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Jacou

Jacou [ ʒa.ku] est une commune française située dans l'est du département de l'Hérault en région Occitanie, en périphérie de Montpellier.

Jacou
Jacou
Hôtel de ville de Jacou.
Blason de Jacou
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Montpellier
Intercommunalité Montpellier Méditerranée Métropole
Maire
Mandat
Renaud Calvat
2020-2026
Code postal 34830
Code commune 34120
Démographie
Gentilé Jacoumards
Population
municipale
6 794 hab. (2020 en augmentation de 3,19 % par rapport à 2014)
Densité 1 981 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 39′ 39″ nord, 3° 54′ 37″ est
Altitude 57 m
Min. 45 m
Max. 85 m
Superficie 3,43 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Montpellier
(banlieue)
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montpellier - Castelnau-le-Lez
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Jacou
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Jacou
Liens
Site web www.ville-jacou.fr

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par divers petits cours d'eau.

    Jacou est une commune urbaine qui compte 6 794 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération de Montpellier et fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les Jacoumards ou Jacoumardes.

    Le territoire de la commune s'étend sur 3,43 km2 pour 6 794 habitants recensés en 2016.

    Géographie

    Carte du territoire communal.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Jacou
    Teyran
    Clapiers Jacou Le Crès
    Castelnau-le-Lez

    Voies de communication et transports

    La ligne de tramway T2, près de la station Jacou.

    La commune de Jacou est accessible par les transports de l'agglomération de Montpellier, via la ligne 2 du tramway (le terminus se trouve devant l'école primaire Condorcet) et les lignes de bus 22 (Montpellier, Université des Sciences et Lettres) et 36 (Castelnau-le-Lez, Charles de Gaulle).

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 18,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 746 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Prades Le Lez », sur la commune de Prades-le-Lez, mise en service en 1980[6] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,3 °C et la hauteur de précipitations de 852,2 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et à km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[12].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[13] - [14] - [15].

    Urbanisme

    Typologie

    Jacou est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [16] - [I 1] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montpellier, une agglomération intra-départementale regroupant 22 communes[I 2] et 440 997 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3] - [I 4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 5] - [I 6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (66,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (38,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (66,3 %), cultures permanentes (27 %), forêts (6,1 %), mines, décharges et chantiers (0,6 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Jacou est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Montpellier-Lunel-Maugio-Palavas, regroupant 49 communes du bassin de vie de Montpellier et s'étendant sur les départements de l'Hérault et du Gard, un des 31 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée[21], retenu au regard des risques de submersions marines et de débordements du Vistre, du Vidourle, du Lez et de la Mosson. Parmi les événements significatifs antérieurs à 2019 qui ont touché le territoire, peuvent être citées les crues de septembre 2002 et de septembre 2003 (Vidourle) et les tempêtes de novembre 1982 et décembre 1997 qui ont touché le littoral. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[22]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987, 1994, 2003 et 2014[23] - [19].

    Jacou est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 6] - [24].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Jacou.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 921 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 919 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[27].

    Toponymie

    La première occurrence de Jacou remonte à 1144 sous la forme S. Petri de Jocone (Sancti Petri de Jocone) à la page 141 du cartulaire de Maguelone. À la suite d'un accident phonétique, le nom de Jacou est écrit Jacono en 1529, puis Jacon en 1626 pour arriver à Jacou en 1740[28].

    Dans le cadastre napoléonien de 1808, on trouve les noms de lieux suivants[29] :

    • Las Bordes : bergerie, ferme ;
    • Las Bousigues : friche, essart ;
    • Cartairade : mesure agraire valant un quart de séterée (fluctue selon les communes) ;
    • Lous Crozes : creux ;
    • La Draye : chemin de transhumance ;
    • Mauprat : mauvais pré ;
    • Montvilla : source de Montvilla ;
    • Lou Noyer : noyer ;
    • La Plane : terrain plat, espace découvert ;
    • Lou Pontil : petit pont ;
    • Lous Pradasses : grandes pâtures ;
    • Lou Travers : terrain à forte pente ;
    • Le Village ;
    • Viviers : pièce d'eau où l'on remarque « nourrit le poisson » ou « pièce alimentée par une source » (attestée à Jacou).

    Jacou en France

    L'orientation et la localisation de Jacou par rapport à quelques grandes villes françaises sont données dans le tableau suivant (distance à vol d'oiseau)[30] :

    Distance des grandes villes françaises
    Ville Distance Orientation
    Paris 591 km (N)
    Marseille 125 km (E)
    Lyon 244 km (NE)
    Toulouse 199 km (O)
    Nice 270 km (E)
    Nantes 583 km (NO)
    Montpellier km (S)
    Strasbourg 621 km (NE)
    Bordeaux 382 km (O)
    Lille 777 km (N)
    Rennes 656 km (NO)
    Reims 623 km (N)
    Toulon 174 km (E)

    Histoire

    Blason de la commune sur la façade de l'hôtel de ville.

    Le village de Jacou reste jusqu'au XIXe siècle un petit village de moins de cent âmes. La proximité de Montpellier permet à la famille Bocaud d'édifier le château éponyme et de créer un domaine agricole.

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Résultats des élections municipales de 2020 à Jacou[31]
    Tête de liste Liste Premier tour Sièges
    Voix % CM CC
    Renaud Calvat DVG 1 769 86,16 27 1
    Patrick Brechotteau DVG 284 13,83 2 0
    Votes valides 2 053 97,16
    Votes blancs 26 1,23
    Votes nuls 34 1,61
    Total 2 113 100 29 1
    Abstention 2 610 55,26
    Inscrits / participation 4 723 44,74

    Liste des maires

    Maire en cours d'exercice
    Période Identité Étiquette Qualité
    Novembre 2011 En cours
    (au 29 mai 2020[32])
    Renaud Calvat[33] - [34] PS Conseiller départemental du canton de Montpellier - Castelnau-le-Lez

    Jumelage

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].

    En 2020, la commune comptait 6 794 habitants[Note 7], en augmentation de 3,19 % par rapport à 2014 (Hérault : +7,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    816192858890117111145
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    139132145153141134120125124
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    160164152175159179160209241
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    2232471 2591 7743 7954 7575 0444 9974 824
    2014 2019 2020 - - - - - -
    6 5846 8086 794------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Depuis 1992, Jacou dispose d’une école de commerce et management, l'Idelca Business School, fondée en 1919 au sein du groupe Pigier. L'école dispose notamment CFA.

    Associations

    Jacou compte 5 000 adhérents en moyenne pour près de 90 associations réparties sur le territoire.

    Le verger partagé

    Il a été créé dans le cadre de la mise en place à Jacou de l’agenda 21, fin 2012, lors de l’assemblée générale constitutive de l’association « Le verger du carbet » qui gère ce verger[41].

    Les grandes lignes directrices du projet sont résumées en 4 points :

    • Un verger paysagé de haute qualité environnementale ;
    • Un lieu de convivialité, de rencontre et de partage ;
    • Un outil pédagogique ;
    • Le choix de la qualité gustative des fruits et de la diversité.

    La commune met à disposition, par convention, un terrain communal de 9 000 m2. Elle a financé le défrichage de la parcelle, la passerelle d’accès sur le ruisseau de La Mayre, l’implantation d’une arrivée d’eau du Bas Rhône et les plants de la haie mellifère.

    L’association qui comporte environ 40 membres actifs finance les équipements internes d’arrosage, les fruitiers installés progressivement depuis 2013, l’eau d’arrosage et les dépenses courantes. Les travaux d’installation, de plantation, de tonte de la prairie, d’entretien du verger ainsi que les arrosages sont réalisés par les membres de l’association dans un cadre collectif.

    Le projet réalisé prévoit :

    • une haie mellifère sur toute la périphérie, bordée à l’extérieur par un sentier en herbe, en bordure des fossés qui entourent la parcelle ;
    • une allée centrale de grands fruitiers à large espacement (m) ;
    • deux petites zones d’espaliers encadrant une petite vigne ;
    • deux zones de part et d’autre de l’allée, plantées de fruitiers divers de taille moyenne ou petite (groseilliers par exemple) ;
    • une petite zone de ruches (4 à terme) gérée par un apiculteur membre des jardins familiaux de Jacou ;
    • une petite place centrale destinée aux rencontres et progressivement équipée (platelage, tables, abri de la pluie et du soleil…) ;
    • une petite pergola destinée au développement de lianes fruitières (kiwis…) ;
    • le maintien d’une prairie sous verger constituant avec la haie une parcelle bocagère favorable à la rétention d’eau dans cette zone inondable (30 cm d’eau sur toute la parcelle en 2015).

    Le choix des fruitiers privilégie la diversité des espèces et des variétés au sein de ces espèces. Les plants sont très souvent des racines nues de 2 ans, plus aptes à s’adapter au terrain et aux conditions atmosphériques difficiles (le verger a déjà connu une crue quasiment centennale en 2015 et deux sécheresses prononcées en 2016 et 2017). L’arrosage est fait par apports discontinus afin de favoriser un enracinement profond, favorable à une meilleure résistance à la sécheresse.

    La haie mellifère de périphérie privilégie aussi des espèces supportant un arrosage limité, avec l’utilisation de petits plants au démarrage. L’installation progressive de ligneux locaux apportés par les oiseaux permettra de combler naturellement les mortalités de plants inadaptés.

    L’utilisation de pesticides de synthèse est proscrite, alors que le paillage (foin de la prairie ou BRF fourni par le service des espaces verts de la commune) et l’utilisation de compost et de fumier sont privilégiés.

    La vie de l’association est encadrée par un règlement intérieur discuté dans la première année, un conseil d'administration aux pouvoirs larges secondé par des groupes de travail réunis en même temps par commodité (réunions de CA élargies de 10 à 20 personnes généralement). L’assemblée générale, réunie en décembre, a pouvoir de décision finale (approbation des textes, cotisation, grandes option, élection du CA…).

    • Terminus du tramway de Montpellier à Jacou.
      Terminus du tramway de Montpellier à Jacou.
    • Centre Å“cuménique.
      Centre œcuménique.
    • Clocher du centre oecuménique.
      Clocher du centre oecuménique.
    • Plan en coupe de l’école mixte et de la mairie datant de 1900. Actuelle mairie.
      Plan en coupe de l’école mixte et de la mairie datant de 1900. Actuelle mairie.

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 2 733 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 6 820 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 23 980 â‚¬[I 7] (20 330 â‚¬ dans le département[I 8]). 58 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 9] (45,8 % dans le département).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 9]6,5 %8,1 %8,5 %
    Département[I 10]10,1 %11,9 %12 %
    France entière[I 11]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 Ã  64 ans s'élève à 4 274 personnes, parmi lesquelles on compte 77,9 % d'actifs (69,4 % ayant un emploi et 8,5 % de chômeurs) et 22,1 % d'inactifs[Note 10] - [I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3] - [I 12]. Elle compte 1 776 emplois en 2018, contre 1 654 en 2013 et 1 457 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 2 999, soit un indicateur de concentration d'emploi de 59,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 61,5 %[I 13].

    Sur ces 2 999 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 423 travaillent dans la commune, soit 14 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 81,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 7,4 % les transports en commun, 7,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

    Secteurs d'activités

    677 établissements[Note 11] sont implantés à Jacou au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12] - [I 16].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble677100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    405,9 %(6,7 %)
    Construction8212,1 %(14,1 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    16023,6 %(28 %)
    Information et communication314,6 %(3,3 %)
    Activités financières et d'assurance243,5 %(3,2 %)
    Activités immobilières213,1 %(5,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    14721,7 %(17,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    11617,1 %(14,2 %)
    Autres activités de services568,3 %(8,1 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23,6 % du nombre total d'établissements de la commune (160 sur les 677 entreprises implantées à Jacou), contre 28 % au niveau départemental[I 17].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[42] :

    • Davic, hypermarchés (42 945 k€)
    • Quasar, commerce de détail de quincaillerie, peintures et verres en grandes surfaces (400 m² et plus) (6 867 k€)
    • Languedoc Menuiserie SAS, commerce de gros (commerce interentreprises) de bois et de matériaux de construction (4 007 k€)
    • Sport Puissance 3 Jacou - Sp3J, commerce de détail d'articles de sport en magasin spécialisé (3 922 k€)
    • Egsa BTP (Expertise Geotechnique Structu, ingénierie, études techniques (3 445 k€)

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations10741
    SAU[Note 13] (ha)2511755735

    La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[43]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la viticulture[Carte 4]. Une seule exploitation agricole ayant son siège dans la commune est recensée lors du recensement agricole de 2020[Note 15] (dix en 1988). La superficie agricole utilisée est de 35 ha[45] - [Carte 5] - [Carte 6].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Parc public de Bocaud

    Jacou. École mixte et mairie : [plan] dressé par le géomètre soussigné [signature illisible], 1900.

    La ville de Jacou dispose d'un grand parc (6 ha), le parc public de Bocaud, avec une partie boisée, des terrains de sport, une salle de spectacles « La Passerelle » (depuis 2011 ; salle de spectacles et cinéma depuis 2017), et divers locaux à l'usage des associations. Ce parc public est une partie de l'ancien parc du château et comprend deux éléments historiques : en premier lieu le « lac romantique » (serpentin, à l'anglaise) creusé sans doute dans les années 1820 par l'avant-dernier descendant des Bocaud, Thomas-Marie-Catherine de Masclary. Ce lac est figuré en 1936 dans la « carte de reconnaissance militaire du nord de Montpellier » de Jean-Marie Amelin.

    Ensemble hydraulique de la Coquille

    En second lieu, près du lac se trouve l'exceptionnel ensemble hydraulique de la Coquille, avec son nymphée et sa tour du puits à roue, sans équivalent dans les folies montpelliéraines et en Languedoc le nymphée de « la coquille » (fausse grotte ornée du XVIIe siècle au-dessus d'une source, avec sa « salle de fraîcheur »), exemplaire unique en Languedoc, classé Monument Historique. Cette source alimentait aussi un puits à roue (« pousarenque ») dans une tour d'une douzaine de mètres de haut élevant l'eau dans une canalette et des « bourneaux » (tuyaux en terre cuite) vers le miroir d'eau, les buffets d'eau et bassins du jardin XVIIIe siècle (voir ci-dessous).

    Le Château de Bocaud

    Dans la partie du Parc de Bocaud accessible par la place Frédéric Mistral, se trouve le Château de Bocaud, « folie montpelliéraine » inscrit sur la liste des Monuments Historiques (voir des éléments de sa description dans le paragraphe Historique).

    Les jardins du château, datant des XVIIIe et XIXe siècles, sont classés Monuments Historiques pour la qualité de leur statuaire et de leur architectonique (voir l'article Histoire, section Temps modernes). Les jardins de type XIXe siècle sont en cours de restauration, mais sont ouverts au public pendant l'hiver, tous les mercredis. Des visites de groupes sont organisées par la Mairie et l'association « Jacou, Histoire et patrimoine », lors du « Temps des Jardins » (début juin) et des « Journées Européennes du Patrimoine » (fin septembre). D'autres visites de groupe peuvent être organisées, à la demande, auprès de la mairie ou de l'association.

    Du fait de la faible fréquentation de ces jardins, un intéressant patrimoine végétal y a trouvé refuge, avec plusieurs espèces protégées. On y trouve, entre autres, la rare et belle « tulipe de l'Écluse », aux pétales pointus (avant la mode des pétales arrondis), la tulipe méridionale jaune des garrigues, la tulipe rouge des champs, l'anémone des prairies, et quantité d'espèces « sauvages »[46]. Des visites de groupe sont organisées en avril, au moment de la floraison.

    Notre-Dame du Bon Secours

    La statue de « Notre-Dame du Bon Secours », dite la viergetta (petite vierge), est érigée en 1899. Elle se situe derrière le centre œcuménique, au sommet du versant dominant le village[47]. À l'origine, cette statue se trouvait plus à l'Ouest et dominait le cimetière. Elle a été déplacée lors des constructions contemporaines. Elle est offerte à la commune par la famille de Solanet, propriétaire du château et du domaine de Jacou (1888-1917). Elle est réalisée par la très célèbre fonderie d'art de l'époque d'Antoine Durenne à Sommevoyre en Haute-Marne[48] sur un modèle du sculpteur Thénon-Mortier, et a fait l'objet de processions pendant de nombreuses années.

    Notre-Dame des Victoires
    Statue de Notre-Dame des Victoires au monument aux morts
    Statue de Notre-Dame des Victoires à l'ancien emplacement du monument aux morts (avant 2019).

    La statue de Notre-Dame des Victoires au monument aux morts (face à l'hôtel de ville jusqu'en 2019) est une exception et une énigme. Une exception car il n'existe, dans le département de l'Hérault, que deux cas de monuments aux morts, à la suite de la guerre de 1914-1918, dont l'élément principal est une statue de la vierge : Saint-André-de-Buèges et Jacou. Dans ces deux villages, la laïcité républicaine et la religion devaient faire bon ménage, à moins que la statue, par souci d'économie dans ce petit village (160 habitants à l'époque) aux faibles ressources, ne soit une récupération. On ne possède pas pour l'instant de document sur son origine. De même, la statue n'est pas signée, et ne comporte aucune indication sur le sculpteur, ni sur la fonderie, ni sur sa date. Le thème des victoires pose aussi question, puisque l'origine de ce thème se rapporte au siège victorieux de La Rochelle protestante par Richelieu, et l'érection subséquente de l'église Notre-Dame des Victoires par Louis XIII à Paris. Le lien avec la victoire de 1918 n'est donc pas évident.

    En , cette statue est déplacée sur la place Frédéric Mistral, derrière le château de Bocaud où siège désormais la mairie.

    La « Fabrique » et le passé industriel de Jacou

    MJC et salle La Fabrique.

    Il s'agit d'anciens bâtiments industriels, qui avaient été construits de 1945 à 1947 par des prisonniers allemands et italiens ainsi que des travailleurs indochinois[49] et qui, pour la plus grande partie, ont été détruits dans les années 1990. Trois bâtiments subsistent, dont une maison d'habitation, ainsi que le siège de la Maison des Jeunes et de la Culture (MJC) Boby Lapointe, avec sa salle de « la Fabrique » (ancienne écurie).

    Cette usine a d'abord abrité les activités de la « Concentration Industrielle de Jacou » (C. I.J.), précédemment localisées, pendant la Seconde Guerre mondiale (1939-1940), dans le chais du château. Les raisins étaient concentrés pour produire du sucre et des moûts. Un apéritif a eu une brève existence, le « Jackina » (« Jac » pour Jacou ; « kina » pour quinquina). Plus tard, cette usine a reçu des Matériels et Produits américains (M.P.A., « stocks américains »), ainsi qu'une activité de production de peinture (la « peinture Annie »).

    Autres monuments

    La ville possède également une fontaine offerte par la commune jumelée de Sernancelhe au Portugal.

    Héraldique

    Les armes peuvent se blasonner ainsi :

    D'azur à trois glands renversés d'or surmontés d'une étoile du même[50].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    9. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    13. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[44].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
    2. « Unité urbaine 2020 de Montpellier » (consulté le ).
    3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Jacou » (consulté le ).
    8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Jacou » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Jacou » (consulté le ).
    14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Jacou » (consulté le ).
    17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Prades Le Lez - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Jacou et Prades-le-Lez », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    9. « Orthodromie entre Jacou et Mauguio », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    19. « Les risques près de chez moi - commune de Jacou », sur Géorisques (consulté le )
    20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
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    48. « Art et Industrie à Sommevoire, XIXe-XXe siècles » (consulté le ).
    49. archives de la mairie et de Jacou, exposition et brochure de l'association "Jacou, Histoire et Patrimoine" prévues pour février 2018
    50. (Didier Catarina, Jean-Paul Fernon, & Jacky David, in Armorial des communes de l'Hérault, 2004), (ISSN 1264-5354)

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Louise Guiraud, « La reconstruction des églises du diocèse de Montpellier, après les guerres de religion : Fabrègues. Église paroissiale Saint-Jacques. Jacou. Église paroissiale Saint-Pierre : documents inédits », Revue historique du diocèse de Montpellier, t. I,‎ 1909-1910, p. 229-234
    • Dominique Larpin, Jacou, parc et grotte : étude préalable à la restauration, Direction régionale des Monuments Historiques, Conservation régionale des monuments historiques de l'Hérault, , 28 p.
    • Antoine Blanchemain, Jacou : petit village et grands seigneurs, Montpellier, Presses du Languedoc, , 191 p. (ISBN 2-85998-304-X)
    • Antoine Blanchemain et Olivier de Labrusse, Histoire de Jacou : du château et de ses jardins, Jacou, Mairie de Jacou et association Jacou, histoire et patrimoine, , 27 p. (lire en ligne)
    • Olivier de Labrusse et René Lopez, Jacou au 19e siècle : d'après les dessins d'Amelin et autres documents, Jacou, Association Jacou, histoire et patrimoine, , 17 p. (lire en ligne)
    • Olivier de Labrusse et René Lopez, Les fleurs aux jardins de Bocaud à Jacou, Association Jacou, histoire et patrimoine, , 25 p.
    • Olivier de Labrusse, « Le passage des troupes allemandes à Jacou, 24 et 25 août 1944 », Études héraultaises, Montpellier, Association Études sur l'Hérault, no 48,‎ (résumé)
    • Olivier de Labrusse et Jean Vaché, Jacob Barosin assigné à résidence à Lunel 1941-1942 et Miron Zlatin à Jacou, 1940-1941. Deux destins parallèles : être juif pendant la guerre dans des villages héraultais, Association Jacou, histoire et patrimoine et association des Amis du fonds Médard-Lunel, , 38 p.
    • Anne Castillo et Olivier de Labrusse, Miron Zlatin à Jacou, 1940-1941 : un destin juif de 1904 à 1944, de la Russie à la France puis l'Estonie, Association Jacou, histoire et patrimoine, , 60 p.

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    Articles connexes

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