9 | 6 | 8,5 | 12,6 | 16 | 18,7 | 18,7 | 15,5 | 11,6 | 6,8 | 4,1 | 10,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 11,2 | 12,6 | 15,3 | 17,7 | 22,2 | 26,1 | 29,5 | 29,2 | 25,3 | 20,3 | 14,7 | 12 | 19,7 | |
Ensoleillement (h) | 149,7 | 164 | 220,8 | 236,5 | 287,1 | 319,5 | 361,7 | 324,6 | 252,7 | 192,6 | 153,4 | 137,9 | 2 800,5 | |
Précipitations (mm) | 54 | 44 | 40 | 58 | 41 | 25 | 13 | 31 | 61 | 85 | 51 | 52 | 554,5 | |
1981-2010 | Température minimale moyenne (°C) | 2,9 | 3,6 | 6,2 | 9,1 | 13,1 | 16,6 | 19,4 | 19 | 15,7 | 12,4 | 7,2 | 4 | 10,8 |
Température maximale moyenne (°C) | 11,4 | 12,5 | 15,8 | 18,6 | 22,9 | 27,1 | 30,2 | 29,7 | 25,5 | 20,9 | 15,1 | 11,9 | 20,2 | |
Ensoleillement (h) | 145,1 | 173,7 | 238,7 | 244,5 | 292,9 | 333,4 | 369,1 | 327,4 | 258,6 | 187,1 | 152,5 | 134,9 | 2 857,8 | |
Précipitations (mm) | 48 | 31,4 | 30,4 | 54 | 41,1 | 24,5 | 9,2 | 31 | 77,1 | 67,2 | 55,7 | 45,8 | 515,4 |
Diagramme climatique 1981-2010 | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
11,4 2,9 48 | 12,5 3,6 31,4 | 15,8 6,2 30,4 | 18,6 9,1 54 | 22,9 13,1 41,1 | 27,1 16,6 24,5 | 30,2 19,4 9,2 | 29,7 19 31 | 25,5 15,7 77,1 | 20,9 12,4 67,2 | 15,1 7,2 55,7 | 11,9 4 45,8 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Urbanisme
Typologie
Meyrargues est une commune rurale[Note 1] - [6]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[7] - [8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Meyrargues, une unité urbaine monocommunale[9] de 3 843 habitants en 2020, constituant une ville isolée[10] - [11].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12] - [13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (56,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53,8 %), terres arables (21,4 %), zones agricoles hétérogènes (8,5 %), zones urbanisées (5,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,9 %), cultures permanentes (1,5 %), prairies (1,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,4 %)[14].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].
Toponymie
Au Xe siècle, le lieu se serait nommé Mairaniga, puis Meyranigae puis Castrum de Meyran aux XIVe siècle et XVe siècle[16]. Sur la carte de Cassini (XVIIIe siècle), le lieu est mentionné sous le nom de « Merargues ». Le suffixe —argues viendrait du latin —anicum, signifiant petit domaine (champs)[17]. En tout état de cause ce suffixe est typique des toponymes du sud de la France, et se retrouve sur la commune voisine de Vauvenargues. La racine serait tirée du nom du propriétaire primitif gallo-romain du lieu, pouvant être Mairan, Mayran[16] ou Marius[18].
Une autre explication est avancée par plusieurs auteurs[19] - [20]. Selon la légende, Caius Marius aurait établi à Meyrargues un campement en vue de protéger les convois de ravitaillement venant de Pertuis, où se trouvaient les magasins de blé. Une ancienne chaussée reliait Meyrargues au bac de Pertuis. L'étymologie pourrait alors être Marii Agger, chaussée de Marius. La terminaison —argues serait lié à l'existence d'une route.
En Provencal, la commune est désignée par Meirarguo[21].
Microtoponymie
- les defens : champs ou bois communaux soumis à autorisation pour éviter le surpâturage ou le déboisement.
- romagas : les ronces
- la loube : en rapport avec les loups fréquents jusque au début du 20ième siècle
- les calanques : kal/gal/kar/kra est un groupe de suffixe ligure (voire plus ancien) auquel on attribue le sens "pierre"[22].
- collet redon : collet = colline et redon = colline...
- lafoux : la foux, forĂŞt de hĂŞtre (fagus)
- le jas : la bergerie
- le vallat : le ruisseau
- Fontbelle : belle fontaine, belle source
- la cadenière : cade, genévrier
- le brûlé : zones de défrichement gagnée sur la forêt (souvent au Moyen Âge)
- pierrefiche : pierre levée, menhir
- coudouroux : peut être de l'ancien provençal codol: caillou [23], ou origine étymologique grecque proche du mot latin cataracta (chute d'eau, écluse, barrage), comme pour Cadarache, peu probable.
Histoire
Moyen Ă‚ge
C'est à Meyrargues qu'est signé, le , un accord entre Guillaume de Sabran et Raymond Bérenger IV de Provence, au sujet du comté de Forcalquier qu'ils se disputaient. Le sud du comté de Forcalquier est attribué à Guillaume de Sabran, de la Durance à Forcalquier non-incluse ; le nord jusqu'au Buëch allant à Raimond Bérenger. Avignon et L'Isle restaient indivis. Quelques communautés du sud (Montjustin, Grambois et Beaumont) restèrent à Raimond Bérenger, contre Peyruis, Châteauneuf et Château-Arnoux, au nord, qui allèrent à Guillaume de Sabran[24].
Un bac permettant de traverser la Durance est attesté en 1274[25]. Il fusionne avec celui de Pertuis au XVe siècle[26].
Révolution française
Peu avant la Révolution française, l’agitation monte. Outre les problèmes fiscaux présents depuis plusieurs années, la récolte de 1788 avait été mauvaise et l’hiver 1788-1789 très froid. L’élection des États généraux de 1789 avait été préparée par celles des États de Provence de 1788 et de , ce qui avait contribué à faire ressortir les oppositions politiques de classe et à provoquer une certaine agitation[27]. C’est au moment de la rédaction des cahiers de doléances, fin mars, qu’une vague insurrectionnelle secoue la Provence. Une émeute se produit à Meyrargues le [28], le soir même de l’élection des députés aux États généraux. Des poursuites judiciaires sont diligentées, mais les condamnations ne sont pas exécutées, la prise de la Bastille comme les troubles de la Grande peur provoquant, par mesure d’apaisement, une amnistie début août[29].
Politique et administration
Listes des maires
De 1789 à 1799, les agents municipaux (maires) sont élus au suffrage direct pour deux ans et rééligibles, par les citoyens actifs de la commune, contribuables payant une contribution au moins égale à trois journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt au moins équivalent à dix journées de travail.
De 1799 à 1848, La constitution du 22 frimaire an VIII () revient sur l’élection du maire, les maires sont nommés par le préfet pour les communes de moins de 5 000 habitants. La Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de 3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus pour six ans.
Du Ă 1851, les maires sont Ă©lus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.
De 1851 à 1871, les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour 5 ans à partir de 1855.
Depuis 1871, les maires sont Ă©lus par le conseil municipal Ă la suite de son Ă©lection au suffrage universel.
Fiscalité
Taxe | part communale | Part intercommunale | Part départementale | Part régionale |
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Taxe d'habitation (TH) | 10,85 % | 0,00 % | 9,19 % | 0,00 % |
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) | 16,32 % | 0,00 % | 10,85 % | 2,36 % |
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) | 50,02 % | 0,00 % | 9,80 % | 8,85 % |
Taxe professionnelle (TP) | 0,00 % | 19,00 % | 7,08 % | 3,84 % |
La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[31]).
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].
En 2020, la commune comptait 3 843 habitants[Note 3], en augmentation de 2,81 % par rapport Ă 2014 (Bouches-du-RhĂ´ne : +2,09 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
La commune comporte une école maternelle publique "Jòusè-d'Arbaud", ainsi qu'une école élémentaire publique "Jules-Ferry".
Sports
Club de foot : ASM-Avenir Sportif Meyrarguais
Culture et patrimoine
Lieux et monuments
- Le château de Meyrargues, dont les fondations remontent au IXe ou Xe siècle, a été réaménagé au XVIIe par la famille d'Albertas, dont il a gardé le nom. Il a d'abord été transformé en hôtel 4 étoiles. Il est aujourd'hui découpé en appartements (livrés en 2018) sous le contrôle des architectes des bâtiments de France et le conservateur des Monuments Historiques. Le parc a été vendu à la commune de Meyrargues. Il figure, avec son parc, à l'inventaire des sites depuis le .
- Les ruines romaines, par endroits à ciel ouvert ou souterraines, de l'aqueduc de la Traconnade, qui desservait autrefois la ville d'Aquae Sextiae (Aix-en-Provence) (classé monument historique le ).
- La chapelle La Mère de Dieu, près du château.
- La chapelle Saint-Sébastien, à l'entrée nord du village.
- L'église Saint-André (1737) a subi d'importantes modifications en 1822.
- Le tableau de Mazzocchi, donné par Napoléon III, représentant la Vierge et sainte Catherine de Sienne.
- L'ancien canal du Verdon.
Jumelages
Meyrargues est jumelée à la ville de Jimramov (République tchèque).
Manifestations culturelles et festivités
- Carnaval organisé par l'association Les fripouilles et la municipalité en mars
- Kermesse des fripouilles le (association des assistantes maternelles : lesfripou.com).
- Foire à la brocante (du 1er au ) (organisée par l'association Arts, foires et loisirs)
- FĂŞte de la musique
- (bal et fĂŞte foraine)
- Fête votive de la Saint-Louis (deuxième quinzaine d'août)
- Vides greniers
Loisirs
- Randonnées pédestres
- Escalade
- VTT dans la colline
- Tennis
- Centre Ă©questre
- PĂŞche
- Boulodrome / Salle des sports
- Médiathèque
Économie
Agriculture
- Miel
- Vin du château de Vauclaire (coteaux d'Aix AOC)
Commerces
- Fabrique de santons
HĂ©raldique
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Les armes peuvent se blasonner ainsi : Parti, au premier d'azur au lévrier rampant d'argent, au second de gueules à l'étoile de huit rais d'argent; le tout sommé d'un chef d'argent chargé de trois tourteaux de sable. |
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Personnalités liées à la commune
- Aliénor de Comminges (1329-1402), fille de Bernard VIII, comte de Comminges et de Mathé de l’Isle-Jourdain. Elle était vicomtesse de Turenne, dame de Meyrargues, épouse de Guillaume III Roger de Beaufort, neveu de Clément VI et frère de Grégoire XI, mère de Raymond VIII de Turenne.
- Joseph d'Arbaud, poète, manadier, né le à Meyrargues. Fils de Philippe, François, Marius d'Arbaud, propriétaire, et de Marie-Louise Martin, fille de Valère Martin, félibre de Cavaillon. Une rue du village porte son nom.
- Alain Soucasse, artiste peintre, dessinateur et graveur[36].
Notes et références
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Habitants de Meyrargues », sur habitants.fr.
- meyrargues.fr, « Ville de Meyrargues, la Mairie de Meyrargues et sa commune (13650) », sur Annuaire-Mairie (consulté le )
- « Itinéraire ITER », sur itercad.org
- « Pertuis : desserte par car », sur TER PACA
- Marc-André Dubout, « Eyguières-Meyrargues » (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Meyrargues », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Jean DEMENGE, « Meyrargues — Origine du nom et histoire. »
- « Merveilles du Var . notions de toponymie » (consulté le )
- « Noms de famille commençant par M »
- Roger Dosi, « Le Chateau »
- Christophe de Villeneuve, « Statistique du département des Bouches-du-Rhône, volume 2 »,
- Frédéric Mistral, « Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français... T. 2, G-Z », sur Gallica Bnf, p. 311
- Philippe Blanchet, Petit dictionnaire des lieux dits en Provence, Librairie Contemporaine, , 81 p. (lire en ligne), p. 10
- Albert Dauzat, Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, 1979 (ISBN 2-85023-076-6), p. 199 ;
- Mariacristina Varano, Espace religieux et espace politique en pays provençal au Moyen Âge (IXe-XIIIe siècles). L'exemple de Forcalquier et de sa région, thèse soutenue à l'université d'Aix-Marseille I, 2011, p. 486.
- Catherine Lonchambon, « D’une rive à l’autre de la Durance : d’étranges bateaux », in Guy Barruol, Denis Furestier, Catherine Lonchambon, Cécile Miramont, La Durance de long en large : bacs, barques et radeaux dans l’histoire d’une rivière capricieuse, Les Alpes de lumière no 149, Forcalquier 2005, (ISBN 2-906162-71-X), p. 55.
- Catherine Lonchambon, op. cit., p. 54.
- Monique Cubells, « Les mouvements populaires du printemps 1789 en Provence », Provence historique, volume 36, no 145, 1986, p. 309
- M. Cubells, op. cit., p. 310 et 312.
- M. Cubells, op. cit., p. 322.
- « Impôts locaux à Meyrargues », taxes.com
- Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- [PDF] « A Meyrargues, un artiste connu et reconnu en France et bien au-delà de nos frontières ! », sur www.villedemeyrargues.fr
Voir aussi
Bibliographie
- Francis Brun, en collaboration avec Liliane et Robert Larréa « Meyrargues au temps de nos grands-parents »
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du Moyen Age en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Meyrargues, p. 751Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes