Le Puy-Sainte-Réparade
Le Puy-Sainte-Réparade est une commune française située dans le département des Bouches-du-Rhône, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont les Puechens ; le latin podium a abouti à puy en français et à puech en provençal.
Le Puy-Sainte-Réparade | |||||
Le site de la Quille. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Bouches-du-Rhône | ||||
Arrondissement | Aix-en-Provence | ||||
Intercommunalité | Métropole d'Aix-Marseille-Provence | ||||
Maire Mandat |
Jean-David Ciot 2020-2026 |
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Code postal | 13610 | ||||
Code commune | 13080 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Puechens | ||||
Population municipale |
5 866 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 127 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 39′ 51″ nord, 5° 26′ 17″ est | ||||
Altitude | 196 m Min. 164 m Max. 492 m |
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Superficie | 46,29 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Le Puy-Sainte-Réparade (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Marseille - Aix-en-Provence (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Trets | ||||
Législatives | Quatorzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Bouches-du-Rhône
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Liens | |||||
Site web | Site officiel de la mairie | ||||
Géographie
Localisation
Le Puy-Sainte-Réparade s’étend sur 46,3 km2. La commune est située à 6 km au sud-ouest de Pertuis et à 15 km d'Aix-en-Provence[1]. Située à 199 mètres d’altitude, la commune du Puy est traversée par plusieurs cours d’eau notamment la Durance, la rivière l’Èze et le ruisseau de Concerande.
Positionnée au contact d’Aix-en-Provence et en bordure de la Durance, la commune est au cœur d’un territoire de transition entre l’agglomération aixoise et les communes du Luberon. Le territoire puéchen est délimité par des frontières naturelles avec à l’ouest le massif de Rognes, au sud la chaîne de la Trévaresse et au nord la rivière de la Durance.
Le Puy-Sainte-Réparade fait partie du val de Durance, un espace géographique regroupant plusieurs dizaines de communes et près de 50 000 habitants. Le val de Durance est un espace charnière entre la Métropole Aix-Marseille et l’espace rural du Luberon (le parc naturel régional du Luberon se situant environ à 5 km de la commune).
Le tissu économique des environs du Puy-Sainte-Réparade est marqué par la prédominance d’une activité agricole[2]. Cependant, la décision de la communauté internationale d’installer le programme ITER sur le territoire de la Durance, représente une chance exceptionnelle de développement économique pour le territoire[3] - [4].
Climat
Le tableau ci-dessous indique les températures et les précipitations pour la période 1971-2000 :
Mois | J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D | année |
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Températures maximales (°C) | 10,9 | 12,3 | 15,3 | 17,5 | 22,0 | 25,8 | 29,4 | 29,0 | 25,0 | 19,9 | 14,2 | 11,6 | 19,4 |
Températures moyennes (°C) | 6,1 | 7,2 | 9,7 | 12,0 | 16,1 | 19,8 | 22,9 | 22,7 | 19,2 | 14,7 | 9,6 | 7,0 | 13,9 |
Températures minimales (°C) | 1,2 | 2,0 | 4,0 | 6,4 | 10,1 | 13,7 | 16,4 | 16,3 | 13,3 | 9,5 | 4,9 | 2,4 | 8,4 |
Précipitations (hauteur en mm) | 59 | 47 | 44 | 63 | 52 | 31 | 16 | 37 | 64 | 98 | 58 | 54 | 623,4 |
Source: Météo France[5] / Station de Salon de Provence |
Urbanisme
Typologie
Le Puy-Sainte-Réparade est une commune rurale[Note 1] - [6]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[7] - [8]. Elle appartient à l'unité urbaine du Puy-Sainte-Réparade, une unité urbaine monocommunale[9] de 5 866 habitants en 2020, constituant une ville isolée[10] - [11].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12] - [13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (60,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (29,9 %), forêts (27 %), zones agricoles hétérogènes (18,8 %), cultures permanentes (9,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,2 %), zones urbanisées (4,8 %), eaux continentales[Note 3] (2,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,8 %)[14].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].
Toponymie
Puy : du latin podium « hauteur, lieu élevé », forme franco-provençale (voir le Puy-en-Velay), répandue dans toute la zone occitane (Puymorens, Puimoisson).
La colline de la Quiho (Quille), forteresse naturelle qui domine le village actuel, a donné son nom au Puy, « Puech » en provençal. « Sainte Réparade » est probablement le nom déformé de « Sainte Réparate », sainte dont les reliques furent transférées au XIe siècle à la paroisse de « Saint Maurice du Puy ».
Le lieu-dit Féline fait référence à un atelier de potier, figulina en latin[16].
Histoire
Préhistoire
Occupée dès la protohistoire (voire à la Préhistoire[17]) par un oppidum celto-ligure, la colline de la Quille devient au Xe siècle une forteresse, puis un château, entourée d’une puissante muraille, qui passe au XIe siècle aux mains des archevêques d’Aix-en-Provence. Ceux-ci deviennent les seigneurs du Puy et accroissent leurs possessions par des acquisitions sur le territoire environnant. À cette époque, on peut situer une ébauche de peuplement assez dispersé. Les habitants sont plutôt retirés sur les hauteurs, sur les collines isolées du Puech et sur celle de Féline, plus au Sud. Une partie d’entre eux vit dans des grottes situées sous le plateau.
Moyen Âge
Un bac permettant de traverser la Durance est attesté en 1297[18]. Il fusionne avec celui de Pertuis au XVe siècle[19].
La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Le roi de France, Charles VI, intervient et envoie le sénéchal de Beaucaire, Enguerrand d’Eudin, qui fait la conquête du Puy-Sainte-Réparade à l’été 1383. Lorsque Louis Ier meurt et que sa veuve, Marie de Blois, arrive en Provence pour défendre les droits de son fils Louis II, elle réclame que le sénéchal lui cède la ville, ce qu’il refuse par instruction du roi de France[20].
Au début du XVe siècle, le château commande alors l’un des principaux points de passage de la Durance. Il connaît son apogée à partir de 1434, sous le règne de René d’Anjou (le roi René), jusqu’à l’intégration de la Provence au Royaume de France.
Temps modernes
Vers 1510, Le Puy subit comme beaucoup d’autres régions le fléau de la peste ainsi que le début des guerres de religion. Objet de nombreux sièges au cours du XVIe siècle du fait de sa position idéale de base offensive, le château tombe sous le coup d’une décision de destruction par le Parlement de Provence et le duc de Guise, confirmée par les États de Provence à Aix en 1612.
Saint Cannat de Féline appartenait également aux archevêques d’Aix : le domaine de Féline portait alors le titre de baronnie. Après les guerres de Religion, une partie de la population groupée jusque-là à Féline, descendit dans la plaine et se groupa autour d’une église dédiée à Saint-Pierre aux Liens, en provençal « San Peyre encadénat », d'où le nom Saint-Canadet.
Après la démolition du château par les archevêques, les habitants de la colline quittèrent les hauteurs pour s’établir sur un plateau en contrebas appelé « le Village », ou se dispersèrent dans divers hameaux : l’église vieille, les Gillis, les Goirands, les Gaix, la Ferratière, les Thérics… Le groupe principal s’appelle la Bourgade, on y construit l’église paroissiale sur le chemin de Rognes à Peyrolles, au XVIIe siècle. C’est le site du village actuel du Puy-Sainte-Réparade, resté à l’état embryonnaire jusqu’au XIXe siècle, puis investi par les populations qui quittent l’ancien village perché sur la butte de la Quille, pour s’installer dans la plaine alluviale de la Durance, à proximité des voies de communication.
Epoque contemporaine
Une ligne de chemin de fer, reliant Eyguières à Meyrargues, a existé le long de la rive gauche de la Durance. Inaugurée en 1889, son exploitation cesse en 1933 pour le transport de voyageurs et en 1950 pour le fret, date à laquelle elle est démantelée. La gare et ses bâtimets sont réhabilités et servent notamment à une coopérative viticole et à une école maternelle. L'actuel Boulevard de la Coopérative reprend le tracé originel[21] - [22].
Le , un tremblement de terre fortement ressenti dans la région, détruisit plus de vingt maisons sur la commune et causa la mort de deux personnes, sur les quarante-six victimes recensées, toutes villes confondues.
La qualité de ses espaces naturels et la proximité d’Aix-en-Provence ont permis à la commune de se développer fortement, une première fois durant les décennies 1960 et 1970 (lors des travaux du Canal EDF et du CEA de Cadarache, ainsi que par l’accueil des rapatriés d'Afrique du Nord) puis une seconde fois durant les années 1980 grâce à l’arrivée de familles aixoises et marseillaises, en recherche d’un cadre de vie agréable tout en étant proche des centres urbains (extrait du diagnostic de l’AUPA/2008).
Politique et administration
Liste des maires
Finances communales
Taxe | Part communale | Part intercommunale | Part départementale | Part régionale |
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Taxe d'habitation (TH) | 11,64 % | 0,00 % | 9,19 % | 0,00 % |
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) | 17,09 % | 0,00 % | 10,85 % | 2,36 % |
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) | 48,81 % | 0,00 % | 9,80 % | 8,85 % |
Taxe professionnelle (TP) | 0,00 % | 19,00 % | 7,08 % | 3,84 % |
La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[24]).
Jumelages
Commune jumelée avec Zellik-Asse en Belgique.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].
En 2020, la commune comptait 5 866 habitants[Note 4], en augmentation de 7,12 % par rapport à 2014 (Bouches-du-Rhône : +2,09 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Manifestations culturelles et festivités
- La fête de la Saint-Michel a lieu tous les ans le 3e week-end de septembre.
Enseignement
- Depuis , la commune possède un collège d'enseignement secondaire qui accueille près de 500 élèves.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'oppidum de la Quille, site protohistorique situé au lieu-dit la Quille.
- Le château de Fonscolombe, inscrit et classé au titre de monument historique[29].
- Le château d'Arnajon, classé au titre de monument historique[30].
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption du Puy-Sainte-Réparade.
- Église Saint-Pierre-ès-Liens de Saint-Canadet.
Galerie
Vue de l'église. La fontaine moussue. Une rue aux maisons colorées.
Personnalités liées à la commune
- Lucien Chauvet (1833-1902), sculpteur provençal.
- Victor Lebrun, premier secrétaire et ami de Tolstoï qui a habité Le Puy de 1822 à 1879
Héraldique
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Les armes peuvent se blasonner ainsi : D'argent, à un pal d'azur, coupé de sinople, à un cheval gai, d'or. |
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Notes et références
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Fiche descriptive du Puy Sainte Réparade sur http://www.annuaire-mairie.fr
- Etude démographie et économique du Val de Durance | PDF.
- Résumé du "Dire de l'État" sur l'implantation du projet ITER.
- "Dire de l'Etat" sur l'impact du projet ITER sur le Val de Durance | Document PDF
- « PREVISIONS METEO FRANCE - Site Officiel de Météo-France - Prévisions gratuites à 15 jours sur la France et sur le monde », sur meteofrance.com (consulté le ).
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 du Le Puy-Sainte-Réparade », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 53.
- Liliane Delattre et Jules Masson Mourey, « Le Puy-Sainte-Réparade, La Quille », Bilan scientifique 2013 de la région Provence-Alpes-Côte-d’Azur,‎ , p. 128-129 (lire en ligne)
- Catherine Lonchambon, « D’une rive à l’autre de la Durance : d’étranges bateaux », in Guy Barruol, Denis Furestier, Catherine Lonchambon, Cécile Miramont, La Durance de long en large : bacs, barques et radeaux dans l’histoire d’une rivière capricieuse, Les Alpes de lumière no 149, Forcalquier 2005, (ISBN 2-906162-71-X), p 55.
- Catherine Lonchambon, op. cit., p 54.
- Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, p. 407 et 413 (note 61).
- Marc-André Dubout, « Eyguières-Meyrargues » (consulté le )
- « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le )
- « Impôts locaux au Puy-Sainte-Réparade », taxes.com
- Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Château de Fonscolombe », notice no PA00081504, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Domaine d'Arnajon », notice no PA00135625, base Mérimée, ministère français de la Culture
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
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