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Teyran

Teyran [tej.ʁɑ̃] (en occitan Teiran [tej.'ran]) est une commune française situĂ©e dans le nord-est du dĂ©partement de l'HĂ©rault, en rĂ©gion Occitanie.

Teyran
Teyran
Vue sur la colline de Teyran.
Blason de Teyran
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement HĂ©rault
Arrondissement LodĂšve
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Pic Saint-Loup
Maire
Mandat
Éric Bascou
2020-2026
Code postal 34820
Code commune 34309
DĂ©mographie
Gentilé Teyrannais
Population
municipale
4 640 hab. (2020 en augmentation de 0,74 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 462 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 41â€Č 07″ nord, 3° 55â€Č 44″ est
Altitude Min. 45 m
Max. 122 m
Superficie 10,04 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Montpellier
(banlieue)
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-GĂ©ly-du-Fesc
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Teyran
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Teyran
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Teyran
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Teyran

    ExposĂ©e Ă  un climat mĂ©diterranĂ©en, elle est drainĂ©e par le Salaison, la Cadoule, le ruisseau de Cassagnoles et par un autre cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « hautes garrigues du MontpelliĂ©rais ») et une zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Teyran est une commune urbaine qui compte 4 640 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans la communautĂ© de commune du grand pic saint loup et fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelĂ©s les Teyrannais ou Teyrannaises.

    GĂ©ographie

    Carte.

    Situation

    La ville de Teyran se situe Ă  10 km au nord-est de Montpellier, sur la route dĂ©partementale 21 reliant le littoral Ă  Carnas dans le Gard.

    Elle se trouve à mi-chemin entre la mer Méditerranée et les premiers contreforts des Cévennes. Entourée de garrigue, elle présente une vue sur le Pic Saint-Loup.

    Communes limitrophes

    Relief et géologie

    Le territoire communal présente une pente générale descendant vers le sud jusqu'à la vallée du Salaison et de ses ruisseaux affluents.

    Hydrographie

    La riviĂšre du Salaison et la riviĂšre la Cadoule sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[1].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 14,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 15,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 755 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 5,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 2,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[4] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[5] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Prades Le Lez », sur la commune de Prades-le-Lez, mise en service en 1980[6] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[7] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 852,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[8]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Montpellier-AĂ©roport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et Ă  10 km[9], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[10], Ă  15,1 °C pour 1981-2010[11], puis Ă  15,5 °C pour 1991-2020[12].

    Description générale

    Le climat de Teyran est un climat méditerranéen aux étés chauds humides.

    Données

    Ville Ensoleillement
    (h/an)
    Pluie
    (mm/an)
    Neige
    (j/an)
    Orage
    (j/an)
    Brouillard
    (j/an)
    MĂ©diane nationale 1 852835162550
    Teyran 2687699,12,523,318,8
    Paris 1 66263712178
    Nice 2 7247331271
    Strasbourg 1 693665262851
    Brest 1 5301 21071276
    Bordeaux 2 03594433169
    Données climatiques à Teyran
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2,2 3,3 4,9 7,8 11,2 14,6 17,1 16,7 14,2 10,6 5,9 2,8 9,3
    Température moyenne (°C) 6,6 7,8 9,8 12,6 16,1 19,9 22,8 22,2 19,4 15,4 10,3 7,2 14,2
    Température maximale moyenne (°C) 11,1 12,4 14,7 17,5 21,1 25,3 28,4 27,7 24,7 20,2 14,7 11,7 19,1
    Ensoleillement (h) 147 153 208 230 271 310 350 310 237 187 146 137 2 687
    Précipitations (mm) 72,3 72,3 55 54,9 52,1 33 20 41,7 62,3 109,5 62,8 63,3 699,1
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Montpellier de 1961 à 1990[13].

    RĂ©seau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « hautes garrigues du MontpelliĂ©rais »[15], d'une superficie de 45 444 ha, abritant trois couples d'Aigles de Bonelli, soit 30 % des effectifs rĂ©gionaux[16].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensĂ©e sur la commune[17] : les « plaines et garrigues du Nord MontpelliĂ©rais » (13 097 ha), couvrant 25 communes dont six dans le Gard et 19 dans l'HĂ©rault[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Teyran est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [19] - [I 1] - [20]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Montpellier, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 22 communes[I 2] et 440 997 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3] - [I 4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 5] - [I 6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (48,4 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (49,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (45 %), zones urbanisĂ©es (23,1 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (14,2 %), forĂȘts (12,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (3,4 %), mines, dĂ©charges et chantiers (1,8 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Teyran est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) de Montpellier-Lunel-Maugio-Palavas, regroupant 49 communes du bassin de vie de Montpellier et s'Ă©tendant sur les dĂ©partements de l'HĂ©rault et du Gard, un des 31 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s fin 2012 sur le bassin RhĂŽne-MĂ©diterranĂ©e[24], retenu au regard des risques de submersions marines et de dĂ©bordements du Vistre, du Vidourle, du Lez et de la Mosson. Parmi les Ă©vĂ©nements significatifs antĂ©rieurs Ă  2019 qui ont touchĂ© le territoire, peuvent ĂȘtre citĂ©es les crues de septembre 2002 et de septembre 2003 (Vidourle) et les tempĂȘtes de novembre 1982 et dĂ©cembre 1997 qui ont touchĂ© le littoral. Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă  30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă  300 ans) et extrĂȘme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout systĂšme de protection)[25]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1994, 2001, 2003 et 2014[26] - [22].

    Teyran est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en juin 2013 et court jusqu'en 2022, oĂč il doit ĂȘtre renouvelĂ©. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par deux arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et s’appliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă  moins de 200 mĂštres de celles-ci. L’arrĂȘtĂ© du rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 8] - [27].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Teyran.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 93,6 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59,3 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 739 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1 685 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 97 %, Ă  comparer aux 85 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[29].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[30].

    Toponymie

    La commune a été connue sous les variantes : ecclesia de Terano (XIIe siÚcle), montem de Teyrano (1200), castrum de Tayrano (1202), villa et forcia de Teirano (1228), de Teyrano (1321), prior de Tayrano alias de Albaterra (1391), Teyran (1626).

    Le nom de Teyran vient d'un domaine gallo-romain : gentilice latin Terius + suffixe -anum[31].

    Histoire

    HĂ©raldique

    Teyran D'azur au sautoir d'or chargé d'un croissant de gueules[32]

    Le village initial : Saint André d'Aubeterre

    Le cartulaire de Maguelone cite plusieurs fois Teyran : de Albaterra, id est de Tairano[33] ; de Teyrano[34]; ecclesia de Terano[35].

    La colline de Teyran.

    Le Mont de Teyran en 1200

    Au XIIIe siĂšcle, on trouve toujours dans le cartulaire de Maguelone : montem de Teyrano, 1200[36] ; castrum de Tayrano, 1202[37] ; villa et forcia de Teirano, 1228[38].

    Révolution française

    Lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire en floréal an II[39].

    De la RĂ©volution Ă  nos jours

    De 1793 (120 habitants) à 1900 (450 habitants), le chiffre de la population va suivre une progression constante pour connaßtre au début du XXe siÚcle une période stationnaire.

    Les principales activitĂ©s sont liĂ©es Ă  l’agriculture avec des cultures de cĂ©rĂ©ales en abondance, de vignes mais aussi d’oliviers. L’élevage des moutons est important avec 2035 bĂȘtes Ă  laine recensĂ©es en 1836. On assiste Ă  plusieurs tentatives d’industries liĂ©es essentiellement Ă  l’extraction miniĂšre (houille, manganĂšse, sable) Ă  partir de la deuxiĂšme moitiĂ© du XIXe siĂšcle.

    Le chĂąteau de Teyran voit son prestige s’attĂ©nuer en raison de l’agrandissement de la chapelle en Ă©glise en 1817 et de la fondation du presbytĂšre en 1846.

    Le , le Marquis Thomas de Masclavy dĂ©cĂšde, obligeant, quelques annĂ©es aprĂšs, ses hĂ©ritiers Ă  mettre le chĂąteau en vente. La municipalitĂ© voit lĂ  l’occasion propice de procurer aux Teyrannais, par l’achat de cet immeuble, un presbytĂšre, des maisons d’école et une salle de mairie. L’acquisition se fera le .

    En 1866, une nouvelle Ă©glise sera construite sur une partie du chĂąteau.

    Plan d'un projet d'adduction d'eau (1888)

    L’accroissement de la population et l’augmentation de la production agricole vont rendre nĂ©cessaire la crĂ©ation de nouvelles routes et l’amĂ©lioration des anciennes. Ainsi, le , le conseil va demander au prĂ©fet d’établir sur le chemin de grande communication n021, partant de St-Mathieu-de-TrĂ©viers et allant jusqu’à SommiĂšres et Lunel, un embranchement entre Montaud et St-DrĂ©zĂ©ry, passant Ă  Teyran, Jacou, Castelnau et Montpellier. Les travaux dĂ©butĂšrent en 1856 pour s’achever en 1868. En 1887, la dĂ©cision est prise d’amener l’eau par un systĂšme de canalisations dans toutes les parties du village, mais n’aboutit pas. Le tĂ©lĂ©graphe est installĂ© en 1902 et l’éclairage Ă©lectrique en 1909.

    Politique et administration

    La mairie de Teyran.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 1959 1965 FĂ©lix Montel SE Vigneron (1932-2021)
    1965 mars 2001 Marcel Gibily UDF-PR Conseiller général du canton de Castries (1985-1998)
    mars 2001 2014 Jean-Pierre Mollet UMP
    mars 2014 En cours Eric Bascou SE Cadre dans le secteur médical

    Intercommunalité

    Cette commune a appartenu à la communauté d'agglomération de Montpellier du au .

    Cette sortie correspondait au souhait du conseil municipal qui n'avait pas accepté l'intégration initiale. Elle a alors intégré la communauté de communes du Grand Pic Saint Loup.

    Jumelages

    Teyran est jumelée avec la ville italienne de Montelibretti.

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 1 863 mĂ©nages fiscaux[Note 9], regroupant 4 746 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 27 990 â‚Ź[I 7] (20 330 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 8]). 68 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 10] (45,8 % dans le dĂ©partement).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 9]5,5 %5,5 %7,2 %
    DĂ©partement[I 10]10,1 %11,9 %12 %
    France entiĂšre[I 11]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  2 749 personnes, parmi lesquelles on compte 74,5 % d'actifs (67,3 % ayant un emploi et 7,2 % de chĂŽmeurs) et 25,5 % d'inactifs[Note 11] - [I 9]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 3] - [I 12]. Elle compte 867 emplois en 2018, contre 753 en 2013 et 655 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 1 867, soit un indicateur de concentration d'emploi de 46,4 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 53,2 %[I 13].

    Sur ces 1 867 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 387 travaillent dans la commune, soit 21 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 87,8 % des habitants utilisent un vĂ©hicule personnel ou de fonction Ă  quatre roues, 2,7 % les transports en commun, 5,4 % s'y rendent en deux-roues, Ă  vĂ©lo ou Ă  pied et 4,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

    Secteurs d'activités

    501 établissements[Note 12] sont implantés à Teyran au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13] - [I 16].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble501100 %(100 %)
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    265,2 %(6,7 %)
    Construction5711,4 %(14,1 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    11723,4 %(28 %)
    Information et communication265,2 %(3,3 %)
    Activités financiÚres et d'assurance204 %(3,2 %)
    Activités immobiliÚres285,6 %(5,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    10320,6 %(17,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    7715,4 %(14,2 %)
    Autres activités de services479,4 %(8,1 %)

    Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 23,4 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (117 sur les 501 entreprises implantĂ©es Ă  Teyran), contre 28 % au niveau dĂ©partemental[I 17].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[40] :

    • Entreprise Travesset, construction de rĂ©seaux Ă©lectriques et de tĂ©lĂ©communications (11 120 k€)
    • Teyran Agri-Services SARL - Tas, commerce de gros (commerce interentreprises) de boissons (10 349 k€)
    • Prodi, autres travaux d'installation n.c.a. (1 028 k€)
    • Societe Teyranaise D'amenagements Generaux - Stag, travaux de terrassement courants et travaux prĂ©paratoires (824 k€)
    • Arthur Delmas - Croquez Du Frais, commerce de dĂ©tail de fruits et lĂ©gumes en magasin spĂ©cialisĂ© (588 k€)

    En 2013, le groupe Ultimate Energy a subventionnĂ© l’équipement de certaines habitations de panneaux photovoltaĂŻques sans aucun investissement de la part de leurs propriĂ©taires, ces maisons seront alors des maisons tĂ©moins dans un but publicitaire.

    Agriculture

    La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[41]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations44282018
    SAU[Note 15] (ha)3394646051 252

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 44 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] Ă  28 en 2000 puis Ă  20 en 2010[43] et enfin Ă  18 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 59 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 67 % de ses exploitations[44] - [Carte 6]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune est restĂ©e relativement stable, passant de 339 ha en 1988 Ă  1252 ha en 2020[Carte 7]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 8 Ă  70 ha[43].

    Population et société

    Évolution de la population

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[46].

    En 2020, la commune comptait 4 640 habitants[Note 17], en augmentation de 0,74 % par rapport Ă  2014 (HĂ©rault : +7,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    190125216233237240256279330
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    355382419428344292403406408
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    422447434428436465425393431
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    4775559182 0163 4694 2394 2904 4964 607
    2020 - - - - - - - -
    4 640--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee Ă  partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement ĂągĂ©e. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  28,5 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (35,4 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 33,1 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 27,5 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 2 197 hommes pour 2 388 femmes, soit un taux de 52,08 % de femmes, lĂ©gĂšrement infĂ©rieur au taux dĂ©partemental (52,24 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[I 18]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,4
    90 ou +
    1,9
    8,0
    75-89 ans
    9,4
    23,9
    60-74 ans
    22,5
    22,7
    45-59 ans
    23,0
    15,6
    30-44 ans
    15,5
    14,0
    15-29 ans
    12,6
    15,4
    0-14 ans
    15,1
    Pyramide des ùges du département de l'Hérault en 2018 en pourcentage[49]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    1,8
    7,5
    75-89 ans
    9,6
    17
    60-74 ans
    18,1
    19,1
    45-59 ans
    19
    18,3
    30-44 ans
    17,8
    19,5
    15-29 ans
    18,1
    17,9
    0-14 ans
    15,6

    Enseignement

    La commune dispose d'une crÚche - halte garderie ainsi que d'une école dénommée groupe Jules-Ferry comprenant 5 classes de maternelle et 10 classes de primaire.

    Les enfants allant au collĂšge sont accueillis Ă  Jacou.

    Santé

    On trouve des professionnels de la santé sur la commune : médecins généralistes, dentistes, infirmiers, kinésithérapeutes, un neurologue, un nutritionniste, un orthophoniste, un ostéopathe et un psychothérapeute[50]. Deux pharmacies sont également présentes. La commune dispose par ailleurs d'une maison de retraite.

    Équipements sportifs

    Tennis

    Associations

    Associations culturelles, de loisirs ou sportives[51].

    Lieux et monuments

    En 1786, le pont vieux, qui Ă©tait seul, s'appelait : «le pont de Teyran, Ă  l'approche dudit lieu sur le chemin de Montpellier», et le commentaire du contrĂŽle dudit pont est ainsi rĂ©digĂ© «les fondations de ce pont sont sur le rocher apparent, ce qui fait que, quoique d'une construction Ă  ne pas imiter  .

    Patrimoine culturel

    La médiathÚque

    Une médiathÚque municipale : ouverte en 1994, la médiathÚque municipale de Teyran propose des collections multisupports (livres, périodiques, cédéroms, CD audio, DVD) sur deux niveaux. Service de proximité pour les Teyrannais, la médiathÚque accueille également les publics provenant des communes alentour. Outre ses collections, elle propose un espace multimédia et des animations tout au long de l'année (exemple : forums sur les gratuiciels).

    Manifestations culturelles et festivités

    • FĂȘte votive le dernier week-end du mois d'aoĂ»t
    • Semi-marathon des vendanges au mois de septembre
    • Teyrannaise des arts au mois de novembre

    Galerie

    • L'Ă©glise de Teyran.
      L'Ă©glise de Teyran.
    • Croix Ă  Teyran
      Croix Ă  Teyran
    • clocher de l'Ă©glise de Teyran
      clocher de l'Ă©glise de Teyran
    • monument aux morts
      monument aux morts
    • vieux pont de Teyran
      vieux pont de Teyran
    • Clair de lune Ă  Teyran.
      Clair de lune Ă  Teyran.
    • Teyran, vue de la colline et l'Ă©glise
      Teyran, vue de la colline et l'Ă©glise
    • la colline et l'Ă©glise
      la colline et l'Ă©glise

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[14].
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mĂštres de part et d’autre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
    9. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    10. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impÎt à acquitter au titre de l'impÎt sur le revenu des personnes physiques. L'impÎt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impÎts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    12. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    15. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[42].
    17. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
    2. « Unité urbaine 2020 de Montpellier » (consulté le ).
    3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », (consultĂ© le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Teyran » (consulté le ).
    8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Teyran » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Teyran » (consulté le ).
    14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Teyran » (consulté le ).
    17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).
    18. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Teyran (34309) », (consultĂ© le ).

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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    7. « Orthodromie entre Teyran et Prades-le-Lez », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Prades Le Lez - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Teyran et Mauguio », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Climatologie mensuelle à Montpellier Fréjorgues », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    14. Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
    15. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Teyran », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « site Natura 2000 FR9112004 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Teyran », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    22. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Teyran », sur Géorisques (consulté le )
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    24. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 », sur https://www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr (consulté le )
    25. « cartographie des risques d'inondations du TRI de Montpellier-Lunel-Maugio-Palavas », sur https://www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr/ (consulté le )
    26. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur www.herault.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    27. « Les risques majeurs dans l'HĂ©rault », sur www.herault.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    29. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Teyran », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    30. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur www.herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
    31. Frank R. Hamlin et abbĂ© AndrĂ© Cabrol, Les noms de lieux du dĂ©partement de l'HĂ©rault : Dictionnaire Topographique et Étymologique, , 415 p. (ISBN 2-904624-00-7, lire en ligne), p. 395
    32. Banque du Blason
    33. Cartulaire de Maguelone tome I p. 54.
    34. Cartulaire de Maguelone tome I p. 59.
    35. Cartulaire de Maguelone tome I p. 63.
    36. Cartulaire de Maguelone tome I p. 449.
    37. Cartulaire de Maguelone tome I p. 485.
    38. Cartulaire de Maguelone tome II p. 311.
    39. Jean-François Dubost, « Le réseau des Sociétés Politiques dans le département de l'Hérault pendant la Révolution Française (1789-1795) », Annales historiques de la Révolution française, no 278, 1989. p. 413.
    40. « Entreprises à Teyran », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    41. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    42. PrĂ©sentation des premiers rĂ©sultats du recensement agricole 2020, MinistĂšre de l’agriculture et de l’alimentation, 10 dĂ©cembre 2021
    43. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Teyran - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    44. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans le département de l'Hérault » (consulté le ).
    45. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    46. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    47. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    48. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    49. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de l'HĂ©rault (34) », (consultĂ© le ).
    50. les professionnels de santé sur le site de la commune
    51. les associations sur le site de la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Gaston-Bernard Arnal et Michel Sahuc, « L'agglomĂ©ration de Montbeyre-La-Cadoule (Teyran, HĂ©rault) : le secteur de "l'Harmassou", contexte gĂ©nĂ©ral et bilan de la fouille 1990-1991 », ArchĂ©ologie en Languedoc, no 17,‎ , p. 23-31
    • Gaston-Bernard Arnal et Jean Clopes, « Apport gĂ©nĂ©ral des recherches sur les sites prĂ©historiques de la source de la Cadoule Ă  Teyran (HĂ©rault) », ArchĂ©ologie en Languedoc, no 18,‎ , p. 31-48
    • Gaston-Bernard Arnal et Jean Clopes, Teyran (HĂ©rault), premiĂšre agglomĂ©ration prĂ©historique Ă  structures en pierres sĂšches : approche chronologique du ChassĂ©en mĂ©ridional, LodĂšve, Centre de recherche archĂ©ologique du Haut-Languedoc, coll. « MĂ©moire du Centre de recherche archĂ©ologique du Haut-Languedoc » (no 6), , 94 p.
    • Claude Bracq, Teyran, une page d'histoire : 1664-1809, Castries, Les Éditions du Mistral, coll. « Terres du Sud », , 71 p.
    • Louis-Henri Escuret, PrĂ©histoire Ă  Teyran-Montbeyre (HĂ©rault) : Ă©tude d'un village du nĂ©olithique moyen, LodĂšve, Ă©d. Impr. des beaux-Arts, , 120 p.
    • Augustin Villemagne, Histoire de Teyran, HĂ©rault, Montpellier, L. Valat, , 312 p. (lire en ligne)
    • Augustin Villemagne, Paroisse de Teyran, inventaire de l'Ă©glise, Teyran, s.n., , 31 p.
    • Augustin Villemagne, « Teyran (982-1905), livre second : du protestantisme Ă  la RĂ©volution », Revue historique du diocĂšse de Montpellier,‎ 1911-1912
    • Augustin Villemagne, « Teyran (982-1905), livre premier : de l'origine au protestantisme », Revue historique du diocĂšse de Montpellier,‎ 1910-1911

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

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