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Autoroute A51 (France)

En France, l'autoroute A51 doit relier à terme Grenoble à Marseille via Gap, Sisteron et Aix-en-Provence[1]. Elle a été amorcée par les deux extrémités :

Autoroute A51
Cartouche de la route
Image illustrative de l’article Autoroute A51 (France)
L'autoroute « Val de Durance » au sud de
La Saulce (Hautes-Alpes).
Carte de la route.
Autres dénominations Autoroute du Val de Durance
Autoroute du Trièves
Caractéristiques
Longueur 152 + 26 km
Direction nord -sud
Extrémité sud A7 E 714 à Septèmes-les-Vallons
Intersections
Extrémité nord A480 E 712 à Claix
Réseau Autoroute française, également E 712
Territoire traversé
2 régions Provence-Alpes-Côte d'Azur, Auvergne-Rhône-Alpes
5 départements Bouches-du-Rhône, Vaucluse, Alpes-de-Haute-Provence, Hautes-Alpes, Isère
Villes principales Marseille, Aix-en-Provence, Pertuis, Manosque, Sisteron, Gap, Grenoble
Exploitation
Concessionnaire AREA sur la partie nord
ESCOTA entre Aix et La Saulce
Gestionnaire DIR Méditerranée entre Septèmes et Aix

Toutefois, la partie manquante est très controversée et n'est pas aujourd'hui à l'ordre du jour. Cette autoroute est couverte par Autoroute Info sur la partie conçédée à AREA et par Radio Vinci Autoroutes de La Saulce à Aix-en-Provence.

Historique

Partie sud

Partie nord

État actuel

Actuellement trois tronçons sont en service (sens sud-nord).

  1. Marseille - Aix-en-Provence : section publique de 18 kilomètres, depuis l'Ă©changeur de Septèmes-les-Vallons, au nord de Marseille, oĂą elle se connecte Ă  l'A7 par un Ă©changeur en triangle, jusqu'Ă  l'Ă©changeur de Jas-de-Bouffan Ă  l'ouest d'Aix-en-Provence ; 2 Ă— 2 voies sauf section Ă  2 Ă— 3 voies du nord de l'Ă©changeur de Septèmes Ă  la sortie Bouc-Bel-Air - Gardanne) ; vitesse limitĂ©e Ă  90 km/h.
  2. Aix-en-Provence - La Saulce : section du rĂ©seau Escota, Ă  pĂ©age Ă  partir de l'Ă©changeur nord de Venelles ; commence au nord d'Aix (Ă©changeur des Platanes), se termine Ă  la sortie de La Saulce (Hautes-Alpes), longueur de ce tronçon 128 kilomètres, vitesse autorisĂ©e 130 km/h sauf ralentissements imposĂ©s Ă  110 km/h (dans les tunnels de Mirabeau et de la Baume (Sisteron), sur le viaduc franchissant le canal au sud de Sisteron), aux environs du PoĂ«t, et dans la descente vers Les MĂ©es (sens nord-sud seulement).
  3. Col du Fau - Claix : ce tronçon nord de 26 km, Ă  forte pente, se raccorde Ă  l'A480 dans la banlieue de Grenoble. Il est concĂ©dĂ© Ă  l'AREA. Il est Ă  pĂ©age depuis le col de Fau jusqu'Ă  l'Ă©changeur de Vif (sortie 12), gratuit au-delĂ .

Les deux tronçons sud

L'autoroute « Val de Durance » entre Pertuis et Cadarache.

La jonction entre les deux premiers tronçons est rĂ©alisĂ©e par une route Ă  2 Ă— 2 voies numĂ©rotĂ©e route nationale 296, longue de six kilomètres, comportant un Ă©changeur complexe avec la RD 7N (ex-RN 7) avec une limitation Ă  50 km/h.

Cet ensemble, couramment appelé Autoroute du Val de Durance, s'arrête à 14 kilomètres au sud de Gap. Ni Digne, ni Barcelonnette ni Briançon ne sont directement desservis par l'A51. Cependant elle facilite l'accès de l'agglomération marseillaise aux stations des Alpes-de-Haute-Provence et des Hautes-Alpes, ainsi qu'aux grands cols des Alpes du Sud (col de Larche, col de Montgenèvre, col de la bonnette, col de la Cayolle, col d’Allos).

Le tronçon nord

Le troisième tronçon a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en deux Ă©tapes : l'une ouverte en 1999 qui relie la ville de Claix dans la banlieue grenobloise Ă  Saint-Martin-de-la-Cluze, sur 17 km. Cette partie fait dĂ©buter l'A51 Ă  la limite de Claix et de Varces dans le prolongement de l'A480, et traverse ensuite la vallĂ©e de la Gresse en direction du sud. Le pĂ©age exploitĂ© par AREA est situĂ© sur la commune de Vif, en amont des viaducs du Crozet.

La deuxième Ă©tape consista Ă  relier Saint-Martin-de-la-Cluze au col du Fau sur 10,5 km. Ouverte Ă  la circulation depuis le , cette partie comporte 4,5 km en 2 Ă— 1 voies (tunnel de Sinard, viaduc de Monestier). Elle porte le nom d'autoroute du Trièves. Construit en cinq ans, après de nombreuses polĂ©miques, cet amĂ©nagement aura coĂ»tĂ© 191 millions d'euros Ă  AREA. Elle ouvre Ă  Grenoble les portes du Trièves en l'espace de vingt-cinq minutes.

Sorties

Autoroute du Val de Durance

Le tunnel de Jouques (défilé de Mirabeau).

Autoroute du Trièves

Gare de péage du Crozet.

Principaux ouvrages d'art

Le viaduc de Lurs, vu par-dessous, et la voie ferrée
Viaduc de Lurs vu par-dessous.

Sur la section sud (Autoroute du Val de Durance)

  • Tunnel du dĂ©filĂ© de Mirabeau (deux galeries, longueur 450 mètres)
  • Pont sur la Durance Ă  Cadarache (longueur 290 mètres)[5]
  • Pont sur le canal EDF Ă  Sainte-Tulle (double pont mĂ©tallique en poutre en treillis, longueur 114 mètres)[6]
  • Pont sur la ligne de Lyon-Perrache Ă  Marseille-Saint-Charles (via Grenoble) Ă  Lurs (double pont en poutre en bĂ©ton, longueur 187 mètres, en courbe et en pente)[7]
  • Pont sur la Durance au sud de Sisteron, prolongĂ© par un pont sur le canal EDF (en courbe)
  • Tunnel de la Baume Ă  Sisteron (deux galeries)
  • Pont sur la Durance au nord de Sisteron
  • Ponts supĂ©rieurs de la D 1085 au PoĂ«t (en S) et Ă  la Saulce (en courbe)

Sur la section nord (Autoroute du Trièves)

Quatre grands ouvrages jalonnent cette section, dont :

  • Tunnel d'Uriol.
    Tunnel d'Uriol.
  • Tunnel du Petit Brion.
    Tunnel du Petit Brion.
  • Viaduc de La Rivoire.
    Viaduc de La Rivoire.
  • Viaduc du Crozet.
    Viaduc du Crozet.
  • Tunnel de Sinard.
    Tunnel de Sinard.
  • Viaduc de Monestier.
    Viaduc de Monestier.

Trafic

Le trafic est peu Ă©levĂ© : plafonnant Ă  11 000 vĂ©hicules par jour en 1993, il atteint 14 000 vĂ©hicules en 1999 du fait de sa longueur « justifiant de la dĂ©pense du pĂ©age ». Il est essentiellement de proximitĂ© (trajets professionnels) et de transit (loisirs)[8].

Dans les Alpes-de-Haute-Provence, le trafic poids lourds s'Ă©levait Ă  1 137 vĂ©hicules par jour, dont 144 transportant des produits dangereux[9].

Lieux sensibles

  • L'A51-nord se branche sur l'A480 directement Ă  la sortie sud de Grenoble. Les trafics nord-sud et sud-nord imposent la traversĂ©e de l'agglomĂ©ration grenobloise dont l'infrastructure routière est sous-dimensionnĂ©e aujourd'hui pour permettre une augmentation de trafic qu'engendrerait une continuitĂ© de l'A51.
  • L'A51-nord prĂ©sente une grande descente depuis Sinard jusqu'Ă  la barrière de pĂ©age de Crozet. Cette descente fait 11 km pour 470 m de dĂ©nivelĂ©, soit plus de 4 % de moyenne, avec plusieurs rampes Ă  6 %. La vitesse des poids-lourds y est limitĂ©e Ă  70 km/h. Il y a aussi deux voies de dĂ©tresse pour les vĂ©hicules hors de contrĂ´le.
  • La partie urbaine de l'autoroute du Val de Durance, de l'Ă©changeur de Septèmes jusqu'Ă  Venelles, soit 25 kilomètres, est en permanence susceptible de bouchons, et particulièrement vers 17 heures en semaine, et les vendredi et dimanche soir.
  • La route nationale 296 comporte un virage particulièrement dangereux Ă  la descente (sens nord - sud) ; vitesse limitĂ©e Ă  50 km/h (110 km/h moins d'un kilomètre avant).

Entre Grenoble et Sisteron, un tronçon contesté

La construction du tronçon de Grenoble à Sisteron a été l'objet de nombreuses contestations en raison de son impact environnemental : en 1995 par exemple, des manifestants ont entravé les travaux en s'enchaînant aux engins de construction de la section nord de l'autoroute.

Depuis le nord, trois solutions principales sont envisagées :

  1. le tracé direct par le col de la Croix-Haute et la vallée du Buëch jusqu'à Sisteron (coût initial estimé à environ 1,8 milliard d'euros) ; plus court, il ne desservirait que l'ouest des Hautes-Alpes (Serres, Laragne) ;
  2. le tracé dit « par l'est de Gap » via le Trièves, la vallée du Drac, le col Bayard et la haute vallée de l'Avance) (coût initial estimé environ 2,2 milliards d'euros) ; plus long et plus coûteux, mais qui permettrait :
  3. l'amĂ©nagement de la dĂ©partementale RD 1075 (ancienne RN 75) et de la route nationale 85 (mise Ă  2Ă—2 voies, rectifications diverses) ; plus Ă©conomique (coĂ»t estimĂ© d'environ 610 millions d'euros[10]) aurait un impact environnemental plus faible au prix d'un moindre gain de temps, le gain de temps thĂ©orique d'une autoroute sur une voie express limitĂ©e Ă  110 km/h Ă©tant infĂ©rieur Ă  10 minutes pour une centaine de kilomètres (Ă©ventuellement 15 selon les ralentissements dus au profil de la route).

Plusieurs problèmes se posent :

  • le choix du tracĂ© et le type de projet : autoroute concĂ©dĂ©e par AREA, par ESCOTA ou par les deux ;
  • le financement du projet (75 % de financement public) et sa rentabilitĂ© ;
  • les difficultĂ©s techniques dues Ă  la nature des terrains traversĂ©s : l'itinĂ©raire par l'est de Gap passe dans des terrains composĂ©s d'argile et de roches gruyère posant des problèmes de gĂ©nie civil ; l'itinĂ©raire par le col de Lus-la-Croix-Haute passe dans des terrains morainiques très instables (l'ex-nationale 75 s'est d'ailleurs effondrĂ©e plusieurs fois dans les cinquante dernières annĂ©es) ;
  • la rĂ©alisation de nombreux ouvrages d'art, notamment pour le tracĂ© par l'est de Gap :
    • le viaduc sur l'Ébron, d'environ km de long et 200 m de haut ; Ă  titre de comparaison, le viaduc de Millau (2,4 km de long et 270 m de haut) a coĂ»tĂ© environ 400 millions d'euros,
    • tunnels de Lavars (environ km) et du Faraut (3,8 km),
    • plus de vingt autres viaducs de moindre importance, totalisant plus de cinq kilomètres de longueur cumulĂ©e[Note 1] ;
  • le fort impact environnemental, notamment sur le Trièves, zone jusqu'ici très prĂ©servĂ©e.

20 ans d'hĂ©sitations

  • 1987 : l'autoroute Sisteron-Grenoble est inscrite au SchĂ©ma directeur routier national ;
  • 1991 : Louis Besson, ministre de l'Équipement, exprime sa prĂ©fĂ©rence pour un tracĂ© par Lus-la-Croix-Haute.
  • 1995 : Bernard Pons dĂ©cide que l'A51 passera par l'est de Gap, lance une enquĂŞte publique, laquelle est suspendue par son successeur Jean-Claude Gayssot.
  • 2003 : Gilles de Robien, nouveau ministre de l'Équipement, se prononce pour un tracĂ© par l'est de Gap.
  • 2005 : dĂ©bat public sur la liaison. Quatre solutions : amĂ©nagement des dĂ©partementale RD 1075 (ancienne RN 75) et de la route nationale 85, dĂ©veloppement du rĂ©seau ferroviaire, poursuite de l'A51 par l'est ou par l'ouest de Gap.
  • 2006 : le ministre des Transports Dominique Perben et le ministre dĂ©lĂ©guĂ© Ă  l'AmĂ©nagement du territoire Christian Estrosi annoncent le lors d'une confĂ©rence de presse avoir choisi le tracĂ© est, par Gap.
  • 2009 : le ministre de l'Écologie, de l'Énergie, du DĂ©veloppement durable et de l'AmĂ©nagement du territoire Jean-Louis Borloo, dans une lettre au prĂ©sident du conseil gĂ©nĂ©ral des Hautes-Alpes, Ă©crit : « Les projets seront dĂ©finitivement retenus après un examen au travers de critères et d'indicateurs caractĂ©risant les territoires traversĂ©s et l'Ă©valuation de leurs impacts environnementaux, Ă©conomiques et sociaux », et annonce une dĂ©cision gouvernementale sur « la poursuite du projet » Ă  l'automne 2009 après avis de l'AutoritĂ© environnementale, du comitĂ© de suivi du « Grenelle de l'environnement » et du Parlement[11].
  • 2010 : le tronçon Col du Fau - La Saulce ne figure pas Ă  l'avant-projet de SchĂ©ma national d'infrastructures de transport (SNIT) publiĂ© en juillet 2010[12].
  • : le chef de cabinet de l'ÉlysĂ©e, en rĂ©ponse Ă  un courrier d'un habitant de Pertuis (Vaucluse), rĂ©pond que, compte tenu des contraintes techniques et financières (budget de 2,5 milliards d'euros dont 1,9 milliard Ă  la charge de l'État, et impossibilitĂ© lĂ©gale de l'adossement[Note 2]), le projet ne figure pas au SNIT[13]. Le SĂ©nat a mis en ligne un rapport reprenant les contraintes financières et juridiques[14].

Les positions des intéressés

Le débat public de 2005[15] - [16] a montré une vive différence de points de vue suivant les secteurs géographiques concernés et, selon les termes de la Commission nationale du débat public, « les intérêts portés par les différentes catégories d'intervenants, et les conceptions de la société et du type de développement qu'elle doit se donner » :

Les conseils régionaux de Rhône-Alpes et de Provence-Alpes-Côte d'Azur ont de plus fait connaître l'impossibilité pour eux de financer seuls un projet autoroutier de cette ampleur sans un investissement très majoritaire de l'État.

À la suite de ce débat public, le ministre avait de nouveau annoncé en 2006 que l'A51 devrait se construire par l'est de Gap. On aurait alors pu effectuer en 2025 la liaison Grenoble-Marseille en 3 heures (2 h 50 avec le trajet par le col de la Croix-Haute) au lieu des 3 h 15 actuelles via Valence, différence jugée minime par les opposants au projet en regard des coûts et des bouleversements environnementaux engendrés par le projet.

Notes et références

Notes

  1. Viaducs de Pisse-Vache (120 m), de la Chalane (75 m), des Archars (360 m), de la croix de Pigne (370 m), de la Souloise (1 000 m), du Rif Mannel (75 m), de la Guinguette (335 m), du Laus (80 m), du Rageoux (160 m), de la Bonne (270 m), de Chauvet (230 m), du Buzon (360 m), de la Combe (390 m), des Roubis (140 m), de Lafangue (140 m), des Blanchonnes (150 m), de la Cote Chaude (170 m), de la Bâtie-Neuve (100 m), de la Drague (280 m), de la Plaine (540 m), de TrĂ©baudon (230 m)
  2. Financièrement, le principe d’adossement signifie de faire payer un tronçon de l'autoroute par l’ensemble du réseau de la société concessionnaire, lorsque le coût de celui-ci n'est pas équilibrable par le tarif d'un péage sur ce même tronçon.
  3. Lors d’un référendum municipal sur le projet autoroutier de l’A51, les réponses ont été « Pour » à 90,84 % et « Contre » à 9,16 % ; à la question complémentaire « Quel tracé préférez-vous ? », les réponses ont été « Par Gap » à 86,69 % et « Par Lus » à 13,28 %. Le taux de participation est inconnu.

Références

  1. « Le prolongement de l'A51 verra-t-il le jour ? », sur laprovence.com
  2. Gonguet-Mestre 2002, p. 30.
  3. Historique de l'autoroute A51 sur WikiSara.
  4. Catherine Mestre-Gonguet, « Autoroute et recompositions spatiales : l'exemple du Val de Durance », Géocarrefour, vol. 77, no 1,‎ , p. 37-44 (lire en ligne).
  5. Viaduc du Val de Durance, sur Structurae.
  6. Pont de Sainte-Tulle, sur Structurae.
  7. Pont de Lurs, sur Structurae.
  8. Gonguet-Mestre 2002, p. 31.
  9. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence « Copie archivée » (version du 22 septembre 2012 sur Internet Archive) (DDRM), 2008, p. 74
  10. Synthèse du débat « Améliorer la liaison entre Grenoble et Sisteron, débat public juin octobre 2005 »
  11. Le Dauphiné libéré, 19 avril 2009, page 4.
  12. « Le projet de l'A51 abandonné », sur ledauphine.com, .
  13. Réponse de l’Élysée sur le projet de liaison Grenoble-Gap [PDF], sur le site pertuisien.fr.
  14. PROJET DE L'A 51, sur le site du Sénat (consulté le 13 octobre 2012).
  15. « Le bilan du débat public sur la liaison Grenoble-Sisteron » [PDF], sur debatpublic-cpdpgrenoblesisteron.org (consulté le ).
  16. « Le compte-rendu du débat public sur la liaison Grenoble-Sisteron » [PDF], sur debatpublic-cpdpgrenoblesisteron.org (consulté le ).

Voir aussi

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Bibliographie

  • C. Barrio, « L'Autoroute A51 Val de Durance - Section Aix-en-Provence - Manosque (47 km) », Travaux, no 612,‎ , p. 1-5 (rĂ©sumĂ©)
    Contexte géologique et réalisations importantes sur cette section d'autoroute ouverte en 1986.
  • C. Barrio, G. Baillet et A. Guenoun, « L'autoroute A51 - Val de Durance - Section Manosque-Sisteron (53 km) », Travaux, no 645,‎ , p. 115-123 (rĂ©sumĂ©)
  • V. Vigneron, « AccessibilitĂ© routière au sud de l'agglomĂ©ration grenobloise en liaison avec la construction de l'autoroute A51 », Revue Internationale de GĂ©omatique, nos 3-4,‎
  • RĂ©gine Bonnet, « Autoroute du val de Durance : les effets d'une infrastructure autoroutière dans l'Ă©conomie d'une zone interne », Grands Travaux et Grands Équipements, Paris, Éditions du CTHS,‎ , p. 39-48
  • B. Miet, « A51 - Historique et contexte », Travaux, no 757,‎ , p. 18-22 (rĂ©sumĂ©)
    Présentation de l'autoroute A51 Nord.
  • C. Le Guellec et C. Maly, « A51 - Un projet qui n'Ă©tait pas gagnĂ© - De l'opposition Ă  l'adoption, du bĂ©tonneur Ă  l'amĂ©nageur », Travaux, no 757,‎ , p. 23-25 (rĂ©sumĂ©)
    Comment la société d'autoroutes a pu surmonter l'opposition à la construction de l'autoroute A51 Nord.
  • Catherine Gonguet-Mestre, L'axe durancien : amĂ©nagement et transport, L'Harmattan, (ISBN 2-7475-2087-0, prĂ©sentation en ligne) Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article

Articles connexes

Liens externes

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