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Aulnoye-Aymeries

Aulnoye-Aymeries (prononcĂ© [onwa ɛm(ə)ʁi][1]) est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement du Nord en rĂ©gion Hauts-de-France.

Aulnoye-Aymeries
Aulnoye-Aymeries
L'Ă©glise d'Aymeries.
Blason de Aulnoye-Aymeries
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Nord
Arrondissement Avesnes-sur-Helpe
Intercommunalité CA Maubeuge Val de Sambre
Maire
Mandat
Bernard Baudoux
2020-2026
Code postal 59620
Code commune 59033
DĂ©mographie
Gentilé Aulnésiens
Population
municipale
8 804 hab. (2020 en diminution de 1,2 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 1 017 hab./km2
Population
agglomération
110 604 hab. (2020)
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 50° 12â€Č 18″ nord, 3° 50â€Č 11″ est
Altitude Min. 125 m
Max. 151 m
Superficie 8,66 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Maubeuge (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Maubeuge (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Aulnoye-Aymeries
(bureau centralisateur)
LĂ©gislatives 12e circonscription du Nord
Localisation
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Aulnoye-Aymeries
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Aulnoye-Aymeries
Liens
Site web https://aulnoye-aymeries.fr/

    GĂ©ographie

    Localisation

    Aulnoye-Aymeries est situĂ©e dans le sud du bassin de la Sambre, dont la ville la plus importante est Maubeuge situĂ©e Ă  18 km au nord-est d'Aulnoye-Aymeries. La commune appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Maubeuge.

    Le sud du bassin de la Sambre est situĂ© lui-mĂȘme dans l'Avesnois et Aulnoye-Aymeries fait partie du parc naturel rĂ©gional de l'Avesnois.

    Cartographies de la commune
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    1 : carte OpenStreetMap ; 2 : carte topographique

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La ville est située au bord de la Sambre, canal creusé sous le rÚgne de Louis XIV.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat semi-continental ou des marges montagnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat semi-continental » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les étés sont chauds et les hivers rudes, avec un grand nombre de jours de neige ou de gel. La pluviométrie annuelle est relativement élevée[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-dessous.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 9,8 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 4,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 857 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 9,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Maubeuge », sur la commune de Maubeuge, mise en service en 1961[8] et qui se trouve Ă  13 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 880,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lĂšs-Clercs, dans le dĂ©partement de l'Aisne, mise en service en 1933 et Ă  62 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă  10,3 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  10,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Aulnoye-Aymeries est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Maubeuge (partie française), une agglomĂ©ration internationale dont la partie française regroupe 22 communes[18] et 110 604 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[21] - [22].

    La ville possĂšde des maisons de style Art DĂ©co, dont l’hĂŽtel de ville rĂ©alisĂ© par Albert RouzĂ© en 1927.

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (49,9 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (46,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (40,7 %), prairies (25,9 %), terres arables (12,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (10,4 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (9,2 %), zones humides intĂ©rieures (1,6 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[24].

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 4 343, alors qu'il Ă©tait de 4 184 en 2014 et de 4 105 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 92,5 % étaient des résidences principales, 0,7 % des résidences secondaires et 6,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 76,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 22,2 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Aulnoye-Aymeries en 2019 en comparaison avec celle du Nord et de la France entiÚre. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,7 %) inférieure à celle du département (1,6 %) mais supérieure à celle de la France entiÚre (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 47,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (50,1 % en 2014), contre 54,7 % pour le Nord et 57,5 pour la France entiÚre[I 3].

    Le logement Ă  Aulnoye-Aymeries en 2019.
    Typologie Aulnoye-Aymeries[I 1] Nord[I 4] France entiĂšre[I 5]
    RĂ©sidences principales (en %) 92,5 90,6 82,1
    RĂ©sidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,7 1,6 9,7
    Logements vacants (en %) 6,9 7,8 8,2

    Voie de communication et transport

    Aulnoye-Aymeries est une ville notable du bassin de la Sambre. Ce que les habitants y nomment canal est en réalité la Sambre canalisée.

    La gare d'Aulnoye est encore un important centre nerveux de la ville, car elle est directement liĂ©e Ă  Lille et Paris et, avec correspondance, Bruxelles. Ancien nƓud ferroviaire international jusqu'Ă  il y a environ une dizaine d'annĂ©es (le Londres-Calais-BĂąle-Milan y croisait le Paris-Cologne-Berlin-Varsovie et le Paris-Amsterdam), Aulnoye-Aymeries a perdu de son importance ferroviaire depuis la crĂ©ation du TGV qui passe par Lille et il n'y a plus de ligne directe pour l'Allemagne (les relations internationales France/Belgique/Pays-Bas/Allemagne Ă©tant assurĂ©es par Thalys). La ville reste nĂ©anmoins un nƓud ferroviaire important Ă  l'Ă©chelle rĂ©gionale puisque les lignes d'Hirson et de Jeumont s'y rejoignent en direction de Lille. En outre, la ville conserve une liaison directe avec Paris. Le dĂ©pĂŽt ferroviaire n'existe plus.

    Toponymie

    Le nom d'Aulnoye est lié à la présence des aulnes, nombreux au bord de la Sambre. Aymeries tient son nom du seigneur qui tenait le lieu.

    Histoire

    Moyen Âge

    En 843, avec le traité de Verdun, le partage de l'empire carolingien entre les trois petits-fils de Charlemagne octroie à Lothaire Ier la Francie médiane qui comprend le Hainaut dont font partie Aulnoye et Aymeries.

    En 855 avec le traitĂ© de PrĂŒm qui partage la Francie mĂ©diane entre les trois fils de Lothaire Ier, le Hainaut est rattachĂ© Ă  la Lotharingie dont hĂ©rite Lothaire II.

    En 870, avec le traité de Meerssen signé aprÚs la mort de Lothaire II, une partie de la Lotharingie dont fait partie le Hainaut est rattachée à la Francie occidentale.

    En 880, avec le traité de Ribemont en 880, le Hainaut est rattaché à la Francie orientale qui deviendra le Saint-Empire romain germanique en 962.

    Un acte de l'Ă©vĂȘque GĂ©rard II confirme la prĂ©sence d'un chĂąteau fort dit « de Berlaimont » en 1088.

    Au XIIe siĂšcle, Aymer, un seigneur carolingien, installe son chĂąteau et une ferme sur un site qui deviendra Aymeries.

    Temps modernes

    En 1543, pendant la guerre de François Ier contre Charles-Quint, le Dauphin, commandant une partie de l'armĂ©e, s’empare d'Aymeries dont il fait dĂ©molir le chĂąteau[25].

    En 1643, durant la Guerre franco-espagnole, Émery est prise, ainsi que Barlemont, par le duc d'Enghien, commandant l'armĂ©e française des Pays-Bas[26].

    De 1727 à 1755, le village d'Aymeries vit au rythme des camps militaires, de juin à septembre. Ces camps, ayant pour objectif l'entraßnement des troupes, la formation des officiers et la sécurisation de la frontiÚre Nord, reçoivent les régiments casernés à Avesnes-sur-Helpe, Landrecies et Maubeuge.

    À partir de 1783, la route Landrecies-Avesnes est ouverte, la chaussĂ©e d'Avesnes Ă  La Capelle est pavĂ©e et la canalisation de la Sambre entre Landrecies et la frontiĂšre belge est amĂ©liorĂ©e.

    Époque contemporaine

    La gare d'Aulnoye-Aymeries est mise en service le [27] par la Compagnie des chemins de fer du Nord, lorsqu'elle ouvre la section de Saint-Quentin Ă  Hautmont

    En 1865, la gare a toujours son bĂątiment voyageurs provisoire[28].

    Au terme de la PremiÚre Guerre mondiale, Aulnoye est décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [29].

    La gare devient le siÚge d'un important dépÎt aprÚs la PremiÚre Guerre mondiale, dont le poste d'aiguillage se trouvait placé au sommet d'une tour, dite tour florentine, conçue par les architectes Gustave Umbdenstock et Raoul Dautry[30], transformant Aulnoye-Aymeries en cité cheminote[31].

    Aulnoye est à nouveau décorée de la Croix de guerre, celle de 1939-1945 le [32].

    En 1953, la Commune d'Aulnoye-Aymeries est créée par la fusion des communes d'Aulnoye et Aymeries ; la fusion est officielle le [33].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe du département du Nord. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la douziÚme circonscription du Nord.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Berlaimont[33]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la ville devient le bureau centralisateur du canton d'Aulnoye-Aymeries..

    Intercommunalité

    La commune est membre de l'intercommunalité Agglomération Maubeuge Val de Sambre, dont une partie englobe l'unité urbaine de Maubeuge.

    Tendances politiques et résultats

    Lors du second tour des Ă©lections municipales de 2014 dans le Nord, la liste PCF menĂ©e par le maire sortant Bernard Baudoux obtient la majoritĂ© absolue des suffrages exprimĂ©s, avec 2 010 voix (50,16 %, 22 conseillers municipaux Ă©lus dont 5 communautaires), devançant trĂšs largement celles menĂ©es respectivement par[34] :
    - LoĂŻc Pietton (DVG, 1 079 voix, 26,92 %, 4 conseillers municipaux Ă©lus dont 1 communautaire) ;
    - Arnaud Jacquinet (SE, 573 voix, 14,29 %, 2 conseillers municipaux Ă©lus) ;
    - Francine Lasne (DVD, 345 voix, 8,60 %, 1 conseiller municipal Ă©lu).
    Lors de ce scrutin, 39,410 % des Ă©lecteurs se sont abstenus)

    Lors du second tour des Ă©lections municipales de 2020 dans le Nord, la liste PCF menĂ©e par le maire sortant Bernard Baudoux obtient la majoritĂ© absolue des suffrages exprimĂ©s, avec 1 745 voix (69,52 %, 25 conseillers municipaux Ă©lus dont 4 communautaires), devançant trĂšs largement les listes menĂ©es respectivement par[35] :
    - Marianne Caron (DVG, 499 voix, 19,88 %, 3 conseillers municipaux Ă©lus dont 1 communautaire) ;
    - Philippe Dehier (DVD, 266 voix, 10,59 %, 1 conseiller municipal Ă©lu).
    Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 61,22 % des électeurs se sont abstenus.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1802[36] aprĂšs 1807[37] Adrien Carpentier
    Les données manquantes sont à compléter.
    1935 1940 Paul Stiévenart[38] - [Note 8] PCF Employé des chemins de fer
    Conseiller gĂ©nĂ©ral de Berlaimont (1934 → 1940)
    DĂ©chu de ses mandats par le Gouvernement Édouard Daladier aprĂšs la signature du Pacte germano-soviĂ©tique
    Les données manquantes sont à compléter.
    mai 1953 1963 Paul Stiévenart[38] - [Note 8] PCF Employé des chemins de fer
    Conseiller gĂ©nĂ©ral de Berlaimont (1945 → 1958)
    Mort en fonction
    1963 1963 Marc Joly PCF
    1963 juin 1995 Pierre Briatte[39] - [40] - [Note 9] PCF Instituteur
    Conseiller gĂ©nĂ©ral de Berlaimont (1958 → 1994)
    juin 1995 En cours
    (au 23 juin 2022)
    Bernard Baudoux PCF Cadre supérieur dans la publicité
    Conseiller gĂ©nĂ©ral de Berlaimont (2001 → 2015)
    Conseiller dĂ©partemental d'Aulnoye-Aymeries (2015[41] → )
    PrĂ©sident de la CA Maubeuge Val de Sambre (2001 → 2008 et 2022 → )
    Chevalier de la LĂ©gion d'honneur[42]
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[43] - [44]

    Jumelages

    Équipements et services publics

    Enseignement

    Aulnoye-Aymeries, qui fait partie de l'académie de Lille, a un collÚge, nommé Félix-Del-Marle et inauguré en septembre 2004, un lycée technique Pierre et Marie Curie, ainsi qu'un lycée privé Sainte-Jeanne-d'Arc.

    Aulnoye-Aymeries possÚde aussi plusieurs écoles maternelles et élémentaires :

    • l'Ă©cole maternelle Anne-Franck ;
    • l'Ă©cole maternelle EugĂ©nie-Cotton ;
    • l'Ă©cole maternelle et primaire Pierre-Semard ;
    • l'Ă©cole maternelle et primaire Paul-StiĂ©venard ;
    • l'Ă©cole primaire Joliot-Curie ;
    • l'Ă©cole maternelle et primaire privĂ©e SacrĂ©-CƓur.

    Santé

    En lien avec les professionnels de santĂ© du territoire, l'agglomĂ©ration Maubeuge Val-de-Sambre, la RĂ©gion Hauts-de-France, le DĂ©partement du Nord, les associations de la santĂ©, le Centre Hospitalier Sambre-Avesnois et Partenord (pour des logements locatifs aux 2Ăšmes et 3Ăšmes Ă©tages), la municipalitĂ© d'Aulnoye-Aymeries a lancĂ© le projet de Maison de santĂ© pluridisciplinaire. Ce projet a Ă©tĂ© validĂ© par l'Agence RĂ©gionale de SantĂ©. La premiĂšre pierre a Ă©tĂ© posĂ©e le 21 novembre 2015. L'Ă©quipement est mis en service en 2017 et l'inauguration se fait en prĂ©sence notamment du prĂ©sident de la rĂ©gion, Xavier Bertrand. Cet investissement a Ă©tĂ© portĂ© Ă  hauteur de 2 200 000 euros sans la moindre participation de la commune. Cette maison de santĂ© accueille 14 praticiens.

    Le 29 mai 2021, pour dénoncer le manque criant de médecins et à l'initiative du maire de la commune et des médecins locaux, une marche blanche a été organisée. Le slogan de cette mobilisation était "Non-assistance à patients en danger"[45]

    Équipements culturels

    Aulnoye-Aymeries a une salle de spectacle, la salle Léo-Ferré ; une école de musique et de nombreuses associations.

    La ville d'Aulnoye-Aymeries accueille, en lien avec l'agglomĂ©ration Maubeuge Val-de-Sambre, accueillera prochainement un PĂŽle rĂ©gional des musiques actuelles (PRMA). Cette structure accueillait il y a plusieurs annĂ©es une usine de fabrication de bombes. Cette rĂ©habilitation de friche donne lieu Ă  un futur PRMA, ayant pour objectif d'accueillir les nouvelles formations musicales. Ce PRMA comprendra donc 4 820 m2 de bĂątiments qui sont actuellement en construction. Deux bĂątiments sont construits: le 1er bĂątiment accueillera un club-house, l'infirmerie, les locaux techniques entre autres. Le deuxiĂšme bĂątiment accueillera les studios d'enregistrement, les espaces de rĂ©pĂ©tition, les ateliers. Un espace restauration est Ă©galement prĂ©vu. La cĂ©lĂšbre toiture rouge annexĂ©e Ă  ces bĂątiments, appelĂ©e l'Eden, continuera d'accueillir la 2e scĂšne du Festival Les Nuits SecrĂštes. La livraison est prĂ©vue pour mars 2022[46].

    Équipements sportifs

    Aulnoye-Aymeries a une piscine rénovée devenue centre nautique, l'Aiguade.

    Le club de basket-ball de la commune AS Aulnoye-Aymeries a été promu en Ligue 2 en 2014, et a été reléguée en N1F en 2017.

    Le club de foot de la commune AS Aulnoye Aymeries joue en CFA 2 et a fusionné avec le club de Feignies pour former "L'entente"l

    L'Ă©quipe 1 du club du SAHB (handball) est promu en D2 en 2017.

    La ville dispose de plusieurs salles de sport et un stade oĂč jouent les diffĂ©rents clubs de la ville.

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[48].

    En 2020, la commune comptait 8 804 habitants[Note 10], en diminution de 1,2 % par rapport Ă  2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    111104146134165172200273322
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3384094316448181 0851 4021 3861 457
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5861 6861 9563 1694 3994 9245 4424 7247 286
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    9 4059 7509 91710 0869 8829 2038 8708 7578 816
    2018 2020 - - - - - - -
    8 7678 804-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee Ă  partir de 2006[49].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  37,0 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 27,0 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,5 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 4 132 hommes pour 4 635 femmes, soit un taux de 52,87 % de femmes, lĂ©gĂšrement supĂ©rieur au taux dĂ©partemental (51,77 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[50]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,4
    6,8
    75-89 ans
    10,4
    15,9
    60-74 ans
    18,4
    19,0
    45-59 ans
    17,9
    18,3
    30-44 ans
    16,9
    19,1
    15-29 ans
    17,9
    20,2
    0-14 ans
    17,0
    Pyramide des ùges du département du Nord en 2018 en pourcentage[51]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Manifestations culturelles et festivités

    Le Festival Les Nuits secrĂštes Chaque annĂ©e vers la fin juillet, la ville organise le festival Les Nuits SecrĂštes, un Ă©vĂ©nement qui rĂ©unit chaque Ă©tĂ© plus de 10 000 personnes par soir pour des concerts en centre-ville.

    Économie

    • Aymeries qui Ă©tait aux abords du canal et des champs a vu son chĂąteau dĂ©truit pendant la RĂ©volution française. Aujourd'hui on y trouve des fermes et des champs, qui chaque annĂ©e disparaissent sous les inondations.
    • Depuis la crĂ©ation du barrage du Val Joly construit sur un affluent de la Sambre Ă  une trentaine de kilomĂštres en amont (base de loisirs), les inondations sont cependant beaucoup moins nombreuses (environ tous les sept ans) et moins importantes.
    • Aulnoye-Aymeries a des industries mĂ©tallurgiques, dont l'importante usine de construction de tubes en mĂ©tal, Vallourec (industrie de transformation mĂ©tallurgique).
    • Le centre d'Ă©tudes de la SociĂ©tĂ© des ateliers mĂ©caniques de Pont-sur-Sambre se trouve dans cette ville tout comme le centre d'Ă©tudes de la sociĂ©tĂ© Vallourec.
    • L'activitĂ© Ă©conomique de la ville est animĂ©e par le Festival Les Nuits SecrĂštes.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Ruines du chĂąteau fort dit « de Berlaimont »
    • La Tour florentine et le Toboggan de l'ancien dĂ©pĂŽt d'Aulnoye-Aymeries.
      La Tour florentine et le Toboggan de l'ancien dépÎt d'Aulnoye-Aymeries.
    • Nouveau pont SNCF.
      Nouveau pont SNCF.

    Personnalités liées à la commune

    PĂšlerinage de Compostelle

    Aulnoye-Aymeries est une étape française sur la via Gallia Belgica du pÚlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, qui se prolonge par la via Turonensis. L'étape notable précédente est Maubeuge ; la suivante est Maroilles[54].

    Aulnoye-Aymeries dans les arts et la culture

    Les clips suivants ont été tournés dans la commune :

    Hollysiz : The Light[55]

    Calogero : J'ai le droit aussi[56]

    HĂ©raldique

    Blason de Aulnoye-Aymeries Blason
    Parti, au premier chevronnĂ© d’or et de gueules de douze piĂšces (qui est d'Aulnoye) ; au second d’or Ă  la bande Ă©chiquetĂ©e d’argent et de gueules de trois tires (qui est d'Aymeries).
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Flixecourt », MinistĂšre de la cohĂ©sion des territoires et des relations avec les collectivitĂ©s territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une prĂ©cipitation, en mĂ©tĂ©orologie, est un ensemble organisĂ© de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphĂšre. La quantitĂ© de prĂ©cipitation atteignant une portion de surface terrestre donnĂ©e en un intervalle de temps donnĂ© est Ă©valuĂ©e par la hauteur de prĂ©cipitation, que mesurent les pluviomĂštres[5]. Cette hauteur est gĂ©nĂ©ralement exprimĂ©e, sur une pĂ©riode donnĂ©e, en millimĂštres, ou, ce qui revient au mĂȘme, en litres par mĂštre carrĂ©.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Une Ă©cole de la commune porte le nom de ce maire.
    9. La médiathÚque de la ville porte le nom de ce maire.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Jean-Marie Pierret, Phonétique historique du français et notions de phonétique générale, Louvain-la-Neuve, Peeters, (lire en ligne), p. 104.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Maubeuge - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Aulnoye-Aymeries et Maubeuge », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Maubeuge - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Aulnoye-Aymeries et Fontaine-lÚs-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Maubeuge (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Maubeuge (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    25. Annuaire du département du Nord. An XI-1890
    26. Aulnoye Aymeries, commune de l'Avesnois
    27. François Palau, Maguy Palau, Le rail en France : 1852-1857, Palau, 1998, p. 125 ; extrait (consulté le 2 janvier 2012).
    28. Site gallica.bnf.fr, « Chemin de fer du Nord, rapport de l'ingénieur en chef du contrÎle : Gares et stations », dans Rapports et délibérations - Nord, Conseil général, 1865, p. 171 ; intégral (consulté le 16 janvier 2012).
    29. Journal officiel du 23 septembre 1921, p. 10907.
    30. « La tour florentine », notice no IA59000377, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    31. « La tour florentine », Histoire / Patrimoine, Ville d'Aulnoye-Aymeries, (consulté le ).
    32. « Communesd décorées de la Croix de guerre 1939-1945 » [PDF], Mémorial des batailles de la Marne - Dormans (51), (consulté le ).
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    34. MinistÚre de l'intérieur, « Résultats des élections municipales d'Aulnoye-Aymeries en 2014 », sur interieur.gouv.fr, (consulté le )
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    36. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 276, lire en ligne.
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    38. Yves Le Maner, « STIEVENART Paul, Joseph : NĂ© le 31 dĂ©cembre 1882 Ă  Bachant (Nord), mort le 10 aoĂ»t 1963 Ă  Aulnoye-Aymeries (Nord) ; employĂ© des chemins de fer ; militant syndicaliste ; maire communiste d’Aulnoye, conseiller gĂ©nĂ©ral du Nord », Le Maitron en ligne, 30/6/2008 mis Ă  jour le 1/2/2012 (consultĂ© le ).
    39. Jacques Girault, « BRIATTE Pierre : NĂ© le 24 mai 1927 Ă  Berlaimont (Nord), mort le 1er avril 2019 Ă  Massy (Essonne) ; instituteur ; maire communiste d’Aulnoye-Aymeries (Nord), conseiller gĂ©nĂ©ral. », Le Maitron en ligne, 20/10/2008 mis Ă  jour le 18/10/2021 (consultĂ© le ).
    40. « Pierre Briatte, maire durant plus de trente ans, n’est plus : L’ancien maire d’Aulnoye-Aymeries, auquel Bernard Baudoux a succĂ©dĂ© en 1995, est dĂ©cĂ©dĂ© Ă  l’ñge de 91 ans. Il a marquĂ© de son empreinte la citĂ© cheminote », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    41. M.DE., « Le canton d’Aulnoye reste Ă  gauche et aux mains de Bernard Baudoux (PCF) : Quelques centaines de voix seulement sĂ©paraient le binĂŽme Bernard Baudoux - Marie-Aline BrĂ©da (Front de gauche) des candidats FN Bernard Dubuisson et Nadine Lemaire, avant que le dĂ©pouillement d’Aulnoye-Aymeries ne tombe », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    42. « Aulnoye-Aymeries : Bernard Baudoux a reçu la LĂ©gion d’honneur ce vendredi », sur L'Observateur, (consultĂ© le ).
    43. RĂ©Ă©lu pour le mandat 2014-2020 : « Bernard Baudoux rĂ©Ă©lu pour un 4e mandat, avec huit adjoints Ă  ses cĂŽtĂ©s : Lors de l’élection Bernard Baudoux a Ă©galement prĂ©cisĂ© qu’il pourrait prĂ©senter sa candidature Ă  la prĂ©sidence de l’AgglomĂ©ration Maubeuge Val de Sambre. », L'Observateur de l'Avesnois, no 19462,‎ , p. 18 (ISSN 0183-8415).
    44. « Aulnoye-Aymeries : Bernard Baudoux retrouve son Ă©charpe de maire : Dimanche mtin, aprĂšs avoir obtenu 69,52 % des voix lors des Ă©lections municipales de mars, Bernard Baudoux a Ă©tĂ© Ă©lu maire par le conseil municipal. Le maire sortant a retrouvĂ© aussitĂŽt son Ă©charpe de maire », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    45. E.B., « Aulnoye-Aymeries: des centaines de personnes mobilisées contre la désertification médicale », sur lavoixdunord.fr, (consulté le )
    46. Rufus de Ridder, « PÎle des musiques actuelles à Aulnoye-Aymeries: la salle de concert se concrétise », sur lavoixdunord.fr, (consulté le )
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    48. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    49. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    50. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Aulnoye-Aymeries (59033) », (consultĂ© le ).
    51. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement du Nord (59) », (consultĂ© le ).
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    54. www.grsentiers.org Sentier Saint-Jacques de Compostelle
    55. « le-dernier-clip-d-hollysiz-ete-tourne-aulnoye-aymeries », sur la voix du nord, .
    56. « "J'ai le droit aussi", clip de Calogero tourné à Aulnoye-Aymeries », sur la voix du nord, .
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