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Train de Montpellier Ă  Palavas

Le train de Montpellier à Palavas était une des six lignes de la Compagnie des chemins de fer d'intérêt local du département de l'Hérault . Il circula dans l'Hérault, entre Montpellier et la station balnéaire de Palavas-les-Flots, du au [1].

Ligne de
Montpellier Ă  Palavas
Image illustrative de l’article Train de Montpellier à Palavas
La locomotive no 81 devant la médiathèque Federico Garcia Lorca à Montpellier
Pays Drapeau de la France France
Historique
Mise en service 1872
Fermeture 1968
Caractéristiques techniques
Longueur 11,572 km
Écartement standard (1,435 m)

Localement, il est souvent appelé « le Petit Train de Palavas » et a été rendu célèbre grâce aux caricatures d'Albert Dubout.

Histoire

Depuis le milieu du XIXe siècle, la mode des bains de mer fait du petit village de pêcheurs de Palavas une destination prisée des Montpelliérains. Or, jusqu'en 1872, l'accès à Palavas depuis Montpellier est possible uniquement par une route de terre, boueuse et inondable par temps de pluie, sans ombre en été (les premiers platanes sont plantés en 1875).

Dès 1856, l'ingénieur Baillard propose un projet de ligne empruntant uniquement la rive droite du Lez, peu peuplée, mais à Palavas, la ligne se terminait sur les terres de Frédéric Fabrège. Dans les années 1860, le conseil général de l'Hérault décide de densifier le réseau ferré départemental. En 1865, la direction de la Compagnie des chemins de fer d'intérêt local du département de l'Hérault propose un projet de cinq lignes, dont une reliant Montpellier au golfe du Lion. En 1868, le projet retenu fait passer la ligne plus à l'est, et en grande partie sur la rive gauche du Lez. Plus longue d'un kilomètre environ, ce parcours permet de desservir le village de Lattes et la partie la plus peuplée (et populaire) de Palavas.

Les opposants au projet échouèrent. Ils opposaient le coût de la construction (dont celui du viaduc de la gare de l'Esplanade) pour un nombre de passagers à venir qu'ils estimèrent ridicule. Les concessionnaires des deux ponts à péage de Palavas et l'adjudicataire vivant de la circulation des bateaux sur le Lez craignaient évidemment cette concurrence.

Deux décrets impériaux confirment l'autorisation de construire ce réseau : celui de déclaration d'utilité publique du et celui confirmant l'octroi d'une subvention du . Le chantier de la ligne de Palavas s'étale de à .

L'exploitation

La ligne est Ă  voie unique sur son parcours de 11,572 kilomètres[2], avec des voies de garage Ă  plusieurs emplacements pour permettre notamment la circulation de trains de marchandises. La distance est effectuĂ©e normalement en une demi-heure, arrĂŞts compris.

Dès après son inauguration par les officiels le dimanche , elle connaĂ®t un succès immĂ©diat : de dĂ©but mai Ă  fin , elle transporte 130 844 passagers. Le maximum a Ă©tĂ© 2 millions de voyageurs par an. MalgrĂ© ce succès, les projets de 1913 et de 1945 d'extension vers la station melgorienne de Carnon ne furent jamais rĂ©alisĂ©s.

Quatre classes de tarifs ont existĂ© : la classe Â« A » Ă©quivalente Ă  la première classe, la classe Â« B » Ă©quivalente Ă  la deuxième classe, la classe Â« C » Ă©tait une voiture du matin et du soir oĂą les chasseurs Ă©taient autorisĂ©s Ă  embarquer avec leurs chiens, enfin, la classe Â« D » Ă©tait affectĂ© au transport des bagages et dĂ©signait les fourgons.

Voyageurs en gare de l'Esplanade en 1956

Anecdote amusante, dans les années soixante les tickets portaient la mention Montpellier Splanade- Palavas. La confusion vient de la prononciation locale, comme dans une statue que les locaux prononcent une estatue, d'où croyant bien faire splanade à la place de esplanade !

La ligne connut plusieurs accidents qui tuèrent une vingtaine de personnes (suicides, chutes et finalement croisement du train avec une moto). La gare de l'Esplanade fut percutée trois fois par les voitures du train qui étaient poussées au retour depuis Racanié ; un journaliste s'amusant d'un de ces incidents qui ne fit pas de victime a écrit que le chef de gare aurait dû se méfier de voir le train arriver, pour une fois prétend-il, en avance.

La fin

Mais, Ă  partir des annĂ©es 1950, la ligne de Palavas, comme les quatre autres de la Compagnie d'intĂ©rĂŞt local, est concurrencĂ©e par l'automobile : la route de Palavas Ă  Montpellier est refaite avec un pont permettant de passer le canal du RhĂ´ne Ă  Sète. NĂ©anmoins, elle est la dernière des lignes de la compagnie hĂ©raultaise Ă  ĂŞtre fermĂ©e sur un vote du conseil gĂ©nĂ©ral de l'HĂ©rault. « Le petit train » effectue son dernier voyage le .

Un reportage est réalisé, le , sur l'arrêt du fonctionnement de la ligne. L'unanimité des personnes interviewées exprime leurs mécontentements face à cette situation. Un employé SNCF relate les problèmes et les conséquences que cette fermeture de ligne va avoir sur le personnel où la direction lui a proposé un plan de reclassement avec réduction de salaire à 50 %[3].

D'après l'historien ferroviaire Paul GĂ©nelot[4], le train de Palavas a transportĂ© environ 60 millions de voyageurs en 96 annĂ©es d'exploitation.

Matériel

La locomotive n° 81 devenue monument historique

Les locomotives furent parfois équipées à l'avant d'une main courante pour permettre au mécanicien de monter sur le tablier avant pour effectuer des opérations d'entretien.

Le record de distance tenu par une des locomotives Ă  vapeur de la ligne est tenu par la no 63 (en service de 1896 Ă  1956) avec 1 677 003 km.

Quinze voitures sont prĂ©servĂ©es, dont treize circulent en exploitation touristiques. Elles sont Ă©quipĂ©es de plates-formes extrĂŞmes, comme c'Ă©tait souvent le cas pour les voitures de chemins de fer secondaires. Très lĂ©gères, elles atteignent 8 tonnes pour les exemplaires Ă  toits plats et 9,3 tonnes pour les exemplaires Ă  toits ronds. Les voitures de 2e classe offrent 55 places assises. Si le gabarit de ces voitures est infĂ©rieur aux voitures modernes, il est par contre plus large de 20 cm de chaque cĂ´tĂ© (ce qui peut poser des problèmes entre les marchepieds et les quais de gare au gabarit standard).

Ligne, gares et arrĂŞts

Le dépôt de Racanié

Construit dans le quartier montpelliérain du Port Juvénal, il se situait à l'emplacement de l'actuel square Jean Monnet.

La gare de l'Esplanade

Pour une question de prestige, le terminus est installé au cœur de Montpellier, dans un coin de la place de la Comédie et de l'Esplanade (actuellement esplanade Charles-de-Gaulle). À l'époque, la gare et le viaduc qui permet d'atteindre la plaine de Lattes constitue la limite de l'urbanisation de Montpellier ; au-delà, vers l'est et le Lez se trouve le champ d'exercice militaire du Polygone.

Gare de l'Esplanade en 1967

AchevĂ©e en 1870 et desservie par un viaduc Ă  voie unique, elle est le point le plus haut de la ligne Ă  35 mètres d'altitude. La gare et le viaduc sont dĂ©truits au dĂ©but des annĂ©es 1970. Le square municipal amĂ©nagĂ© en 1881 pour embellir la gare a disparu avec le creusement du tunnel sous la ComĂ©die, dont une entrĂ©e fut situĂ©e sur la place du mĂŞme nom.

Arrêt de la Céreirède

Situé sur la commune de Lattes et la rive droite du Lez, la Céreirède est un espace agricole qui obtient un arrêt desservi de 1908 à 1968.

Gare de Lattes

Mise en service dès 1872, la gare se situe près de la mairie, de l'église et de l'école d'une commune dont la population est alors dispersée dans un grand espace encore agricole.

Le pont sur le Lez entre la Céreirède et Lattes n'existe plus. Il se situait dans l'axe de l'actuelle rue de Toscane, du quartier Port-Ariane.

Halte des Premières Cabanes

Ouverte en 1884, cette halte fut demandée par les habitants de ce lieu-dit coincé entre deux étangs et le canal du Lez. La direction accepta à la condition que l'heure d'arrivée et l'heure de départ soient identiques (moins d'une minute d'arrêt).

Elle permit aux habitants d'expĂ©dier en ville des gerbes de roseaux qui servirent Ă  couvrir les toits des maisons, Ă  la fabrication de cannisses ou simplement Ă  l'ornement. Cette halte Ă©tait le plus souvent utilisĂ©e par les chasseurs et leurs chiens (la classe C) allant chercher le gibier sur le bord des Ă©tangs. Après les Premières Cabanes, la ligne passait au-dessus du canal du RhĂ´ne Ă  Sète par un pont Ă©troit.

Halte de la rive droite ou « garette »

Deux cents mètres avant le terminus, le train effectue une halte à la hauteur de ce qui est alors le seul pont reliant les deux rives de Palavas. Il permet d'éviter aux voyageurs d'avoir à payer un bac pour rejoindre la rive droite.

Sans éclairage, cette halte fut souvent critiquée : les trains étaient pleins dès leur départ de la gare de Palavas, les resquilleurs profitaient de cette halte rapide pour monter sans billet. La direction supprima plusieurs fois cet arrêt, mais dut le maintenir à la demande des usagers.

Gare de Palavas

Le train arrivait sur la rive gauche, au plus près de la plage. Les terrains nĂ©cessaire Ă  l'emprise furent donnĂ©s au conseil gĂ©nĂ©ral par le marquis de Saint-Maurice Ă  la condition expresse qu'ils servent uniquement au transport ferroviaire. Lors de la destruction de la gare en 1974  , la mairie de Palavas-les-Flots fut donc obligĂ©e de convertir les terrains en parkings pour voitures et en une gare routière.

Les premiers passagers du train dès 6 heures du matin Ă©taient les poissonnières du port qui allaient vendre en ville les prises de leurs Ă©poux. En ville, elles se rendaient aux Halles castellanes, sur le sommet de la colline de Montpellier ; et elles Ă©taient reconnues aux paniers en osier qu'elles transportaient sur leur tĂŞte.

Un autre passager quotidien était attendu au début du XXe siècle à Palavas : le docteur montpelliérain qui effectuait ses consultations à domicile entre deux trains.

Vestiges actuels

Sur le trajet

La locomotive no 81 devant la médiathèque Federico Garcia Lorca à Montpellier. Les rails sont encore en place sur deux petites portions entre les vieilles maisons de la Céreirède et leurs jardins, ainsi qu'au bord des étangs.

Le trajet de la ligne reste visible dans la topographie (voir cartes au 1 / 25 000 de l'Institut national de l'information gĂ©ographique et forestière no 2743 et 2743 OT) et le tracĂ© des rues et autres Ă©lĂ©ments paysagers : Ă  Montpellier, l'avenue des États de Languedoc et les avenues Albert Dubout et du Petit Train, puis un fossĂ© envahi de vĂ©gĂ©tation dans le quartier de la Rauze ; dans la ville de Lattes, l'emprise ferroviaire a Ă©tĂ© reconvertie en place au cĹ“ur du centre commercial et en esplanade accueillant le monument aux morts et un boulodrome ; dans Palavas-les-Flots, une promenade piĂ©tonne en bord de quai, un parking entre le centre-ville et le bureau de poste, et enfin la gare routière ont conservĂ© la forme de l'emprise de la ligne.

Une partie de la ligne, associĂ©e avec quelques chemins ruraux de Lattes, est actuellement une des voies (en terre) possibles pour les cyclistes et randonneurs souhaitant se rendre de Lattes Ă  Palavas, qui ont Ă©tĂ© doublĂ©es par les pistes cyclables asphaltĂ©es parallèles Ă  la route dĂ©partementale 986. On peut encore y distinguer des ballasts et des portions de rails coulĂ©es dans le goudron. Un pont ferroviaire permettant de traverser une rivière est encore en place.

Ligne de Montpellier à Palavas : les bâtiments voyageurs en 2007
Station Bâtiment voyageurs État Caractère ferroviaire
Esplanade Oui, monumental DĂ©truit en 1972 --
Racanié Non -- --
La-Céreirède Oui, halte Transformé en maison d'habitation
Lattes Oui, gare de type 1 sans halle, avec logement du chef de gare Ă  Ă©tage DĂ©truit --
Les-Premières-Cabanes Oui, halte DĂ©truit dans les annĂ©es 1980 --
Les-Quatre-Canaux Non -- --
Palavas-Rive-Droite Oui, halte en bois DĂ©truit --
Palavas-Plage Oui, gare de type 2 Ă  halle allongĂ©e DĂ©truit --
Ă€ Montpellier

Le pont de l'avenue du Pont-Trinquat dans le quartier de la Céreirède. Il enjambe la plate-forme de l'ancienne ligne de Montpellier à Palavas envahie par la végétation ; vers le fond, la direction de l'Esplanade.

Juste après le pont, la ligne s'incurvait sur la gauche jusqu'au raccordement direct Chaptal - Palavas de la patte-d'oie de RacaniĂ© puis atteignait RacaniĂ© avant de s'attaquer Ă  la longue rampe de l'Esplanade. C'est Ă  cet endroit que les mĂ©caniciens des 040T Schneider de la sĂ©rie D demandaient Ă  leur machine le maximum de puissance pour prendre l'Ă©lan nĂ©cessaire Ă  la montĂ©e de cette rampe Ă  30 mm/m. Depuis le pont, le spectateur pouvait voir le dandinement caractĂ©ristique des rames bondĂ©es lancĂ©es dans la tranchĂ©e Ă  60 km/h et tout particulièrement les mouvements latĂ©raux synchrones mais opposĂ©s de la machine et de la première voiture. Le mĂ©canicien se tenait debout cramponnĂ© au centre de l'ouverture de la cabine — les locomotives montaient cheminĂ©e en arrière — et observait les signaux des trois passages Ă  niveau successifs tandis que le chauffeur, ballottĂ© dans tous les sens, devait charger le foyer en permanence pratiquement jusqu'Ă  l'arrivĂ©e Ă  l'Esplanade.

Ă€ la CĂ©reirède

La plaque en bois d'identification de la halte est d'origine. Bien que le nom, la typographie et les couleurs ne soient pas conformes, les occupants du lieu ont conservé le caractère ferroviaire de leur petite maison.

L'éclairage électrique n'a été installé qu'en : on peut distinguer une partie de l'installation d'origine.

2007
Ă€ Lattes

Le bâtiment est détruit mais la municipalité a fait installer quelques éléments ferroviaires au carrefour giratoire aménagé sur l'emplacement de l'ancien passage à niveau .

Ă€ gauche :

Les vieux platanes en ont vu passer, des trains et des voyageurs allant et revenant de la mer. Au premier plan, la plate-forme des voies transformée en esplanade . Au fond, l'ancien passage à niveau aménagé en carrefour giratoire.

Ă€ droite :

La gare, le sĂ©maphore, les platanes et un train en provenance de Montpellier dans les annĂ©es 1950.

1950
2007
Ă€ gauche :

L'emplacement de l'ancien passage à niveau de la gare est aménagé en carrefour giratoire . Les services techniques municipaux y ont installé :

  • un court tronçon de voie dont les rails et traverses proviennent de divers points de la ligne,
  • le mât de l'ancien sĂ©maphore qui a pris maintenant l'aspect d'un lampadaire,
  • les leviers et contrepoids d'une commande d'aiguillage.

Bien que la voie ne soit placée ni orientée correctement par rapport à l'originale, le caractère ferroviaire est bien évoqué.

Ă€ droite :

La gare, le sĂ©maphore, les platanes, le passage Ă  niveau et une Traction-Avant 11B CitroĂ«n dans les annĂ©es 1960.

1960

La voie principale et l'Ă©vitement sont dĂ©posĂ©s en 1969 et le petit bâtiment de la halte est dĂ©truit dans les annĂ©es 1990.

Printemps 2007
Aux Premières Cabanes

La plate-forme de la voie est transformée, depuis l'été 2007, en piste cyclable sur la quasi-totalité du parcours Lattes - Palavas.

Ă€ gauche :

Au printemps 2007, quelques mètres de rails sont visibles sous la fine couche de bitume du passage Ă  niveau et les vestiges du portique permettant la vĂ©rification du gabarit de chargement des tombereaux sont toujours debout[5].

Ă€ droite :

La gare et le portique du gabarit dans les annĂ©es 1950.

1950
Automne 2007
Une piste cyclable est amĂ©nagĂ©e sur l'ancienne plate-forme de la voie durant l'Ă©tĂ© 2007, retirant Ă  ce lieu tout caractère ferroviaire : les rails et le portique du gabarit disparaissent.
Automne 2007
Ă€ gauche :

À l'emplacement de l'ancienne halte, il ne reste rien du bâtiment. Au premier plan, la plate-forme de la voie transformée en piste cyclable.

Ă€ droite :

Le bâtiment et la signalisation du passage Ă  niveau dans les annĂ©es 1960.

1960
Automne 2007
Le paysage vu de l'ancienne halte, lui seul n'a pas changé .

Matériel roulant préservé

Locomotive au musée du train à Palavas-les-Flots

Deux locomotives et deux voitures sont exposées dans l'Hérault : à Palavas, la locomotive no 70 au sein du musée du Petit Train et une voiture, et depuis 1996, à l'entrée de Montpellier, au rond-point des Prés d'Arènes point de départ de la route de Palavas, est exposée la locomotive no 81. Classée avec sa voiture monument historique, elle a été mise en place en .

Plusieurs voitures ont Ă©tĂ© rĂ©cupĂ©rĂ©es par trois chemins de fer touristiques. L'effectif est : 5 voitures au chemin de fer touristique de GuĂ®tres (Gironde) ; 4 voitures au chemins de fer touristique de la VallĂ©e de la Doller (Alsace) ; 6 voitures Ă  l'Ă©comusĂ©e de Marquèze, Ă  Sabres (Landes). Ces voitures sont très intĂ©ressantes pour les voyageurs, en raison de leurs plates-formes extrĂŞmes. Elles le sont Ă©galement pour les trains touristiques, en raison de leur lĂ©gèretĂ©, ce qui Ă©conomise la voie et aussi l'Ă©nergie de traction.

Vestiges culturels

La ligne a été croquée par le dessinateur Albert Dubout dès 1922. Il a représenté un « petit train » carnavalesque et déformé, et en a profité pour se moquer des passagers estivants. Deux musées sont consacrés à Albert Dubout et au Petit Train à Palavas-les-Flots.

Après la fin du service, deux chansons ont évoqué le Petit Train de Palavas : une qui servit pour le film de Roger Bessière sur ce train[1] - [6], paroles d'André Pierre et musique de Claude Estienne, la seconde avec des paroles de Pierre Nicot et une musique de Jack Starling.

Bibliographie

  • Odile Jacques, Le Petit Train de Palavas, Ă©ditĂ© par le Centre de formation pĂ©dagogique de Montpellier.
  • Roland Jolivet (Avec le concours de Paul Genelot), Un petit train de folie… : Montpellier, Lattes, Palavas, Montpellier, chez l'auteur, (rĂ©impr. 2002), ill., 116, rel., 30 cm (ISBN 2-9513984-0-9, OCLC 742959967, SUDOC 167595776, prĂ©sentation en ligne)
  • Maurice Maillet, Vapeur â€¦ hommes et machines, la Vie du Rail, 1974.
  • Maurice Maillet, Les chemins de fer d'intĂ©rĂŞt local de l'HĂ©rault, les Ă©ditions du Cabri, Breil-sur-Roya, 1985.
  • Maurice Maillet, Souvenirs ferroviaires du Languedoc, les Ă©ditions du Cabri, Breil-sur-Roya, 1994.

Références

  1. « Le petit train de Palavas », publié sur le site Archives Gaumont-Pathé (en) (consulté le 16 juillet 2018)
  2. Hérault Conseil général Auteur du texte, « Rapports et délibérations / Conseil général de l'Hérault », sur Gallica, (consulté le )
  3. Vivre en France : « Le petit train de Palavas » [vidéo], sur ina.fr, ORTF Télévision, (consulté le )
  4. Paul Génelot, L'homme qui aime le train, sauvegardé le 1er janvier 2006 sur le site Web Archive (consulté le 16 juillet 2018)
  5. Du temps de l'exploitation des marchandises, la halte des Premières-Cabanes expédiait régulièrement des roseaux récoltés au bord des étangs et lagunes environnantes. Pour le transport, les roseaux étaient empilés en vrac dans un tombereau puis ce wagon passait sous un portique afin de vérifier si le chargement n'engageait pas le gabarit.
  6. Auteur réalisateur : Jean Pierre Picot, publié sur le site Alesia retrouvée (consulté le 16 juillet 2018)

Voir aussi

Article connexe

Liens externes

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