Tramway de Montpellier
Le tramway de Montpellier est un réseau de tramway desservant la ville de Montpellier et sa métropole. Il succède à l'ancien réseau fermé en 1949, il est sous l'autorité de Montpellier Méditerranée Métropole et géré par les Transports de l'agglomération de Montpellier.
Tramway de Montpellier | ||
Logotype du tramway de Montpellier. | ||
Rame Alstom Citadis 401 de la ligne 1 entrant dans le tunnel de l'Allée de la Citadelle entre les stations Comédie et Corum. | ||
Situation | Montpellier (HĂ©rault) | |
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Type | Tramway | |
Entrée en service | ||
Longueur du réseau | 60,5 km | |
Longueur additionnée des lignes | 65,4 km | |
Lignes | 4 | |
Stations | 84 | |
Gares | 0 | |
Rames | 86 rames : 29 Citadis 401 30 Citadis 402 27 Citadis 302 | |
Fréquentation | 66 300 000 passagers par an[1] dont :
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Écartement des rails | 1 435 mm | |
Propriétaire | Montpellier Méditerranée Métropole | |
Exploitant | Transports de l'agglomération de Montpellier | |
Vitesse moyenne | 20 km/h | |
Vitesse maximale | 70 km/h | |
Lignes du réseau |   1   2   3   4  En construction :  5  |
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RĂ©seaux connexes | TC Ă Montpellier : Tramway |
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Plan simplifié du réseau | ||
Le réseau est planifié et mis en service par étapes à partir des années 1990. La première ligne ouvre durant l'été 2000. Elle est ensuite complétée par la ligne 2 ouverte en , puis simultanément par les lignes 3 et 4 mises en service en . En 2017, le réseau comporte quatre lignes, pour une longueur de 60,5 km.
Le développement du réseau se poursuit : le prolongement de la ligne 1 vers la nouvelle gare TGV de Montpellier, des prolongements de la ligne 3 vers l'aéroport et la mer sont à l'étude. Enfin, la construction d'une cinquième ligne de tramway reliant le nord-ouest au sud-ouest de la métropole est en cours depuis 2019, pour une inauguration prévue en 2025[2].
Historique
Les deux premiers réseaux
Du à 1883, un réseau hippomobile est créé par la Compagnie Générale des Omnibus de Marseille à Montpellier. La ville compte alors environ 55 000 habitants. Les trente-neuf chevaux et la vingtaine de voitures parcourent six lignes desservant l'Écusson et ses abords, ainsi que Castelnau-le-Lez. Les fréquences de passage sont de trente minutes ou d'une heure selon les lignes. Ce réseau disparaît en raison d'une mauvaise gestion des rails et des chevaux[3].
Par la suite, un réseau de tramways électriques est mis en place : les deux premières lignes ouvrent le et d'autres suivent dès janvier 1898[4]. Elles desservent le territoire de Montpellier et de la commune voisine de Castelnau-le-Lez, avec des cadences de 7 à 15 minutes.
Les principaux points de correspondance du réseau sont tout d'abord la place de la Comédie, mais également la gare de Montpellier Saint-Roch et la place devant l'église Saint-Denis.
Le cahier des charges annexé au décret du déclarant d'utilité publique l'établissement d'un réseau de tramways électriques sur les communes de Montpellier et de Castelnau-du-Lez[5], définit ainsi le tracé des lignes :
- Ligne A. — De la gare Paris-Lyon-Méditerranée au rond-point de l’École normale, en passant par la rue de la République, les boulevards de l’Observatoire, Jeu-de-Paume, Ledru-Rollin et du Peyrou, la rue du Faubourg-Saint-Jaume et l’avenue Chancel.
- Ligne B. — De l’octroi du chemin de Palavas au rond-point de l’École normale, en passant par la route de Palavas, les rues du Pont-de-Lattes et Édouard-Adam, la place de l’Embarcadère P.-L.-M., la rue Maguelone, la place de la Comédie, les boulevards de l’Esplanade, Bonne-Nouvelle, Louis-Blanc et de l’Hôpital-Général, la place de l’Hôpital-Général, la rue du Faubourg-Boutonnet et l’avenue Buisson-Bertrand.
- Ligne C. — De la place de la Comédie à Castelnau, en passant par les boulevards de l’Esplanade et Bonne-Nouvelle, les rues des Glacières et des Patriotes, le chemin vicinal ordinaire no 33 de Boutonnet à Castelnau, le chemin de Sauret et la route nationale no 87.
- Ligne D. — De l’octroi de l’avenue de Lodève à la gare de Palavas, en passant par l’avenue de Lodève, le cours Gambetta, la place Saint-Denis, la rue du Faubourg-de-la-Saunerie, le boulevard de l’Observatoire, la rue de la République, la place de l’Embarcadère P.-L.-M., la rue Maguelone, la place de la Comédie et l’avenue du Stand.
- Ligne E. — De l’octroi de l’avenue de Toulouse au Peyrou, en passant par l’avenue de Toulouse, la place Saint-Denis, les rues du Grand-Saint-Jean et du Grand-Galion, le boulevard Victor-Hugo, la place de la Comédie, les rues de la Loge et Barralerie et la rue Nationale.
- Ligne F. — De la place de l’Hôpital-Général à l’Hôpital-Suburbain, en passant par la rue du Faubourg-Boutonnet, l’avenue Buisson-Bertrand et l’avenue de l’Hôpital-Suburbain.
Le réseau mesure 12 km. Voici les parcours[6] :
Numéro | Parcours |
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Ligne 1 | Tour de l'Écusson Église Saint-Denis |
Ligne 2 | Octroi de Palavas Gare ferroviaire Église Saint-Denis Place de la Comédie Rue de la Loge Rue Foch Peyrou Faubourg Saint-Jaumes |
Ligne 3 | Place de la Comédie Esplanade Abattoirs Cimetière Saint-Lazare Mairie de Castelnau-le-Lez |
Ligne 4 | Gare de Palavas Place de la Comédie Église Saint-Denis Cours Gambetta Octroi de Lodève Celleneuve |
Ligne 5 | Champ de manœuvre Avenue de Toulouse Gare Chaptal Place de la Comédie Rue de la Loge Rue Foch Peyrou Boulevard Henri IV Avenue du Professeur Grasset Hôpital suburbain |
Le plus grave accident connu sur le réseau a lieu le , alors que Montpellier est occupée par l'armée allemande. Une rame de la ligne 5 ne parvient pas à ralentir dans la descente du boulevard Henri IV. Elle quitte les rails et se fracasse place Albert Ier. Le bilan est de sept morts et vingt blessés [7]. Une vive polémique éclate alors dans la ville où la population utilise massivement les tramways électriques. Les résultats de l'enquête pointeront le mauvais entretien des rails, de la rame et de ses sablières automatiques[8].
Vieillissant, concurrencé par le développement de l'automobile et notamment de la mise en place d'un réseau de lignes de bus, ce service de tramway est fermé le [6] - [9].
Le renouveau
Après avoir exprimé son intérêt pour le projet expérimental ARAMIS (qui contribua plus tard au développement des projets Meteor et VAL) pendant les années 1980[10], la municipalité de Georges Frêche propose la recréation d'un réseau de trois lignes de tramway par le district de Montpellier et la Société montpelliéraine des transports urbains.
Les débats d'alors se portent sur le choix du matériel roulant et sur le parcours de la première ligne. Un des principaux membres de l'opposition de droite au conseil municipal de Montpellier, Bruno Barthez, milite en faveur du tramway sur pneus suivant l'exemple du projet de transport léger guidé de Caen. Un des arguments est le coût de construction plus bas de la ligne face au tramway sur rails[11].
La première ligne doit relier La Paillade à l'ouest au nouveau quartier d'activités Odysseum à l'est, en desservant des quartiers importants de la ville : Euromédecine, Hôpitaux-Facultés, l'Écusson, la gare SNCF et la gare routière, et Antigone où sont construits la piscine olympique d'Antigone et la médiathèque centrale Émile-Zola. Les désaccords vont porter sur la traversée de l'Écusson : les commerçants s'opposent au passage sur le boulevard du Jeu-de-Paume, une des principales artères automobiles, et les rues Foch et de la Loge dans la vieille ville sont piétonnières. Finalement, c'est un passage sous l'allée de la Citadelle puis sur la place de la Comédie qui est proposé et adopté, malgré les réticences des cafetiers dont les terrasses vont être coupées en deux par les rames.
Mise en service le , la Ligne 1 connaît un succès commercial réel en nombre de passagers (jusqu'à 131 655 validations de titres de transport le vendredi )[12]. Les décorations caractéristiques des hirondelles sur fond bleu et intérieures sont réalisées par Élisabeth Garouste et Mattia Bonetti[13].
Cependant, cette ligne, ainsi que la seconde inaugurée le , connaissent des critiques émises par les riverains et plusieurs associations montpelliéraines. Pour les riverains, une des causes est le bruit causé par le passage des rames jusque tard la nuit dans des quartiers vidés de leur circulation automobile (dans le Faubourg Boutonnet par exemple). Les associations de commerçants se plaignent des pertes causées pendant le temps des travaux, surtout lorsque le tramway bouleverse l'accès automobile à une zone commerciale dans le cas de la transformation de la route nationale 113 en boulevard urbain à Castelnau-le-Lez alors qu'elle était un axe majeur d'accès à Montpellier depuis l'est.
Des associations de citoyens critiquent les tracés choisis, notamment les courbes de faible rayon qui ralentissent les rames ou les détours à travers des quartiers peu densément peuplés. La surcharge possible à terme des voies communes à plusieurs lignes inquiète, comme devant la gare Saint-Roch où 4 lignes passent actuellement. La longueur du détour de la Ligne 2 par la partie aval du Verdanson, les bords du Lez et le sud d'Antigone risque de provoquer une rupture de charge à la Gare ou au Corum lorsque les passagers préfèreront prendre la Ligne 1 ou rallier à pied les deux stations. Le Collectif Tramway de Montpellier propose, depuis le début, un projet plus rapide et moins cher de desserte du centre-ville[14]. Le magazine Villes & Transports remarque cependant que Montpellier « se construit un réseau étonnamment maillé, qui pourrait permettre de multiplier les origines et les destinations, à l'exemple de ce qui se fait en Allemagne, aux Pays-Bas ou en Suisse »[15].
Les détours des deux lignes et la topographie de la ville, ainsi que le manque de voies automobiles de contournement dans la métropole, expliquent en partie la difficulté de trouver des tracés de lignes plus rectilignes et directs, au risque de diminuer la vitesse commerciale et l'attractivité de ces lignes. À Castelnau, le remplacement du pont submersible par le pont de la Concorde et la refonte des circulations autour de la place Charles-de-Gaulle visent tout de même à améliorer les conditions de circulation des automobiles.
Le , deux rames de la ligne 1 sont entrées en collision, entre les stations Saint-Éloi et Occitanie. En total, il y a eu 44 blessés quasiment tous légers, d'après les sapeurs-pompiers. Le trafic a été interrompu immédiatement et a été assuré par des bus[16].
Avec le confinement entraîné par la crise du Covid-19, le réseau de tramway s’adapte : le service des tramways est en « Dimanche et jours fériés » et le service de la ligne 4 est suspendu chaque Dimanche et ce jusqu’à nouvel ordre.
Genèse de la ligne 3
La troisième ligne entre Juvignac et le sud de Montpellier, dont la mise en service se fait en 2012, pose le problème du terminus sud. Fin 2006, pour l'enquête d'utilité publique, est proposée une division en deux branches vers Lattes et Pérols. En effet, la sortie de Palavas-les-Flots de la communauté d'agglomération de Montpellier en et la rupture des relations entre les élus des deux entités ont compromis un terminus au plus près des plages. La desserte de l'aéroport de Montpellier-Méditerranée, sur le territoire de Mauguio, n'est pas évoquée alors que la Ligne 3 doit passer route de Carnon, à environ 1,5 kilomètre de là .
Une partie de la ligne 3 utilise l'ancien tracé de la ligne 2 entre les stations Gare Saint Roch et Rives du Lez.
La ligne 3 relie Juvignac à Lattes centre ou Pérols Étang de l'or, c'est la première ligne du réseau de Tramway à être à double embranchement au sud de Montpellier. Elle a été inaugurée le comme la ligne 4. Tout comme la ligne 2, elle est en voie unique à partir des limites de Montpellier soit entre Mosson et Juvignac, entre Boirargues et Lattes centre ainsi que Boirargues et Perols.
Le parc de la ligne 3 est composé exclusivement de 19 rames Citadis 402, elle circule avec une illustration graphique « aquatique » dessinée par Christian Lacroix. Elles sont toutes entretenues au dépôt des Hirondelles[17].
Lancement de la ligne 4
La quatrième ligne entre Saint-Denis et Albert Ier était initialement prévue comme une boucle qui ceinturerait le centre ville de Montpellier. Elle est inaugurée en même temps que la ligne 3 le alors qu'elle était encore inachevée. Elle a été mise en service dans sa totalité le .
Depuis son inauguration, elle assure la desserte de Saint-Denis à Albert Ier, alors que durant l'été 2015, des travaux sont en cours pour permettre à la ligne de former une boucle qui relie le centre de Montpellier. La section en travaux de cette boucle (entre la place Albert Ier et la station Observatoire) sera aussi utilisée pour la ligne 5. La ligne 4 utilise l'ancien tracé de la ligne 2 entre Rives du Lez et Corum. Le parc de la ligne 4 est composé exclusivement de rames Citadis 302 provenant des lignes 1 et 2 (3 rames venant de la ligne 1 et 7 rames venant de la ligne 2) livrées en 2006, cela peut expliquer l'achat de 5 Citadis 402 pour la ligne 2 et le raccourcissement du tracé de la ligne 2. Entretemps pour assurer le retournement au terminus provisoire Albert 1er, un appareil de voie avait été placé et une voie de garage avait été mise en place à la fois pour le retournement et pour le garage d'une rame attendant les heures de pointe.
Les 10 rames Citadis 302 de la ligne 4 ont été reçues au dépôt de la Jeune Parque entre 2006 et 2007, 3 d'entre elles ont circulé sur la ligne 1 avec la livrée hirondelle entre 2007 et 2012 et 7 d'entre elles ont circulé sur la ligne 2 avec la livrée fleurie entre 2006 et 2012. Ces 10 rames circulent sur la ligne 4 avec la livrée de feu dessinée par Christian Lacroix, elles sont entretenues au dépôt de La Jeune Parque.
Les travaux pour terminer cette ligne, prévue comme une circulaire, ont débuté en et ce, sans attendre la ligne 5, dont la réalisation était liée (la ligne 5 devait emprunter ce tronçon). Une fois ce tronçon entre Louis Blanc et Observatoire achevé au début du 4e trimestre 2015 en ce qui concerne les travaux de plateforme, la mise en service a lieu le , au lendemain de l'inauguration[18].
Les conséquences sur les autres transports en commun
Lors de l'ouverture de la ligne 1 le , puis de la ligne 2 le , les réseaux de lignes de bus de la communauté d'agglomération et de cars ont été modifiés. Le plus possible, le terminus des bus urbains, suburbains (venant des communes membres de la communauté d'agglomération) et des cars départementaux sont reportés vers une station de tramway. Jointes à des parcs de stationnement, certaines stations deviennent des « pôles d'échange » : cela concerne sur la ligne 1 les stations Mosson, Euromédecine, Occitanie et Odysseum, et sur la ligne 2 les stations Jacou, Georges-Pompidou, Notre-Dame de Sablassou, Charles-de-Gaulle (parking réservé aux abonnés des TAM), Sabines, Saint-Jean-le-Sec et le terminus à Saint-Jean-de-Védas. Lorsque ces parkings sont payants, ils donnent droit à un ticket aller-retour par passager sur les tramways et les bus des Transports de l'agglomération de Montpellier.
Une conséquence apparaît en avec les premiers essais de concertation tarifaire au profit des utilisateurs de réseaux extérieurs de l'agglomération, mais devant utiliser le tramway. Le département de l'Hérault propose aux abonnés des lignes de cars d'Hérault Transport une option payante qui étend la validité de leur abonnement au réseau des TAM. Le nouveau tarif est inférieur au cumul des deux abonnements achetés alors séparément par les clients. Le département compte étendre progressivement ce dispositif aux réseaux de transport urbain d'autres communautés d'agglomération héraultaises[19]. Avec la convention TER signée le par le Conseil régional de Languedoc-Roussillon et la SNCF, ce cumul d'abonnements est permis entre le réseau TER et les réseaux urbains de Montpellier et d'autres agglomérations de la région[20].
Le réseau actuel
Les lignes
Le réseau est composé de quatre lignes au avec comme moyen d'alimentation des lignes aériennes de contact (LAC) dans lesquelles, à l’instar du métro parisien et de la plupart des autres métros et tramways en France, circule un courant continu d'une tension de 750 volts. Il comporte 87 rames. Du lundi au jeudi, le tramway circule de 4 h 30 à 1 h 30 environ, de 4h30 à 2h30 environ le vendredi et samedi et de 5h30 à 0h30 les dimanches et jours fériés (il ne circule cependant pas le 1er mai).
Ligne | Caractéristiques | ||||||||
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1 |
  1  | ||||||||
Odysseum ⥋ Mosson | |||||||||
Ouverture / Fermeture / — |
Longueur 15,700 km |
Durée 53 min |
Nb. d’arrêts 30 |
Matériel Citadis 401 Citadis 402 |
Jours de fonctionnement L, Ma, Me, J, V, S, D |
Jour / Soir / Nuit / Fêtes O / — / O / O |
Voy. / an 46 021 500 |
DĂ©pĂ´t Les Hirondelles | |
Desserte : Montpellier
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Autre : Le matin, le service est renforcé entre Odysseum et Occitanie. | |||||||||
2 |
  2  | ||||||||
Jacou ⥋ Saint-Jean-de-Védas Centre | |||||||||
Ouverture / Fermeture / — |
Longueur 17,500 km |
Durée 48 min |
Nb. d’arrêts 28 |
Matériel Citadis 302 Citadis 402 |
Jours de fonctionnement L, Ma, Me, J, V, S, D |
Jour / Soir / Nuit / Fêtes O / — / O / O |
Voy. / an 16 436 250 |
DĂ©pĂ´t La Jeune Parque | |
Desserte : Montpellier, Jacou, Castelnau-le-Lez, Saint-Jean-de-VĂ©das
| |||||||||
Autre : Le service est alterné à raison d'un tramway sur deux pour Saint-Jean de Védas et Jacou. | |||||||||
3 |
  3  | ||||||||
Juvignac ⥋ Pérols Étang de l'Or/Lattes Centre | |||||||||
Ouverture / Fermeture / — |
Longueur 23,000 km |
Durée 42 à 49 min |
Nb. d’arrêts 27 |
Matériel Citadis 402 |
Jours de fonctionnement L, Ma, Me, J, V, S, D |
Jour / Soir / Nuit / Fêtes O / — / O / O |
Voy. / an 24 471 750 |
DĂ©pĂ´t Les Hirondelles | |
Desserte : Montpellier, Juvignac, Lattes, PĂ©rols
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Autre : La desserte des arrêts Juvignac, Lattes centre et Perols Étang de l'or se fait à raison d'un service sur deux. En été, le service est renforcé vers le terminus Étang de l'or. Le dimanche, certaines rames effectuent leur terminus à l'arrêt Saint Denis.
Le premier départ vers Mosson a lieu à l'arrêt Boirargues. | |||||||||
4 |
  4  | ||||||||
(Circulaire) Garcia Lorca ⥋ via le tour du centre-ville | |||||||||
Ouverture / Fermeture / — |
Longueur 9,200 km |
Durée 35 min |
Nb. d’arrêts 18 |
Matériel Citadis 302 |
Jours de fonctionnement L, Ma, Me, J, V, S, D |
Jour / Soir / Nuit / Fêtes O / — / O / O |
Voy. / an 10 957 500 |
DĂ©pĂ´t La Jeune Parque | |
Desserte : Montpellier
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Autre : Cette ligne étant circulaire, elle est nommée 4a ou 4b selon son sens de circulation (4a dans le sens des aiguilles d'une montre, 4b dans le sens inverse). |
Les stations
Le tramway de Montpellier possède 84 stations à la date du .
Les stations sont toutes équipés de deux abribus, d'un distributeur automatique de titres de transport et d'un système d'information voyageurs indiquant les 3 prochains départs de rames. Des variantes de design sont présentes selon les lignes même si ce dernier a été harmonisé depuis l'inauguration des lignes 3 et 4 en 2012. Les stations sont toutes accessibles aux personnes à mobilité réduite. Les informations concernant l'achat d'un titre sur le distributeur sont en français et en anglais. Les stations comportent également un plan détaillé et simplifié du réseau TAM, un plan des environs de la station (500 mètres autour), la grille de tarification, le règlement intérieur bus et tramway et des informations événementielles concernant le réseau (interruption de trafic, trafic renforcé, manifestation...).
Le matériel roulant
Aujourd'hui, le parc roulant du réseau est composé de 86 rames, toutes construites par Alstom au .
Fin 2014, les rames 2048 et 2049 Citadis 302 sont prélevées sur le parc ligne 2 et s'ajoutent aux rames 2098 et 2099 Citadis 402 du parc ''Multilignes''. Les premières citées roulant sur les lignes 2 ou 4 et les autres roulant sur les lignes 1 ou 3.
Fin 2019, les rames 2070, 2071 et 2072 Citadis 402 sont prélevées sur le parc de la ligne 3 et s’ajoute aux autres rames multilignes afin de pallier le manque de rames sur la ligne 1 à la suite d’un accident.
Ces 7 rames possèdent une livrée entièrement noire et sont amenées à recevoir des adhésifs promotionnels (French Tech Attitude, Montpellier Méditerranée Métropole, Eurobasket, Open Sud de France...)
Constructeur | Modèle | Nombre | Numérotation | Années delivraison | Longueur | Nombre de caisses(éléments) | Affectation |
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Rames mono-ligne | |||||||
Alstom | Citadis 401 | 29 | nos 2001 à 2011 et 2013 à 2030 | 1999 - 2002 | 40,9 mètres | 5 |   1  |
Alstom | Citadis 402 | 3 | nos 2090 à 2092 | 2012 | 42 mètres | 7 |   1  |
Alstom | Citadis 302 | 15 | nos 2050 à 2064 | 2006 - 2007 | 32,5 mètres | 5 |   2  |
Alstom | Citadis 402 | 5 | nos 2093 à 2097 | 2012, 2014[21] | 42 mètres | 7 |   2  |
Alstom | Citadis 402 | 17 | nos 2073 à 2089 | 2011 - 2012 | 42 mètres | 7 |   3  |
Alstom | Citadis 302 | 10 | nos 2031 à 2033 et 2041 à 2047 | 2006 - 2007 | 32,5 mètres | 5 |   4  |
Rames multi-lignes | |||||||
Alstom | Citadis 402 | 5 | 2070, 2071, 2072, 2098 et 2099 | 2011 - 2014 | 42 mètres | 7 |   1   3  |
Alstom | Citadis 302 | 2 | 2048 et 2049 | 2006 | 32,5 mètres | 5 |   2   4  |
Les dépôts
Il existe deux dépôts de tramway sur le réseau.
- Le dépôt Les Hirondelles situé dans le quartier de la Mosson au nord-ouest de Montpellier est utilisé pour le remisage et l'entretien des rames des lignes 1 et 3.
- La Jeune Parque situé au sud-ouest de Montpellier dans la zone d’activités Garosud est utilisé pour les rames des lignes 2 et 4.
Ces dépôts sont aussi utilisés pour les bus de la TAM.
Parcs relais
P+Tram du réseau de tramway de Montpellier au | |
---|---|
Ligne | Parking P+Tram |
  1  | Mosson ; Euromédecine ; Occitanie ; Circé (Odysseum). |
  2  | Jacou ; Georges Pompidou ; Via Domitia ; Notre-Dame de Sablassou ; Charles de Gaulle (réservé aux abonnés TAM) ; Sabines ; Saint-Jean le sec ; Saint-Jean de Védas centre. |
  3  | Juvignac ; Mosson ; Pérols Centre ; Lattes Centre. |
  4  | Garcia Lorca. |
Le réseau de tramway compte au total 16 P+Tram, ou autrement appelés parcs relais, pour plus de 5000 places disponibles[22]. Ils permettent de se garer à proximité d'une ligne de tramway et de rejoindre directement le centre ville. Les abonnées TAM n'ont pas besoin d'acheter de ticket de stationnement, il leur suffit de valider leur carte d'abonné TAM en entrant dans le parking. Pour les non-abonnés il faut acheter un Forfait P+Tram (un pour tous les occupants de la voiture) à 4,80 euros tarif normal ou à 3,60 euros pour les habitants de la métropole de Montpellier[22]. À noter que certains parkings ne proposent pas ce forfait et sont dits parkings de proximité (Saint-Jean de Védas centre, Via Domitia, Georges Pompidou, Jacou, Juvignac, Pérols Centre et Lattes Centre)[22]. Les P+Tram sont ouverts 24h/24 et 7j/7[22].
Tarification
Le prix pour un voyage est de 1,60 euro au . Un ticket de 10 voyages coûte 10 euros, une carte 1 jour (de l'heure de la première validation au lendemain à la même heure) 4,30 euros une carte hebdomadaire 17,10 euros (au ), une carte mensuelle 52,00 euros et une carte annuelle 481,50 euros (tarif en vigueur en 2019). Il existe également des tarifs groupe et des réductions pour les scolaires, étudiants, jeunes, seniors, groupes, familles et familles nombreuses. Les tickets et cartes d'abonnement permettent de circuler en tramway comme en bus. Les tickets peuvent être achetés dans des automates présents à toutes les stations de tramway (tous les types de titres). Un ticket autorise des validations illimitées sur tout le réseau TAM pendant 1 heure au maximum entre la première et la dernière validation[23].
Depuis le , les transports en commun sont gratuits tous les week-ends pour les habitants de la métropole de Montpellier. Depuis le , c'est le cas aussi pour les habitants de moins de 18 ans (qui peuvent conserver la gratuité après leur 18ème anniversaire) et à partir de 65 ans. il est prévu, vraisemblablement au que tous les habitants de la métropole bénéficient de la gratuité. Ce passage à la gratuité fait partie d'une promesse électorale du maire de Montpellier élu en 2020 et président de la Métropole, Michaël Delafosse[24]. Pour bénéficier de la gratuité, il faut la faire enregistrer sur une carte de transport de la TAM et demander son renouvellement tous les ans en fournissant un justificatif de domicile.
Projets de développement
Depuis 2013, une nouvelle ligne de tramway, la ligne 5, est en cours de réalisation. Son ouverture est prévue pour 2025.
Les projets de ligne suivants sont de facto actuellement suspendus :
- La ligne 6, évoquée par la commission tramway en 2009, sera finalement la première ligne de Bus à haut niveau de service de Montpellier qui desservira : Millénaire - Eurêka de Place de l’Europe à la future gare Notre Dame de Sablassou qui va être construite dans le parking.
- La ligne 7, nom souvent attribué aux extensions est et ouest de la ligne 2, suivant des alignements ferroviaires désaffectés, n'est pour l'instant qu'évoquée et n'est pas mentionnée sur le site institutionnel de Montpellier Méditerranée Métropole.
Ligne 5
Ce projet de ligne a fait l'objet d'un moratoire de 2014 à 2016. La ligne 5 est désormais envisagée à l'horizon 2025 avec une longueur de tracé divisée par 2 par rapport au projet initial[25]. Il a été décidé qu’elle fera le trajet entre la commune de Clapiers [26]et de Lavérune[27]. La crise économique de 2008 a incité la maire de Montpellier à diminuer les coûts de construction des futures lignes de tramway.
Ligne | Caractéristiques | ||||||||
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5 |
 5  | ||||||||
Clapiers ⥋ Lavérune | |||||||||
Ouverture / Fermeture 2025 / — |
Longueur 15,500 km |
Durée — |
Nb. d’arrêts 25 |
Matériel — |
Jours de fonctionnement L, Ma, Me, J, V, S, D |
Jour / Soir / Nuit / Fêtes O / — / O / O |
Voy. / an — |
Dépôt — | |
Desserte : Montpellier,Clapiers, Lavérune
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Autre : Dans le thème « Sciences et Botanique » |
Ligne 6
Le , une commission tramway rend publique une proposition de ligne 6 entre les stations Place de l'Europe (quartier d'Antigone) et Notre-Dame-de-Sablassou à Castelnau-le-Lez, à travers de nouveaux quartiers et zones d'activités du sud de cette commune[28]. D'une longueur de 5 km, elle devrait relier les lignes 1 et 2 de tramway et permettre ainsi une intermodalité tramway-train TER avec le projet de halte ferroviaire envisagée au niveau du parking d'échange Sablassou[29].
Ce projet de ligne a été confirmé sur la carte du réseau de 2018 présentée le .
En 2013, l'Agglomération n'a pas encore fixé ni l'échéancier de réalisation ni le mode de cette ligne, un BHNS (sur voie réservée) ou un tramway étant envisagés[30].
En 2014 et à la suite de l'élection de Philippe Saurel à la mairie de Montpellier et à la tête de l'agglomération, tous les projets de nouvelles lignes sont remis en cause.
En , à l'occasion des vœux de Philippe Saurel, il est décidé de remettre sur les rails le projet de la ligne 6. Cette ligne doit desservir les quartiers de la Pompignane et du Millénaire. La Métropole de Montpellier a mis ce tracé à l'étude[31].
En , Philippe Saurel veut mettre un terme au développement du tramway et privilégier des modes alternatifs, moins coûteux. Il n'y aura donc pas de ligne 6 [32].
En , le trajet de la ligne 6 est évoqué comme étant la première ligne de BHNS de Montpellier appelé « Métronome ». Elle devrait être inaugurée vers 2025[33].
Ligne | Caractéristiques | ||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
6 |
6 | ||||||||
Place de l'Europe ⥋ Notre-Dame de Sablassou | |||||||||
Ouverture / Fermeture courant 2025 / — |
Longueur 5 km |
Durée — |
Nb. d’arrêts — |
Matériel — |
Jours de fonctionnement L, Ma, Me, J, V, S, D |
Jour / Soir / Nuit / Fêtes O / — / O / O |
Voy. / an — |
Dépôt — | |
Desserte : Montpellier, Castelnau-le-Lez
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Autre : |
Extension de la ligne 1
Dans le cadre de la réalisation de la gare de Montpellier-Sud de France sur le nouveau contournement ferroviaire de Nîmes et de Montpellier, la ligne 1 sera prolongée de 1,3 km. Elle desservira ainsi la nouvelle gare et le nouveau quartier appelé à se développer dans les environs. Le maire de Montpellier Michaël Delafosse a déclaré que les travaux d'extension de la Ligne 1 commencent en novembre 2022 et devraient se terminer fin 2024[34].
Extensions de la ligne 2
Des prolongements de la ligne 2, vers le nord-est au-delà de Castelnau-le-Lez, en direction de Castries, et vers le sud-ouest, au-delà de Saint-Jean-de-Védas, ont été évoqués, parfois sous la dénomination ligne 7. Ces extensions pourraient potentiellement réutiliser des emprises désaffectées de Réseau ferré de France. Néanmoins, en 2013, ces tronçons ne bénéficient pas d'échéancier clair de réalisation, et leur réalisation reste donc hypothétique en l'état actuel des connaissances[35].
Vers le nord-est, un prolongement d'environ 7 km a été évoqué, au-delà de la station Notre-Dame-de-Sablassou à Castelnau-le-Lez vers Castries, en empruntant l'emprise de l'ancienne ligne de Sommières à partir de l'arrêt ferroviaire Les Mazes-Le Crès[28].
Vers le sud-ouest, au-delà de Saint-Jean-de-Védas, l'infrastructure Réseau Ferré de France entre Paulhan et Montpellier peut permettre de prolonger vers les communes de l'ouest de la métropole : Fabrègues, Cournonterral et Cournonsec. Une commission tramway de la communauté d'agglomération de Montpellier précise le parcours avec l'utilisation de la voie Réseau Ferré de France dans Montpellier pour éviter une partie des stations de la ligne 2 entre Sabines et Gare Saint-Roch.
Notes et références
- Rapport d'activités Montpellier Méditerranée Métropole 2018, page 96/97
- « La ligne 5 - Les grandes étapes », sur Montpellier Méditerranée Métropole (consulté le )
- Leslie Anagnostopoulos, « Le premier tram était tiré par des chevaux », article paru dans la Gazette de Montpellier no 966-967, 22 décembre 2006-4 janvier 2007, page 18.
- Danielle et Roland Jolivet, Montpell'hier, Montpellier, chez l'auteur, Imp. Fournié, Balma (Haute-Garonne), , Album, ill. en noir et en coul., 153, 21 × 26 cm (ISBN 2-9513984-3-3, présentation en ligne), p. 20 et 21 (consulté le 20 novembre 2017)
- lire en ligne sur Gallica, p. 1687.
- Historique et parcours de ce réseau présenté dans un dossier de Leslie Anagnostopoulos, « Tram d'hier et tram d'aujourd'hui », paru dans la Gazette de Montpellier no 966-967, 22 décembre 2006-4 janvier 2007, pages 18 et 19. La double page est illustrée d'un plan comparé des deux réseaux de tramways électriques et de cartes postales anciennes fournit par l'auteur d'ouvrages sur Montpellier, Roland Jolivet.
- Alain Alquier, « Les pénuries de la guerre et leurs conséquences : l'exemple de l'accident de tramway du 16 décembre 1943 à Montpellier », Bulletin historique de la ville de Montpellier,‎ n° 38, 2016, p. 82-97
- Roland Jolivet, Montpellier secrète et dévoilée, Montpellier, chez l'auteur, Imp. Fournié, Balma (Haute-Garonne), , ill. n&b et coul., 170, rel., 26 × 20,5 cm (ISBN 2-9513984-3-3, présentation en ligne), p. 104 et 105 (consulté le 20 novembre 2017)
- « Le tramway à Montpellier », sur A la découverte des transports, (consulté le )
- D'après le quotidien régional Midi Libre de décembre 1982 : page 1, page 2 (consulté le ).
- Éric Delhaye, « Le tramway déraille un pneu », compte-rendu du conseil municipal de Montpellier du , paru dans Midi libre du .
- D'après Montpellierplus du , cité sur un site indépendant (voir actualité du ; page consultée le ).
- Raymond Dugrand (dir.), « Une griffe internationale pour le premier tramway du sud : Un vol d'hirondelles… un décor intérieur aux formes arrondies… », Montpellier notre ville (journal d'information municipale), Montpellier, 3M, no 215,‎ , p. 9 / 12 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- Projets alternatifs de lignes 1 et 2 du Collectif Tramway de Montpellier.
- François Enver, « Montpellier. Trois lignes de tram bien habillés », article paru dans Ville & Transports magazine no 419, , page 31.
- « Deux tramways se percutent à Montpellier : 44 blessés près de Lapeyronie », sur midilibre.fr (consulté le ).
- « École supérieure des beaux-arts de Montpellier agglomération : 100% de réussite », Harmonie, Imp. Chirripo, Montpellier Agglomération, no 285,‎ , p. 12/48 (présentation en ligne, lire en ligne [PDF], consulté le ) (consulté le 11 juillet 2018)
- « Montpellier : le bouclage de la ligne 4 du tramway sera inauguré le 2 juillet 2016 », sur France 3 Occitanie (consulté le ).
- « Car + tram = un ticket », article paru dans Le magazine du département de l'Hérault no 154, janvier 2007.
- Gabriel Léon, « TER-Transport urbain. La région crée sa "carte orange" », article paru dans Midi libre du 3 janvier 2007.
- « 8 novembre 2014 – Livraison de la trentième rame Citadis 402 Alstom », sur Tramway de Montpellier, (consulté le ).
- « Parkings P+Tram et parkings de proximité | TAM » (consulté le )
- « Catalogue | TAM » (consulté le )
- « Transports en commun gratuits le week-end dans la métropole de Montpellier », sur France Bleu, (consulté le )
- Montpellier : Le projet de ligne 5 du tramway relancé. 20 minutes, « Montpellier : Le projet de ligne 5 du tramway relancé. », sur https://www.20minutes.fr/
- « Clapier », Clapier,‎
- Lavérune
- Conférence de présentation par Georges Frêche et carte rapportées dans Yannick Povillon, « Le tram, où en est-on ? », Midi libre, édition Montpellier, 27 janvier 2008, page 2.
- Lignes 5 et 6, Montpellier Agglomération.
- Montpellier Agglomération, « Lignes 5 et 6 de tramway » (consulté le )
- e-metropolitain, « Tramway : Philippe Saurel évoque déjà la ligne 6 » (consulté le )
- « Spécial Montpellier – Le tout-tramway, à quel prix ? », publié le par Benjamin Téoule, sur le site Le Point (consulté le 11 décembre 2018)
- « Nouvelle offre de transport, dès septembre 2019 », sur www.montpellier3m.fr (consulté le )
- « Le projet d'extension de la ligne 1 de tramway vient d'être déclaré d'utilité publique », sur Montpellier Méditerranée Métropole (consulté le )
- Pas de mention sur le site internet de Montpellier Agglomération
- « Chantiers et équipements, la Métropole de Montpellier consolide le réseau de tramway », sur actu.fr (consulté le )
Voir aussi
Bibliographie
- Philippe-Enrico Attal, « Les 3 réseaux de Tramway de Montpellier », Historail No 24 , p. 6-21
- Philippe-Enrico Attal, « Montpellier boucle sa ligne 4, première circulaire de France », Rail Passion No 217 , p. 24-26