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Villamblard

Villamblard [vilɑ̃blaʁ] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de la Dordogne, en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.

Villamblard
Villamblard
Le chĂąteau de BarriĂšre Ă  Villamblard.
Blason de Villamblard
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement PĂ©rigueux
Intercommunalité Communauté de communes Isle et Crempse en Périgord
Maire
Mandat
Jean-Luc Alary
2020-2026
Code postal 24140
Code commune 24581
DĂ©mographie
Population
municipale
908 hab. (2020 en augmentation de 6,82 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 44 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 01â€Č 21″ nord, 0° 32â€Č 26″ est
Altitude Min. 100 m
Max. 222 ou 225 m
Superficie 20,43 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton du PĂ©rigord central
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Villamblard
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Villamblard
Liens
Site web villamblard.fr

    De 1802 Ă  2015, la commune Ă©tait le chef-lieu du canton de Villamblard.

    GĂ©ographie

    Généralités

    Dans le quart sud-ouest du département de la Dordogne, dans le Landais, la commune de Villamblard est traversée du nord-est au sud-ouest par le Roy, petit affluent de la Crempse et donc sous-affluent de l'Isle.

    Le bourg de Villamblard, implanté au carrefour des routes départementales 4 et 39, se situe, en distances orthodromiques, 14 kilomÚtres à l'est de Mussidan et autant au sud de Saint-Astier.

    La commune est également desservie au nord-est par la route départementale 42 (vers Saint-Mayme-de-Péreyrol) et au nord par la RD 107 (vers Jaure).

    Le sentier de grande randonnée GR 654 traverse le territoire communal du nord-ouest au sud-ouest, sur environ cinq kilomÚtres.

    Communes limitrophes

    Carte de Villamblard et des communes avoisinantes.

    Villamblard est limitrophe de huit autres communes dont Grignols au nord-ouest sur environ 500 mĂštres.

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Villamblard est situĂ©e dans le troisiĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de calcaires hĂ©tĂ©rogĂšnes du CrĂ©tacĂ©[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant pour certaines du CĂ©nozoĂŻque, et pour d'autres du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e c5c, date du Campanien 3, une alternance de marnes Ă  glauconie et de calcaires crayo-marneux jaunĂątres. La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indiffĂ©renciĂ©es de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altĂ©rites. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « no 782 - Mussidan » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[2] - [3] et sa notice associĂ©e[4].

    Carte géologique de Villamblard.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 100 mĂštres[5] au sud-ouest du territoire communal, au sud du lieu-dit Pouyol, lĂ  oĂč le Roy quitte la commune pour servir de limite entre celles de Beleymas et Saint-Hilaire-d'Estissac, et 222[5] ou 225 mĂštres[6] - [Note 1] est localisĂ©e au nord-est, au nord du lieu-dit le Sorbier[7].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [8]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 2] - [9]. La commune fait partie du PĂ©rigord central, un paysage vallonnĂ©, aux horizons limitĂ©s par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemĂ©s de prairies et de petits champs[10].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 20,43 km2[5] - [11] - [Note 3]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 20,52 km2[3].

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Villamblard.

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainĂ©e par le Roy et le ruisseau de Floyac et par divers petits cours d'eau, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 13 km de longueur totale[15] - [Carte 1].

    Affluent de rive droite de la Crempse, le Roy prend sa source dans le nord-est de la commune et la traverse en direction du sud-ouest sur six kilomĂštres et demi, dont 600 mĂštres en limite de Beleymas.

    Son affluent de rive droite le ruisseau de Floyac prend Ă©galement sa source dans le nord-est de la commune et rejoint le Roy 300 mĂštres au sud-est du centre-bourg de Villamblard.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[16]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [17].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[18]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[19].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[18]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 8,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 6] : 877 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[22] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[23] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988[24] et qui se trouve Ă  19 km Ă  vol d'oiseau[25] - [Note 7], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[26], Ă  13,1 °C pour 1981-2010[27], puis Ă  13,3 °C pour 1991-2020[28].

    Urbanisme

    Typologie

    Villamblard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [29] - [30] - [31]. La commune est en outre hors attraction des villes[32] - [33].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (53,2 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (52,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (53,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (28 %), prairies (16,5 %), zones urbanisĂ©es (2,4 %)[34].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Villamblard est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[35]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[36].

    Villamblard est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[37]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[38] - [39].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Villamblard.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[40]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[41]. 83,3 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [42].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1986, 1989, 1999 et 2018, par la sécheresse en 1991, 1992, 1995, 2009 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[35].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de Vila Amblard[43].

    Histoire

    La bastide de Saint-BarthĂ©lĂ©my-de-Goyran fut fondĂ©e en 1316 pour le roi d'Angleterre Édouard II[44]. Elle ne se dĂ©veloppa pas et disparut Ă  la fin du XVe siĂšcle[45]. BĂątie Ă  proximitĂ© de la confluence du Roy avec la Crempse, diffĂ©rents auteurs la situent Ă  Beleymas, Saint-Hilaire-d'Estissac, ou encore Villamblard[44].

    Au XIVe siĂšcle, le repaire noble[46] (ou chĂąteau[47]) d'Estissac est le siĂšge d'une chĂątellenie Ă  laquelle sont rattachĂ©es trois paroisses : Saint Hilaire, Saint Jean et Saint SĂ©verin[47]. Son emplacement prĂ©cis n'est pas connu, et selon diffĂ©rents historiens, pourrait se situer soit au nord d'Issac, soit entre Saint-Jean-d'Estissac et Villamblard en forĂȘt de Barreyrenc[47], soit sur l'actuelle commune de Villamblard[46], ou encore Ă  Campagnac, lieu-dit de l'actuelle commune de Saint-Hilaire-d'Estissac[48], un kilomĂštre au sud-est du bourg.

    Dans la nuit du 10 au eut lieu le premier parachutage combiné d'agents (au nombre de quatre) et d'armes (deux conteneurs) en France. Organisé pour le compte du SOE section F, l'opération avait pour nom de code « Corsican ». Le lieu avait été choisi par Jean Pierre-Bloch au voisinage de sa propriété de Villamblard. Voir la section Beleymas#Personnalités liées à la commune.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    DÚs 1790, la commune de Villamblard a été rattachée au canton de Montagnac qui dépendait du district de Bergerac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton dépend de l'arrondissement de Bergerac et l'année suivante, il prend le nom de canton de Villamblard, à la suite du transfert du chef-lieu de canton depuis Montagnac vers Villamblard[5].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaßt aux élections départementales de mars 2015[49]. La commune est alors rattachée électoralement au canton du Périgord central dont le bureau centralisateur est fixé à Vergt.

    En 2017, Villamblard est rattachée à l'arrondissement de Périgueux[50] - [51].

    Intercommunalité

    Fin 2001, Villamblard intÚgre dÚs sa création la communauté de communes du Pays de Villamblard dont elle est le siÚge. Celle-ci disparaßt au , remplacée au par la communauté de communes Isle et Crempse en Périgord, dont le siÚge est à Mussidan.

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[52] - [53].

    Liste des maires

    Le monument aux morts et la mairie de Villamblard.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1944 Édouard Dupuy SFIO RĂ©voquĂ© par le Gouvernement de Vichy[54]

    Conseiller général du canton de Villamblard (1945-1955)

    1977 1983 Jean-Clovis Reymond[55] SFIO puis PS Conseiller général du canton de Villamblard (1970-1980)
    1983 avril 2011 Jean Fourloubey[Note 10] PS[56] Retraité
    Conseiller général du canton de Villamblard (1988-2015)
    avril 2011[57] mai 2020 Michel Campagnaud
    mai 2020[58] En cours Jean-Luc Alary

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Villamblard relĂšve[59] :

    Jumelages

    Panneau de jumelage du pays de Villamblard.

    Le pays de Villamblard est jumelé avec la commune sénégalaise de Sokone.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[60]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[61].

    En 2020, la commune comptait 908 habitants[Note 11], en augmentation de 6,82 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1201 2311 2321 2601 3091 2211 2921 2811 406
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3811 3871 3481 3281 3281 4611 3681 3221 244
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2211 0311 014818830834811864806
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    815799841823813822884892871
    2017 2020 - - - - - - -
    886908-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee Ă  partir de 2006[62].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Santé

    La commune compte une maison de santé rurale[63].

    Économie

    Emploi

    En 2015[64], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 363 personnes, soit 42,2 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (quarante-quatre) a augmentĂ© par rapport Ă  2010 (trente-six) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  12,0 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 113 Ă©tablissements[65], dont cinquante-trois au niveau des commerces, transports ou services, vingt-deux relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, quinze dans la construction, douze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, et onze dans l'industrie[66].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • ChĂąteau de BarriĂšre (ruines du), XIIe et XVe siĂšcles, inscrit aux monuments historiques en 1948[67]. Le premier bĂątiment est un donjon carrĂ© en date du XIIe siĂšcle. Le chĂąteau fut agrandi au fil des siĂšcles par les illustres familles de BarriĂšre, de Lur, et de Taillefer, dont est issu le comte Wlgrin de Taillefer, grand historien du PĂ©rigord du XIXe siĂšcle. Il reste aujourd'hui le logis nord et le logis ouest donnant sur le village, ainsi que la tour carrĂ©e et les restes d'une tour ronde dans l'alignement du logis nord. En 1809, le Comte de Taillefer est contraint de vendre le chĂąteau qui est un gouffre de dĂ©penses. BarriĂšre fut dĂ©montĂ© petit Ă  petit, comme le logis Renaissance au sud dont il ne subsiste que la cave, ainsi que la plus grosse tour sud-ouest qui fut dĂ©molie pour faire passer la rue Haute. Un incendie ravagea le chĂąteau en 1898, Ă  la suite duquel il fut lĂ©guĂ© Ă  la commune de Villamblard en 1924 par Alice Murat. Depuis 20 ans, l'association Wlgrin de Taillefer a mis en place avec la commune plusieurs Ă©tapes de sauvegarde et de restauration du chĂąteau.
    • Souterrain du tertre du Breuilh qui s'Ă©tendrait sous le sommet d'une colline dont le plateau est peut-ĂȘtre un ancien oppidum ou un ancien castrum[68].
    • Église Saint-Pierre-Ăšs-Liens des XVIIIe et XIXe siĂšcles[69].
    • Une stĂšle commĂ©more le parachutage du .
    • Les ruines du chĂąteau de BarriĂšre.
      Les ruines du chĂąteau de BarriĂšre.
    • L'Ă©glise Saint-Pierre-Ăšs-Liens.
      L'Ă©glise Saint-Pierre-Ăšs-Liens.
    • La nef de l'Ă©glise.
      La nef de l'Ă©glise.
    • La halle.
      La halle.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Armes de Villamblard

    Les armes de Villamblard se blasonnent ainsi : « d'or à la fasce de gueules accompagné de six fleurs de lys d'azur : trois en chef et trois en pointe[70] »

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Emmanuel Garraud, AntiquitĂ©s pĂ©rigourdines, ou l'Histoire gĂ©nĂ©alogique et archĂ©ologique de Villamblard et de Grignols, accompagnĂ©e de notes sur les environs, suivie d'un prĂ©cis historique sur les comtes de PĂ©rigord, chez J. B. Dumoulin, Paris, 1868 (lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Deux donnĂ©es contradictoires selon le GĂ©oportail : 225 mĂštres sur la carte et 222 pour la boĂźte « Communes ».
    2. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    3. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[12] - [13]
    4. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[20].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[21].
    7. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    10. Démissionne de ses fonctions de maire tout en restant conseiller municipal. Source : Un nouveau maire Sud Ouest du 4 avril 2011, consulté le 9 mai 2012.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
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